Mémoires de Soumissions 02

BÊTA PUBLIQUE

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Perfidement satisfait de cet avantage qu'il devinait, Marcel glissa quand même « C'est sûr que quand le sexe n'a pas une taille satisfaisante, certaines femmes n'obtiennent pas le plaisir qu'elles espèrent. Mais il y a toujours des solutions mon petit Julien ». Bien entendu, il n'accusait Julien de rien, ne lui disait pas franchement qu'il avait un « petit sexe » mais le sous-entendu était perturbant... Et Julien n'était plus le genre d'homme à rater cette allusion même s'il tenta de faire semblant. Son sourire s'était figé, ces yeux s'étaient baissé, son souffre s'était bloqué. Marcel ne voyait pas ses réactions, mais il savait très exactement ce qu'il avait provoqué et ce que Julien avait éprouvé.

Julien avait aussi été interrogé et avait parlé du physique de sa femme. Tressant des louanges sans fin sur sa plastique et l'entretien et les soins du corps (massages, crèmes, manucure, etc) qu'elle suivait toutes les semaines chez une esthéticienne ou se prodiguait elle-même. Il avait fini par parler avec une fierté non feinte de la très belle poitrine de Lisa et même donné sa taille, « un 90C et des seins superbes », à Marcel. Ses cheveux blonds, sa taille encore fine, ses fesses rebondies, l'aspect pulpeux de son corps nullement fatigué ou usé par la vie. Too much? Aveuglé par l'amour? Marcel s'interrogeait, mais Germaine lui glissa qu'elle était certaine que Julien ne mentait pas sur sa femme.

Julien en amoureux permanent de son épouse s'enflammait dès que son interlocuteur le questionnait sur elle. Il avait aussi confirmé qu'elle ne travaillait pas et faisait régulièrement du sport (Gym, Footing, Tennis), avouant aussi ses passions pour la peinture et les œuvres caritatives. Il disait tout sans s'en rendre compte une seule seconde! il offrait sa vie, celle de son épouse et de futurs leviers psychologiques sur un plateau d'argent.

Marcel de son côté racontait tout à sa femme, Germaine, tout aussi excitée que lui et qui s'intéressait de plus en plus à ces petits échanges. Unis par des années de plaisirs assumés, ils échafaudaient maintenant des plans pour conquérir la belle blonde et réfléchissaient à ce qu'ils feraient du mari. Germaine était persuadée que Julien pourrait bien être un « futur soumis dans l'âme », Marcel n'en était pas encore totalement convaincu se demandant toujours s'il « était juste désespéré, con ou bête ou inconsciemment en attente de découvrir ce qu'il était vraiment... ».

Dans tous les cas, ils allaient « s'occuper » de la belle Lisa et ils allaient tenter « d'aider » Julien à découvrir sa vraie nature -et pourquoi pas, bien en profiter aussi ou en faire profiter leurs amis évidemment dans un second temps. Soit Lisa et Julien basculeraient avec eux dans la débauche et la jouissance assumée, soit ils se débrouilleraient pour que la belle Lisa succombe seule et Julien irait voir ailleurs s'ils y étaient, non mais!

La retraite c'est très chiant quand on ne veut pas passer ses journées à regarder Derrick et c'est beaucoup mieux lorsque l'on aime toujours les plaisirs du sexe.

Marcel (et Germaine) enclenchèrent donc la vitesse supérieure tout naturellement. Marcel, à l'incitation de sa femme, avait demandé à Julien dès les premiers échanges d'envoyer des photos de leur petite vie de couple, des photos de tous les jours et de leurs vacances, de leurs familles et de leurs amis. Il avait pu vérifier que le petit couple était somme toute assez seul et isolé et qu'ils n'auraient pas à craindre grand-monde quand ils rentreraient dans leur vie sérieusement.

Puis de remerciements pour les photos en compliments sur la beauté de leur couple, sur « le charme de sa très belle épouse et la chance qu'il avait quand même », Julien s'était senti de plus en plus flatté et les demandes de Marcel et Germaine s'étaient peu à peu précisées.

