L'oncle Georges 01

Informations sur Récit
J'adore exciter l'oncle Georges.
2.2k mots
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2

Partie 1 de la série de 1 pièces

Actualisé 11/14/2023
Créé 11/07/2023
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Chapitre 1

Je m'appelle Béatrice, mais tout le monde dit Béa. Le gros dégoûtant dont je veux vous parler aujourd'hui, c'est l'oncle Georges, le mari de la sœur de ma mère, un oncle par alliance. Aussi loin que je remonte dans mes souvenirs, il a toujours été sympa. Toute la famille le trouvait drôle et, avec nous, ses neveux et ses nièces, il était généreux. À chacune de ses visites en Bretagne pendant les vacances, il apportait un jeu plutôt bien calculé pour mon frère et moi, croquet, molkky ou Colons de Catane.

Quand je devins une grande adolescente, il lâcha parfois des plaisanteries grivoises, mais toujours plus drôles que celles des garçons de mon âge particulièrement lourds. Je n'y pris pas garde jusqu'aux dernières vacances de Pâques.

À dix-neuf ans, j'attirais beaucoup les regards masculins. Je n'y étais pas pour grand-chose, mais j'avoue que même moi, je me matai parfois dans la glace et me trouvai plutôt sexy. Grande, fine, mais avec des formes. Je pratiquai l'équitation et étais ferme de partout. Rien ne m'amusait plus que parler avec des garçons qui avaient bien du mal à me regarder dans les yeux. On aurait dit que ma grosse poitrine était un véritable aimant à vicieux.

Du coup, pour l'arrivée du tonton, je sortis un petit haut coquin. Tout noir, avec un décolleté profond, deux fines bretelles, il s'arrêtait au-dessus de mon nombril. En dessous, je portai un soutien-gorge qui rapprochait mes seins et les faisait bien voir au balcon. Avec l'oncle Georges, ça ne rata pas. Après un premier coup d'œil étonné, il essaya de me poser des questions sur mes études en me regardant dans les yeux. Mais après quelques verres de rosé, il se mit à loucher de plus en plus directement sur mes gros nichons. J'avais envie de rire, mais personne n'aurait compris pourquoi.

Pour m'amuser, j'assurai le service du dessert et me penchai au-dessus de lui avec son assiette de profiteroles. Il risqua le torticolis tant il se tordit le cou pour plonger ses yeux entre mes deux seins. J'en profitai pour laisser ma main sur son épaule quelques instants et j'eus l'impression qu'il avait très chaud.

Cette soirée m'avait bien plu, même si je n'avais aucun projet particulier pour le tonton. Après tout, il avait quand même trente ans de plus que moi et peut-être qu'il ne bandait plus. En tout cas, c'est ce que m'avait dit ma copine Audrey à qui je racontai le dîner.

Au mois de juillet, Georges et sa femme revinrent dans le coin passer leurs vacances — il est prof de lettres. De mon côté, j'étudiais la littérature à l'université et je profitais de sa présence pour lui demander de m'aider à rédiger mon mémoire.

Je n'avais pas d'idée préconçue, juste le désir de m'amuser. Je me pointai donc à sa villa de location habillée exactement comme à Pâques, sauf que cette fois j'étais joliment bronzée. On se retrouva dans son bureau qui donnait sur la terrasse toute pleine de soleil. Je sortis mon mémoire et m'assis en face de lui. Je proposai de lui lire le début de mon travail, ce qu'il accepta. Au bout de quelques lignes, je vis ses yeux se perdre dans mon décolleté. Mon hâle faisait vachement ressortir le blanc de mes gros nichons, enfin ce qu'il pouvait en apercevoir grâce à mon petit top. Je m'amusais bien et j'eus envie d'aller un peu plus loin, de le provoquer.

-- Dis donc, oncle Georges, tu ne m'écoutes pas beaucoup. J'ai l'impression que tu me regardes à un drôle d'endroit.

Il devint tout rouge, il bafouillait. C'était plutôt mignon.

-- C'est vrai que tu es maintenant une très belle jeune femme, Béa.

-- Qu'est-ce qui te plaît chez moi, oncle Georges? Qu'est-ce que tu mates?

Au bout d'un moment et de quelques longues périphrases sur l'évolution de la mode et des mœurs des jeunes femmes, il réussit à me sortir qu'il avait bien du mal à ne pas regarder ma poitrine. Je pris l'air outragé et surpris et l'assaisonnai en insistant sur son âge et sur le fait que nous étions de la même famille. En vrai vicieux, il évoqua alors une idée de récompense s'il m'aidait bien pour le mémoire, que peut-être un jour, je pourrais lui en montrer un peu plus. Je ne sais pas ce qui me prit, mais je me levai et lui allongeai une gifle magistrale par-dessus le bureau. Évidemment, dans cette position, je mis encore plus mes seins en valeur et je surpris ce gros cochon les yeux rivés sur mes trésors tout en se tenant la joue écarlate d'une main. J'eus le sentiment confus que ma réaction lui avait plu.

