Une Soumission Bourgeoise

Informations sur Récit
Un couple moins ordinaire qu'il n'y parait
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Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 10/29/2020
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Je n'aurais jamais pensé oser faire ça. Ou me retrouver dans une telle situation. Et je ne l'aurais jamais cru capable de tout ça. En fait, je ne le connaissais pas tant que ça. Nous étions mariés depuis cinq ans seulement.

Notre vie sexuelle avait toujours été assez lambda. La passion du début, où l'on avait envie de baiser tout le temps, avait peu à peu été remplacée par la lassitude du quotidien, et la fatigue. L'arrivée de nos deux enfants n'avait rien arrangé à cela.

La dernière année, on ne faisait quasiment plus l'amour. Au bureau, un nouveau collaborateur était arrivé, l'année dernière justement. Je l'avais trouvé pas mal beau, il me plaisait. J'avais vu aussi que je lui avais plu. Ça m'avait fait un bien fou, de me sentir désirée et désirable à nouveau.

Stanislas, mon mari, était froid. Plus dans l'observation que dans l'action. Un peu snob même. Comme si les plaisirs terrestres étaient réservés au commun des mortels. Ça m'avait séduite au début. Les derniers temps, sa froideur et son mépris me blessaient. Je n'osais même plus m'approcher de lui, au lit, me coller à lui, enlacer sa cuisse entre mes jambes et y frotter ma chatte, lui masser doucement les couilles, comme j'avais pu avoir l'habitude de le faire, signal que je voulais faire l'amour. Je ne voulais plus me heurter à ses rejets répétés. Je me masturbais quand je pouvais, quand il partait plus tôt au travail et que j'avais un peu de temps avant de réveiller les enfants. Je le faisais rapidement, presque avec culpabilité.

Une fois, l'envie était trop forte, un dimanche après-midi en famille à la maison, et j'étais allée me masturber dans la salle de bain, après avoir soigneusement fermé la porte à clefs. Je m'étais installée sur le tapis de bain, pour avoir un peu de confort. J'avais baissé mon leggings jusqu'à mes chevilles, ainsi que ma culotte. Je n'avais même pas tout enlevé histoire d'être prête à sortir en vitesse si on m'appelait. Doucement, j'avais pris un peu de mouille à l'entrée de mon intimité, du bout de mon index et de mon majeur, et j'avais remonté ces deux doigts jusqu'à mon clitoris. J'avais beau faire des mouvements de plus en plus rapides, les yeux fermés, en pensant à mes fantasmes les plus fous, je n'arrivais pas à jouir seulement avec mes doigts. Alors je m'étais relevée du tapis, cul nu et j'avais ouvert le placard, histoire de trouver quelque chose à insérer dans mon entre humide et accueillante. J'avais attrapé un tube de crème et je l'avais doucement mais fébrilement enfoncé dans ma chatte trempée et gonflée, et avais continué de masser circulairement mon clitoris avec les doigts de ma main droite. Ma main gauche faisait de légères pressions sur la partie du tube de crème restée à l'extérieur de mon vagin, pour simuler un doux va-et-vient. Il ne m'en fallait pas plus. L'orgasme était venu en moins d'une minute, sans le moindre bruit de ma part. Je restai là, quelques secondes, sentant les spasmes de ma paroi vaginale contre le tube de crème. J'avais essuyé ma mouille, m'étais lavée les mains et j'étais sortie de la salle de bain comme si de rien n'était.

Les jeux de drague avec le nouveau collaborateur s'étaient peu à peu transformés en une relation extra-conjugale. Je n'aimais pas coucher avec lui tant que ça. Il était un peu rustre, et je le trouvais assez intéressant, pas très cultivé, pas très intello, pas très galant. Pas très charmant en fait. Mais mon corps avait besoin de se sentir touché. Je me sentais plus vivante. Avec Stanislas, c'est comme si je disparaissais à petit feu. Le collaborateur du bureau avait pour habitude d'envoyer des sextos, ça l'excitait beaucoup. Quand je le rejoignais après une session de sexto, sa bite était déjà tendue, prête à l'emploi. Personnellement, je détestais les sextos, ils me mettaient mal à l'aise et ne m'excitaient pas tant que ça, mais je me prêtais au jeu. J'adorais sa bite, courte mais épaisse, exactement ce qu'il me fallait. Les sextos étaient un faible prix à payer.

