Lucie, But Not Lucky (?)

BÊTA PUBLIQUE

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Je prends le temps d'une douche pour me débarrasser de cette odeur de foutre qui m'obsède. Je découvre devant la glace de la salle de bain des traces de foutre sur mon visage et dans mes cheveux, un frisson me parcours l'échine en pensant avoir passé le nuit comme ça.

Je ne retrouve pas ma culotte ni mon soutif, ce taré avait du les emmenés. Mes bas dans la poubelle sont hors d'usage. Je n'en fais pas objet, enfile ma robe et quitte prestement la chambre.

En passant devant la réception un groom me donne les clés de ma voiture et m'indique où je peux la trouver, je ne peux m'empêcher de rougir, sans aucune raison, ou peut être celle qu'un inconnu sache que j'étais la. La luxueuse enseigne d'un hôtel du centre-ville me tourne le dos en sortant.

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Paul lui laisse le temps de digérer la nouvelle, en lui proposant cet accord il observe ses réactions, son malaise croissant, elle se décompose mais surtout semble lâcher prise. Il sait en la voyant que c'est gagné et qu'il maîtrise cette jeune femelle.

Il aime cette relation de soumission avec les femmes, les jeux qui en découle sont souvent d'une grande perversité et laisse part à une grande part d'inventivité. Cela l'excite, il adore créer les situations, les contextes, les contraintes, son imagination déborde d'idée. Mais ses partenaires étaient jusque la consentantes et motivées à découvrir cette face cachée de la relation h/f, les rapports se faisaient à par égal d'intérêt.

Elle sera la première qu'il obligera à l'explorer contre sa volonté, l'idée de cette contrainte l'excite au plus haut point, il veut en jouir pleinement et espère pouvoir l'amener à dépasser ses limites. Il se fait fort de l'amener bien plus loin que toutes ses autres conquêtes.

Il n'est d'ailleurs pas pressé de la soumettre totalement, il espère que ce challenge sera très long pour profiter pleinement des situations, il l'espère résistante et combative.

Le prochain rdv se fera chez lui afin d'asseoir son emprise et son autorité sur cette jeune femelle, il pourra aisément lui fixé les conditions de leur relation.

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Un soir d'été - acte 2 : un vendredi noir

Une semaine passe sans aucune nouvelle de Paul, cela me rassure et je me mets à m'imaginer que cet accord n'était qu'une manière de me faire peur pour que je n'aille pas porter plainte et que ce jeu malsain s'arrêterait la.

Mais vendredi midi je prends une grosse claque en découvrant un texto dont le ton familier et cru d'un « Bonjour femelle » ne laissait aucun doute sur l'expéditeur.

Le texte était sobre, sans équivoque : « soirée à ma dispo 20h + adresse. Juste une robe et des bas, la chatte rasée. Une photo de tes seins dans les toilettes de ta boite pour confirmer que tu as bien reçus mes directives ».

Je suis sur le cul, quelle naïve je peux faire par moment, je relis le message, l'insulte intérieurement, et décide de finir mon repas et de réfléchir à tout ça. 15 mn après un autre message arrive avec une simple photo où l'on me voit le suçant au petit déjeuner à l'hôtel, 5mn après une autre aussi explicite me précisant qu'il ajoutera un destinataire supplémentaire à chaque nouvel envoie.

Je lui réponds prestement que je serai à l'entreprise que dans 30mn et que je lui enverrai la photo, un mensonge censé me laisser le temps de réfléchir à la question. Mais 30 mn après aucune solution miracle ne m'est apparue (elle a fait comment bernadette soubirous pour son miracle cette conne?? Cette pensée ne me fait même pas rire, je suis carrément stressée la). Je fais une tof de mes seins et lui envoie.

Je me convaincs de la nécessité d'y aller sinon il risque d'envoyer mes tofs à tout mon répertoire, j'essaierai de le résonner sur place. Je regarde l'adresse et vois que c'est à une vingtaine de minute environ de la ville, en campagne à proximité d'un petit bourg.

Je ne sais pas trop quelle conduite adopter, mais je ne vais sûrement pas me raser la chatte, trop beau pour ce porc, j'entretiens ma toison régulièrement et la considère bien soignée. Je me jette à fond dans le taf pour ne plus penser au rdv.

