Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 13

BÊTA PUBLIQUE

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- Paul est le président d'une association, "meteteoudidoncdinoustout", à vocation culturelle qui organise plusieurs événements sur la commune et celles alentours. C'est un de ses fiefs où il y exprime l'un de ses nombreux penses temps. Aujourd'hui c'est l'ouverture d'un festival photo, qui accueille une quinzaine d'artistes internationaux, et qui animera la commune pendant quelques mois.

Je suis surprise, moi qui pensais arriver à la fête du village ou à l'élection de miss bouboule ! Après encore un petit quart d'heure d'attente, Paul s'installe au micro, réclame un peu de silence et entame son discours inaugural. Il est sobre, précis, efficace et en une dizaine de minutes il retrace brièvement l'historique de ces vingt années qui ont vu évoluer cette manifestation, nous rappelle les orientations politiques de son asso et nous évoque les thématiques de l'édition de cette année. Je ne lui connaissais pas ce talent de tribun.

S'ensuivent les speechs plus sobres de deux ou trois huiles qui ne peuvent s'empêcher de prendre la parole pour rappeler tout le soutien qu'il porte à cet événement. Ils ne tarissent pas d'éloges sur l'organisation, les bénévoles, les retombées sur le territoire ... Paul récupère ensuite la parole pour clôturer par les incontournables remerciements et inviter son auditoire à découvrir les réalisations. Nous n'échapperons pas à la visite !

Un cortège, aux intonations joyeuses, se met en branle pour rejoindre le premier lieu d'exposition où deux immenses photos recouvrant le mur du pignon d'une grande maison ouvrent le bal. Certaines huiles nous quittent après seulement quelques clichés prétextant un emploi du temps surchargé en inauguration en tout genre. C'est une petite vingtaine de personnes qui tient lieu de public aux commentaires de Paul qui vient de se transformer en guide pour l'occasion. Il maîtrise son sujet et nous présente à chaque fois l'artiste, sa démarche et son œuvre. Il n'a même pas besoin de jouer de son charisme pour captiver l'assemblée !

- Je crois que depuis le début de notre ballade tu fais l'unanimité des élus, car ils ont tous au moins à un moment donné passé quelques secondes à détailler tes charmes, me fait remarquer Mike profitant d'être collé à mon dos pour détailler l'expression d'une mama prenant la pause devant l'objectif pour me palper le popotin. Certains de manière plus appuyée que d'autres s'attardent régulièrement avec envie sur la grâce du déhanchement de tes fesses.

Je ne sais trop comment prendre ce compliment, dans sa bouche il peut tellement être empreint de sous-entendus. En chaperon attentionné, il viendra à plusieurs reprises tout au long du parcours s'enquérir de l'état de mon entre jambes. Malgré notre rythme dominical, mon attention s'étiole au gré de notre déambulation. Les boules se sont installées confortablement au fond de mon vagin et jouent langoureusement avec ses parois à chacun de mes déplacements. L'état de mon string reflète leurs effets !

Il nous faut deux heures pour venir au bout de l'expo et prendre congé de nos hôtes. Les miens, plus intimes, ont inlassablement continué leur travail de sape. Sans être au bord de l'orgasme, un certain désir exacerbé à fait son apparition depuis un petit moment. Je ne serais pas déçu de voir partir quelques doigts en exploration pour soulager la tension de mon clito ! Avant de partir Paul donne encore quelques consignes au pot de peinture qui l'a accueilli, elle fait office de chargé de mission de l'asso me précise Mike.

Arrivée à la voiture, j"hésite à quémander l'autorisation d'un instant de plaisir. Un reste de savoir-vivre me fait me censurer, mes penchants de salope ne doivent pas être assez développés. Mike s'installe sur le siège arrière à mes côtés, j'espère presque sentir ses mains sur mes cuisses, mais c'est de mes yeux dont il s'occupe en les bandant avec un foulard de soi rose.

