Meurtres Dans Les Bas-Fonds (Fin)

BÊTA PUBLIQUE

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Elle était tel un jambon pendu qui tournait lentement et elle ne comprenait pas ce qui arrivait. Où étaient les policiers et pourquoi elle était accrochée au plafond.

C'est alors qu'elle les vit, et la terreur l'envahit sans qu'elle puisse rien n'y faire. Ils étaient cinq quinquagénaires à la regarder en souriant mais ce qui paniqua la jeune femme, c'était que de ces hommes n'était autre que le commissaire Nelson.

Elle comprit à ce moment-là qu'elle allait mourir car aucun secours n'allait venir la sauver. Elle s'était fait avoir en beauté et maintenant son corps allait être le jouet de ces hommes.

- Bienvenue Juliette, depuis que je parle de toi à mes amis, ils n'avaient qu'une hâte, c'est de te connaître.

- Qui..... pourquoi?

Le commissaire se mit à rire

- Parce que ton corps nous intéresse et qu'il a très longtemps qu'on n'en a pas eu un aussi beau lors d'une de nos soirées. Mais sois rassurée, tu ne seras pas tuée tout de suite, on va essayer de te garder le plus longtemps possible en vie pour profiter au maximum de ta petite personne.

La jeune femme ne voulait pas montrer sa peur et par acte de bravoure resta silencieuse lorsqu'ils l'entourèrent. Les mains commencèrent à la palper comme pour se rendre compte de la marchandise. Si elle n'avait pas été dans cette position, elle aurait sûrement apprécié de se faire tripoter mais avec ce qui l'attendait, le plaisir n'était vraiment pas là.

Elle eut un peu mal lorsque l'un des hommes s'amusa à tirer sur ses anneaux de tétons alors que des doigts s'étaient infiltrés dans sa chatte. Malgré l'horreur de la situation, sa vulve était remplie de mouille, pour le plus grand plaisir de ses geôliers.

- On va te préparer pour demain car tu es encore un peu trop combative à notre goût. Lorsque tu seras un peu affaiblie, on te baisera comme jamais une femme ne l'aura été et ensuite on s'amusera à te torturer très longuement. Tu vas adorer.

- Laissez-moi lui mettre le plug, dit l'un des hommes.

Le commissaire acquiesça de la tête puis, regardant la jeune femme, il lui dit.

- Tu as de la chance, c'est le sous-préfet en personne qui va t'élargir ton petit cul. Demain, ton petit trou sera bien détendu et accueillant pour tous nous recevoir.

Malgré tout son courage, lorsque l'énorme plug força son anus à sec, elle ne put s'empêcher de crier pour le plus grand plaisir des hommes. C'était horrible et elle faillit tourner de l'œil mais elle savait que ce n'était rien par rapport à ce qui l'attendait dans les jours à venir.

Elle était lucide et elle se rappela des cadavres trouvés lors de l'enquête. Bientôt, ils lui infligeront des tortures inhumaines jusqu'à ce que son cœur ne finisse par lâcher à moins que par pitié, on ne l'étrangle pour l'achever.

Elle ne se faisait pas d'illusion, le prochain corps nu trouvé dans une ruelle serait le sien. Le commissaire, attristé, ferait sûrement une petite cérémonie pour lui dire au revoir avant de désigner un autre flic pour mener l'enquête.

****

Gérald était inquiet et il hésitait encore à intervenir. Cela faisait plus de vingt heures qu'ils avaient emmené Juliette dans ce vieil entrepôt désaffecté et les renforts n'étaient toujours pas arrivés.

Lorsqu'il avait découvert que les prélèvements d'ADN avaient été détournés par le commissaire, il n'avait pas su quoi faire. L'homme le plus puissant du commissariat avait sûrement des complices au sein de la police et il risquait d'attirer son attention s'il en parlait à la mauvaise personne.

La seule en qui il avait confiance était sa jeune équipière qu'il savait très honnête. Pourtant, comment allait-elle réagir en apprenant que le commissaire était suspect. Il la connaissait bien et elle risquait de foncer sans réfléchir et sans vraiment mesurer les conséquences de ses actes. Ayant peur de sa réaction, il avait préféré agir en solitaire.

Sans rien dire à personne, il avait envoyé un rapport à la police des polices et lorsqu'il avait été contacté par l'inspecteur Harrison, ce dernier avait demandé plus de preuves pour qu'ils puissent intervenir.

Depuis, il avait fait croire à tout le monde qu'il était parti en vacances mais il suivait la jeune femme discrètement en espérant trouver des preuves. Il avait bien essayé de l'avertir en lui envoyant un message, lui demandant de se méfier du commissaire mais elle n'en avait pas tenu compte.

C'est vrai que Marie, sa femme, lui avait un peu fait la tête lorsqu'il lui avait expliqué qu'ils ne partiraient pas en voyage. Elle avait fini par comprendre lorsqu'il lui avait expliqué les risques encourus par sa jeune équipière.

Malgré tout son professionnalisme, il y a eu des fois où il l'avait perdu comme lorsqu'elle s'était fait percer les tétons pour mettre ses anneaux. Ce n'était pas toujours évident de rester invisible, surtout dans les moyens de transport.

La veille, lorsqu'elle avait été emmenée en voiture, il ne les avait pas perdu de vue. Lorsqu'il avait vu qu'ils portaient son corps sans connaissance dans l'entrepôt, il avait eu très peur pour elle. N'ayant plus le choix, il avait téléphoné à Harrison qui lui avait promis des renforts en comprenant le danger.

