Manon en Enfer 22

RANDONNEE ET SOUFFRANCE 2

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Vendredi soir

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Pendant que les quatre compères devisent et que Manon est attachée et bâillonnée dans une position loin d'être confortable, le bruit d'un engin se fait entendre au loin puis de plus en plus fort et une moto tout-terrain débouche devant eux et s'arrête.

Le conducteur enlève son casque et pendant qu'il retire puis ouvre le sac à dos qui l'encombre les randonneurs l'entourent.

- alors Romain tu nous a trouvé facilement -

- un jeu d'enfant avec le GPS. Je pense qu'avec ce que j'ai amené vous aurez assez à manger -

- c'est parfait, pour samedi et dimanche je te téléphonerais pour te donner notre position -

- donnez moi une liste de ce qu'il vous faut. J'ai des rendez-vous et si je ne peux pas venir une fois que vous serez sur place, je m'arrangerais pour déposer les courses avant que vous n'arriviez à l'endroit que tu m'indiqueras -

- OK! comme c'était convenu tu peux maintenant te payer en nature pour ton déplacement et pour les prochains jours la putain que nous trimballons sera également à ta disposition -

- d'accord, je vois que vous ne lui faites pas de cadeaux vu comment elle est attachée -

- elle est avec nous pour en baver et pour ça j'ai l'accord de son mac -

- elle est maquée -

- oui! c'est un de mes oncles qui est directeur commercial d'une société qui en a fait une prostituée. Elle est sa chose et elle couche avec des clients de sa société, que ce soit des hommes ou femmes seuls ou même en groupe, ou bien il l'offre à qui il veut -

- et elle accepte d'être maltraitée, de subir vos caprices et de rester à poil sans se rebeller? -

- comme tu le vois elle est entièrement soumise. Je pense qu'elle aime ça être dominée et qu'elle est maso. Elle est dépendante du sexe, un régiment pourrait lui passer dessus sans qu'elle soit satisfaite -

- de ce que je vois d'elle c'est loin d'être moche mais avant de la sauter je voudrais l'examiner et pour ça il faudrait que son cul soit propre, vous lui avez mis une bonne dose de sperme à cette salope -

- OK, on va la détacher -

Ses membres libérés Manon doit se lever avant que Franck ne retire le bâillon, Jordan lui tend une éponge qu'il vient de plonger dans un seau et une serviette.

- laves toi le cul, Romain a raison il est trop dégueulasse -

Les jambes écartées la putain s'exécute devant les hommes que cela fait rire.

Une fois qu'elle s'est essuyée Romain, le motard, s'approche d'elle et l'examine sous toutes les coutures. Il met ses mains partout. Sans se faire prier elle écarte les jambes pour qu'en se baissant il puisse voir ses parties intimes puis qu'il introduise des doigts dans sa chatte et son anus.

- je vois qu'elle vous a déjà servie mais c'est bon pour moi car vous ne l'avez pas trop défoncée -

- elle ne sera plus dans le même état d'ici lundi, tu peux en faire ce que tu veux soit ici ou soit dans une des tentes, c'est comme tu veux -

- je préfère la sauter à l'abri des regards, faire ça devant tout le monde ce n'est pas mon truc -

- pas de problème. Toi la putain suit notre ami et fais tout ce qu'il te demande -

Sans répondre Manon, qui n'a pas prononcé une seule parole depuis qu'elle a rencontré le quatuor, suit le motard et entre dans une tente après lui.

Vêtu de cuir et engoncé dans une tenue qui le moule la putain craint de rencontrer des difficultés pour le dévêtir mais sans rien lui demander il retire son blouson et ouvre son pantalon.

- allez fais ton travail de putain et fais le bien -

Manon n'éprouve pas le besoin de répondre, comme d'habitude résignée elle va faire ce qu'on lui demande.

Si le pénis de Romain est de bonne taille, il est loin d'être en érection. Une fois qu'il s'est allongé sur un couchage la putain caresse puis masturbe doucement le membre qui grossit rapidement entre ses doigts.