Il y a quelques semaines, ce qui devait arriver, arriva, malheureusement. Évidemment, j'avais toujours pris le plus grand soin à effacer tous ses textos, que ce soient des sextos ou non, et j'avais pris toutes les précautions nécessaires, à mon sens, de désynchroniser les iMessages de mon iPhone d'avec les autres appareils de la maison. J'avais oublié un vieil iPad qui marchait à peine et que je n'avais pas fait recharger depuis des mois, qui était rangé dans un tiroir du bureau de notre chambre. Pendant que j'étais au bureau, Stanislas l'avait fait recharger pour le laisser à notre fils de quatre ans, afin qu'il puisse faire un jeu éducatif dessus, lassé de lui prêter son propre iPhone, qu'il salissait avec ses doigts d'enfant. Une fois chargé, des centaines de messages s'étaient affichés. C'était le début de la fin.

Ce soir là, j'étais rentrée tard du bureau. Les enfants étaient couchés. Stanislas m'attendait, assis au bord du lit, avec l'iPad à côté de lui. À son visage, j'ai tout de suite compris qu'il savait. Je n'ai pas su quoi dire. Mon coeur battait la chamade. Allait-il me quitter?

- En fait, tu es une vraie petite salope, me dit-il, assez froidement mais avec un ton presque curieux. J'aurais dû m'en douter un peu. Mais à ce point...

Je déglutis difficilement. Je ne savais toujours pas quoi dire.

- À avoir découvert ça plus tôt, notre vie sexuelle aurait été plus intéressante.

Il m'avait regardée droit dans les yeux.

- Tu ne me touches plus depuis un an, osai-je dire.

- Je sais, admit Stanislas. Tu l'aimes la bite de ce mec dis-donc. Autant que la mienne?

Étonnée, je dis que oui, que je l'aimais lui aussi, mais que j'avais besoin d'affection, comme tout le monde.

- Excuse moi Lorraine, mais là ce n'est pas de l'affection que te donnait ton collaborateur, c'est juste du cul.

Une fois de plus je ne savais pas quoi répondre. Je me sentais stupide, plantée devant lui, attendant une sentence qu'il prenait un malin plaisir à faire attendre.

Je le vis descendre sa braguette et défaire le bouton de son jeans. Il baissa son pantalon. Il était en caleçon devant moi. Un peu perplexe je fronçai les sourcils en signe d'interrogation.

- Viens me sucer, dit-il avec assurance.

J'étais estomaquée, je ne l'avais jamais entendu parler comme ça.

- Suce moi, et peut-être qu'on arrivera à s'entendre, à condition que le beauf de ton bureau ne te touche plus jamais.

Je le regardai et m'approchai de lui. Je sentis un fourmillement dans mon bas-ventre. Je n'allais pas tarder à mouiller, la situation m'excitait comme jamais je n'avais été excitée avec qui que ce soit, je crois.

Je m'agenouillai devant lui.

- Si tu me fais jouir, je te laisse dormir dans le lit avec moi, sinon canapé.

Je déglutis à nouveau et baissai son caleçon jusqu'à ses chevilles. Il ne bandait pas du tout. Je l'avais vu nu quelque fois ces derniers mois, à la sortie de la douche, mais c'est tout. Je reconnus sa bite et ses couilles, c'était familier, agréable. Doucement, je commençai à malaxer ses couilles entre le bout de mes doigts, puis avec la paume de ma main droite. Pour le moment, il ne bandait pas plus. Je pris sa bite flétrie dans ma main gauche et commençai de légers mouvements de va-et-vient histoire de faire affluer le sang dans sa verge recroquevillée. Ça marchait, il avait maintenant une semi-érection. Ça faisait tellement longtemps avec lui que je ne savais plus vraiment si je pourrai juste le faire jouir avec ma bouche et mes mains. Je m'appliquai.

