Manon en Enfer 21

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Quatre jeunes louent Manon pour une randonnée.
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Partie 21 de la série de 32 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 02/16/2022
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RANDONNEE ET SOUFFRANCE 1

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Vendredi après midi

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Ce vendredi là il est presque 11 heures, Manon prépare son repas car elle doit manger de bonne heure avant de partir tapiner en bordure d'une forêt traversée par une route nationale comme elle a ordre de le faire quand les personnes qui la prostituent ne l'offrent pas aux clients de leur société, à leurs amis ou à des personnes de leurs familles.

Soudain elle sursaute quand elle entend la sonnerie du portable uniquement connu et utilisé par les deux responsables de la société qui emploie son mari et qui ont fait d'elle une prostituée.

- allo -

- la putain tu as rendez-vous à midi devant la gare, tu seras absente jusqu'à lundi matin -

Pas de bonjour ou autre marque de civilité, Bernard le directeur commercial la prend pour une moins que rien juste bonne à écarter les cuisses à la demande.

Elle ne proteste pas sachant que s'ils exigent cela d'elle c'est que son mari ne rentrera pas, ils lui encore donné une mission qui va le retenir pendant plusieurs jours.

- d'accord monsieur mais comment je vais reconnaitre le client -

- avec ton accoutrement de prostituée il n'aura pas de mal à te reconnaitre donc c'est lui qui t'abordera -

- bien monsieur. Avec le genre d'habits que vous me faites porter tout le monde voit tout de suite quel genre de femme vous avez fait de moi -

- j'exige que dans la rue ta mini jupe soit bien voyante et très courte pour qu'on aperçoive ton cul et je veux aussi qu'une bonne partie de tes seins soit visible afin que n'importe qui sache en te voyant que tu es une prostituée et un être sans pudeur -

- je le sais monsieur et c'est humiliant pour moi -

- ça je m'en fiche, ce n'est pas moi qui ai honte en m'affichant dans une telle tenue. Maintenant tu fais partie de la lie de la société, tu n'as plus d'honneur et ta fierté n'en parlons pas -

- monsieur je suis consciente de ce que je suis devenue et je n'en suis pas fière -

- j'allais oublier, tu prendras une paire de baskets cela pourra peut être te servir -

- pour quoi faire monsieur -

- tu verras bien sur place et quoi qu'il se passe tu es là pour obéir et subir, ta souffrance n'a pas de limites tant que tu restes en vie et ne devient pas infirme -

- je sais monsieur et subir c'est ce que je fais toujours sans me plaindre puisque c'est votre volonté et que je suis votre chose -

- c'est parfait, je constate que tu as bien compris que tu nous appartiens et que nous pouvons faire de toi ce que nous voulons -

- j'ai bien compris que monsieur le DRH et vous même monsieur Bernard êtes mes maîtres. Mon destin est de vous obéir sans me plaindre quelles que soient vos exigences -

Il n'est pas convaincu par les paroles de Manon ne pensant pas qu'elle leur est vraiment soumise.

- ah oui! ce n'est pas la peine d'essayer de m'amadouer. Quand on a une putain comme toi sous la main on ne la lâche pas et on en tire le maximum tout le temps qu'elle est capable d'être utile et ensuite on l'abandonne dans une décharge -

- monsieur loin de moi cette pensée, je disais simplement que je suis à votre disposition et que mon obéissance est totale -

- j'allais oublier, pas de soutien-gorge ni de culotte, ils ne serviraient à rien -

- dans la rue les gens vont voir mon cul et mon sexe avec le mini jupe qui ne cache déjà pas grand chose -

- que veux tu que cela me fasse, tu es une putain alors assumes. Si toi tu as honte de montrer ton cul il faut que tu saches qu'à moi ça me plait de t'obliger à t'éxhiber, donc tu n'as pas le choix -

Fin de la conversation, Bernard a raccroché.

Dans un grand sac à main rouge, en plus d'un petit nécessaire de toilette, Manon met deux ensemble soutien-gorge/string ainsi que des baskets.