La fin d'aprèm arrive bien plus vite qu'espéré, je rentre, mange légèrement, et me prépare pour ce fichu rdv. La boule dans mon ventre grossit, une certaine rage pointe son nez, je le hais et me dis que malgré sa taille et sa carrure je lui dirai mon sentiment sur ce mec Qu'il a profité d'un moment de faiblesse pour que je lui donne mon accord mais que c'était fini, il n'allait pas me pourrir un autre we.

J arrive vers 20h15 n'ayant pas réussi à trouver facilement malgré mon gps, certainement un acte manqué pour ne pas y aller!

La maison est assez isolée, grande, cossue, comprenant un vaste terrain, le tout entouré de pin. Je sonne après une brève hésitation d'une main tremblante. J'ai préparé mon discours sur le chemin, me promettant de ne plus rien lâcher et d'expliquer que le chantage peu aussi être traduit en justice.

La porte s'ouvre et la stature de Paul s'encadre dans la porte.

- Bonjour, tu es en retard.

- Bonjour.

- Je vois que tu as déjà oublie les bonnes manières.

Je ne relève pas la remarque et le suis à l'intérieur. La pièce est immense, comprenant une cuisine ouverte, une déco et un aménagement raffinés contrastant avec l'apparence rustre de Paul. Je ne m'étais pas imaginée cela, m'attendant à découvrir le gourbi mal rangé d'un célibataire endurcis.

Je ne le laisse pas parler et commence ma négociation, déroulant mes arguments, quand une claque pas très forte mais sèche et bien appuyés m'arrête, je reste comme l'autre fois bouche bée. Je ne perçois pas qu'il pianote sur son téléphone.

- Regarde ton téléphone connasse.

Je découvre un nouveau message intitule « La grande suceuse » avec une photo prise de dessus quand j'ai les 2 bites dans la bouche à l'hôtel, mon visage est flouté, mais on voit parfaitement mes seins.

- Penses-tu que ta copine Valérie apprécie ce genre de photo?

Tu pourrais lui demander non?

Appelles la et dit lui que tu viens de recevoir une photo d'une fille suçant 2 bites, blague ou pub d'un site de rencontre?

Je m'exécute et quelle n'est pas ma surprise d'entendre Valérie me dire qu'elle vient de recevoir une photo similaire, mon cœur s'emballe, je comprends le jeu de Paul, je m'inquiète et demande à Valerie si elle a reconnu la femme de la photo, son « non » me soulage grave. Je raccroche et m'assois dans le canapé complètement effondrée.

- Alors qu'elle sera la suivante, celle où tu as les jambes grandes ouverte ou quand tu te fais prendre en levrette, et surtout à partir de quelle photo ton amie va deviner qui est la salope sur la photo?

Je parierai bien sur la 4eme, on peut aussi ajouter un autre destinataire à chaque envoi mais tu auras plus de chance d'être découverte.

Je l'entends à peine je me sens prise au piège dans un engrenage que je ne maîtrise pas.

- Alors petite femelle je n'entends plus tes arguments. Cela me plaît cette rébellion.

Je te laisse choisir le titre pour la prochaine photo, tu as une proposition?

Je ne redondai pas, le haïssant à mort

- Sauf si bien sur cela répond à ton argumentaire?

Et dans ce cas tu te mets à genou les mains sur la tête pour me parler

Je glisse du canapé pour me retrouver à genou mettant mes mains sur la tète sans motivation mais ne voulant pas un nouvel envoie à ma copine ou vers d'autre destinataire.

- Alors femelle une idée pour ce titre?

- Non Mr.

- Que dirais-tu d'un « open bar » pour celle où tu es jambes grandes ouvertes allongé sur le lit avec tes mains qui ouvre ta chatte en grand? Ou un titre moins bobo, du style « garage à bite »?

- Comme vous voulez.

- Tu n'as pas l'air motivée, ... j'opte pour le « garage à bite », plus parlant non? Alors je l'envoie?

- Non Mr ne l'envoyez pas s'il vous plaît.