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Paul se réjouit de l'effet des boules de geishas, une valeur sûre pour mettre les sens en éveil. Mike, qui avait pour mission d'observer Lucie progresser vers le plaisir, a bien noté le début de frustration qui faisait jour. Il avait même remarqué, dans la dernière partie de l'expo, quelques mouvements de cuisses presque imperceptibles trahissant l'envie qui était en train d'enfler dans sexe. Mais le contexte ne lui permettait pas de s'accorder ce plaisir solitaire, aucune échappatoire possible pour donner libre cours à ses sens. Paul ne l'aurait pas, de toute façon, autorisée à se lâcher. Il espère ainsi la mettre en condition et lui permettre d'aborder plus facilement la suite d'un programme très chargé.

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Acte 3 - Un autre monde.

Tout au long du trajet ils ne pipent mot. C'est étrange, eux qui sont en toutes occasions si loquaces. Malgré un petit fond musical, ce silence en serait presque pesant, contrastant avec l'engouement et l'effervescence perçus tout au long de mon habillage lorsqu'ils me tournaient autour comme des mouches à merde pour admirer le résultat de chaque vêtement enfilé.

Je dois lutter contre les besoins de mon sexe et ma curiosité maladive pour ne pas enlever ce frustrant bandeau. j'ai une envie folle de découvrir où ils m'emmènent. Je tente, sans grand succès, d'imaginer le trajet cherchant d'une oreille attentive tous les menus indices qui pourraient m'y aider. Mais à part le son d'un clocher et les beuglements d'une ou deux vaches en chaleurs, je n'ai rien de bien probant à me mettre sous la dent. Seul le bruit d'une circulation presque inexistante m'indique que nous ne nous rendons pas vers la ville. Je ne serais pas d'une grande utilité si on m'enlevait. Il est vrai que je n'ai pas toujours un sens de l'orientation très développé !

C'est après une vingtaine de minutes de réflexion forcée passée à jouer les Sherlock amateurs que Paul coupe son moteur. Mes frustrations se sont à peine atténuées. Un bruit de portière et je sens les mains de Mike venir me prendre le bras pour m'inviter à sortir du véhicule. Une fois que je m'en suis péniblement extirpé, pas facile ces interminables robes moulantes pour se mouvoir aisément (!), il m'offre le sien pour me servir de guide. Un air frais m'accueille et me fait parvenir de légères odeurs de campagne. Ça pue l'épandage ! Il me semblait pourtant que nous n'étions plus en période. Et oui on se cultive à force de baigner tous les week-ends au milieu des bouses de vaches !

Après avoir franchi quelques portes, mes escarpins résonnent sur un plancher. Le son si particulier d'un espace vide, à l'instar du cerveau de Nabila, et un très léger écho me laissent à penser que nous sommes arrivés dans une grande salle. Mon chien d'aveugle m'abandonne et je reste un peu désorientée à dandiner légèrement d'un pied sur l'autre pendant quelques minutes avant que Paul ne redonne enfin vie à mon cinquième sens.

Une petite boule au ventre, provoquée par un début d'inquiétude, avait eu le temps de faire son apparition lors cette attente esseulée. Je me sens tiraillée entre une certaine exaltation, une griserie suscitée par cette mise en scène si originale et la peur d'affronter une nouvelle situation lubrique dont Paul a le secret.

Impossible de confirmer mon impression sur la grandeur du lieu qui nous accueille, la pièce est plongée dans l'obscurité. Seul un faisceau de lumière provenant, je suppose, d'un projecteur au plafond éclaire un valet de chambre en bois au style rétro situé à mes côtés. J'y découvre, un tantinet dépitée, la laisse et le collier en cuir rouge à mon nom accroché dessus. Ma tenue devrait prochainement perdre un peu de sa splendeur !

Lorsque Paul entame mon effeuillage, avec toujours autant de délicatesse, je comprends que ma transformation va prendre un ton plus extrême qu'envisagé. Et dire que pendant le trajet en voiture je me suis laissé aller à supposer, à imaginer, à espérer presque une fin d'après-midi à flâner tranquillement au milieu des boutiques pour réaliser quelques emplettes et me faire offrir, au rythme de mes caprices, quelques tenues seyantes à mon goût. Nous aurions terminé ce petit shopping par un somptueux restaurant à l'ambiance feutrée, à la carte novatrice et épicurienne, sur laquelle, dans un esprit des temps jadis, ne sont pas affichés les prix pour celle des dames ! J'en avais presque les papilles qui commençaient à saliver ! On ne se refait pas, blonde un jour, blonde pour toujours !