Elle enfile un débardeur à bretelles rouge sans mettre de soutien-gorge puisque ce sont les ordres, une bonne partie de sa poitrine est visible et les tétons pointent à travers le tissu. La "très" mini jupe noire en simili cuir ne cache que la partie haute de ses cuisses et elle est consciente qu'en se baissant même très peu ses fesses sont visibles surtout sans culotte.

Même si elle a honte de se montrer ainsi, par peur des punitions qu'ils peuvent lui infliger, elle ne veut pas contrarier ses souteneurs que sont le DRH et Bernard le directeur commercial de la société qui emploie son mari.

Pour se rendre à la gare à pieds et bien qu'il fasse très chaud elle enfile une gabardine assez longue afin de cacher sa tenue qu'elle juge indécente, arrivée sur place et après avoir attendu qu'il ne reste que quelques minutes avant l'heure de son rendez-vous elle met ce vêtement dans une consigne.

Debout sur le parking de la gare Manon attend d'être abordée par l'homme inconnu qu'elle attend en essayant de ne pas prêter attention aux gens qui la fixent, des yeux la scrutent de la tête aux pieds. Certains ricanent, d'autres on un regard méprisant, les mots à son encontre sont acerbes ou moqueurs.

Heureusement son attente n'est pas longue. Un homme très jeune, taillé comme une armoire à glace et aux cheveux bruns très courts, il doit avoir largement moins de vingt ans, s'arrête à côté d'elle.

Les seuls mots qu'il prononce sont:

- viens! suis moi à distance, je suis connu et je ne veux pas être vu avec une prostituée -

Sans répondre Manon obéit et suit l'homme, il parcourt quelques centaines de mètres avant de pénétrer dans une impasse puis de stopper à côté d'un 4X4 noir. Elle s'aproche pendant que l'homme ouvre le coffre qui est totalement vide.

- déshabilles toi et entres là dedans -

Toujours sans parler et sans se soucier d'être vue elle fait ce qu'il a demandé, il s'empare de ses habits et de son sac à main pendant qu'elle grimpe dans le coffre et se recroqueville, la porte claque en se refermant puis la voiture démarre. la putain est ballottée dans les virages ainsi que lors des accélérations ou freinages.

Manon ne cherche pas à réfléchir concernant sa destination ou ce qui va advenir d'elle elle fait le vide dans sa tête.

La voiture stoppe, Manon est sortie du coffre et inspecte les environs, ils sont sur un parking en bordure d'une forêt.

- tu chausses tes baskets -

Elle fouille dans son sac, en sort des chaussettes basses et ses baskets puis reste là nue et les bras ballants.

Un véhicule est déjà garé, trois hommes bien jeunes, peut être à peine majeurs mais paraissant avoir nettement moins de vingt ans, à l'aspect avenant en descendent sans que la femme ne prête beaucoup d'attention à leur physique qui a pourtant l'attrait de la jeunesse. Elle est blasée étant trop habituée à se faire sauter par n'importe qui selon la volonté des dominants qui la prostituent.

- espèce de conne tu attends quoi, je t'ai donné un ordre -

Pendant que Manon met ses chaussettes basses et ses baskets le trio s'approche d'eux. voyant qu'ils ont revêtu des tenues de randonneurs (short, maillot, chapeau) la putain comprend le pourquoi des baskets.

- oh oui! pas mal la prostituée que tu as louée Jordan -

- oui et elle a l'air d'être très obéissante -

- et pour la location tu as négocié un prix intéressant -

- étant le neveu de son souteneur nous allons payer deux mille euros soit moins de la moitié de ce que Bernard me réclamait au début après qu'il m'ait questionné sur ce que nous allons en faire et que je lui aie dit qu'elle serait maltraitée et aussi battue si son comportement ne nous satisfait pas -

- c'est correct pour le temps qu'elle va passer avec nous et en dehors du sexe jusqu'à où pouvons nous aller avec elle -

- mon oncle m'a dit qu'elle supporte bien la souffrance et qu'on peut la torturer et la battre mais sans aller jusqu'à la mutiler ou la tuer, il compte se servir d'elle pendant de nombreuses années encore -

- ton oncle a raison, ayant un beau corps et une belle gueule elle doit attirer les clients et lui rapporter beaucoup d'argent cette putain -

- certainement mais dans notre cas il n'y a pas de raison de lui faire de cadeaux, on ne va pas se priver de la sauter ou la faire souffrir quand on en aura envie.