Un soir Marcel lui avait écrit :

« Tu sais avec notre expérience, avec Germaine on se disait qu'on avait maintenant besoin de mieux savoir visuellement comment vous êtes physiquement faits pour bien vous conseiller. Tu nous as donné la taille de ton sexe, on a vu quelques photos de vous, mais il faudrait qu'on puisse vous voir nus aussi. Julien, on sait que ça peut te paraître bizarre comme demande, mais si tu réfléchis un peu, régler un problème de sexe sans vous connaître nus, c'est un peu compliqué. Si tu ne jettes pas un œil au moteur d'une voiture, comment veux-tu savoir ce qu'il y a sous le capot, si je peux me permettre! ».

C'était un peu trivial et brut de décoffrage, mais le jeu valait la prise de risque!

Cette demande avait un peu étonné Julien puis il s'était laissé convaincre en deux ou trois échanges supplémentaires. Un peu d'autoritarisme de Marcel (toujours sur les conseils de Germaine) avait été une dernière manœuvre efficace. La logique était la faiblesse de Julien. Après tout, ils avaient peut-être un problème physique, c'était possible ça.

Face à ces dernières hésitations, Marcel lui avait tout simplement déclaré :

« Écoute Julien, on vous aime beaucoup tous les deux, mais si tu veux à nouveau faire l'amour à ta femme et qu'elle aime ça, faut qu'avec Germaine on ait vraiment une vision complète de vous, physiquement aussi! Alors maintenant on va arrêter de se mentir, soit tu nous envoies ces photos, soit on passe à autre chose. Cela fait plusieurs semaines que l'on échange mais on n'avance plus mon petit! Comment veux-tu que l'on arrive à t'aider avec Germaine? ».

Ce coup de pression un rien paternaliste, le fait d'inclure sa femme Germaine dans la discussion n'était même pas un coup de poker. Julien avait déjà capitulé. C'était même un dernier argument très rassurant pour lui car il se disait qu'il n'y avait rien à craindre d'un couple de retraités.

Ainsi, comme l'avait justement pressentie Germaine, Julien répondit positivement à ses demandes. Et Marcel dès qu'il reçut la première photo nue de Lisa, nonchalamment endormie dans son lit, se dit que sa femme était la plus forte... et que Lisa était sans contestation possible une femme d'une beauté évidente et remarquable! Quel corps, quel charme, quelle sensualité incadescente!

Entre les descriptions de Julien et les premières photos du petit couple en vacances, dans leur maison ou avec leurs familles respectives, on devinait sans coup férir que Lisa était une belle femme, c'était certain, mais là! À la vue de la superbe blonde allongée sur le ventre, positionnée de trois quarts, les fesses légèrement relevées, la couette du lit coincée entre ses jambes, le sein droit dévoilé, son joli profil posé sur son bras et l'oreiller, Marcel était passé en mode « je bande » en une seconde.

Quant à Germaine, penchée au-dessus de son épaule, elle avait sifflé d'admiration et embrassée son homme dans le cou en lui disant :

« Tu feras ce que tu veux avec elle mon petit cochon d'amour. J'en suis certaine, elle ne te résistera pas, mais je me réserve le droit de réveiller les sens de cette beauté. Mon Dieu, elle est vraiment très belle. Toi tu bandes évidemment, je te connais! Moi je mouille déjà rien qu'en la voyant! Quand je pense à tout ce que l'on va pouvoir faire, j'en suis toute humide... »

Ce Julien était vraiment une truffe! Il ne fallait pas simplement titiller une telle beauté! Il aurait dû passer ses soirées à l'embrasser et la caresser s'il avait été normal. Il aurait du être à ses genoux et la supplier de tout et n'importe quoi! Comment ne pas avoir envie de glisser sa langue sur le moindre centimètre de son corps? Comment ne pas vouloir passer des heures à embrasser ses lèvres, ses seins, ses fesses, son sexe et tout le reste?

On devinait sur cette photo le début d'une fente lisse et douce à se damner. Et que ce sein était beau, rond, parfait. Marcel et Germaine profitèrent même de la haute résolution des photos pour zoomer au maximum sur les fesses et le sillon qui courrait vers son sexe. En gros plan, ne devinait-on pas une humidité apparente sur le bas de ses grandes lèvres? C'était très troublant. La belle Lisa ne cachait-elle pas des choses à son époux ou était-elle juste en train de faire un rêve très agréable?

