Mémoires de Soumissions 02

Avoir le sexe de son homme dressé devant son visage, le sentir palpiter à la moindre caresse, le maîtriser de ses lèvres et de sa langue est une jouissance profonde pour beaucoup de femmes et pour Germaine, un délice qu'elle savourait depuis longtemps. Les hommes parce qu'ils croient maîtriser la situation en bandant ou en pénétrant l'autre se sentent surpuissants, ils ne savent souvent rien des jouissances de leur compagne ni du sentiment de possession bien plus complexes qu'éprouve le "pénétré", homme ou femme.

Enfin pas vraiment Marcel qui savait presque tout de sa Germaine et inversement. Les deux ne se cachaient rien depuis très longtemps.

Ainsi, Germaine tout en s'activant de plus en plus sur le membre de son époux, le torturant avec délectation, n'en oubliait pas de plonger régulièrement sa main droite vers son sexe. Un, deux ou trois doigts ramonant son vagin au plus profond qu'elle le pouvait en se contorsionnant parfois pour garder son équilibre, la paume de sa main ou l'intérieur de son poignet appuyant fortement sur son clitoris. Germaine suçait ou caressait Marcel et se branlait en pensant à tout ce qu'ils feraient subir à ce petit couple. Parfois elle se mettait un plug anal avant même le début des échanges ou prévoyait un gode qu'elle installait sous le bureau de Marcel. Marcel savourait l'imagination de sa compagne, se félicitant chaque jour de leur parfaite adéquation de pensées et de leur amour du sexe sans limite.

Leurs découvertes n'étaient pourtant pas finies. Le résultat du cyber espionnage discret et permanent du couple avait très rapidement offerts quelques news excitantes au possible. Une fois le mobile de Lisa contaminé, une liste assez impressionnante de sites pornos qu'elle effaçait chaque soir étaient sortis du chapeau. La belle endormie aimait visiblement se connecter régulièrement sur les Youporn et Cie!

Les amours lesbiennes et les histoires de femmes qui faisaient leurs maris cocus étaient ses petits plaisirs du soir également! Vu les historiques de connexion qu'ils retrouvèrent, Madame profitait des absences nocturnes de son mari pour s'amuser un peu. Parfait, Lisa n'était pas devenue un iceberg collé pour l'éternité à une banquise polaire, mais bien un être en attente d'un réchauffement climatique!

Une grande question les taraudait, Lisa était-elle vraiment endormie quand son petit mari venait la prendre en photo dans des poses très « ouvertes »? A moins qu'elle n'ait des réveils bien particuliers quelques minutes après le passage de son petit photographe amateur, on pouvait en douter et se demander jusqu'où ce petit jeu n'était pas pour elle un moment qu'elle appréciait particulièrement?

Ah ah ah! Germaine et Marcel s'enthousiasmaient, la petite Lisa n'était sans doute pas dans la réalité l'image angélique et prude que son mari croyait, ses désirs de petits démons n'étaient pas éteints et c'était bien Julien qui était largué. Savoir que pendant qu'il se paluchait sur son canapé, Madame en faisait autant dans le lit conjugal était un scoop somme tout hilarant pour Germaine et Marcel qui confirmaient leurs soupçons.

Ils devaient vraiment se rencontrer le plus rapidement possible, c'était évident! Germaine pris la direction des opérations et un soir elle annonça à Julien :

- « Bonsoir mon Julien! Tu sais avec le temps tu es presque devenu le fils que nous n'avons pas eu! On parle souvent de vos petits problèmes avec Marcel dans la journée et on pense tout le temps à vous! On a eu une idée dont on va te parler ce soir »

Marcel se félicitait d'avoir une telle femme. Le coup du « fils que l'on n'a pas eu » était grandiose. Ils avaient vu la tête de Julien, il était profondément ému, ça en était touchant!

- « Salut mon Julien! Tu vas bien ce soir? » insista-t-il mielleusement

Julien comme à son habitude avait besoin de parler.