Quand sa bite fut assez dure, je commençai à donner des subtils coups de langue sur le bout de son gland. La réaction ne se fit pas trop tarder, il bandait vraiment cette fois. Je continuai en prenant délicatement son gland dans ma bouche et en donnant des coups de langue circulaires, tout en le branlant à bonne allure et tout en massant ses couilles. Il adorait ça, je le savais. Petit à petit, j'enfonçai sa verge tendue dans ma bouche, de plus en plus profond, tout en le branlant. J'avais bien dépassé le stade du gland. Parfois, je sortais sa bite de ma bouche et j'embrassai l'organe, je lui donnai des longs coups de langue, de la base des couilles jusqu'au gland. Son visage restait impassible mais je sentais les pulsations de sang dans sa bite, signe de plaisir intense. Je mouillais, ma chatte gouttait dans le fond de ma culotte. J'aurais voulu qu'il s'occupe de moi en même temps mais je n'étais pas en position de demander quoi que ce soit.

J'accélérais la cadence et enfonçai sa bite au plus profond de ma gorge. Je ne savais pas si ça allait suffire, alors je cambrai le bas de mon dos pour faire ressortir mon fessier, comme quand on me prend en levrette, et je commençai à émettre de doux gémissements, assez pour lui faire comprendre que j'y prenais un plaisir immense, pas trop pour ne pas réveiller les enfants car je réalisai que la porte de notre chambre était restée ouverte.

Soudain, je sentis son corps se contracter, il allait jouir dans la seconde, je voulus me retirer et le laisser éjaculer dans le vide. Il agrippa mes cheveux et appuya ma tête de toute ses forces contre son pubis. Je décidai de ne pas trop contester, je ne voulais surtout pas qu'il ne jouisse pas. Mais il savait qu'une chose me dégoutait plus que tout : l'odeur et le goût amer du sperme. Sa bite se contracta et sans le moindre bruit, il déversa sa semence dans ma bouche. Je faillis avoir un haut le coeur mais je gardai son sperme dans ma bouche. Je levai les yeux vers son visage. Il n'avait pas besoin de parler, son regard s'exprimait tout seul : « avale ». Je déglutis plusieurs fois jusqu'à ce que le sperme atterrisse dans mon gosier.

- Ouvre, ordonna-t-il.

J'ouvris la bouche et il vérifia que j'avais bien tout ingurgité.

- Bien dit-il. Maintenant déshabille toi, complètement.

Je me mis nue, espérant qu'il verrait mon excitation et me rendrait le plaisir que je lui avais procuré.

- Est ce que tu es excitée? Demanda-t-il.

- Oui, susurrais-je.

Il s'approcha de moi et passa son index dans la fente de mon pubis, il ne toucha même pas l'entrée véritable de ma chatte.

- Effectivement tu es trempée. Va au lit maintenant, tu n'as pas le droit de te lever avant demain matin.

Je me dirigeai vers le lit, nue, et me mis sous la couette. Il alla se brosser les dents et se débarbouilla le visage, puis enfila un T-shirt et un caleçon propre. Je le voyais à travers la porte de la salle de bain de notre chambre, en face du lit.

Il se glissa aussi sous la couette. Je devais avoir l'air d'attendre quelque chose, car il me dit que je pouvais dormir, il n'avait pas envie de me toucher, je ne le méritai pas. La pipe de ce soir était simplement pour gagner le droit de monter dans le lit.

- Je dois aller faire pipi avant d'aller me coucher, dis-je. Et me brosser les dents.

- Non répondit-il, tu vas rester dans ta mouille jusqu'à demain matin, et tu te retiendras d'aller aux toilettes jusque là.

Il sortit deux paires de menottes du tiroir de sa table de nuit. Je ne comprenais pas, je ne l'avais jamais vu en possession de cela auparavant!

- Je vais t'attacher pour être sûre que tu ne te touches pas. À partir de maintenant, je serai le seul responsable de ta chatte et de ton corps en général. Est ce que tu me comprends bien?

Je comprenais parfaitement. Et en même temps, je ne réalisais pas tellement ce qui était en train de se passer.

- Il n'y a pas de problème si tu ne veux pas. Dans ce cas, on divorcera. Je ne veux pas que ma femme se fasse tringler par un autre. Je réalise que j'ai mes torts, je t'ai négligée, et je t'ai aussi sous-estimée. Je te voyais comme une fille douce, qui aime le sexe conventionnel. Et après je t'ai vue comme la mère de mes enfants. Maintenant, je vais te voir comme ma douce esclave, une servitude consensuelle, une torture consentie.

