Manon en Enfer 21

Jordan calme ceux qui se plaignent de ne pas avoir fait certaines choses à Manon.

- ceux qui n'ont pas pu se faire sucer la queue ou n'ont pas enculé la putain le feront ce soir en étant prioritaires -

Evidemment Manon est désignée comme responsable du retard qu'ils ont pris étant jugée coupable de provocations en s'exhibant nue devant eux. Elle reçoit l'ordre de se lever et aussitôt elle est bâillonnée.

- à cause de cette putain qui n'arrête pas de nous provoquer en montrant son cul et qui n'en a jamais assez nous sommes en retard et il va falloir aller plus vite -

La randonnée se poursuit avec une allure plus rapide pour les quatre hommes qui obligent Manon à les suivre s'aidant d'une corde attachée au collier qu'ils lui ont mis autour du cou et dont ils tiennent l'extrémité chacun leur tour.

Nue et seulement chaussée de baskets pour pouvoir marcher sans difficultés sur des chemins pas toujours bien praticables ne la gêne pas, mais être bâillonnée est un handicap qui l'empêche de respirer correctement et la fait beaucoup baver. Ses poignets attachés ensemble par des bracelets en cuir l'empêchent de trouver l'équilibre quand le terrain est trop escarpé ou caillouteux.

Si la prostituée est en permanence humiliée par ce que l'on fait d'elle, sa plus grande honte survient un peu plus tard quand ils croisent un couple de randonneurs qui s'arrête fixant la scène bouche bée et les yeux sortant de la tête.

Pour tenter d'expliquer pourquoi Manon était nue, bâillonnée, les poignets attachés ensemble et tenue en laisse ses bourreaux ont essayé de faire croire qu'elle est maso et adore ce genre de situation.

Elle a du confirmer en hochant la tête mais elle a bien vu que leurs arguments n'ont pas convaincu et qu'ils ont passé pour des dérangés du cerveau, une phrase que le couple a prononcé en s'éloignant a marqué Manon.

- pauvre femme, être traitée de le sorte quelle honte -

- oui! je ne comprends pas qu'un être humain se laisse humilier de cette façon -

Franck qui vient de jeter un coup d'œil sur une carte indique à ses amis la direction à prendre.

- nous allons suivre le sentier qui longe la rivière jusqu'à l'endroit où nous avons prévu d'installer notre campement pour la nuit -

Le groupe bifurque vers la droite et marche pendant environ un quart d'heure pendant que le bruit de l'eau qui coule se fait de plus en plus distinct. Ensuite ils remontent la rivière en marchant dans l'herbe près de la berge.

Lestée du sac à dos et ne pouvant pas bien respirer à cause de la boule/bâillon Manon, qui sue et bave en permanence, n'en peut plus.

Ils aperçoivent une partie du terrain parsemée de gros rochers à une centaine de mètres de la rivière ils décident d'y établir leur campement pour le nuit comme ils l'avaient prévu.

Ils déballent et montent quatre petites tentes puis préparent un feu de camp en utilisant des pierres et des branches mortes qu'ils ont été récupérer dans la forêt proche.

Pendant ce temps David a allongé la putain sur le dos. Après avoir replié ses jambes et allongé ses bras jusqu'à ce que ses mains touchent ses pieds, les bracelets de ses chevilles et de ses poignets sont attachés ensemble, pour trouver un peu de confort et une position moins désagréable elle finit par se coucher sur le flanc.

David qui la voit faire n'est pas d'accord, il s'approche d'elle et tout en l'insultant il la gifle puis l'empoigne l'obligeant à se remettre sur le dos.

- connasse tu te crois où? ici c'est nous qui commandons et toi tu n'es rien, tu te contentes de faire selon notre volonté même si tu as mal -

Le campement est prêt pour la nuit, Jordan fait office de chef d'équipe.

- équipez l'esclave pour la corvée d'eau, David et Mathias vous irez avec elle jusqu'à la rivière -

- d'accord! on lui fera prendre un bain en même temps -

- cela va de soi, on ne va pas encore sauter une putain puante -

Pendant que David s'empare d'un long bâton Mathias sort d'un sac deux seaux repliables puis tenant Manon en laisse ils se dirigent vers la rivière. Arrivés sur place il la saisissent chacun par un bras et sans ménagement la poussent dans l'eau.

- laves toi bien, on te diras quand sortir de l'eau -

La putain qui a beaucoup sué pendant la marche, et bien que frigorifiée par la faible température de la rivière, se fait violence et immerge entièrement son corps et aussi plusieurs fois sa tête.

- bon ça va, tu ne vas pas passer ta vie dans l'eau, sors et viens ici -

Elle obéit et le corps tremblant de froid s'approche de David.