- « Eh bien vous savez, rien de neuf ce soir, Lisa est partie déjeuner dans la chambre avec un plateau repas, je lui ai apporté un thé et elle dort déjà... Je l'ai à peine vu en rentrant du travail. Elle a presque détourné la tête quand je l'ai embrassée en arrivant... Elle ne l'a pas fait, mais j'ai bien senti que... J'ai l'impression que nous sommes deux aimants qui au lieu de s'attirer se repoussent et plus deux amants... Je ne sais plus quoi faire. J'ai vraiment besoin de vous et de votre aide ».

Pleurnicheuse un soir, pleurnicheuse tous les soirs se disait Marcel, mais Germaine plus concentrée sauta sur l'occasion

- « Écoutes-bien mon petit Julien, on n'a beaucoup discuté avec Marcel. On ne peut pas vous laisser dans cette situation. Tu sais, nous on est à la retraite, sans grandes attaches et avec du temps libre à revendre. Que dirais-tu si on venait vous voir? On doit pouvoir très facilement trouver un truc à louer pour quelques semaines dans votre belle région. On en profitera pour visiter et faire un peu de tourisme. Et comme cela on pourra se rencontrer tous les quatre en vrai! Qu'en penses-tu? »

Julien était plus qu'heureux de cette proposition et il ne savait plus comment remercier ses nouveaux amis :

- « Germaine, Marcel, c'est trop gentil. J'adorerai mais franchement, vous n'avez rien de mieux à faire que de vous occuper de nous? Je suis très gêné quand même! Ce serait avec un très grand plaisir évidemment mais vous êtes surs que...»

-« Mais bien sur mon petit Julien, nous en sommes certains : Dès que l'on raccroche, on cherche une solution d'hébergement et on arrive au galop, à la rescousse de notre petit Julien et de sa Lisa, comme des braves ».

Germaine déclara tout cela avec enthousiasme en se disant qu'ils en faisaient presque trop (et qu'il fallait absolument qu'ils ne rigolent pas!)

Germaine venait de donner discrètement un coup de coude que Julien ne pouvait voir à Marcel. Elle voulait que son époux se concentre sur ce que Lisa était en train de faire pendant qu'elle occupait Julien.

Sur un second écran situé à côté de leur bureau, le mobile de Lisa était dupliqué et il diffusait quasi en simultanée ce que Lisa regardait et faisait. Bonus non négligeable et petit avantage de la technologie, la caméra frontale de son mobile transmettait aussi ce qui était dans son champ de prise de vue. Les bienfaits du cyber espionnage sont indéfinissables!

Marcel banda directement en voyant ce qui était retransmis! La belle épouse regardait innocemment une jeune blonde se faire puissamment défoncer par trois Blacks avec des mandrins de compétition! Elle avait visiblement posé le téléphone en biais sur un oreiller et sa caméra permettait de voir le haut de son corps et son visage.

Quel spectacle! Marcel prétexta un besoin urgent et quitta sa place. Un petit tour du bureau en douce et il alla observer le spectacle en mettant un casque qui lui diffusait le son piraté également.

Lisa était donc allongée sur son lit dans la chambre conjugale, la lampe de chevet diffusait une lumière diaphane et faible comme si elle avait posé un vêtement dessus ou baissée son intensité. Lisa rayonnait et son visage exprimait un plaisir et un contentement évident. Le son de la vidéo qu'elle regardait était coupé, mais on entendait parfaitement les gémissements de Lisa et la raison du plaisir qu'elle éprouvait n'était pas difficile à comprendre. La scène était d'une sensualité à couper le souffle.

Lisa était allongée, totalement nue, sur son lit. On devinait son bras droit caché par son corps, son poignet émergeant dans le bas du champ de la caméra du mobile. La main droite de Lisa disparaissait à nouveau ensuite, plongée dans une entrejambe que l'on savait douce comme de la soie, humide et odorante comme dans un rêve de parfumeur. Aux mouvements et contractions régulières de ses muscles, ce que l'on voyait à moitié était clair. La jolie mimine était mobilisée plus bas sur son sexe. La main gauche n'était pas en reste et Lisa se pinçait les tétons, passant d'un sein à l'autre, les empaumant de temps en temps. Sur les aréoles parfaitement découpées et gonflées, ses mamelons étaient dressés et résistaient au contact de sa main. Lisa semblait prendre un grand plaisir à cette double caresse. Son visage penché vers l'écran de son mobile, les yeux mi-clos regardant la séquence très chaude, ne trompaient pas.

