Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 13

BÊTA PUBLIQUE

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Tous s'écartent lorsque Paul vient récupérer la laisse, clôturant cette série de préliminaires et m'indiquant qu'il est temps de retrouver ma position canine. L'éclairage de la table s'atténue, quelques points lumineux au sol m'indiquent le chemin vers mon lupanar improvisé. C'est un immense matelas qui m'apparaît un peu plus loin, baignant dans un halo bleu pastel qui lui donne l'impression de flotter légèrement au-dessus du parquet. La procession s'organise vers ma nouvelle aire de jeu. Un air de jazz langoureux nous accompagne.

Ce n'est pas un, mais plusieurs matelas qui ont été assemblés laissant ainsi tout loisir de s'ébattre à notre aise sans risquer les affres du parquet. Je reste en position de levrette en son milieu, libérée une nouvelle fois de mon lien. Les chips se scindent en deux groupes, celui des cravates noires, dont Mike joue les chefs de file, vient se positionner en face de moi. Celui des nœuds pap, dont Paul fait partie, s'aligne en file indienne derrière moi. C'est lui d'ailleurs qui en maître de cérémonie, va ouvrir le bal et par conséquent la voie !

L'éclairage ne dépasse que de très peu les limites des matelas (terrain de jeux??) et la file des cravates se perd dans l'obscurité. Un projecteur, jouant le rôle de poursuite, vient juste me les faire deviner au gré de ses déplacements et me renvoie par moment la charge qui va dans peu de temps m'incomber. Cette réalité me dégrise un tant soit peu, laissant réapparaître en partie mes inquiétudes. Paul a placé sa capote sur mon dos, il prend son temps pour mettre sa queue en érection, la frottant tranquillement contre mes fesses. Il s'est penché sur mon cas et me susurre à l'oreille.

- Bon anniversaire petite femelle. Détends-toi, laisse-toi aller, laisse tes plaisirs t'emporter, lâche-toi. Tu transpires le désir, le besoin de les découvrir, mets ton cerveau en veille pour en profiter, laisse ton esprit s'immerger dans le stupre et ne penser qu'à toutes ces queues qui vont te posséder, laisse tes jouissances te transporter. Ils sont ici pour toi cette fois, uniquement pour toi. On a tout notre temps et on va le prendre pour ton plus grand plaisir !

Qu'est-ce qu'ils ont tous cette semaine à vouloir que je me lâche à ce point, j'ai réellement une tête de psychorigide, de coincée du shorty, de grenouille de bénitier? Le contact du plastique entourant sa queue contre mes lèvres me fait me contracter alors que mon sexe dégouline encore de l'effet des mains. L'introduction se fait en douceur, ses mains titillent mes tétons restés encore grandement sensibles par la séance d'étirement du début d'après-midi. Mike vient de suite occuper ma bouche, qui s'apprêtait à chouiner, par un chibre déjà prêt à l'action. Occupé de toute part, mon esprit se détache quelque peu du contexte. Les petits coups de reins de Paul me font rebondir sur la queue de Mike. Je le sens joueur, presque un peu taquin à me compliquer la tâche et je dois m'appliquer pour rester dans la cadence.

Il n'est pas aussi long qu'à l'accoutumée, lui aussi peut être émoustillé par la situation. Alors qu'il se vide dans sa capote, bien fiché au plus profond de ma chatte, il vient m'embrasser le cou avec un "happy bites day" petite salope. Ils auront d'ailleurs chacun cette petite phrase d'attention après leur éjaculation, seuls mes surnoms différeront !

Il est vite remplacé et je jouis dès cette seconde queue, une longue et fine légèrement cambré d'un éphèbe aux accents orientaux. J'en rougis presque de me lâcher aussi rapidement. J'ai le sentiment que cet orgasme emporte le trop-plein d'émotion de toutes sortes qui me submergent depuis le début de la journée. J'en ressens même un bien-être intérieur assez fort. C'est le déclencheur, peut être nécessaire, pour me déconnecter le cerveau en toute quiétude. Il me faut cependant encore un ou deux partenaires avant de me détendre complètement et de profiter en plein du moment présent.