Mike lui sert d'assistant, il offre son bras droit pour accueillir mes vêtements avant de les poser sur le valet. Quand Paul fixe le collier à mon cou, il ne me reste plus que mes escarpins comme unique parure. Étonnement je pointe, sans raison aucune, rien de vraiment émoustillant à se faire désaper de la sorte. Un reste des étirements mammaires peut-être? Paul, en remarquant l'état de ma poitrine ne peut s'empêcher de venir titiller un peu mes anneaux et de redessiner le galbe de mes seins. Comme je m'apprête à briser l'omerta, son index vient rapidement se poser sur mes lèvres afin de censurer ma liberté d'expression. Il s'attache à dénicher entre mes autres lèvres le filet des boules de geishas et délivre mon sexe de leur présence. Toutes luisantes et dégoulinantes de mes sécrétions, il les fixe sur le valet. Comme après chaque période de longue possession, mon vagin se retrouve en manque par ce vide subitement créer et en appelle à de vives compensations lorgnant sur la moindre queue à l'horizon !

Puis, après avoir jeté un dernier regard sur mes charmes enveloppés par la douceur du projecteur, sa main ferme vient se poser sur mon épaule pour m'inciter à me mettre à quatre pattes. Nous entamons sans plus attendre, ma laisse entre ses mains, à faire le tour du valet. Nous nous en éloignons progressivement toujours en effectuant des cercles concentriques. Je ne m'y fais pas à cette posture, je la trouve rabaissante au plus haut point, dégradante, avilissante. Je suis mortifiée, mon amour-propre en prend à chaque fois un sacré coup. Mes yeux ont du mal à s'habituer à l'obscurité à cause du projeteur qui nous accompagne dans cette balade.

Je me sens observée, avec cette sensation fugace de voir des mouvements. Je les devine plutôt, les ressent, car j'ai beau relever la tête et scruter dans tous les sens, rien de ne m'apparaît clairement. J'ai presque l'impression par moment que quelques souffles viennent me caresser le haut du crâne. Ils sont là, autour de moi, j'en suis certaine, à attendre patiemment de découvrir tous mes atouts dans cette exhibition humiliante. Suis-je en train de me faire des films, de fantasmer, de fabuler? En aurai-je réellement envie de me voir ainsi désirer?

Après une bonne dizaine de minutes d'une déambulation, toute sauf digestive, qui n'a fait qu'accroître ma boule déjà bien présente, un léger murmure s'échappe des contours de la salle. Nous nous arrêtons et tendons l'oreille à ce qui tient plus de l'incantation ou de la vocalise qu'à un véritable chant. Il s'amplifie doucement, devient perceptible et finit par se transformer pour entonner vigoureusement un "happy birthday to you" porté par un bel ensemble de voix. Le projecteur nous quitte pour aller furtivement éclairer cette chorale.

Au gré de ses déplacements, il me laisse entrevoir des bras, des jambes des torses, des sexes, un amas de chair humaine qui chante maintenant à gorge déployée remplissant la salle de leurs voix graves. Les couplets s'enchaînent, mais ne se ressemblent pas, on alterne subtilement les happy birthday aux happy bite day to you ! Malgré cette allusion déplacée et ma posture exagérément inconvenante, je ne peux retenir un début d'émoi que traduit la chair de poule qui me parcourt tout le corps depuis quelques instants. Comme quoi on peut être à poil, en position de chienne, devant un parterre de queues qui pour certaines battent la mesure comme de véritables métronomes et se laisser emporter par ses émotions !

Ils forment, me semble-t-il, un arc de cercle qui se restreint inexorablement en se rapprochant. Lorsque, enfin, la poursuite se fige et s'élargit pour me faire découvrir le groupe de chanteurs amateurs dans son ensemble, ils ne sont plus qu'à deux trois mètres de nous. Il y a des blacks, des beurs, des cafés crème, des cafés sans crème, des petits jaunes, des visages pâles ... une véritable publicité pour Benetton ! On peut dire vulgairement qu'ils sont tous bien gaulés ! On n'est pas dans un concours de mister univers, ni dans un championnat de body-building, mais ce panel de corps aux muscles parfois bien découpés, aux petits culs bien dessinés est beau à voir, poignant, presque touchant. Ils me font penser à des chippendales.