Lisa alternait les soudaines accélérations de sa main droite avec des pincements plus forts pratiqués sur ses seins par sa main gauche. Son corps se tendait puis se relâchait. Quand le rythme ralentissait, sa main gauche caressait plus doucement sa poitrine et descendait parfois rejoindre sa copine déjà bien occupée.

Pendant ce temps, madame la blonde de la vidéo en avait pris une majestueuse directement dans les fesses et les deux autres compères se caressaient leurs sexes en la regardant ouvrir sa bouche de plaisir. On devinait les « fuckin' white bitch » et autres amabilités de circonstances, la vidéo sentait bien la production made in USA et les acteurs X ultra professionnels, images léchées, cadrages travaillés, mais Lisa appréciait fortement de voir la blonde endurer sa délicieuse torture anale pendant que les deux autres fusées de compétition attendaient leur tour.

Chaque fois que le mec était bien au fond de la blonde ou qu'il claquait ses fesses rougies, Lisa mettait un coup d'accélérateur à ses caresses. La simultanéité des actions étaient criantes. Quand la scène commença à se corser, en bref, quand Miss la Blonde chevaucha un des trois mecs, que l'autre lui prit la bouche et que le troisième découvrit que le dernier orifice était bien ouvert et n'attendait plus que lui, le visage de Lisa commença à se crisper de plaisir. Quand les trois Blacks éjaculèrent dans un ballet parfaitement réglé sur Miss la Blonde, Lisa se cambra et se mordit fortement les lèvres. Elle se retenait de crier et sa jouissance n'était que gémissements contenus pour ne pas alerter Julien sans nul doute. Mais Lisa avait joui et pas qu'un peu.

Tout cela avait duré 10 mn à peine et Lisa après avoir récupérée et effacée son historique de connexion, éteignit son mobile, le posant ensuite sur sa table de chevet. Le plafond de la chambre n'étant pas très passionnant, Marcel rejoignit sa femme. La discussion avait avancé et bien qu'il n'ait été qu'à un mètre à tout casser, sa concentration tout entière focalisée sur la belle Lisa était telle qu'il n'avait rien suivi de ces échanges. Par contre, Marcel était excité comme une bête et Germaine allait encore bien en profiter ce soir.

Il arriva donc juste pour entendre Germaine dire à Julien :

-« Bon, on est d'accords! Avec Marcel on se renseigne et si tout va bien demain tout est bouclé et on se voit dans deux ou trois jours pour le début du WE. Tu vas prévenir ton épouse adorée que d'anciennes relations professionnelles de ton patron sont de passage, que lui n'étant pas disponible, tu dois t'en occuper durant quelques jours et les inviter à dîner samedi soir. Ensuite fais-nous confiance, Lisa nous adoptera très vite et on pourra se voir très régulièrement. Tu es content mon Julien? »

Julien n'était pas content, il était aux anges. Son sourire béat disait tout!

Germaine et Marcel étaient également aux anges (ou plutôt aux démons!), la semaine suivante allait être la mère de toutes les semaines. ils devraient être en pleine forme et imaginatifs.

Voilà, cette suite vous aura peut-être surpris. L'histoire de ce petit couple a une grande importance pour bien comprendre la grande histoire où tout sera expliqué et toutes les clefs données. Je vous l'avais dit, ce récit allait prendre des tours et des détours dans un passé pas si lointain, mais primordial. Si vous allez jusqu'au bout de l'aventure, vous saurez tout, promis, je le jure!

Espérant continuer à vous intéresser et à vous exciter au moins un peu!

Adieu et bonjour comme toujours!