Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 15 bis

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Un petit coup de badine plus appuyé sur la cuisse gauche calme un peu la fougue de ma rébellion.

Bernard, en amant attentionné, se fait pattes de velours lorsqu'il me monte sur le dos. Il est un peu désordonné et tente par petit coup de trouver l'entrée de la grotte à plaisir. Antoine s'apprête à lui venir en aide, mais Paul intervient.

- Laisse le se débrouiller tout seul cette fois, tu ne seras pas toujours là pour lui donner un coup de main. Il faut qu'il apprenne à monter sa dulcinée. C'est à elle de l'aider !

La fin du message m'est clairement destinée, mais il est hors de question que je cautionne, même un tant soit peu, cet acte révoltant. J'écarte néanmoins un peu plus mes cuisses pour éviter qu'il ne me ruine la déco de l'entrée ! Il est persévérant et parvient à ses fins, introduisant d'une seule traite son chibre imposant après avoir trouvé l'entrée de la grotte.

Ses coups de reins sont violents et ses 40 kg me secouent sans retenue en me faisant couiner dans mon bâillon. Mais s'il est puissant, par chance, il n'est pas très résistant et il ne lui faut que quelques minutes pour atteindre son nirvana. Je sens alors la base de son sexe gonflé démesurément. C'en est désagréable et presque un peu douloureux. Il va encore se retrouver coincé comme la dernière fois, ça n'apprend pas encore de ses erreurs à son âge? Je sais, je sais, c'est un réflexe chez lui pour engrosser sa partenaire. Paul a joué à Wikipedia et m'a expliqué le processus.

Aujourd'hui c'est une baise plaisir, il ne sait pas faire la différence? Enfin quand je dis plaisir je parle pour lui évidemment, ma libido ne va pas encore jusqu'aux amours animales ! Toujours est-il qu'il lui faut cinq bonnes minutes avant de me libérer par un désastreux et bruyant "pop" qui mettrait mal à l'aise toute dame de bonne société malgré leur orgasme si bruyamment exprimé juste auparavant !

Un bref coup d'œil à mon entrejambe, quelques rapides coups de langue pour éponger le surplus de semence et puis, satisfait, il retourne s'asseoir, la queue toute frétillante, enfin l'autre forcément, au pied de son maître. Quelques instants plus tard, Mike essaie par jeu de me faire grimper sur le reste d'un petit tronc d'arbre en restant à 4 pattes. Ce que je m'efforce de rater, aucunement motivée à lui faire ce plaisir. Déçu par mon manque d'agilité, il sonne le départ du retour.

Mon rythme de marche canine n'étant pas encore très rapide, il nous faut une vingtaine de minutes pour finir notre petite randonnée. J'aurais apprécié que Paul m'enlève la muselière pour rentrer, ce n'est pas du tout pratique pour respirer et je me trouve d'un ridicule avec ça sur le nez, c'est peu dire ! Ce n'est que du bonheur que de retrouver, après avoir franchi le portail, la douceur d'une pelouse aussi bien entretenue sous mes genoux !

Une gamelle pleine d'eau est mise à notre disposition tandis qu'ils s'offrent une bière. J'ai mis ma fierté depuis un moment au placard et c'est sans rechigner que je m'apprête à épancher ma soif lorsqu'il libère ma bouche de ses entraves. Mais Bernard est plus vivace et vide une grande partie de l'écuelle en seulement quelques coups de langue. La mienne n'est pas aussi agile et il me faut un petit moment avant de me rassasier du reliquat laissé. Surtout qu'après avoir commencé en aspirant peu discrètement le contenu, Mike est venu me rappeler, d'un petit coup de badine, d'avoir un peu plus de tenue et de laper seulement.

Ensuite, à la demande de Paul, je trouve, à genou, place à ses pieds. Il me caresse délicatement les cheveux comme tout bon animal de compagnie. Il y a des baffes qui se perdent, moi je vous le dis !

- Il a quel âge ton Beauceron Antoine, il est jeune non?

- Oui il n'a que deux ans seulement, tout juste adulte, c'est pour ça qu'il lui arrive encore d'être un peu foufou parfois.

- Tu l'as dressé?

- Bien sûr, je lui appris les bases, c'est indispensable qu'il se tienne avec les clients au bar. Par contre sa masse est suffisamment dissuasive au besoin sans avoir besoin de le transformer en chien de garde ! Et la tienne, c'en est où?

- Oh tu sais pour elle, on n'en est vraiment qu'au début, précise-t-il en me grattant l'arrière de la tête ! Elle a, je pense, encore beaucoup de progrès à faire avant de devenir un compagnon docile.