Face à moi, toute cette barbaque, tous ces sexes en tout genre qui pendouillent relèvent quelque peu d'une fantasmagorie déplacée. Car de ce côté-là, non plus, rien à redire. Je n'aperçois rien de surdimensionné, aucun John Holmes dans le lot, mais ils ont tous fière allure. Tous ces choristes sont nus, enfin presque, ils ont, comme moi, un petit signe distinctif autour du cou, un nœud papillon rouge pour certains, une petite cravate noire pour d'autres.

L'un d'entre eux, à la carrure un peu plus développée que John Belushi, mais au regard tout aussi enjôleur, se met à entamer un "every body need somebody to love" avec énergie, rapidement repris en chœur par le reste de l'assemblée. Une symbolique où une prémonition le choix de ce titre? Car je ne suis pas gourmande, un peu d'affection suffit amplement à me contenter en général.

J'ai du mal à détacher mon regard de tous ces appendices ballottant au rythme de cette reprise du blues des Stones. Non pas par pur intérêt ni par curiosité déplacée, je commence à maîtriser le sujet, mais je n'en avais jamais vu autant en une seule fois et c'est impressionnant ! Une foule de pensées envahissent ma petite tête, cela se bouscule au portillon. J'imagine aisément qu'elles ne sont pas là uniquement pour le décor et qu'elles comptent bien servir à un moment donné. Étant le seul sexe opposé dans l'assistance, il semblerait qu'elles me soient destinées, je ne suppose pas un seul instant une démonstration de gang bang gay à mon intention ! Je me vois mal entreprendre de soulager autant de queues en une seule soirée, cette simple pensée me fait frissonner. J'essaie de me concentrer sur le moment présent pour ne pas laisser mes appréhensions sur la suite des événements prendre le dessus.

Quand est-ce qu'ils vont arrêtez de bouger que je puisse jouer à Rain man ... 21 ... 22 ... 23 ... 24. Purée 24, ils sont bien plus que je ne l'imaginais. Le nombre résonne dans ma tête, 24 queues, 24 paires de couilles, 24 paires d'yeux qui m'observent un grand sourire aux lèvres pendant leur sérénade. Que dis-je 24, 26 pardon, j'avais oublié deux protagonistes, les deux organisateurs de cette garden-party pour chibres délaissés. Paul et Mike sont en train de se déshabiller pour se mettre à l'unisson des invités. J'en déduis donc qu'ils seront eux aussi de la fête.

Trois d'entre eux viennent de poser un genou par terre et tendre leur bras droit dans ma direction. Leurs mains s'agitent à quelques centimètres de ma figure et m'annoncent la fin de leur représentation. Paul m'autorise à me relever et détache ma laisse. L'émotion de l'introduction est en train de se transformer en angoisse. Il note le désarroi et l'anxiété dans mon regard et tente de venir à mon secours.

- Ne t'inquiète pas tout va bien se passer, ils ont été triés sur le volet et sont très bien éduqués. C'est une soirée en douceur qui t'attend, elle est organisée en ton honneur, on ne pouvait pas rater l'occasion. 26 queues pour tes 26 ans quoi de plus beau pour l'épicurienne que tu es en train de devenir.

J'apprécie l'honneur qui m'est fait, mais j'ai du mal à envisager la douceur avec autant de bidoche sur les endosses et à dénicher le moindre plaisir à soulager autant d'attributs. Chacun son point de vue, ça dépend de quel côté de la bite tu te positionnes ! Je représente quoi pour eux? Un savoureux bonbon qu'ils vont devoir se partager? Une simple prestation à honorer? Une salope dont les désirs sont à éprouver? Une nympho à rassasier? Une délurée en quête d'exploit tout juste bonne à baiser? Une libertine aux envies quelque peu démesurées? Une frigide maladive qui court désespérément après une libido abandonnée?