Il fait glisser son collier pour que l'anneau se retrouve côté nuque, après avoir retiré le crochet qui maintenait ensemble les menottes en cuir des poignets il prend le long bâton qu'il avait amené avec lui et le pose sur les épaules de Manon.

- tiens le avec tes deux mains -

La prostituée s'exécute, il attache ses poignets et son collier au bâton avec des cordelettes pendant que Mathias arrive tenant les deux seaux pleins d'eau à bout de bras.

- nous allons mettre un seau à chaque extrémité du bâton, tâches de ne rien renverser pendant le retour au campement, sinon tu seras punie -

Chacun des deux hommes, en essayant de coordonner leurs mouvements, place l'anse d'un seau sur le bâton puis après s'être assuré que la charge est bien équilibrée le fixe avec une cordelette.

La charge pèse sur le cou et les épaules de la prostituée qui la marche hésitante commence à se diriger vers le campement , elle doit s'arrêter souvent pour ne pas faire perdre l'équilibre à sa charge et ne pas renverser trop d'eau pendant que les deux hommes la haranguent et la frappent pour qu'elle aille plus vite.

Résultat Manon trébuche et tombe renversant les seaux.

Elle est ramenée vers la rivière et jetée dedans, ses poignets et ses bras étant tendus à l'horizontale et attachés au bâton qui sert à transporter les seaux elle ne peut pas se relever, conscients du problème les deux hommes retirent chaussures et chaussettes et la rejoignent dans l'eau.

La tirant par les cheveux Mathias lui maintient la tête hors de l'eau pendant qu'elle suffoque, tousse et recrache ce qu'elle a avalé.

David a rempli les seaux, ils tiennent Manon pendant qu'ils regagnent la berge puis ils parcourent la distance qui les séparent du camp sans que beaucoup de liquide ne s'échappe des seaux.

- vous avez vu, cette conne n'est même pas foutue de porter deux seaux sans les renverser -

- on ne peut rien attendre de bien d'une putain à part écarter les cuisses et se faire défoncer le cul par un tas de bites -

- allongez la sur le sol et attachez la de façon qu'elle ait les bras et les jambes écartées, elle va avoir la punition qu'elle mérite -

Une fois qu'elle se retrouve clouée au sol dans la position souhaitée, et ne pouvant pratiquement plus bouger, les hommes se mettent à genoux autour d'elle puis une bonne série de claques est assénée sans douceur visant son sexe, son corps se soulève à chaque fois qu'elle est frappée car c'est très douloureux.

Les mains d'un mâle s'en prennent à ses seins qu'elles triturent sans douceur de manière à lui faire mal, elle s'agite mais les mouvements de son corps sont limités, elle ne peut pas empêcher son tortionnaire de la faire souffrir.

Des doigts tirent sans ménagement sur les tétons, les pincent, le tordent ou les étirent bien au delà du raisonnable, à cause de la douleur la putain se tortille et pleure tout en mordant dans sa boule/bâillon.

Un quidam trouve amusant de lui pincer le nez l'empêchant de respirer, ce qu'elle ne peut pas faire par la bouche à cause du bâillon, sa vue se brouille et elle ne se sent pas bien. Elle cherche l'air quand enfin elle peut de nouveau respirer mais le supplice qui pour elle semble durer une éternité se répète plusieurs fois la laissant au bord de l'évanouissement.

Enfin les quatre hommes la laissent tranquille, elle reste les yeux clos pendant un petit moment le visage déformé par la douleur qui s'estompe peu à peu pendant que des envies envahissent son ventre et qu'elle sent que son intimité est humide.

Martyriser leur souffre-douleur a excité les quatre compères qui bandent de nouveau.

- allez les gars on va lui en mettre plein le cul à cette putain qui fait tout pour nous allumer -

Ils libèrent ses chevilles et lui glissent une grosse pierre plate sous les fesses pour les surélever puis ils replient et écartent ses jambes.

Elle ne peut que subir les pénétrations successives. Les queues vont et viennent pendant un moment dans sa chatte ou son cul, elle ne peut que subir et attendre que les quatre hommes se lassent après avoir joui.

Au moins elle n'a pas besoin de faire bouger son bassin en rythme avec eux, essayant de penser à autre chose elle patiente en attendant qu'ils se soulagent dans son corps.

Si David jouit assez rapidement, le plus long à éjaculer c'est Jordan qui fait aller et venir sa queue passant souvent du vagin au fondement et vice versa et cela pendant un bon moment avant de se délester de son sperme dans le fondement de Manon.

Une fois calmés puis leurs pénis essuyés et remis dans les shorts ils se désintéressent d'elle la laissant dans la position où ils l'ont mise pour la sauter. Le sperme, qui s'échappe de son vagin et de son cul, coule entre ses fesses et tombe sur le sol.