Si ses doigts passent à portée de bouche, je ne réponds de rien et décline toute responsabilité aux éventuels résultats des coups de crocs qui pourraient survenir !

- On pourrait peut-être tester sa propension à obéir, qu'en penses-tu? Et puis tiens, mieux que ça, je te propose de comparer avec Bernard. On leur donne des ordres et on voit celui qui réagit le mieux.

- Très bonne idée, ce petit jeu va nous occuper ! Mike peux-tu aller voir dans le garage si tu trouves une ou deux petites balles et passes-moi ta badine avant. Vas y Antoine ouvre le bal.

- Avec plaisir, Bernard ... Bernard ... au pied.

Bernard, à moitié assoupi sur l'herbe, se lève et rejoint nonchalamment son maître.

- Couché ... oui voilà bien ... assis ... oui très bien ... donne la patte, allons la patte. Bon comme je te le disais il ne fera jamais de numéro de cirque ! Essayons la balle pour voir ... allez va la chercher, lui demande-t-il après l'avoir lancée.

Bernard se précipite vers le référentiel bondissant cher à nos professeurs des écoles, tourne autour, le renifle, le pousse de la truffe et devant son peu d'intérêt quand il est à l'arrêt, il revient s'asseoir aux pieds d'Antoine sans le ramener !

- Il n'est pas très joueur parfois, commente son maître. Par contre il est très poli.

Il s'absente un court instant pour aller remplir la gamelle d'eau et la présente à son chien en revenant. Bernard cette fois reste assis sans se jeter sur son auge.

- Allez on dit merci avant de boire.

- Wouaf, lui répond-il !

- C'est bien tu peux boire. Convainquant non? Pourra-t-elle faire mieux?

- Voyons ça.

Il ne va pas oser quand même?

- Allez Lucie, couchée !

Mais si ... il ose ce con ! C'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnaît comme nous l'expliquait si justement Audiard, car ils osent tout ! Je le regarde, désespérée par ce petit jeu stupide, lui fais mes yeux de cocker pour l'attendrir, le sourire béat et la langue pendante, celle envieuse de sucer sa queue. Mais il ne se laisse pas attendrir et résiste aux chants des sirènes !

- Couchée, répète-t-il plus fermement en attrapant la badine dans sa main droite.

Je me résous à obéir, notant dans son regard qu'aucune compassion ne me sera accordée et que la case sanction me semble cochée ! S'ensuit, pendant une petite demi-heure, une ribambelle d'ordres en tous genres dont je vous ferais grâce tellement on est tombé bien bas ! Comment ça vous voulez savoir? Bande de dépravés. Alors, j'ai eu droit, dans le désordre et parfois répété, à des "donne la papatte, allez la papatte" ... à oui, j'ai aussi oublié de vous préciser que l'on est descendu très nettement côté âge mental !

Paul a agité la badine artisanale devant sa tête à la manière d'un chez d'orchestre en me donnant les ordres ... "va chercher la baballe ... c'est bien allez on ramène la baballe", "assise", "couchée", "fais le beau ... plus haut les mains ... voilà bien", "le susucre, c'est pour qui le susucre?" ça mériterait presque une photo, commente Mike parfois. Non merci, ça ne fait pas partie des souvenirs de vacances que je souhaite conserver ! Comme ultime récompense, après avoir croqué nerveusement le dernier "susucre" attribué, Paul m'offre sa queue à sucer.

- Alors qu'en penses-tu Antoine, ce n'est pas trop mal pour une débutante. Plus performante que Bernard j'ai trouvé.

- En effet, elle a un sacré potentiel. Je ne la pensais pas aussi motivée. Je ne l'ai pas encore assez pratiquée certainement !

À peine ai-je terminé cette turlutte que Mike accapare ma laisse et m'entraîne sur la pelouse. Déçu de ma prestation sur le tronc en forêt, il y a installé, pendant mon exercice d'obéissance, un petit parcours canin improvisé d'une dizaine d'éléments, pour m'aider à développer mon agilité me précise-t-il ! Le ridicule du jeu précédent ne m'ayant pas tué, même si par moment j'ai eu envie de m'enfoncer sous terre, je suis ses ordres quand il m'en fait exécuter un premier tour en mode découverte. Je rampe sous une planche entre deux chaises, grimpe sur une autre en équilibre sur un rondin, slalom entre quelques boites de conserve ou encore saute à travers un cerceau ! Antoine me succède avec Bernard qui se joue plus aisément que moi de ces obstacles.