Pour couper court à ma montée de stress, il m'invite à aller faire connaissance avec mes futurs Casanova. J'ai l'impression d'être jetée en pâture, mais contrairement à mes craintes les premiers contacts se font dans le plus grand respect. Chacun vient se présenter, me donner son prénom, la taille de son sexe, sa position préférée ... autant de détails dont je ne me souviendrais plus dans quelques minutes. Je n'ai pas, de mon côté, besoin de faire cet effort, mon prénom s'affichant en grand sur mon collier. Ils prennent à chaque fois le temps de me découvrir en laissant leurs doigts baguenauder délicatement sur mes charmes. Aucune partie de mon corps n'est laissée en jachère, sauf mon sexe qu'ils évitent consciencieusement. Une consigne de Paul?

Pendant cette longue prise de connaissance, deux autres projecteurs ont découvert une large tablée située dernière nous. Au centre un immense gâteau, une tarte aux fruits rouges à l'allure appétissante et qui doit bien faire un mètre de diamètre. En son centre trône un majestueux braquemart rose bonbon en sucre glace, on ne doit pas être très loin de mister Siffredi là ! 25 autres petites bougies, toujours à l'effigie de pénis en érection, l'accompagnent. Disséminées çà et là, des capotes garnissent aussi cette gigantesque pâtisserie. 26 je suppose, j'ai le sentiment que c'est le chiffre de la soirée. Un "happy bite day" décore la partie haute du gâteau et affiche clairement la thématique de ma fin de journée. La tête du pâtissier lorsque Paul lui aura précisé ce détail !

De chaque côté, une kyrielle de flûtes et de bouteilles de champagne qui pourraient satisfaire la moitié du village n'attendent que quelques mains secourables pour aller contenter les palais. À proximité, des boites rouges ou noirs souhaitent impatiemment que mes doigts fébriles dénouent délicatement les rubans de ces cadeaux. Mike s'attache à remplir les flûtes alors que Paul fait le service. Une fois que tous mes boys scouts ont reçu leur coupette, ils vont se positionner à proximité de la table, de part et d'autre du gâteau. Je suis, de mon côté, restée comme une potiche, le verre à la main, complètement subjuguée par le spectacle qui se déroule sous mes yeux observant Paul allumer chacune des bougies.

Je démontre une nouvelle fois que mes séances de piscine ne sont pas vaines en en venant à bout en une seule traite. Ils lèvent leur verre pour porter un toast à ma santé, Paul immortalise l'instant par quelques clichés, alors que je bois le mien cul sec, signe évident de l'état de stress dans lequel je me trouve ! Deux chips, comme je n'ai pas retenu leur prénom ce sera leur diminutif, viennent ensuite me prendre et je me retrouve au milieu du groupe allongée dans les bras de quatre d'entre eux pour une photo souvenir. J'éviterai de la laisser traîner dans l'album de famille celle-là ! Une autre, sans ma présence, est réalisée, je pourrais ainsi, me propose Paul, choisir celle que je voudrais conserver !

Sans plus attendre Mike s'attache à la découpe de quelques parts de gâteau. Nous nous retrouvons rapidement les mains pleines à le déguster, en partie empotés avec cette assiette et la coupe. Je devise avec les autres convives comme si nous étions à l'anniversaire d'une lointaine cousine. Seule différence, on est tous à poil et je suis l'objet de convoitise des nombreuses mains de l'assistance. Il y en a toujours quelques-unes qui jouent les exploratrices. Avec ces incessants attouchements mon corps va finir par transpirer le désir et l'excitation, mes tétons d'ailleurs dardent fièrement depuis déjà un bon moment.

Après deux ou trois coupes une certaine euphorie me transporte, l'effet bulles très certainement, elles ont toujours eu pour habitude de me faire partir assez rapidement. Paul vient de me remettre la laisse, un signe assurément du départ des festivités, car tous posent leur verre et viennent m'entourer. Une deux cinq dix mains me rejoignent et me caressent ne laissant cette fois aucune partie de mon corps en manque de tendresse. Cet essaim de doigts en vadrouilles est loin de la nuée de camionneurs qui me malaxait tel le mitron dont la ferveur à l'ouvrage trahissait son impatience de remplacer sa miche de pâte par celles de la patronne pendant que son jules fait les tournées aux villages. Mon sexe n'est plus épargné et il devient même un sujet d'attention très privilégié.