Je ne sais pas vous, mais moi j'ai besoin de quelques instants de pause après une jouissance, j'ai le sexe contracté, le clito au bord de l'intolérance tactile, bref il faut me laisser le temps de redescendre ! Mais là, j'ai beau être l'invité d'honneur de la soirée, j'ai du mal à faire entendre ma voix, car il continue à me besogner tranquillement ... et ma pause bordel ! Je croise le regard de Paul qui est resté à proximité alors que les autres vont se restaurer une fois vidé. Il a l'air d'apprécier le spectacle.

Les chips sont tous au petit soin, régulièrement une coupe de champagne ou un morceau de gâteau vient m'écarter un court instant de ma tâche. Certains se présentent même à ma bouche la queue recouverte de crème chantilly, décorée de quelques fraises ou le gland préalablement trempé dans une coupe de bulles. Côté positions sexuelles, chaque nœud papillon vient avec sa vision des choses et la levrette se transforme très vite pour laisser place à leur imagination. Seule limite, je dois pouvoir en sucer une autre en même temps qu'ils me prennent !

On oublie l'exploit et le concours de figure artistique, place à la sensualité, à la poésie, à la douceur. Seule petite entorse lorsque le dernier m'a prise debout, les mains bien amarrées à mes cuisses et mes jambes autour des siennes. Mes mains au sol tentaient désespérément d'attraper la belle queue de ce black, allongé sur le matelas, qui n'en finissait pas de s'enfuir à chaque coup de boutoir !

Moi, qui m'étais promis, un jour, d'aller m'attarder dans les pages d'un kamasoutra histoire de parfaire ma culture, là j'en fais une révision complète ! Nous passons en revue toute la panoplie qu'une jeune fille de bonne famille de sociétés évoluées doit connaître sur le bout des lèvres avant de passer la bague au doigt. Nous enchaînons, de mémoire et dans le désordre, la brouette congolaise, le bigoudi fouineur irlandais, le triporteur sénégalais, le pousse-pousse cambodgien, l'ombrelle andalouse, le bobsleigh jamaïcain, l'hélico thaïlandais, le tourniquet javanais, le tire-bouchon malgache, le mouchoir japonais et le tramway de Shanghai ! Nous terminons ce tour du monde par le tricycle helvète très bien exécuté par un petit beur d'origine canadienne dont les charmes ne m'auraient pas laissée indifférente même en d'autres circonstances.

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- Alors qu'en penses-tu lui demande Mike, elle réagit bien mieux que nous l'espérions tu ne trouves pas?

- Oui j'en suis même un peu surpris, je m'attendais à quelques vitupérations au début, surtout après la mise du collier et la balade.

- Tu vois qu'elle s'y habitue, elle va finir par l'apprécier ce tour de cou !

- Je ne sais pas, mais à t'entendre je te sens avoir envie de l'utiliser plus souvent, non?

- Oui une petite balade en forêt serait magnifique. Tu l'imagines, avec juste son collier et le plug avec une queue de chienne dans les fesses, à t'accompagner dans ton bois? Aller j'arrête d'y rêver ça me remet en forme en un rien de temps et la seconde tournée n'est pas prête d'arriver !

- Profitons déjà d'aujourd'hui, nous aurons bien le temps d'organiser cette petite sortie.

- Oui tu as raison. Elle est bien la salle de ta commune.

- Oui, ils ont fait des aménagements il y a deux ans afin de pouvoir accueillir des spectacles. J'ai pu trouver une petite équipe technique pour s'occuper des projos et du son. Je leur ai promis une soirée en charmante compagnie pour les dédommager, ils doivent avoir le caleçon en folie à jouer les spectateurs impuissants !

- Tu vois c'était nécessaire de la balader un peu avant de venir, ce lieu doit rester un no man land pour elle. Ne rien pouvoir mettre comme attache laissera un souvenir plus enjolivé je trouve. Pas de lien avec le village.

- Oui je te l'accorde, tu as bien fait d'insister là-dessus. Réaliser un univers un peu surréel, fantastique, a pris plus de sens et d'effet.

- Tu crois qu'elle va tenir jusqu'au bout?

- Pourquoi pas, elle semble motivée et détendue tu ne trouves pas?