- Mets le bas de ta robe dans ta bouche si tu n'as rien à dire d'intéressant et remets tes mains sur la tête

Je prends ma robe, la coince entre mes dents et dévoile ainsi mon sexe.

- Ta chatte n'est pas rasée, cela fait beaucoup d'erreur pour cette 1ere rencontre, écarte bien les jambes. Mais je serai indulgent comme tu découvres ton nouvel univers tu n'auras qu'une seule punition pour l'ensemble de tes manques.

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Paul alla se faire un café, revient s'asseoir dans le canapé pour le déguster avec lenteur savourant le spectacle qui s'offre à lui, il aime cette rébellion et en espère de nombreuse autres, cela pimentera le challenge d'éduquer cette jeune femelle à ses bons désirs.

Il est satisfait du choix de ce terme de femelle, il avait noté l'effet de son emploi pour parler de la femme lors du débat, elle avait réagi à chaque fois avec force pour le reprendre et dire qu'elles n'étaient pas des animaux. Sa nouvelle fonction en tant que femelle lui infligera beaucoup de conflits entre son fort caractère et l'apprentissage de sa soumission.

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Puis il s'offre un peu de lecture, sort son journal et laissant Lucie dans sa position ne s'occupant plus d'elle.

Je suis en colère de ne pas avoir réussi à lutter et d'obéir trop vite aux ordres ce gros con, mais pour l'instant je n'ai pas vraiment le choix. Il me laisse la comme une conne dans cette position si humiliante.

Ça doit faire environ 1 heure que je tiens cette position, les crampes dans les bras se font sentir, la position devient intenable. Je mâchouille régulièrement ma jupe essayant de reprendre quelques cm supplémentaires dans ma bouche afin de ne pas la laisser tomber.

- Je ne pensais pas que tu tiendrais petite salope, enlèves ta robe et remet tes mains sur ta tête.

- Est ce que je peux faire une pause? J'ai des crampes.

- Tu as 5mn mais profites en pour te caresser.

- Ca va pas non je ne me caresse pas comme ça.

- Comme tu veux dans ce cas remets tes mains sur ta tête mais si tu les enlèves ta punition va se rallonger.

Je choisis de remettre mes mains, me rapproche du canapé de Paul et me positionne à genou devant lui.

- Ecartes bien tes jambes,

j'obtempère mais mon regard tue Paul je lui aurai arraché les yeux avec grand plaisir.

Il vient de mettre sa chaussure contre ma chatte et commence à la caresser, mes mains cherchent à l'empêcher, mais une petite claque me rappelle à l'ordre, il joue avec ma chatte, la frottant ou écartant ses lèvres avec sa chaussure. Le contact est rugueux, désagréable et humiliant.

- Bien il est temps de faire plus ample connaissance, j'ai envie d'en savoir plus sur la vie de ma femelle, ses loisirs ses amies, ses expériences, ses passions, ..., qu'en dis-tu? Je n'ai aucun doute sur ta participation, je sais que tu adores parler de toi, alors commençons :

A quel âge ta 1ere bite?

J'ai un temps dans le vide, et ne réponds pas aussi vite qu'il le souhaite, sa chaussure donne des petits coups dans ma chatte.

- 18 ans.

- Pas précoce ça dis donc et ton 1er mec.

- 16 ans.

S'ensuit une heure de question pour me connaître, moi sa « future soumise » (j'en crève de l'entendre!), dans les moindres détails mes fantasmes, mes tabous, mes relations, ..., tout y passe, même mes manières de jouir, à la recherche du moindre détail, de la plus fine précisions sur mes habitudes de vie ou encore mes sentiments. Je me sens auscultée, détaillée, observée, mise à nu par ce plouc campagnard.

Durant tout l'interrogatoire, oui le mot n'est pas fort c'en est un, il joue avec ma chatte, frottant sa chaussure plus fortement ou me donnant des petits coups quand la réponse ne venait pas assez vite, appuyant fortement si la réponse lui semblait erronée ou incomplète. Je dois en plus me retenir de jouir, la répétition des frottements ne me laisse pas de marbre mais je n'ai pas envie de lui donner ce plaisir.