Le couple de retraités sentit son excitation monter en flèche. Marcel s'imaginait en train de la prendre durant de longues minutes et de l'amener vers des rives de jouissance qu'elle n'avait jamais du toucher avec son petit Julien. Que de choses pourraient-ils lui faire découvrir! Germaine avait quant à elle des idées de câlineries un rien hard et se demandait déjà si la petite accepterait vite qu'elle lui offre certains plaisirs à peine avouables. Accepterait-elle de se faire prendre par Germaine avec un de ses beaux godes? Pourrait-elle la pousser avec ses caresses vers des envies de soumission, d'exhibition, d'orgie avec d'autres femmes, vers des passions qu'elle n'avait jamais envisagées? Personne ne résistait à Germaine mais Lisa serait un de ses plus beaux défis.

Lisa, une fois la jouissance retrouvée, deviendrait accroc et ne penserait plus qu'à cela! Les neurones de Germaine comme ceux de Marcel chauffaient leurs sens et leurs pensées à plein régime.

Germaine pensait aussi à quelques amies qui seraient prêtes à se traîner à genoux devant elle pour avoir le droit de s'amuser avec la belle. Elle était sûre que Monique aurait des envies immédiates de fessées en voyant cet arrière-train. Et quand on connaissait un peu Monique, on savait qu'elle était capable de faire aimer ça à n'importe qui! Oui vraiment, cela promettait de beaux jours. L'affaire devenait très sérieuse et plus qu'excitante.

Les idées qu'ils échafaudaient étaient autant de portes ouvrant sur des univers de sensualité. Une seule photo avait suffi à faire naître en eux des désirs féroces et des successions d'images de plus en plus chaudes et réelles.

Encouragé par le couple, toujours plus flatté par les compliments qu'il recevait sur son épouse, Julien était reparti illico prendre discrètement des photos de Lisa. Tirant très délicatement la couette par-ci, un oreiller de-là, Lisa avait un peu bougé puis s'était carrément retournée, écartant même un peu les jambes. Julien avait pris une dizaine de clichés très variés avec son mobile en 2 ou 3 minutes et les avaient aussitôt envoyés à ses amis.

Sans le savoir, Julien donnait aussi avec les photos qu'il transmettait en « haute résolution » (Marcel avait bien précisé), des indices d'importance pour celui qui savait les trouver et s'en servir. Les positions GPS des prises de vues, la marque du téléphone, le modèle, l'OS de son mobile, de son ordinateur et toutes les autres informations que l'on pouvait récupérer en prime. Julien ne se rendait absolument pas compte que Germaine et Marcel n'étaient pas d'innocents retraités, mais des êtres d'une grande intelligence qui l'amenaient à leur livrer rien moins que sa femme sur un plateau.

Les semaines de fausse compassion et d'écoutes attentives venaient de payer. Marcel et Germaine savaient très bien que lorsque que quelqu'un accepte de se dénuder devant vous, tout devient possible. Julien avait livré sa femme nue et c'était encore plus significatif. Les principales digues psychiques avaient cédé chez lui. La soirée était maintenant devenue folle, Julien était comme possédé par les demandes qu'il recevait et il répondait aux moindres désirs exprimés par Germaine et Marcel sans réfléchir. Après les photos prises à l'insu de Lisa, c'était lui qui avait dû se photographier et se filmer nu sans aucune retenue ou pudeur.

Marcel l'encourageait :

« Mon petit Julien, Tu pourrais te prendre en photo le sexe qui bande. C'est important. Germaine voudrait voir ton sexe et ton corps aussi... Ah mais elle te trouve très mignon dis donc! Et ton torse? Tu n'es pas rasé ou épilé comme tous les jeunes d'aujourd'hui, ah bon? Etc, etc, etc. »

Les demandes, les ordres même, tombaient. Sans même plus s'interroger sur le fait de savoir comment il en était arrivé là, enfiévré par la situation, Julien s'était même filmé en train de se branler jusqu'au bout à la demande expresse de Germaine. Il avait éjaculé en trente secondes, excité comme il ne l'avait plus été depuis des années. Cadrant parfaitement les jets de son sperme qui avaient été projetés dans le lavabo par l'arrivée soudaine de sa jouissance.