- Oui, mais après la pause la reprise sera dure, je pense, l'euphorie sera retombée et son corps risque de la faire souffrir.

- J'ai prévu quelques aides éventuelles, une panoplie de baume de grandes efficacités si jamais elle craque un peu trop, mais j'aimerai vraiment qu'elle arrive à se dépasser.

- Tu es joueur !

- Pas toi?

- Si, évidemment, le challenge est excitant.

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Aucun éjaculateur précoce dans le lot, j'ai amplement le temps de faire le tour du propriétaire et d'apprécier les moindres détails de l'anatomie de leur engin avant qu'il ne me fasse part de leur offrande. Je tente même de cacher mon dégoût pour le foutre afin de ne pas casser l'ambiance en affichant tant bien que mal un beau sourire après chaque livraison de protéines. Aucun mot plus haut que l'autre ni de gestes déplacés, pas de fesses meurtries par d'encourageantes claques à l'approche de la ligne d'arrivée, ni de seins maltraités par des poignes trop virulentes jouant les presses agrumes avec mes nichons. De vrai gentleman de la baise ... ce qui n'est pas pour me déplaire !

Trois autres jouissances m'emportent loin d'ici. J'ai depuis longtemps perdu le compte des bites qui m'ont possédé, ma chatte est gonflée, mais toujours humide de désir, mon clito ne semble jamais avoir débandé depuis qu'il a sorti sa petite tête de sa cabane, il est incroyablement sensible presque à m'en faire mal et mes tétons sont électriques ! Je flotte depuis un bon moment au-dessus du matelas, perdu dans des limbes inconnus, les sens exacerbés. Après quelques absences, je réalise que plus aucun dard ne me tient compagnie, certains chips m'entourent en attendant mon retour à la réalité.

- Tiens notre petite chienne revient parmi nous, alors redescendu sur terre? Pas complètement encore j'ai l'impression. Cela fait cinq minutes que tu es allongé sur le dos, les jambes grandes ouvertes, cherchant à attraper la prochaine bite d'une main alors que l'autre ouvre ta chatte dans l'attente d'une nouvelle possession, m'informe Paul.

Son discours m'aurait certainement embarrassé dans toute autre occasion, mais là encore toute embrumée des quatre jouissances qui m'ont transportée, plus intenses les unes que les autres, il me semble presque normal.

Acte 4 - Aux chibres ecetera ...

J'ai la bouche pâteuse, encore tout engluée par les filaments de foutre des deux dernières queues épongées. Une coupe m'aide à faire place nette. Tiens je n'ai pas eu l'estomac dérangé cette fois par cette infâme mixture, m'habituré-je ou ai je été trop occupée pour ne faire cas de ces remugles? Tout autour de moi une saine agitation se met en branle. On remet de l'ordre sur le buffet, on remplit les verres et les assiettes, on aligne soigneusement les treize condoms tout de foutre rempli sur un coin de la table ... Je me débarrasse sans grâce de quelques poils qui ont élu domicile entre mes dents avant d'engloutir la part de gâteau qui m'est proposée.

J'aurai bien posé mes fesses moi, j'ai les jambes en coton, mais pas une chaise à l'horizon. Alors que je m'apprête à jouer les pétasses en demandant à deux chips de faire office de porteur, Mike s'approche de moi un cadeau à la main. Je saisis délicatement le paquet et commence fébrilement à dénouer ... non je déconne, frustrée de ne pouvoir poser mon séant, je me défoule sur l'emballage ! L'écrin que je déniche contient un bracelet argenté finement ciselé.

- Cela mériterait-il une petite touche d'affection?

Je m'approche de lui pour me fendre du bisou réclamé. Ses yeux m'indiquent l'endroit sur lequel le déposer ! Alors je m'agenouille, attrape son sexe et dépose sur son gland un baiser, un tantinet perturbée de lui porter une telle attention après en avoir tant sucé ! Deux autres sont nécessaires pour le rassasier avant qu'il ne m'autorise à me relever. Ces bécots, sensuellement dispensés, donnent le départ à un ballet de paquets méticuleusement organisé. Ce sont les cravates qui s'y attellent en premier lieu. Un cadeau ... un happy ... un déballage ... un sourire ... un merci ... des bisous !