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Il contemplait les efforts de Lucie pour ne pas l'envoyer chier et répondre à toutes les questions, s'évertuant à ne pas donner de plaisir à son bourreau en réagissant aux frottements de ma chaussure qui malgré tout devenait de plus en plus luisante à la progression de l'échange. Elle ne lui cachait rien et répondait sans retenue, concentrée sûrement sur sa jouissance, même aux questions les plus intimes de sa personnalité. Il allait pouvoir jouer sur ses craintes, ses appréhensions, ses dégoûts, et lui faire repousser au plus loin ses limites.

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- Tu n'as pas joui mais je t'ai vu serrer les dents pour te retenir!

Voilà qui est très intéressant, comme tu l'as compris je vais faire de toi ma femelle soumise, tu as je pense de grandes capacités. Ton dressage sera sûrement long, du moins je l'espère, aussi vais-je te préciser quelques règles qui encadreront notre relation. Bien évidemment le non-respect d'une règle entraîne une punition qui se verra différente au regard de la faute.

Après je vais te punir des fautes commises aujourd'hui.

Je l'entends parler de moi comme d'un objet, la colère commence à m'envahir de nouveau. Il me liste une douzaine de règles précisant ce qu'il attend de moi dans notre relation, J'étais sous pression, chaque nouvelle règle me semble plus avilissante que la précédente, me reléguant au rang d'animal de compagnie.

Il me précise qu'il n'exigeait rien de moi dans la vie courante, aucune contrainte quotidienne ne viendrait perturber mes habitudes, pas de tenue ou de comportement particuliers. Certains challenges pourront être imposés mais rien ne mettra en péril mon taf ou mes relations sociales.

Mais il attend de moi une complète servitude lorsque je serai avec lui et que je connais les risques d'une rupture de l'accord. Il insiste sur le fait qu'aucune pratique ne mettra ma vie en danger ou prévoira des modifications corporelles permanentes.

Ces derniers propos me rassurent presque, cela me semble presque moins difficile à accepter que ce que j'imaginai au début, même si l'idée d'être soumise me révulse complètement. Je ne deviens qu'une soumise à temps partiel en fait, comme mon poste de secrétaire pensai-je! Je délire, mon esprit n'imprime plus la.

- Lèches ma chaussure, elle est recouverte de ta mouille puis vient me sucer.

Je me baisse, nettoies sa chaussure au mieux avec ma langue puis commence à sortir sa queue de son pantalon et à la sucer, mes bras me fond souffrir encore ankyloser par la position tenue pendant 2h. Il me met une grosse pince à linge sur le nez.

- Allez, montres moi à quoi te sert la piscine, on va vérifier si tu t'entraînes suffisamment. Quand tu suceras une bite tu devras te caresser, montrer à ton partenaire que tu prends plaisir à le sucer.

Allez exécution

Je commence à me caresser tout en douceur ne voulant pas lui donner la satisfaction de ma jouissance mais il m'ordonne d'accélérer. Je me concentre sur sa queue, tète le gland, lèche sa tige pour la rendre luisante, fais une escapade sur ses bourses pour les lécher et retourne m'occuper du gland. Je m'applique en espérant le faire jouir rapidement et surtout avant moi.

Mais je sens que ça monte et après les longues caresses de l'interrogatoire mon clito est encore gonflé au maximum, je sens sa chaussure rejoindre ma main. Son frottement est rapide, sans aucune douceur, elle s'active sans relâche, je ne peux plus me retenir, je craque, purée quelle connasse je jouiiiiiii et lâche un soupir étouffer par sa bite dans ma bouche. J'espère être passée inaperçue.

Mais mon corps trahit ma jouissance, je ne peux contenir les petits coups de bassin qui caractérise chacun de mes orgasmes. Ils ne s'arrêtent pas, continuant l'obscène frottement de ma chatte sur sa chaussure jusqu'à ma complète jouissance.

- Bien joui ma salope, c'est mignon tes petits mouvements, respires un coup tu es toute rouge!

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Paul ne se retient pas longtemps et lâche son jet de foutre dans sa bouche, lui maintenant la tête comme à l'hôtel pour qu'elle n'en perde pas une goutte. Il laisse son sexe débander tranquillement avant de le sortir de ce nouveau foyer dont il se promet de ne pas se lasser. Il lui enlève la pince à linge et l'entend prendre une longue inspiration pour reprendre son souffle.