Germaine passa une de ses meilleures soirée depuis longtemps. Cette soumission à distance et par tchat avait quelque chose de fascinant. On envoyait ses ordres en espérant et on attendait la réponse de l'autre, ses photos, ses vidéos en rêvant à monts et merveilles, craignant l'instant ou un simple non tomberait et... Tout fonctionnait sur des roulettes. Les photos étaient parfaites, les vidéos encore plus chaudes qu'espéré. L'autre se liait à vous et précédait vos désirs, c'était divin.

Germaine s'était livrée corps et âmes à son époux ensuite, rarement elle avait été aussi excitée avant même que Marcel ne la touche. Elle l'avait littéralement possédé, le plaquant au sol sur la moquette dans le bureau, le chevauchant furieusement sans se préoccuper une seule seconde de lui. Elle l'avait fait jouir par l'action impérieuse de ses besoins et ils s'étaient relevés en sueur encore étonnés de cette fougue partagée, quasi juvénile.

Nul doute en eux, Julien et Lisa les rajeunissaient!

Passé cette folle soirée, convaincre dès le lendemain Julien d'échanger des adresses mails et de correspondre par Visio était la suite immédiate et logique ; un jeu d'enfants. C'était promis, on se parlerait donc en direct et en vidéo très vite, histoire de se rencontrer presque en vrai!

Au passage, Marcel avait envoyé un petit fichier, soi-disant d'adresse de contact, que Julien s'était empressé d'ouvrir sur son PC. Le virus ultra puissant venu du monde du cyber espionnage s'était installé en un centième de seconde, s'infiltrant dans son disque dur et prenant le contrôle de son PC dont les antivirus et le pare-feu avaient été trompés sans coup férir.

En quelques jours, tous les appareils qui seraient connectés à cet ordinateur seraient contaminés, tous les appareils contaminés deviendraient à leurs tours contaminateurs jusqu'à ce que Marcel envoie une ligne de code précise au virus lui intimant d'arrêter sa progression et de se planquer en mode absent au fond des systèmes contaminés. Le tour était donc joué, Germaine et Marcel étaient maintenant dans la place avec les clefs de la vie de Julien et bientôt de Lisa.

Les téléchargements avaient déjà commencé d'ailleurs et le portable de Julien livrait ses petits secrets. Photos, vidéos, courriels, dossiers perso ou boulot, sites internet consultés, infos bancaires, infos du mobile de Lisa, de celui de Julien, des deux tablettes du couple, tout était balancé à Germaine et Marcel. Ce cadre dirigeant du monde moderne s'était fait avoir comme... un péquin moyen en fait.

Mon Dieu se disait Marcel, ces mecs font des études supérieures et au bout de quelques semaines de discussions sur le Net, ils te balancent leur vie.

Je pourrais être un escroc ou membre d'une secte ou pire... Heureusement qu'avec Germaine on veut juste s'amuser avec ta femme et toi et que nos amis ont juste envie de baiser aussi! Sinon vous seriez déjà à la rue. Comptes vidés, photos pornos balancées à la famille et aux amis, sites consultés offerts à ton boss. Mon petit Julien, ton couple serait déjà mort, et toi fini. On pourrait vous faire passer pour des pédophiles ou des trafiquants de drogues et vous seriez déjà à la merci du pire... Que les gens sont naïfs se disait Marcel en voyant la masse d'informations à traiter qui lui tombait dessus. Tout cela allait l'occuper un bon moment, il faudrait faire le tri, sécuriser les infos du petit couple qui ne l'intéressait pas, les protéger quand même un peu. Germaine et Marcel étaient certes des obsédés sexuels, d'aimables pervers si l'on peut dire, prêts à beaucoup de choses pour parvenir à leurs fins, mais ils avaient leur morale.

Ils n'étaient pas là pour piquer du fric ou ruiner ou détruire. Vulgairement dit, Germaine et Marcel voulaient juste les baiser, bien à fond, les partager et les dominer sexuellement. Le reste, les aspects matériels, ne les intéressaient absolument pas. ils avaient quand même leur morale!