Un foulard, une guêpière, un ensemble de lingerie ... un porte-jarretelle à huit attaches, le modèle qui prend trois plombes à installer ! Ravage, Victoria secret, Aubade, Chantal Thomas, ne me croyez pas incollable je sais juste lire les étiquettes, tous les présents sont de bon goût, de qualité et forcement de ma taille ! Je vais finir par avoir une garde-robe aussi bien fournie que mon dressing-room chez Paul. J'imagine que lui seul et Mike en sont les bienfaiteurs. Je ne résiste pas parfois à jouer les mannequins et à me fendre d'un essayage.

Après une nouvelle pause à nous occuper de ce gâteau qui nous fera sans aucun doute la soirée, c'est une ribambelle de nœuds pap qui se charge de m'apporter la seconde partie des paquets et c'est Paul qui termine la distribution par un collier assorti au bracelet offert par Mike. Après ces deux bonnes heures de déballage effectué dans une ambiance assez feutrée, ce n'est pas ce dernier présent que Paul s'apprête à m'accrocher, mais la laisse annonçant l'ouverture du second round ! J'avoue que je l'aurai bien évité celui-là, je ne suis pas motivée le moins du monde pour remonter sur le ring. Je suis repue, rassasiée de sexe, la libido épanouie, le clito comblé, les sens en paix !

Ma salle de jeu est fermée, presque inutilisable, les lèvres rougies et encore toutes gonflées des précédents rapports. Seules quelques étoiles font encore leur apparition dans mon cerveau à cause d'un récent léger trop-plein de bulles. Aussi tenté-je de l'infléchir, je me fais chatte et câline, frottant contre son torse mes plus beaux atouts, lui caressant, dorlotant, cajolant, bichonnant discrètement son membre, lui réclamant un peu plus d'intimité, lui promettant mont et merveille si cette folle équipée se termine seulement à deux. Je suis prête à me donner corps et âme, toute à lui pour une fin d'épopée torride.

Mais il me demande de me taire, motus se serait exprimé Thierry Bécaro en voyant toutes ces boules, car ici les noirs peuvent être tirées sans risque. Je traîne la patte pour retourner au matelas et affiche une moue renfrognée lorsqu'il me tapote les fesses pour que je me mette en position. Les équipes ont inversé leur rôle, c'est le chibre de Paul que me fait face tandis que Mike m'arrache quelques couinements en me courtisant le sexe d'une main ferme et impétueuse.

Il s'affole rapidement, mon sexe pas Mike, une vague de chaleur le submerge et se propage dans tout mon bassin. Il ne retrouve pas toute sa fraîcheur, mais il s'enflamme à nouveau réclamant, à mon esprit dépendant, toute sorte d'attention. Quel artifice a-t-il pu utiliser pour lui redonner le goût du vice aussi rapidement? Il s'y introduit sans plus attendre, et à l'unisson de ce mouvement peace and love présent depuis le début de la soirée, commence à me besogner en douceur. Je le soupçonne d'avoir ingurgité quelques tranxènes pour pouvoir se contrôler ainsi !

Alors que Paul se retire et que je déglutis avec peine les restes de son foutre, le projecteur se fige quelques instants sur la file de chips qui me fait face. Elle décrit une légère courbe qui me permet cette fois de tous les apercevoir. En observant cette ribambelle de queues, un tant soit peu désabusée par ce qui m'attend, grand Jacques me traverse l'esprit ... au suivant, au suivant, me fredonne-t-il ! Mais la version qui me trotte dans la tête n'a que la consonance de l'original ...