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- Je vois qu'en effet ta résistance est bonne mais continue à t'entraîner, la tu n'avais pas toute la longueur de ma queue dans ta bouche. Bien maintenant terminons ce 1er rdv par ta punition.

Le terme me fait vite reprendre mes esprits, un stress commence à monter redoutant le pire même si son discours avant avait posé des limites, je n'imagine pas une simple réprimande.

Je dois me mettre à 4 pattes la tête baissée au sol dans mes bras, je sens un contact froid parcourir mes fesses et devine la forme de cette baguette. Paul me demande de la regarder, cette longue badine avec sa poignée ressemble à une cravache.

- Tu vois cela peut aussi servir à dresser les pouliches ou des juments récalcitrantes. Un petit rappel de tes erreurs : tu es arrivée avec quinze mn de retard, tu m'as manqué de respect à ton arrivée, ta chatte n'est pas rasée, un beau panel non?

C'est notre 1ere rencontre et je serai indulgent, seulement 5 coups par erreur pour te les rappeler, chacune d'elles en aurait méritée au moins 10,

Tu comptes chaque coup et tu me remercies d'un magnifique « votre femelle vous remercie de la corriger de ses erreurs » motivé!

Le 1er coup tombe direct, très sec et pince mes fesses je lâche un cri de surprise, après plusieurs secondes sans réaction, Paul me rappelle la règle.

- On recommence, on repartira au début à chaque erreur.

Le coup fuse et je m'empresse de le remercier malgré la douleur qui traverse mes fesses.

- « 1, votre femelle vous remercie de la corriger de ses erreurs ».

Les coups ne s'enchaînent pas comme je l'avais supposé, il prend son temps, caresse mes fesses, les tapotes avec sa badine me laissant le temps de me détendre pour me frapper à nouveau (une chair tendre est plus sensible!). Chaque coup est appuyé et me fait lâcher un petit cri, je commence à trembler, redoute le suivant, me concentre pour ne pas perdre le fil du compte, je ne tiendrai pas si l'on repartait à 0.

Au 15eme coup je pleure et m'effondre, mes fesse me brûle comme jamais, elles sont recouvertes de nombreuse zébrures d'un rouge bien foncé.

- Dans une petite semaine il n'y paraîtra plus, d'ici là elles te rappelleront ta nouvelle position de soumise. Tu trouveras bien une pommade pour l'après fessée en pharmacie.

Et il rit de sa boutade en plus ce con, alors que mes fesses me lancent continuellement, mon regard est lui crispé mais pas part le sourire.

- Je te laisse les règles, à apprendre pour notre prochaine rencontre, et à me copier 50 fois cela facilite la mémoire! Sans faute bien sur pour une secrétaire, sinon miss badine risque d'être de sortie.

Je prends la feuille qu'il me tend, me rhabille prestement, et rentre, le contact de mon siège auto me renvoie la réalité de l'état de mes fesses, en larmes sur tout le trajet je n'ai pas la force d'une douche en arrivant et je tombe à peine allongée dans la douceur de mon lit.

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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Le français laisse à désirer et ça me gâche le plaisir...

AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
merci

très bon texte peu de fautes un suspense qui nous change des autres histoires toujours trop rapides dans l'asservissement à mon gout

j'ai hâte de la suite

AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
La suite ?

Pour quand puissons nous espérer la suite ? :3 C'est excellent :3

AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans

Excellent Beaucoup de plaisir et d'excitation à suivre l'évolution de cette relation très progressive. L'expression du non-consentement fait tout le sel du plaisir. J'espère qu'il en sera de même pour la suite et que notre jeune "femelle" renoncera petit à petit et malgré elle à tout ce qui fait sa dignité… Prometteur

AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
Superbe

Très bonne histoire bien écrite!

J’aime beaucoup ces histoires d’avilissement qui vont crescendo. Très excitant!

Et on sent dès le début que les humiliations pourront aller très loin !!!

J’aime beaucoup le style de ce nouvel auteur!

Bravo et continuez ainsi ...!

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