- parfait! c'est mieux pour ce qu'on veut lui faire subir, chacun de nous doit faire preuve d'imagination pour trouver des façons originales de la martyriser et de voir jusqu'à où va sa résistance -

Manon est consciente que si certains des jeunes mâles ont des idées tordues elle va beaucoup souffrir. Etre obligée de passer plusieurs jours avec eux ne la rassure pas et obéir à des presque gamins est contre nature mais elle ne va pas pouvoir s'y opposer.

Les hommes la tripotent. Ils pincent, tordent et étirent ses mamelons. Ils passent leurs mains entre ses cuisses, montrant qu'elle est consentante elle écarte les jambes quand ils cherchent à enfoncer leurs doigts dans sa chatte ou son anus.

- pas mal l'esclave, elle vaut le coup de bite -

- oui! on s'occupera de son cul plus tard. Maintenant il faut l'équiper -

Pendant que Jordan se change mettant des vêtements appropriés un homme met sur le dos de la putain un grand sac à dos de randonnée pendant qu'un autre en attache les sangles sur son ventre et sur son torse. Le sac est lourd et pour elle il semble peser une tonne.

Manon ne proteste pas quand on enfonce dans sa bouche une boule/bâillon munie de sangles qu'on attache côté nuque. Puis un collier en cuir est passé autour de son cou et ensuite sans qu'ils se soucient de la douleur permanente qu'elle va ressentir des pinces sont accrochées à ses tétons que des doigts ont fait s'ériger.

On lui met des bracelets en cuir munis d'anneaux autour des chevilles puis ils font la même chose pour les poignets mais là les bracelets font office de liens car ils les relient ensemble avec un crochet.

Une extrémité d'une longue corde est nouée à l'anneau de son collier, un homme passe l'autre extrémité de la corde autour de sa taille et fait un nœud. Elle attend pendant que le quatuor s'équipe de sacs à dos bien remplis.

Pendant qu'ils se préparent et discutent entre eux elle entend les prénoms: en plus de Jordan il y a Franck, David et Mathias

- allez les amis, en route pour un peu plus de deux jours de randonnée à trainer notre esclave -

Le groupe s'engage dans un chemin forestier, Manon suit comme elle peut l'homme qui la tient en laisse en donnant du mou à la corde pour éviter que s'il va plus vite qu'elle le collier ne l'étrangle, ce qui n'est pas facile avec le poids du sac à dos et les quatre hommes semblent être des sportifs entraînés à ce genre d'exercice.

A part les paroles des hommes qui se parlent de temps en temps, les pas sont rythmés par le bruit des gamelles accrochées aux sacs et qui s'entrechoquent.

Rapidement le chemin devient caillouteux et Manon a du mal à garder l'équilibre handicapée avec ses poignets reliés ensemble par les menottes en cuir et aussi à cause du sac qui devient de plus en plus pesant.

L'homme qui la tient en laisse ne ralentit pas l'allure quand la corde se tend, elle commence à suer et respire difficilement à cause du bâillon très gênant et qui la fait baver beaucoup.

Un des deux hommes qui marchent derrière elle tient une sangle dans une main et tout en l'insultant il s'en sert pour la frapper quand elle a du mal à suivre.

Le quatuor s'aide avec des longs bâtons pour marcher même s'ils n'en ont pas réellement besoin car ils semblent très à l'aise.

De temps en temps pris d'envies un des hommes pelote les fesses ou les seins de la putain et parfois un doigt tente de s'introduire dans sa chatte ou son anus ce qui la gêne dans sa marche puisque un le randonneur qui tire sur la corde reliée à son collier ne lui laisse pas le loisir de s'arrêter, elle est obligée de suivre le rythme.