Mais là, il était de plus en plus inquiet car le temps passait et il ignorait complètement ce qu'ils lui faisaient endurer. A cinquante cinq ans et avec son physique rondouillard, il savait que s'il intervenait seul, il y avait peu de chances qu'il réussisse à la libérer et cela le rongeait.

Il considérait la petite comme sa fille et ne voulait pas qu'il lui arrive malheur. Mais seul, il ne avait pas quoi faire.

****

Lorsqu'ils l'avaient décrochée pour l'emmener dans une des pièces où se trouvait le grand lit, elle s'était laissée faire, trop fatiguée pour réagir. Elle était resté suspendue pendant presque six heures et elle ne ressentait plus rien au niveau de son anus, complètement distendu par l'énorme plug.

À l'aide d'une paire de menottes, ils lui avaient attaché son poignet droit à la tête du lit métallique et depuis, elle se faisait violer presque en continu. Les hommes se succédaient en elle et elle ne pouvait que subir, trop épuisée pour se débattre.

Vu leur forme et la rapidité avec laquelle ils récupéraient, elle comprit qu'ils prenaient de l'ASP, une drogue interdite à la vente et qui donnait à celui qui l'absorbait une endurance sexuelle incroyable.

Elle savait que lorsqu'ils se seraient rassasiés de son corps et que la drogue aura fini d'agir, elle serait torturée jusqu'à ce que la mort la libère. Elle avait capitulé depuis longtemps, se maudissant de s'être lancée dans cette affaire au lieu de suivre les recommandations de Gérald.

Mais pouvait-elle vraiment se reprocher d'avoir voulu bien agir?

****

Un des hommes était en train de la sodomiser alors qu'elle avait perdu la notion du temps lorsqu'une grosse explosion se fit entendre. L'homme se retira de son cul, ne sachant pas ce qui arrivait.

Lorsque des coups de feu éclatèrent dans le bâtiment, il quitta précipitamment la pièce cherchant un endroit ou se réfugier.

Juliette, à moitié dans les vaps, ne réalisa pas vraiment ce qui arrivait. Elle entendait des hurlements en plus des détonations mais n'arrivait pas à comprendre ce qui se passait.

Lorsque le silence revint, elle se demanda si elle n'avait pas rêvé surtout lorsqu'elle vit apparaître Gérald, un sourire aux lèvres.

- hé bien, dans quel état ils t'ont mis!

Tout en disant cela, il la libéra de ses menottes, lui passant la main dans les cheveux pour la cajoler.

- C'est fini, tu vas pouvoir te reposer. Ils ont tous été arrêtés à part le commissaire qui a été abattu en voulant se sauver.

Juliette émergea un peu, comprenant enfin qu'elle allait vivre. Regardant son équipier, elle ne put dire qu'un seul mot.

- Merci

Épilogue

Suite à ce coup de filet incroyable, plusieurs personnes très importantes comme le sous-préfet ou le premier adjoint au maire s'étaient retrouvés sous les barreaux. Avec une inculpation de meurtre, ils risquaient de passer un temps très long en prison voire même de ne jamais en sortir.

Depuis la mort de Nelson, un nouveau commissaire avait pris ses fonctions et Gérald avait eu le droit à une retraite anticipée comme remerciement. Juliette quant à elle, avait donné sa démission, ne se voyant plus dans la peau d'une policière après ce qu'elle avait vécue.

Quant à l'hôtel se trouvant 1476 rue de la joie, le propriétaire, un certain Serge Darmin, l'avait vendu un bon prix et personne ne savait ou il était parti.

*****

Juliette se mit à rire en découvrant les tétons percés de son amie. Mila avait trouvé les seins de l'ancienne policière tellement excitants qu'elle avait voulu faire la même chose.

Depuis qu'ils avaient ouvert l'auberge « des trois amis » en bord de mer, les affaires marchaient bien même si Serge avait tendance à se la couler douce.

- je vous fais profiter de mon expérience et c'est déjà pas mal, aimait-il dire lorsqu'il était surpris à dormir pendant le service.

Pour les trois, quitter la mégapole avait été la meilleure décision qu'ils n'aient jamais prise et la vie s'annonçait belle loin de la turpitude des cités.

Tout le monde aimait venir dans ce petit lieu reposant surtout que parfois, lorsque les clients étaient gentils, de jolies femmes aux seins percés venaient les voir pour les aider à mieux dormir.

Mais bien sur, ce petit service était compris dans le prix de la chambre car ainsi, elles n'étaient plus des prostituées mais juste des femmes très serviables.

Et pourquoi se priver des petits plaisirs de la vie, comme dirait Serge.

Fin

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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10 Commentaires
Romain_PiRomain_Piil y a environ 1 an

Bravo pour cette série qui nous a bien tenu en haleine, dans un futur bien construit et avec des scènes toutes bien écrites.

Pas de suite pour moi, laissons les vivre tranquillement leur nouvelle vie !

dicordobadicordobail y a environ 1 anAuteur

Désolé mais la prochaine histoire racontera les péripéties sexuelles de Maude. Mais si quelqu'un veut raconter la suite de Juliette, je suis preneur.

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Superbe histoire avec une fin comme je les aime.

J’espère que vous aurez l’inspiration pour nous faire vivre les péripéties sexuelles de Juliette qui a pris un goût certain aux activités sexuelles et qui disons le est devenue une très jolie petite salope…

Aurons-nous ce plaisir ?

Je suis impatient de le découvrir…

MulierscriptorMulierscriptoril y a environ 1 an

Encore une histoire bien écrite et intéressante, bravo à vous. Vraiment.

MS

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