Après ce petit échauffement, deux autres parcours me sont imposés, chronométrés ceux-là ! Il va sans dire que dans cet exercice Bernard m'a battu à plate couture. C'est épuisé, l'anus irrité par ce plug qui m'insupporte depuis un bon moment, les fesses légèrement marquées par une badine qui n'a eu cesse de m'encourager que je lape une nouvelle gamelle d'eau pour récupérer.

- Tu pourrais peut-être aller voir ton mâle pour le féliciter de cette victoire.

- Je suis rincé, on ne peut pas faire une petite pause?

- Je ne te vois pourtant pas tirer la langue ! rigole-t-il, je t'accorde un petit quart d'heure, mais après tu devras aller voir s'il a de nouveau envie de toi.

- ....

- Je n'ai rien entendu !

- Wouaf, finissé-je par concéder.

Le répit est de courte durée et lorsqu'il me demande d'aller remettre mon amant en forme, j'ai envie de lui lancer une longue plainte aiguë et déchirante !

- Alors qu'est-ce que tu attends, va te frotter à lui, renifle-lui la queue, donne-lui quelques coups de langue, va mettre ton sexe sous son nez, dépêches-toi. Et s'il veut te monter, laisse le faire, ne m'oblige pas à venir te voir, me précise-t-il.

Qu'est-ce que j'attends? Naïvement que tu changes d'avis ducon ! Que tu me dises "Lucie, désolé, c'était une bonne blague, on t'adore, vient plutôt goûter à nos queues". Bon aucun humour à ce que je vois, car Mike vient de saisir la badine pour m'aider à me motiver ! Cela en devient lassant ce fil rouge de la baguette, bande de lâches ! Bernard est en train de renifler quelques fleurs lorsque je vais m'essayer à la drague canine. Je ne dois pas encore en maîtriser tous les codes, car je prends un vent, un véritable râteau qui en d'autres occasions m'aurait vexé. Il est plus intéressé par un papillon batifolant au-dessus de ce parterre que par mon sex appeal !

Mon orgueil s'en remettra et c'est sous les encouragements d'Antoine qui entreprend de guider mes actes que je retourne à l'assaut. Après lui avoir présenté mes fesses à plusieurs reprises et tripoté du bout des doigts son engin, il semble être d'une autre humeur et vient gaîment fourrer sa truffe dans mon intimité. Je le trouve bien plus impatient et pataud que tout à l'heure et décide, à mon grand regret (!), de l'aider à me pénétrer pour éviter d'être blessée.

Il s'attarde cette fois un peu plus longtemps dans mon centre des voluptés, ressortant même parfois pour venir humer le lieu et s'imprégner de ses arômes, sans oublier de me faire profiter un peu de sa grosse langue baveuse avant d'y retourner. Il est encore loin de me faire jouir, mais j'ai les papilles labiales qui commencent à frémir fortement à force d'accueillir autant de queues de passage. Par contre il faudra vraiment lui apprendre à ne pas s'attacher à sa partenaire après avoir joui, car il nous faut presque un quart d'heure au milieu de la pelouse avant de nous séparer. Paul et ses deux compères ne ratent pas une occasion de commenter la scène !

L'heure du repas s'approchant, Paul invite Antoine à se taper la cloche en notre compagnie. Il s'en voudrait de mettre un terme trop rapidement à mon idylle, car depuis se seconde chevauchée Bernard ne m'a pratiquement plus quitté ! Paul ne m'aura rien épargné aujourd'hui, car même s'il m'assure que tous ces restes sont mangeables, c'est une gamelle pleine d'une bouillie informe que je dois partager avec le chien. Je lui laisse sans peine l'honneur, mon repas du soir va être plutôt frugal ! Je picore cependant, sous les encouragements de Mike, quelques pâtes et me tente à quelques bouchées d'un reste de gratin qui, froid, a un peu de mal à passer. Mais le plus difficile reste sans aucun doute de manger à leur pied ! C'est humiliant, avilissant, dégradant, déshonorant, rabaissant ... je m'arrête là, je n'ai plus de synonyme et l'heure du café gourmand approche !

Il ne faut pas longtemps pour obtenir mon dessert et soulager d'une bouche habile les trois comparses de leurs émotions de la journée. Mais alors que j'aperçois enfin le terme de cette journée horrible que Paul remarque un oubli !

- Et ton amant, il passe à l'as?

- Le ... le chien?

- Oui je n'en vois pas d'autres aujourd'hui !

- Wouaf wouaf là ! Je ne pourrai jamais arriver à le sucer.

- Mais si, mais si, tu t'en fais une montagne alors que ça ne reste qu'une simple queue. C'est la même que celle qui t'a baisé, tu vois rien d'extraordinaire.