Manon profite que les hommes s'arrêtent pendant quelques instant pour uriner s'éloignant un peu pour faire ça discrètement, bien que gênée elle en fait autant en se baissant devant eux ce qui lui vaut des rires moqueurs et des réflexions désagréables.

Il est environ 15 heures quand Jordan décide qu'une pause est nécessaire. Les randonneurs s'arrêtent et se regroupent. Deux hommes s'occupent de Manon, ils libèrent sa bouche puis la font boire de l'eau avant de la bâillonner de nouveau.

La longue corde est maintenant attachée aux menottes en cuir qui entravent ses poignets, l'autre extrémité tenue par un homme est lancée en l'air et retombe sur le sol après être passée au dessus d'une grosse branche d'arbre. Deux hommes tirent sur la corde et Manon se retrouve pendue les bras étirés par le poids de son corps et les pieds ne touchant plus le sol.

Les randonneurs devisent assis sur le sol puis semblent s'intéresser à Manon.

- on ne va pas attendre ce soir pour se vider les couilles, ce n'est pas facile de marcher avec des envies en voyant le cul de cette putain en permanence -

- d'accord les amis, avant de repartir elle va nous faire une petite gâterie, détachez la et enlevez lui le bâillon -

Franck et David libèrent Manon qui sans attendre ni parler se met à genoux entre les jambes du premier des quatre hommes qui a mis son sexe à l'air.

- la putain tu n'as pas intérêt à perdre une goutte de notre nectar sinon tu vas te prendre une bonne raclée -

Elle lèche la queue qu'elle trouve chaude, humide de transpiration et qui sent la sueur. Le membre est bien gonflé et raide d'envie, elle l'enfonce dans sa bouche tout en tenant dans ses deux mains deux autres pénis qu'elle tripote, caresse ou masturbe doucement.

Serrant bien les lèvres autour du pénis elle le fait aller et venir dans sa cavité buccale à une bonne cadence pensant qu'il veulent se soulager mais pas s'éterniser sur place.

Rapidement la queue prend encore du volume et tressaille dans la bouche de Manon, des giclées de sperme éclaboussent sa gorge. Réprimant son envie de recracher le liquide elle avale consciencieusement et suce encore un peu le membre avant de se reculer en le laissant sortir de sa bouche.

Elle s'attaque à la verge assez longue mais pas très grosse d'un deuxième homme qui bandait déjà et lui fait une fellation jusqu'à ce que la queue tressaute dans sa bouche et que le sperme inonde sa gorge.

Quand elle juge qu'il s'est bien vidé de sa semence elle délaisse sa queue et s'attaque à celle du troisième quidam puis passe au quatrième qui a un membre bien dimensionné.

Avec les envies qu'ils avaient en l'ayant en permanence nue devant leurs yeux elle n'a pas eu besoin de leur faire de longues pipes pour les faire jouir mais comme tous les quatre ont joui dans sa gorge elle a du avaler une bonne quantité de sperme.

Pendant que de nouveau bâillonnée et avec le goût des différents spermes dans la bouche Manon doit suivre celui qui la tient en laisse au bout de la corde elle ne peut qu'écouter les commentaires.

" c'est une sacrée putain", "elle suce les bites comme une vraie sangsue", etc...

Le problème qui au bout d'un moment concerne Manon provient d'un besoin naturel, elle a beau se retenir cela devient insupportable et étant bâillonnée elle ne peut pas demander un arrêt.

Alors surmontant la honte elle profite d'un ralentissement et du fait que l'homme qui la tient encordée a laissé du mou à la corde, elle se baisse et urine faisant abstraction des quolibets et réflexions désobligeantes.

Il est un peu plus de 17 heures quand il font un nouvel arrêt et après l'avoir fait boire Manon est soulevée et maintenue par plusieurs hommes sous un arbre, elle se retrouve ne touchant plus le sol, accrochée par les chevilles et les poignets à une branche horizontale.

Quand ils décident de reprendre la randonnée ils changent de tactique avec leur souffre douleur, après avoir trouvé une branche assez grosse et assez longue.

Manon doit s'allonger puis ils attachent ensemble les bracelets en cuir de ses chevilles, pour ses poignets c'est déjà le cas, ils passent la branche entre ses membres puis en s'y mettant à deux ils la soulèvent et posent les extrémités de la branche sur leurs épaules.