J'acquiesçai. Je ne voulais pas admettre que tout ça m'excitait terriblement. Je n'aurais jamais osé lui parler d'un tel arrangement. En fait, je n'aurais jamais été capable de le formuler tout haut, à qui que ce soit, ni même d'admettre que rien ne me procurerait plus de plaisir.

Il pris mon poignet gauche et ferma la menotte qu'il attacha à un barreau du lit proche de l'oreiller, au dessus de ma tête. Il fit la même chose pour mon poignet droit. De cette manière, je ne pouvais effectivement pas toucher ma chatte, mais c'était assez confortable pour dormir car les menottes étaient assez longues pour mes bras ne soient pas trop haut et que ma circulation ne soit pas coupée.

Il éteignit la lumière, et je restai là, allongée dans le noir le plus complet, avec ma mouille qui avait glissé le long du haut de mes cuisses, complètement abasourdie.

Stanislas s'endormit rapidement, j'entendais sa respiration régulière à côté de moi. Doucement je sombrai à mon tour dans le sommeil, peuplé de rêves les plus fous, mon corps ravi de se soumettre aux supplices de Stanislas.

***

Deux semaines plus tard, la routine s'était définitivement bien installée. Comme tous les matins, à 6h30, le réveil sonnait. Stanislas allumait la lumière, car il faisait encore nuit dehors. Comme toutes les nuits, j'avais les deux mains attachées au dessus de la tête, pour ne pas que je me touche ou que je me lève. Stan s'asseyait dans le lit. Il prenait une petite gamelle en acier inoxydable, toujours posée sur sa table de nuit.

Notre fils aîné, âgé de quatre ans, assez observateur, avait remarqué la présence de ce nouvel objet dans la chambre parentale et avait demandé pourquoi il y avait une gamelle sur la table de nuit de papa. On lui avait répondu que tous les soirs on mettait un peu d'eau dedans, car le chat familial aimait bien avoir un point d'eau près de nous. Cette réponse lui avait suffi. C'était un défi supplémentaire, de toujours faire en sorte que les enfants, aussi jeunes soient-ils, ne saisissent jamais la teneur de notre nouvelle relation conjugale. Il fallait faire preuve de beaucoup d'inventivité.

Assis dans le lit, le dos appuyé sur les oreillers blancs, Stan commençait sa journée par une branlette. Assez rapide, il fermait les yeux. Je ne savais jamais à quoi il pensait pour jouir aussi vite. Il éjaculait avec précision dans la gamelle en acier. C'était toujours le même rituel. Chaque matin. Je me redressai à mon tour dans le lit, toujours attachée, et Stan me faisait lécher la gamelle, jusqu'à ce qu'elle soit impeccable. Je ne faisais jamais cela avec grand plaisir, mais c'était pour m'habituer au goût et à l'odeur. Selon Stan, un jour ça ne me dégouterai plus, et au contraire, j'en demanderai toujours plus. Il reposait la gamelle sur sa table de nuit et doucement il venait caresser ma vulve et l'entrée de ma chatte, encore mouillée de la veille, souvent mouillée en fait, depuis que notre petit jeu avait commencé. Ses doigts me chatouillaient un peu, tantôt délicats, puis il venait appuyer très fort sur mon bas de mon ventre avec la paume de sa main, là où se trouvait ma vessie, sachant très bien que je mourrais d'envie d'uriner chaque matin. L'envie de faire pipi accentuait mon envie de baise et mon excitation. Ça, il le savait très bien. La plupart du temps, sa torture consistait à m'exciter, mais à ne jamais m'accorder grand-chose.

Je n'étais pas revenue bureau depuis la découverte des SMS adultérins. On était simplement passés chercher mes affaires, ensemble évidemment, un samedi où il n'y avait personne. J'avais pris tous mes congés et avait ensuite présenté ma démission. C'est Stan qui était passé rendre mes clefs. De toute façon, je ne voulais plus voir mon collaborateur. Stan m'avait dit que quand je serai prête, quand je serai assez éduquée par ses soins, je pourrai recommencer le travail, probablement sous sa supervision au début.

Depuis deux semaines, je n'avais pas de moment seule, Stan me surveillait en permanence, et je devais avouer que rien n'était plus délicieux.