Satisfaite elle se penche puis lèche longuement et partout la queue tout en malaxant les testicules avec une main avant de suçoter et aspirer le gland ce qui a le don d'énerver l'homme qui soupire.

Elle enfonce la verge dans sa bouche et commence une fellation en faisant varier la vitesse des aller retour de ses lèvres, quelques minutes lui suffisent pour que le membre s'agite dans sa cavité buccale et que des jets de sperme envahissent sa gorge.

Comme d'habitude et ne pouvant pas recracher le liquide elle l'avale puis reprend la fellation avant de laisser la queue sortir de sa bouche.

Sans rien attendre de la part de Romain ni rien demander elle s'accroupit au dessus de lui, les jambes de chaque côté de son corps.

Tenant le membre toujours raide dans une main elle le positionne contre son sexe puis laisse descendre son corps, le pénis s'enfonce dans sa chatte puis elle commence à faire bouger son corps pour faire aller et venir le membre dans son ventre.

Pendant qu'elle fait tout le travail Romain pelote et malaxe les seins ou torture sans douceur les mamelons faisant souvent sursauter le putain qui serre les dents pour ne pas laisser paraître qu'elle souffre.

Comprenant que l'homme ne participera pas et la laissera galérer pendant qu'elle est tenue de le satisfaire sexuellement elle s'active pendant un moment, la sueur coule dans son dos et au creux de ses reins car il fait chaud.

Peu inspirée pendant le coït vu que son partenaire est passif et ne pouvant pas faire grand chose avec ses mains car avec son habillement de motard aucun endroit de son corps n'est accessible, elle préfère en finir le plus vite possible et elle accélère la vitesse des aller retour de sa chatte sur la queue.

L'homme soupire de plus en plus bruyamment puis Manon qui l'observe voir un changement sur son visage puis constate que son corps se tend avant de ressentir le pénis trembler dans sa grotte et le sperme y couler.

Elle se retire laissant la verge sortir de son ventre et s'essuie avec de l'essuie main qui se trouve à proximité.

- la putain si tu penses que tu en as fini tu te trompes -

Manon regarde l'homme sans répondre.

- en temps que prostituée tu sais que ton trou du cul est fait pour pour donner du plaisir aux hommes -

Romain ne lui laisse pas le temps de se reposer un peu.

- allez la putain, fais moi bander que je profite de ton cul moi aussi -

Sans répondre Manon fait ce que l'homme lui demande, à genoux à côté de lui elle prend la queue gluante dans une main puis alterne caresses et masturbations pendant un moment avant d'obtenir une érection qui n'est pas parfaite.

Elle se penche et enfonce le membre dans sa bouche avant de commencer une fellation faisant travailler autant sa langue que ses lèvres.

La putain fait durer la pipe avant que l'homme ne repousse sa tête en l'agrippant violemment par les cheveux.

- connasse j'ai dit: ma bite dans ton cul, ça fait un moment que je bande alors fais ce que j'ai demandé. Cela ne doit pas déranger une putain comme toi de se faire enculer -

Résignée Manon se positionne de nouveau sur lui et la tenant dans une main place la verge contre son anus puis en se baissant l'introduit et l'enfonce dans son cul.

Utilisant les muscles de ses cuisses elle fait coulisser la queue dans son fondement à un rythme soutenu. Les aller retour du membre en elle durent pendant un bon moment et elle constate que l'orifice qui est pénétré commence à mouiller.

L'homme les yeux fermés soupire souvent les doigts de ses mains cramponnées aux seins de la prostituée qui seule assume patiemment ne comptant pas sur lui pour faire la part de travail qui aurait du lui incomber dans une étreinte normale.

Elle sue beaucoup pendant qu'elle n'arrête pas de faire bouger son corps pour faire aller et venir la queue dans son cul évitant de ralentir la cadence tout en se demandant si elle va arriver au résultat escompté.

Après un bon moment elle constate un rictus qui augmente sur le visage de Romain et il devient plus bruyant avant que ses doigts se crispent plus fort sur les seins puis que son corps se raidisse avant que la verge ne tressaute et qu'un peu de sperme coule dans le fondement de la putain.

