Ma tante Sonia m'invite au Resto

Le soir venu, ma tante me dit d'aller prendre une douche et de m'habiller. "Je t'invite au restaurant," dit-elle, un sourire mystérieux aux lèvres. Je me demandais ce qu'elle avait en tête, mais je ne pouvais nier l'excitation qui montait en moi.

Après m'être apprêté, je descendis les escaliers et l'attendis dans le salon. Elle fit son apparition quelques minutes plus tard, vêtue d'une robe courte et moulante qui mettait en valeur ses courbes généreuses et d'un décolleté plongeant laissant peu de place à l'imagination. Elle compléta sa tenue avec une paire de talons hauts qui allongeaient ses jambes interminables. Son sourire en coin trahissait son intention de me rendre fou de désir.

Nous nous rendîmes au restaurant, où le serveur ne put s'empêcher de détailler ma tante avec insistance. Je remarquai une bosse naissante dans son pantalon, signe évident de son excitation. Nous fûmes installés dans un coin intime du restaurant, où nous pûmes profiter d'un moment privilégié.

Au cours de la soirée, ma tante Sonia ne cessa de me provoquer, laissant ses yeux se poser sur mon corps avec insistance. Elle remarqua que le serveur et moi ne pouvions détourner nos regards de sa poitrine et de ses jambes nues, et cela semblait l'amuser. Elle se délectait de l'attention qu'elle suscitait, et je pouvais sentir la tension sexuelle monter entre nous.

Au milieu de notre conversation, ma tante me demanda de venir m'asseoir à côté d'elle. Elle m'attrapa la main et la fit glisser sous sa robe. Elle me la fit remonter jusqu'à son intimité, et je réalisai avec surprise qu'elle ne portait pas de sous-vêtements. Le serveur revint à ce moment-là, les plats dans les mains, et il fut évident qu'il avait compris ce qui se passait. Il rougit, déposa les plats et s'empressa de repartir, visiblement troublé.

La chatte de ma tante était trempée, et je pouvais sentir sa chaleur à travers mes doigts. Elle me retira la main et me sourit, comme si elle venait de partager un secret avec moi. Mange, tu dois prendre des forces, je veux que tu me baises ce soir. Nous terminâmes notre repas, la tension sexuelle entre nous étant presque palpable.

Lorsque le serveur revint pour nous apporter l'addition, ma tante sortit un billet de son sac et le lui tendit lentement, en le regardant droit dans les yeux. Leurs doigts se frôlèrent, créant une étincelle électrique dans l'air. "La nourriture était excellente," dit-elle d'une voix suave et sensuelle. "Et du reste, tout à l'air appétissant ici. Nous reviendrons." Le serveur hocha la tête, visiblement sous le charme, puis s'éloigna.

Dehors, la nuit était fraîche, mais l'atmosphère entre nous était brûlante. Ma tante se tourna vers moi, ses yeux scintillant sous la lumière des réverbères. "Tu as aimé le dîner?" demanda-t-elle, sa main effleurant mon bras. Je lui répondis par l'affirmative, incapable de détourner mon regard du sien.

Elle sourit, puis se rapprocha de moi. "Tu sais, j'ai vu comment tu me regardais toute la soirée," chuchota-t-elle, sa main glissant le long de ma taille. "Et je dois admettre que j'ai aimé ça." Ses mots étaient directs, mais ils étaient aussi remplis d'une chaleur et d'une sincérité qui me firent frissonner.

Je la regardai, mes yeux se posant sur ses lèvres. "Je... je ne sais pas quoi dire," admis-je, ma voix tremblante. Elle sourit, puis se pencha et m'embrassa. Son baiser était passionné, rempli de désir et de promesses. Je répondis à son baiser, mes mains se posant sur ses hanches. Nous restâmes ainsi un moment, nous embrassant sous la lumière des étoiles, puis elle se sépara de moi.

"Rentrons à la maison," dit-elle. Nous nous dirigeâmes vers la voiture, la tension sexuelle entre nous plus forte que jamais. La nuit s'annonçait longue et pleine de promesses.

Dans la voiture, je pris l'initiative de mettre ma main sous sa robe et de la caresser. Ma tante, avec un grand sourire, me dit : "Waou, le coquin qui est en toi se réveille. Hum, ma chatte a envie de goûter à tes doigts."

Je commençai à caresser ma tante, mes doigts branlant sa chatte humide. Elle poussa de petits râles de plaisir, ses hanches se soulevant pour rencontrer mes doigts. Je pouvais sentir son désir monter, et j'en étais fier. Ma tante aimait ce que je lui faisais.

Arrivés chez elle, elle m'invita à boire un verre dans le salon. Très vite, elle me demanda de me déshabiller. Je m'exécutai, mes yeux ne quittant pas les siens. Elle me poussa sur le canapé, monta sur moi, souleva sa robe et s'embrocha sur mon sexe dressé.

Elle commença à bouger, ses hanches se déhanchant lentement. Je pouvais sentir son minou serré autour de ma grosse bite, "Hum, ta belle bite remplit bien ma chatte de cochonne" dit-elle. Je gémis de plaisir. Ma tante se pencha en avant, ses seins contre ma poitrine, et m'embrassa. Ses lèvres étaient douces et chaudes, et je répondis à son baiser avec passion.

Elle se redressa, ses mains sur mes épaules, et accéléra le rythme. Ses seins rebondissaient dans sa robe, et je pouvais voir le plaisir dans ses yeux. Elle gémissait de plus en plus fort, et je senti mes couilles se remplir de jus. J'étais proche de l'orgasme.

Je ne pus me retenir plus longtemps, et remplis l'intimité de ma tante de mon sperme. Je m'excusai auprès d'elle qui n'avait pas pu jouir complètement. Elle me rassura, c'était la première fois que je pénétrais une femme. "Tu deviendras plus résistant avec le temps, et la nuit n'est pas finie," dit-elle avec un sourire en coin. "J'ai bien l'intention de jouir sur ta belle bite, mon beau neveu."

Nous restâmes ainsi un moment, nos corps enlacés l'un à l'autre, puis elle se redressa et me fit signe de la suivre. "Viens," dit-elle, sa main dans la mienne. "On va dans la chambre."

Elle m'emmena dans sa chambre, puis ferma la porte derrière nous. Elle se déshabilla lentement, me laissant admirer son corps magnifique. "Maintenant," dit-elle, se tournant vers moi, "je veux que tu me baises comme une salope!"

Je hochai la tête, mon désir montant de nouveau. J'étais à l'époque très friand des films érotiques, donc j'avais très bien compris ce que ma tante attendait de moi. Je la poussai sur le lit, puis me penchai sur elle, mes mains sur ses seins, je les caressai durement, jouant avec ces tétons, les mordillant sans retenue. Elle gémissait de plaisir, ses mains dans mes cheveux. Je la pénétrai d'un coup, ma bite glissant facilement dans son minou humide et remplit de mon sperme.

Je la baisais avec passion, mes coups de rein devenant de plus en plus forts. Elle criait mon nom, ses ongles enfoncés dans mon dos, et je pouvais sentir qu'elle était proche de l'orgasme. Vas-y, jouis, grosse salope, lui dis-je. Quelques secondes après, ses cris envahirent la pièce. Elle cria de plaisir, son corps se cambrant, puis se détendit, un sourire aux lèvres. Je me laissai aller peu après, ma queue pulsant mon jus dans sa chatte trempée.

"C'était très bon," dit-elle, essoufflée. Je souris, la serrant contre moi. "Oui, tu es vraiment bonne, ma cochonne de tante," répondis-je.

Nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre, nos corps enlacés et nos désirs assouvis.