Nous en restâmes là, mais j'indiquai que je reviendrai dans une semaine et que je voulais que nous puissions travailler. Quand je le quittai, il avait toujours le visage marqué et je ne pus m'empêcher d'évoquer, pourquoi pas, cette idée de récompense.

-- Nous verrons bien, conclus-je. Peut-être aurais-je d'autres besoins.

En y réfléchissant le soir, je m'avouai que j'avais bien aimé cette claque et plus encore le fait qu'il n'ait pas réagi. Je me repassai la scène plusieurs fois en me sentant plutôt excitée sexuellement, même si je trouvais un peu honteux d'avoir des pensées pareilles pour le vieux tonton.

Une semaine plus tard, je me pointai chez lui. Je portais un tee-shirt blanc assez près du corps et une mini-jupe, style plage. J'avais osé ne pas mettre de soutien-gorge et mes gros seins fermes bougeaient librement sous le tissu. C'était très sexy et le frottement du coton avait fait pointer mes tétons. Pour être franche, je me jugeais assez salope.

Oncle Georges m'accueillit et me proposa de le suivre dans son bureau. Il n'osait pas vraiment me regarder, mais je le surpris à essayer de comprendre si je portais quelque chose sous mon tee-shirt. Il avait l'air docile, obéissant et j'avais envie de m'amuser.

Nous reprîmes les travaux sur le mémoire. Cette fois, c'est lui qui lisait et proposait des corrections, pendant que, face à lui, je m'étirais un peu dans tous les sens en prenant bien soin de faire saillir ma poitrine. Le tonton était tout rouge et en sueur à force de me loucher dessus, un œil collé au texte, l'autre sur mes seins. C'est lui qui attaqua d'une petite voix, comme s'il craignait ma réaction.

-- Tu as l'air fatiguée, Béa, tu t'étires?

-- Oui, mon oncle, répondis-je. Hier, nous avons marché quinze kilomètres. Je suis moulue et j'ai les pieds en compote.

J'en profitai pour lever mes gambettes, lui montrer mes espadrilles, me jambes bronzées et mes cuisses lisses dévoilées par la mini-jupe remontée très haut. Peut-être même pouvait-il voir ma culotte. Je crois que sa température interne augmenta encore et il me proposa d'une toute petite voix de me masser les pieds.

Je n'y avais pas pensé, mais l'idée me plut et je le laissai s'installer par terre face à moi. Il prit mes deux pieds et les posa sur ses cuisses. Il enleva délicatement mes espadrilles. L'odeur n'eut pas l'air de le gêner et je trouvai très excitant de le voir ainsi devant ma chaise comme si j'étais une reine exigeante et sévère.

Il commença par caresser longuement mes coups de pied des chevilles jusqu'aux orteils. C'était délicieux. Je me détendais tellement que je finis par écarter mes jambes. Le tonton devait avoir une belle vue. À ce moment, il souleva mon pied droit pour le porter à sa bouche. Il me lécha la plante des pieds — ça me faisait des chatouilles — avant de glisser sa langue entre mes orteils puis de les sucer. Je n'avais jamais ressenti un tel plaisir et je me sentais terriblement excitée. Mais je ne voulais rien lui offrir encore. Après tout, il avait l'air sincèrement heureux à l'idée de m'obéir.

Tout occupée à profiter des caresses du tonton, je n'entendis pas sa femme entrer dans la maison. Tante Audrey était magnifique, très chic. J'étais un peu jalouse de ses pauses droites et fières — on aurait dit une danseuse. J'aurais voulu lui ressembler. A la porte du bureau, elle affichait un grand sourire et ne semblait pas étonnée du spectacle. Oncle Georges bien penaud reposa mon pied sur ses cuisses.

-- Alors, ma petite Béa, commença ma tante, tu as découvert combien ton oncle est un vilain personnage.

-- C'est vrai, répondis-je, mais je crois que je l'ai un peu excité et je trouve ça plutôt amusant.

-- J'ai remarqué aussi comme tu sais mettre en valeur tes gros nichons. Nous en reparlerons, mais pour l'heure, je dois punir ton oncle. Tu veux assister au spectacle?

J'acquiesçai bien sûr, curieuse et troublée par la voix de ma tante et sa manière directe de prendre les choses en mains. J'avais l'impression que leurs rapports de couple relevaient d'une sorte de domination qui m'attirait. Je restai aussi parce qu'entendre Audrey parler de mes gros nichons m'avait troublée. L'oncle Georges était à l'évidence un habitué de ces punitions. Il se mit immédiatement debout, tandis que sa femme prenait place sur une chaise au milieu du bureau.

-- Baisse ton short et ton caleçon, lui ordonna-t-elle. Tu as déjà vu un homme nu? me demanda ma tante.