Ils se mettent en route en la portant telle un gibier se relayant quand ils sont fatigués. Si la position de Manon la fait souffrir les jeunes hommes qui la portent ont beau être physiquement en forme ils grimacent et suent.

Pendant le trajet ses fesses sont pelotées, son anus ou sa chatte pénétrés par des doigts, elle est un objet servant d'amusement à la bande de jeunes.

Du temps a encore passé quand le groupe arrive dans un endroit où des arbres déracinés sont couchés sur le sol.

- l'endroit me semble bien pour s'y poser un peu avant de gagner l'endroit où nous allons nous restaurer et bivouaquer pour la nuit -

Manon reçoit l'ordre de s'allonger sur un gros tronc puis de laisser pendre ses bras et ses jambes de chaque côté, ensuite des piquets sont plantés dans le sol et ses membres sont attachés à ceux-ci par des liens. C'est très inconfortable et douloureux à cause de l'écorce rugueuse à la surface irrégulière.

Ses parties intimes sont offertes à la vue des randonneurs qui intéressés prennent des photos et s'échauffent fixant ce que la prostituée montre et qu'ils commentent en termes crus.

Titillés par des envies qui leur torturent le bas du ventre depuis le début de la randonnée ils se regardent et c'est Franck qui se décide le premier.

- je n'ai pas envie d'attendre ce soir, avec ce qu'elle nous montre cette putain sans pudeur mérite ce qui va lui arriver -

Les quatre randonneurs ont attendu trop longtemps et ne peuvent plus supporter les envies qui les tenaillent. Avoir en permanence une femme nue et à leur merci devant les yeux est un supplice.

Si malgré les envies qui les démangeaient personne n'a voulu interrompre la marche maintenant c'est l'hallali, les hommes se ruent sur leur proie, sans ménagements et pressés ils la couchent sur le sol.

Elle est pelotée partout et ce sont surtout ses seins et ses parties intimes qui sont ciblés par les mains qui se gênent.

Manon impuissante ne peut que les laisser faire, d'ailleurs elle sait qu'elle est là comme objet sexuel et qu'elle doit tout accepter sans se rebeller quelles que soient leurs envies ou quoi qu'ils lui fassent subir.

Des doigts pénètrent et fouillent sa chatte et son anus.

On lui retire le bâillon, une queue force le passage et s'enfonce dans sa bouche puis y fait des aller retour en cognant au fond de sa gorge lui donnant la nausée.

En même temps un homme est sur elle et pénètre sa chatte qu'il défonce pendant que ceux qui attendent leur tour la pelotent, pétrissent ses seins et martyrisent ses mamelons.

Entravée elle ne peut que subir les assauts et attendre qu'ils éjaculent dans son corps, celui qui a joui est vite remplacé par un de ses amis.

Une fois que chacun des membres du quatuor s'est soulagé ils ne sont pas satisfaits et changent de tactique. Manon détachée se retrouve sur un homme qui enfonce sa queue dans la chatte puis un autre assaillant se place à genoux derrière elle et sans douceur fait pénétrer sa verge dans le cul de sa proie.

C'est celui qui la sodomise qui donne le tempo, si au début Manon ressent de la douleur rapidement la double pénétration lui apporte du plaisir surtout qu'elle se fait défoncer plus longtemps avant que ses orifices ne soient arrosés de sperme.

Une fois qu'ils se sont soulagés dans le corps de la putain les deux hommes qui attendaient leur tour prennent la place et pénètrent les orifices de leur proie qui se fait de nouveau défonce, elle attend sans être active qu'ils se désintéressent d'elle après avoir éjaculé dans son vagin ou son fondement, ce qu'ils font sans chercher à se retenir.

Les quatre randonneurs sont maintenant debout, il se concertent et décident qu'ils ont perdu assez de temps même si certains auraient voulu continuer les ébats sexuels avec leur victime.

Pendant ce temps la prostituée attend à genoux, le sperme sort de ses orifices et coule sur le sol.

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