Elle continue un peu à bouger puis se retire laissant la queue qui débande rapidement sortir de son cul. A genoux elle attend que l'homme lui dise ce qu'elle doit faire.

- oui! ça peut aller mais sans plus! tu n'as fait que ton travail de prostituée. Je n'ai plus besoin de toi, dégages de ma vue et vas retrouver mes copains -

Manon ne répond pas mais pense qu'elle est encore tombée sur un jeune con prétentieux et qui ne connait pas le mot respect même avec une prostituée.

La putain sort de la tente et se dirige vers les randonneurs qui assis boivent en devisant.

- maintenant que tu en as pris plein le cul tu dois être contente. Mets toi à genoux la récréation est terminée -

Pendant que Mathias lui fait ouvrir la bouche pour y enfoncer la boule/bâillon Franck attache ensemble la cheville et le poignet côté gauche puis en fait autant pour la cheville et le poignet côté droit.

Des épingles à linge sont accrochées sur ses tétons qui ont été roulés entre ses doigts et triturés par David pour les faire s'ériger, la douleur est vive, le corps de Manon tremble et s'agite. Les quatre randonneurs ainsi que Romain qui les a rejoints, s'amusent de sa situation.

Les cinq hommes boivent ensemble, parlent et blaguent pendant un moment puis une fois que Romain et sa moto son repartis ils préparent le dîner qui se passe sous l'éclairage de lampes de camping car la nuit est tombée.

Toujours attachée à genoux et seule la bouche de Manon est libérée, pour les randonneurs c'est un jeu de la faire manger en la gavant sans lui laisser le temps de bien mâcher ou d'avaler, ils s'amusent de voir la nourriture salir le tour de sa bouche et son menton.

Ensuite, après l'avoir trempée dans l'eau, c'est ensuite avec l'éponge qui leur sert à faire la vaisselle qu'ils lui lavent le visage tout en se marrant.

Les quatre mâles se concertent cherchant quelque chose d'insolite dans le but d'installer leur souffre-douleur très inconfortablement pour la nuit.

De nouveau bâillonnée elle doit s'allonger sur le dos, écarter ses bras à l'horizontale, des piquets sont passés dans les anneaux des bracelets qui ne quittent jamais ses poignets et enfoncés dans le sol.

Ils lui relèvent les jambes tout en les écartant pour que ses genoux arrivent au niveau de sa poitrine puis des cordes sont passées dans les anneaux des bracelets en cuir qui sont attachés autour de ses chevilles avant d'être noués sur plusieurs piquets plantés dans le sol.

Ainsi elle reste les jambes en l'air et ne peut pas les bouger et ce qui ravit les hommes c'est que les parties intimes de son corps sont offertes à leur vue et très accessible à leur queue.

Pendant qu'avant de se coucher ils discutent en buvant de l'alcool le calvaire débute pour la putain à cause de la façon dont elle est attachée et va se poursuivre toute la nuit. Maudire les quatre jeunes pour ce qu'ils lui font subir ne sera même pas une consolation.

La nuit lui parait durer une éternité, elle ne s'assoupit que par intermittences à cause des douleurs qu'elle ressent et elle reste indifférente quand un homme sort de sa tente et vient se soulager dans son vagin ou son fondement.

Journée du samedi

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Le matin Manon qui n'a pas beaucoup dormi entend des voix qui proviennent des tentes.

Quand les hommes en caleçon et torse nu sortent de leurs abris ils la regardent et blaguent se moquant d'elle

Le feu de bois qui s'est éteint pendant la nuit est rallumé pour faire chauffer le récipient métallique qui contient le café puis c'est le petit déjeuner composé de fruits et de biscuits secs.

Manon bien ankylosée et qui n'a pratiquement pas pu beaucoup bouger pendant la nuit est momentanément détachée et libérée de sa boule/bâillon pour pouvoir manger ce qu'on lui donne et boire un gobelet de café noir.