"En tenue de soubrette devant toutes ses queues d'âne

J'avais le rouge aux joues et une bite à la main

« Au suivant, au suivant »

J'avais juste vingt-six ans et découvrais ces engins

qui allaient être le suivant de celui qui me prenait

« Au suivant, au suivant »

J'avais juste vingt-six et je me découvrais

Une libido naissante pour ces mâts de cocagne

« Au suivant, au suivant »"

J'arrête là, pour l'instant, mon tour de chant, car le gland circoncis d'un petit beur vient de me remplir le bec. C'était lui, je crois, l'initiateur du taxi congolais qui m'a amené vers mon second orgasme. Ou c'était la pirogue de zanzibar, je ne sais plus trop, je n'ai pas eu le temps de prendre des notes ! Quoi qu'il en soit je n'hésite pas à lui rendre la pareille et à lui prodiguer une pipe de haute volée. La pointe de ma langue redessine plusieurs fois les contours de son gland prêt à l'ouvrage en toute circonstance sans son manteau. Je le mordille ensuite légèrement avant d'entamer une longue et motivée série de succions.

Pendant ce temps, un Marseillais à la bonne mère tatouée en haut de son torse musclé me fait profiter de son accent chantant en même temps que de son autre organe, ils sont en phase, sur le même ton ! S'ensuit la douceur de la peau d'en grand black qui oubliant la consigne quelques instants me fait profiter de sa fine musculature en me baladant un moment sur les matelas, le sexe bien ancré dans ma chatte avant de se faire rappeler à l'ordre par son compère de l'équipe adverse en quête de ma bouche. De retour sur le plancher des vaches, je m'attache à faire frémir la grosse veine bleue du braquemart andalou revendicatif.

Après cinq ou six étalons et deux autres jouissances, mon corps vient de rendre les armes. Alors qu'au départ mon esprit avait obstinément refusé d'accepter l'idée que cet étalage de queues allait être à satisfaire et qu'elles allaient toutes me posséder, c'est mon corps qui avait finalement pris le dessus et permis de laisser exprimer mon plaisir. C'est lui maintenant qui me dit merde et fait un bras d'honneur à la suite des festivités. Il n'en veut plus, il n'en peut plus, toutes ces bites sont devenues persona non grata !

J'ai beau souffler comme une folle pour me maîtriser, me concentrer sur celle que je suce, rien à faire, celle qui me pistonne, même en douceur, me ravage le vagin et me fait couiner de douleur. J'ai le popotin qui tente de fuir toute nouvelle intrusion, mais il a beau se trémousser dans tous les sens elles arrivent toujours à leur fin. C'est la bérézina, j'ai le berlingot cramoisi, la boite à ouvrage à la peine, l'abricot au supplice, la moniche en plein calvaire, le nid d'amour abandonné, la porte cochère toute grinçante, la fontaine à plaisir asséchée !

Ils auront beau utiliser tous les baumes du monde, la seule vue d'une queue en approche de ma case trésor me hérisse les poils, c'est une image, j'ai le minou aussi lisse que le crâne d'Obispo. J'en aurai presque pleuré, mais maintenant que je suis grande je ne peux plus me permettre. Et puis merde, je ferais des efforts plus tard, quelques larmes font leur apparition sous une nouvelle introduction. Paul est à mes côtés, il s'escrime à venir une nouvelle fois à mon secours et me motive en me bichonnant.

Malgré tous ses efforts, chaque nouvelle queue est une sinécure, chaque pénétration une torture. J'en couine, râle, vocifère, insulte même parfois le quidam à la queue qui me baise et exacerbe mes émois. Mes lèvres comme mes nerfs sont à vif ! Je viens en plus de choper une horrible crampe à la mâchoire, je n'arrive plus à la refermer ! Le chip voyant mon incapacité momentanée s'attache à faire coulisser son chibre dans ma goule grande ouverte. Je me contente d'agrémenter leur séjour dans mon palais à bouffarde par quelques coups de langue savamment placés. C'est seulement à la fin de la suivante que je retrouve en partie mes facultés.

Étonnamment depuis le début de ce second round, j'ai le droit a une petite exploration de son sexe avant chaque introduction. Quelques doigts viennent titiller mon point G, comme s'ils avaient besoin de repérer les lieux avant de s'y aventurer et de s'assurer de son confort. Ils ne s'y attardent pas trop, juste ce qu'il faut pour le maintenir en éveil et le gorger progressivement d'un désir insatiable. Cela ne résout toutefois pas les déboires du reste de mon sexe et de mon corps, car même mes tétons n'acceptent plus qu'on leur fasse la cour ! Les deux dernières bites ont été horribles et Paul a dû me tenir pour que je les accepte.