Dans le lointain passé de l'homme, il y avait eu des chasseurs-cueilleurs, Germaine et Marcel étaient des chasseurs-partageurs. Quelques-uns de leurs meilleurs amis étaient donc au courant de la traque qui s'était engagée. Chaque week-end, ils se retrouvaient et le couple faisait un bilan de sa semaine d'approche. Quand ils avaient montré les premières photos du couple, ils avaient eu un franc succès. Quand ils avaient enfin apporté les premières photos dénudées et les petites vidéos de Julien, hommes et femmes rêvaient tous de posséder Lisa avec dix milles idées en tête.

Julien faisait, comme l'avait pressentie Germaine, surtout l'envie des dominateurs. Plusieurs hommes fantasmant sur ce petit cul bien rond et ce visage un rien poupin. Certes, quelques femmes prévoyaient d'en faire plus ou moins des petits 4 heures juvéniles plus ou moins classiques, mais deux vieux amis sur la même longueur d'ondes, Robert et Daniel, suppliaient Marcel de lui laisser la primeur de ce petit Julien et de cette bouche qui allait aimer les belles bites d'après eux!

Ah c'étaient de joyeux drilles Robert et Daniel se disait Marcel en rigolant intérieurement. Tout cela allait être très chaud pour le petit couple! Leurs horizons allaient être élargis assurément, au propre comme au figuré!

De son côté, Julien, comme libéré d'un poids, bouclait ses journées de travail avec une certaine fébrilité. Il pensait chaque jour qui passait aux photos et vidéos qu'il allait envoyer à ses amis, car oui, il considérait Germaine et Marcel comme des amis. Ses envois n'étaient plus d'une grande utilité puisque dès que Julien faisait quelque chose sur son mobile ou sur son ordi, Germaine et Marcel le savaient immédiatement. Néanmoins, cela maintenait un dialogue et un rapport de servitude que Marcel entretenait perfidement sur les conseils de Germaine.

Il lui glissait des suggestions quand il allait prendre en photo son épouse dans son lit :

« Tu peux essayer de lui écarter gentiment les jambes, il faudrait que l'on puisse mieux voir son sexe... Pousse là que l'on voie mieux ses seins... Ok, super, caresse-les et prends-les en photo après que l'on voie leur réaction. C'est très important les réactions inconscientes du corps. Dis-donc, ta petite Lisa a le sommeil lourd, hein? ».

Oui, Julien semblait bien s'éclater comme un petit fou sous les ordres qu'il recevait. Marrant comme tous ces mecs, cadres dirigeants plus ou moins jeunes, aimaient recevoir des ordres dans l'intimité de leur vie se disait Marcel!

Julien révéla donc le délicieux minou parfaitement dessiné, les deux petites lèvres sortant légèrement des grandes comme si elles vous faisaient un sourire. C'était beau et hypnotique, c'étaient un appel aux baisers langoureux, aux morsures délicates et aux caresses d'une langue agile. Son mont de Vénus incitait à venir poser son nez dessus et à enfouir sa bouche dans la petite forêt de duvet blond que Lisa avait gardé. Marcel bandait toujours, presque douloureusement et Germaine qui comprenait sa torture à ses contorsions sur son fauteuil devant sa station informatique, bonne amie comme toujours, se mit souvent entre ses jambes pour s'occuper de son sexe avec sa bouche ou le soulager de ses mains. Elle accélérait le rythme suivant également ses envies à elle, consumant jusqu'à l'extase les désirs de son mari chaque soir dès lors.

Germaine rigolait de la tonne d'efforts déployés par Marcel pour ne rien montrer à Julien. Ses petits hoquets qu'il essayait de contenir lorsqu'il jouissait dans sa bouche suffisaient à son bonheur. Elle savait qu'il se vengerait sur elle ensuite et tout cela ne faisait que l'exciter encore plus!

Germaine était tout autant échauffée parce qu'elle voyait de Lisa que par l'excitation de son époux et parce qu'elle imaginait les prochains plaisirs à vivre.