Il me laissa attachée au lit, le temps qu'il aille à la salle de bain, il prit une douche rapide et se prépara pour aller au bureau. En costume, il vint me détacher. Toujours nue comme un vers, il m'accompagna à la salle de bain, où j'avais le droit de faire mes besoins, devant lui. Au début, rien n'était plus horrible, mais je m'étais désormais habituée. Il me regarda m'affairer pour faire un brin de toilette. J'eus le droit d'enfiler un peignoir afin d'aller m'occuper de réveiller les enfants pendant qu'il allait préparer le petit déjeuner pour la famille. Il avait confisqué tous mes sous-vêtements et gérai aussi les vêtements que je portais au quotidien. Même quand j'eus mes règles, ce fut lui qui s'occupa de mettre et retirer mes tampons ou ma coupe menstruelle, n'ayant plus le droit de porter de culottes.

J'allai doucement réveiller nos deux fils qui dormaient profondément et nous descendîmes les escaliers pour arriver dans la cuisine et prendre le petit-déjeuner ensemble.

- Ce ne serait pas bien si maman nous accompagnait à l'école aujourd'hui les garçons? Demanda Stan enjoué.

Les enfants sautèrent de joie. Il était quasiment l'heure de partir.

- Cours mettre une robe chérie, on t'attend dans l'entrée, me dit Stan, plein d'amour.

Je me levai en vitesse de ma chaise et couru jusqu'au placard de ma chambre. Ma partie était quasiment vide, Stan avait fait un gros tri. Je n'avais pas vraiment eu le droit de sortir ces dernières semaines, j'étais enchantée d'enfin pouvoir recommencer à accompagner les garçons à l'école. Je pris la première robe que je trouvai, fine en coton imprimé liberty et redescendit les escaliers en trombe.

- Tu es trop belle maman, me dit mon fils de quatre ans.

Je souris en regardant Stan. Nous sortîmes de la maison et installâmes les enfants dans leur siège auto. Je pris place côté passager. On déposa Henri, l'aîné, dans un premier temps à l'école maternelle et Jules, qui avait tout juste deux ans, à la crèche, quelques mètres plus loin. Nous remontâmes dans la voiture. Stan démarra et s'arrêta quelques mètres plus loin. Les vitres des passagers étaient teintées de noir mais pas le pare-brise. Sans me regarder, il mit sa main sur ma cuisse. Je n'étais pas très mouillée depuis que j'avais pu faire pipi ce matin, j'avais aussi essuyé ma mouille de la veille. Doucement, toujours sans me regarder, il remonta un peu ma robe et glissa ses doigts dans ma fente.

- Tu n'es pas très mouillée, dit-il.

- Non, admis-je. J'étais concentrée sur les enfants.

- Pourtant je pensais que sortir sans culotte t'aurait excitée plus que ça.

Je ne trouvai rien à répondre. C'est vrai que sortir sans culotte était excessivement érotique, en fait, je ne l'avais pas fait auparavant, mais accompagner les enfants à l'école ne m'avait pas donné l'occasion d'être excitée.

- J'aimerais que tu mouilles sur commande, que ta chatte soit toujours disponible pour accueillir mes doigts, des objets, et surtout ma bite, annonça Stan.

Je restai bouche bée. Son discours commençait d'ailleurs à me faire mouiller, en plus de ses doigts qui caressaient doucement l'entrée de mon vagin.

- Mais ça prendra beaucoup d'entrainement, continua-t-il. Je suis content de voir que tu réponds bien à mes stimulations déjà. Ça fait combien de temps que rien de plus gros que deux de mes doigts ne sont entrée dans ta chatte?

- Ça fait plus d'un mois, confessai-je.

Mais ça, il le savait. La dernière fois que j'avais baisé, c'était avec le collaborateur du bureau, il y a un mois et demi. Depuis que Stan avait découvert le pot aux roses, il avait pris un malin plaisir à contrôler mon corps et à me dénigrer toute pénétration et toutes caresses prolongées qui auraient pu conduire à l'orgasme.

Il enfonça un peu plus loin ses doigts dans ma chatte. Je sentis le bout de ses doigts sur ma paroi vaginale, il fit pression sur mon point G. Le plaisir était intense, je ne pus m'empêcher de faire un petit soubresaut sur mon siège.

- Dès que tu bouges d'un iota, j'arrête tout, me prévint-il.

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