J'essayai de faire la fille dessalée, mais en fait je n'avais joué que deux ou trois fois avec des garçons au cours de mes études, jamais avec un homme mûr. L'oncle protesta que ma présence le gênait. Tiens, tiens, répliqua sa femme! Pour lui reluquer les nénés, tu as du courage, mais pour lui montrer ton gros ventre, il n'y a plus personne! Exécute-toi rapidement, ajouta-t-elle ou la fessée sera doublée.

Alors tonton Georges obéit. Il dégrafa son short et l'ôta puis baissa son caleçon à mi-cuisse. Son sexe était épais et à moitié bandé.

-- Tu vois, souligna Audrey, dans quel état tu l'as mis, ma petite sorcière.

Je ris du surnom que je trouvai bien mignon. Avec les garçons, je m'imaginai bien en ensorceleuse.

Oncle Georges s'allongea sur les genoux de ma tante. Il avait le derrière tourné vers moi et le sexe coincé entre les cuisses de sa femme. Sans préambule, elle entama une fessée qui était tout sauf un jeu. Les claques tombaient régulièrement alternativement à gauche et à droite de son gros cul. J'aimais bien le bruit que cela faisait et le tonton qui comptait : « un, deux, trois... » Les fesses virèrent vite au cramoisi et, à partir de vingt, l'oncle Georges se mit à geindre. Tu voulais lui reluquer les nibards, insista ma tante, mais ils ne sont pas pour toi. Tu n'es qu'un gros cochon. La punition s'arrêta. Audrey me demanda si le spectacle me plaisait et si j'avais envie d'essayer puisqu'après tout, j'étais la première concernée.

Je ne réfléchis pas et répondis oui. J'étais plus amusée qu'excitée, mais je voulais sentir cette peau sous mes mains et coincer un gros sexe d'homme entre mes cuisses.

L'oncle se releva et se dirigea vers moi. La douleur avait réduit les dimensions de sa queue, mais il n'empêche que je ne voyais que ça, ce gros morceau de chair qui ballottait entre ses cuisses. Je me sentais un peu maladroite, mais tonton Georges vint s'allonger de lui même sur mes genoux et placer son sexe à l'endroit adéquat. Je posai ma main sur son cul ; il était écarlate et brûlant. Tante Audrey me regardait en souriant pour m'encourager. Alors je donnai ma première claque. Dans un profond silence, puis une autre et encore une.

-- Tu peux frapper plus fort, précisa tantine, je le punis comme ça depuis trente ans.

Je suivis ses instructions tant je raffolais du bruit de la fessée, et des frémissements de son cul sous mes coups. L'oncle gémissait, mais ne cherchait pas à se protéger. Sa peau rouge et chaude contrastait magnifiquement avec ses cuisses et son dos pâles. J'adorais ça. Au bout d'un moment, j'eus mal à la main et m'arrêtai. Je caressai distraitement l'épiderme brûlant sans toutefois m'approcher de la raie des fesses ni plonger entre ses cuisses.

Tante Audrey lui ordonna de se relever et de revenir vers elle. Elle m'expliqua qu'après une bonne punition, elle avait l'habitude de le récompenser s'il avait été sage et endurant. Elle me proposa de regarder comment on trait un homme et, pleine de curiosité, je restai. Alors ma tante saisit la queue du tonton à moitié bandée et se mit à la branler tout en me faisant remarquer les différentes parties du sexe, en me montrant les couilles, en m'explicitant le rythme et les mouvements qu'elle choisissait. Les gémissements de l'oncle exprimaient clairement le plaisir qu'il prenait à ces gestes. Je ne me sentais pas assez à l'aise pour approcher la main et d'ailleurs Audrey ne me le proposa pas. La queue devenue très grosse et raide m'impressionnait beaucoup. Enfin, après quelques va-et-vient plus rapides, l'oncle Georges se mit à grogner comme un animal ; ma tante le lâcha et de longs jets de sperme lui jaillirent du sexe pour s'étaler devant lui sur le plancher.

Audrey lui ordonna de laver ses cochonneries, car il était l'heure pour moi de retrouver mes parents et ma maison. L'oncle me salua sans oser me regarder. Sur la pas de la porte, ma tante m'invita à revenir dans quelques jours si je m'étais bien amusée aujourd'hui. Je lui avouai combien la séance m'avait à la fois plu et émoustillée. Nous pourrons aller plus loin, conclut-elle, tout en passant avec légèreté ses mains ouvertes sur ma poitrine.

-- Ils ont l'air vraiment superbes, ajouta-t-elle en refermant sa porte.

Je rentrai chez moi contente de mon après-midi et troublée par le geste final de ma tante.

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1 Commentaires
APVapvAPVapvil y a 5 mois

Bien écrit. La tante éducatrice laisse percevoir des développements intéressants.

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