- C'est celle d'un cleps et ça change tout ! C'est rouge, violacé, dégoulinant, beurk ! Je passe mon tour, je préférerais presque qu'il me baise à nouveau, c'est vous dire !

- Ne fais pas ta forte tête, Antoine va t'aider et fais-toi jouir en le suçant, je n'ai pas encore vu ton bassin trémousser de plaisir aujourd'hui.

Mike attrape mon collier et me tire jusqu'au chien, Antoine l'a couché et le caresse. Il prend ma main et l'amène sur son chibre, me guide pour le décalotter et approche mon visage de l'objet du délit. Le premier coup de langue est le plus difficile, après je ferme presque les yeux en le prenant dans ma bouche et commence à le suçoter sans entrain. La saveur n'est effectivement pas si repoussante et j'arrive à m'en débrouiller sans peine. Je m'active sur mon clito d'un doigt presque impatient pour penser à autre chose. Ma jouissance n'est pas très longue à venir, la sienne, par contre, prend bien plus de temps et je dois m'escrimer, sans extase aucune, pour en venir à bout.

Antoine, en connaisseur apparemment, l'anticipe et me bloque la tête, la queue de Bernard bien ancrée dans mon bec, pour que je récolte l'entier résultat de mon travail. Le goût n'est pas si horrible que ça, il serait même meilleur que certains foutres humains, mais l'idée d'avaler celui d'un animal m'est insupportable et je dois batailler ferme pour ne pas rendre cette semence à dame nature ! Un bisou forcé à ce vil dard et une moitié de gamelle d'eau froide plus tard, Paul me félicite de ma prestation et m'autorise à retrouver pleinement la parole. J'en aurai bien profité pour lâcher une longue tirade revendicatrice, mais cette journée éreintante m'a mise sur les genoux, et ce n'est pas qu'une image cette fois !

Je m'assoupis à moitié dans le transat qui traînait pour mon bonheur sur la terrasse alors que Paul sort un pousse-café de qualité pour finir la soirée avec ses amis. Je me souviens vaguement des deux ou trois coups de langue donnée par Bernard sur mon visage lors de son départ bien plus tard. Je ne sais pas vraiment dire non plus si c'est les bras de Mike ou ceux de Paul qui m'ont porté jusque dans mon lit, ni quelle main m'a retiré délicatement le plug, mais comment je l'ai apprécié ma couette !

Bizarrement, malgré cette journée surchargée en émotions et activités diverses, j'ai un mal de chien à retrouver le sommeil. Je navigue un long moment entre deux eaux, perturbée par ce que je viens de vivre, déboussolée par cette seconde expérience canine qui me laisse un infect goût amer. Cela n'aurait rien d'alarmant en temps normal, j'ai toujours eu un peu de mal à retrouver mon chemin, mais celui sur lequel on est en train de me pousser m'emmène vers des contrées marécageuse et nauséabonde et j'ai peur d'y perdre pied ! On serait plus proche du Mordor que de la Comté si la référence vous parle !

Mon corps a failli me trahir à nouveau lorsque Bernard m'a monté pour la seconde fois. J'ai vite riposté et sorti les barricades pour ne pas lui laisser gagner la bataille. J'ai même allumé un grand panneau clignotant "stop à l'orgasme" dans mon cerveau. Ça m'affole de réagir à ce point à l'insu de mon plein gré dans un acte aussi dégradant et humiliant. Certes je n'avais pas encore pris mon pied de la journée et mon sexe avait déjà été pas mal mis à contribution, mais quand même je suis loin de la nympho type ! Prendre du plaisir avec un animal c'est immonde, inavouable, indécent, déshonorant presque, et on est loin du teddy bear de son enfance ! Avec celui-là au moins on pouvait s'y réfugier en cas de chagrin !

A contrario, alors que mon corps me joue des tours, moi la fervente partisane de la gâterie buccale, l'adepte de la turlutte passionnée, la fanatique de la sucette langoureuse, la convaincue de l'ivresse des mignardises exaltées, moi dont la bouche ne rechigne pas à la tâche devant le chibre en action, j'ai détesté sucer ce braquemart canin. Une queue est une queue me direz, oui mais pas que ! C'est celle d'un cleps, d'un animal, inconcevable ! Ce truc tout violacé dégoulinant avec sa grosse boule à la base, beurk ! Des relents de son foutre me reviennent en bouche en y pensant et mon sexe tout poisseux et collé par cette semence me dégoûte ! Tout comme cette jouissance imposée d'ailleurs et difficilement arrachée à un clito en berne lors de cette pipe abjecte. Il y a des chances que quelques cauchemars me tarabustent cette nuit et que je me réveille en sueur pourchassée par ces vils souvenirs !

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