La prostituée est conviée à se déplacer pour faire ses besoins un peu plus loin à l'orée du bois mais elle doit toujours rester à la vue de ses bourreaux.

Le campement est démonté et il est huit heures quand les 4 randonneurs décident de se mettre en route, la prostituée est étonnée de ne pas être sexuellement sollicitée.

C'est au tour de Jordan de décider du sort de Manon pour la matinée, un long bâton est posé derrière sa nuque et sur ses épaules puis elle doit tendre ses bras à l'horizontale qui sont ensuite ficelés au morceau de bois par des liens allant des épaules aux poignets.

Tenue en laisse par Jordan la putain doit faire l'effort pour suivre comme elle le peut, le rythme imposé est assez rapide dés qu'ils se sont mis en route.

Mais pas de chance pour le groupe et surtout pour Manon, depuis tôt le matin l'atmosphère est lourde, elle transpire beaucoup avec le lourd sac à dos qu'elle doit porter, ses mains et ses bras entravés la gênent pour garder l'équilibre sur le sol irrégulier.

Elle peut compter sur l'homme, qui tient une extrémité de la corde qui est nouée au collier mis autour de son cou, pour l'obliger à suivre la cadence qu'il impose pendant qu'ils gravissent une colline.

Plusieurs fois les randonneurs qui marchent à ses côtés doivent la soutenir ou la relever en la tenant par les bras lorsqu'elle trébuche ou tombe. Ils la traitent de bonne à rien et ils ne font pas preuve d'humanité car des claques s'abattent sur ses fesses ou des gifles sur ses joues.

Les nuages noirs menaçants ne présageaient rien de bon et quand les éléments commencent à se déchaîner et que la pluie commence à tomber d'abord à petites gouttes. S'abritant du vent derrière un gros rocher les quatre hommes se sont rapidement fait un toit avec des piquets et des toiles de tente.

La putain, qui n'a pas été invitée à se mettre à l'abri, a du s'allonger dans l'herbe puis écarter ses jambes et ses bras, un homme a rapidement enfoncé dans le sol des piquets (des sardines utilisées pour le camping) passés dans les anneaux des bracelets en cuir qui ne quittent pas ses chevilles et ses poignets ainsi elle ne peut presque pas bouger.

Rapidement l'orage éclate accompagné de bourrasques de vent, de coups de tonnerre, d'éclairs et de trombes d'eau.

Manon apeurée ferme les yeux et penche sa tête sur le côté. Transie et avec la chair de poule elle subit, l'impact des grosses gouttes de pluie sur sa peau n'est pas agréable pendant que les randonneurs assis à l'abri s'amusent de sa situation tout en tenant les toiles pour qu'elles ne s'envolent pas.

L'orage cesse après un moment qui a semblé une éternité à la prostituée, les hommes qui ont démonté leur abri libèrent leur souffre-douleur qui une fois les poignets attachés ensemble et tenue en laisse s'évertue à les suivre sur un terrain devenu glissant.

Ses baskets sont gorgées d'eau et couinent à chaque pas qu'elle fait pendant que les nuages disparaissent et que le soleil qui de nouveau tape fort la réchauffe vite. Le chemin boueux et collant ne l'aide pas dans sa marche.

Les hommes son énervés par la tournure des évènements et par l'état du terrain qui les gêne dans leur progression, ils s'en prennent à Manon qui est insultée, giflée, frappée sur les fesses ou le dos quand elle ne suit pas l'allure imposée ou chute.

Ils décident de s'arrêter un peu en bordure d'un bois planté de chênes. David qui a en charge Manon inspecte les lieux avant de décider de ce qu'il va faire d'elle.

- les amis je crois que j'ai une excellente idée -

- à quoi tu penses -

- on va attacher la putain bras et jambes écartés avec des cordes à quatre branches d'arbres pas trop éloignés les uns des autres -

- d'accord pour l'écartèlement mais il faut mettre son corps à bonne hauteur pour avoir accès à son cul -

C'est avec enthousiasme que les quatre hommes s'occupent de leur souffre douleur, pendant que deux la soulèvent les deux autres fixent des cordes à des troncs et des branches puis aux bracelets en cuir qui ne quittent pas ses poignets et ses chevilles.

Ils doivent s'y reprendre à plusieurs fois pour que son corps suspendu et ses membres écartelés elle soit à bonne hauteur car des branches qu'ils ont choisies plient à cause de son poids.

- David à toi l'honneur de la sauter -

Il ne se fait pas prier et sort sa queue. Même si comme ses copains mettre leur souffre-douleur dans cette position très inconfortable l'a excité, il doit un peu se masturber pour avoir une bonne érection.

Satisfait du résultat il se met entre les cuisses de Manon et introduit le membre dans la chatte et après avoir agrippé les cuisses de la putain avec ses mains il commence à donner des coups de reins.

Pour elle ce qui est douloureux ce sont ses bras et ses jambes mais surtout ses articulations très sollicitées car en plus du poids de son corps suspendu en la sautant l'homme la fait bouger augmentant son supplice.

Les aller retour du pénis dans le ventre de la putain ne durent pas longtemps car il se recule puis en galérant un peu vient le placer contre l'anus avant d'exercer une poussée avec le poids de son corps pour le faire pénétrer dans le cul de sa victime.

David sodomise Manon avec des aller retour rapides de sa queue et de ce fait il ne tient pas longtemps avant d'éjaculer envoyant son sperme dans les intestins de la femme.

Il a à peine le temps de se retirer que Franck qui n'attend pas que toute la semence s'échappe du cul de la putain prend sa place et encule directement Manon puis les mains accrochées à ses hanches il donne des grands coups de reins.

Heureusement pour elle il ne tient pas longtemps avant de se laisser aller et de jouir dans le fondement.

Ensuite c'est au tour de Mathias de la sauter mais lui il alterne les pénétrations passant plusieurs fois de la chatte au cul et il met plus de temps avant d'éjaculer dans le vagin de la putain.

Il ne reste plus que Jordan qui attend un peu que le sperme qui s'échappe du sexe de Manon coule sur le sol avant de sortir sa queue et de pénétrer la chatte dans laquelle le membre fait des aller retour pendant un moment avant d'en sortir et de s'enfoncer dans l'anus.

Il encule La prostituée cessant parfois de donner des coups de reins pour ne pas se laisser aller trop vite mais les aller retour de la queue dans le fondement finissent par l'amener lui aussi à la jouissance, il se soulage dans les intestins de Manon.

Calmés les quatre hommes délivrent leur souffre-douleur de sa position inconfortable et de nouveau tenue en laisse au bout d'une corde et les poignets attachés ensemble mais cette fois dans le dos elle doit suivre le groupe dans son périple.

Le soleil tape dur et elle ressent les rayons qui font rougir certaines parties de son corps nu. Elle est en sueur et la bave qui sort de sa bouche bâillonnée coule sur son menton.

Nouvel arrêt le midi pour manger et pour que Manon puisse se sustenter sa bouche et ses poignets sont libérés.

Ne pouvant plus se retenir elle n'a que le temps de se baisser et d'uriner avant que la marche ne reprenne après avoir été de nouveau bâillonnée et ses poignets attachés ensemble. Les hommes eux s'arrêtent pour se soulager quand ils le veulent pendant le parcours et rejoignent facilement le groupe en accélérant l'allure.

Ce n'est que lors de la pause en milieu d'après midi que Manon sert encore de vide-couilles aux hommes.

Pendant l'arrêt ils l'ont mise à genoux, ils ont attaché son poignet à sa cheville côté gauche et fait la même chose côté droit puis voulant passer leurs envies avec les orifices visés bien accessibles ils lui ont écarté les jambes et l'ont fait basculer vers l'avant.

Elle se retrouve dans une position inconfortable, courbée et la tête en appui sur le sol mais toujours à genoux.

Les compères tirent à la courte paille l'ordre de passage puis Manon n'arrête pas de se faire pénétrer pendant un bon moment. Les queues vont et viennent aussi bien dans sa chatte que dans son cul et s'y soulagent de leur semence.