Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 11

BÊTA PUBLIQUE

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Les deux autres, des Laurel et Hardy de la gaudriole se sont presque enchaînés. Il n'avait que la taille de petit le maigrichon, mais la dimension ne fait pas tout. Impatient, brouillon, désordonné, subjugué par mes piercings qu'il n'a pas lâchés un seul instant, il ne lui a fallu que quelques aller-retour pour venir à bout de son désir.

Son confrère de scène, un gros adipeux, m'a fait profiter de son quintal pendant toute la durée de mon service. Il était plutôt répertorié dans l'autre catégorie, celle des peines à jouir, des coincés de l'orgasme, des tardifs du bigoudi gicleur. Suant à grosses gouttes, me maltraitant les miches avec ses battoirs de déménageur, il m'a prise debout, le ventre écrasé contre le rebord du lavabo. Ses bajoues collées en permanence à mon visage m'ont fait profiter de son haleine fétide. Il m'a besogné sans exploit, mais au rythme soutenu d'un marathonien éthiopien.

Le miroir me renvoyait une image de moi que je ne connaissais pas. Elle m'inquiétait, m'effrayait et surtout me dégoûtait. Comment pouvais-je accepter ça? Comment pouvais-je me laisser baiser par cet immonde poussah dans ce chiotte sordide sans réagir? Comment ai-je réussi à tomber aussi bas? Il en aurait presque eu raison le macho, j'ai l'air, ou tout du moins l'attitude, d'une salope en manque de queue en goguette un samedi soir. On n'est pas loin de la pute là!

Comme les autres, il s'est étonné de voir le rosebud entre mes fesses, il m'a même prise pour une inconditionnelle de la petite porte à le porter en permanence. Certains ont joué un peu avec, testant par là même l'élasticité et la souplesse de ma rondelle accueillante. Mais aucun, comme l'avait supposé Paul, n'a tenté de le remplacer par un chibre en chair et sans os, ni en a même évoqué l'idée.

Ce garde-barrière a fait son job! Je ne vais pas non plus en tomber amoureuse, loin de là, le reste du temps il occupe autant ma pensée que mes fesses et taquine ma corolle lors de chaque déplacement.

Après une jouissance sans tambour ni trompette, il m'accorde un palot d'adieu qui a failli me faire aller au refile. C'est décidé, je vais lui en parler à Antoine de faire installer un distributeur de chewing-gum dans ses toilettes!

Je lui ai consciencieusement ramené mes trophées après chacune de mes virées dans l'arrière-cour. Au retour de la dernière, c'est un autre glaçon, plus imposant, qu'il me tend pour me désaltérer. Je me demande même combien d'éjaculations ont été nécessaires pour le former. Il s'est amusé à planter dedans la moitié d'un pic à brochette pour en faire un esquimau! Amusant, mais son parfum me pose problème!

En le léchant, je lui trouve une saveur légèrement différente, un peu plus salée, avec un discret arrière-goût de fer. Je lui demande sur un ton impertinent, mon côté branleuse qui ressort, qui est l'auteur de cette œuvre originale. Cela m'aide surtout à supporter ce supplice gustatif!

Il ne me répond pas, son regard me désigne le bas du comptoir où son chien est allongé. Je le dévisage, la glace en suspend entre mes lèvres, incrédules, je peine à croire et à accepter ce qu'il est en train de me suggérer. Mais au large sourire qu'il affiche, j'en déduis qu'il ne me leurre pas et que mon nouveau bienfaiteur dispose bien de quatre pattes. Je dépose mon mini magnum sur le bar et me précipite contre la balustrade de l'arrière-cour pour la décorer de mon léger repas du soir. De retour au bar, après m'être rincée la bouche, il me tend à nouveau mon Miko.

- Fais-lui honneur, la personne qui l'a réalisé s'est donné beaucoup de mal. C'est Angèle, ma femme de ménage, qui l'a préparé avec attention. Elle ne déteste pas m'sucer après son travail, mais pour le chien ça a été une autre affaire, surtout quand elle a été obligée d'y revenir une seconde fois après m'avoir satisfait. Son dégoût s'lisait sur son visage, elle l'a sucé du bout des lèvres, mais elle n'a pas pu me refuser ce p'tit service!

Son goût n'est pas plus mauvais que le sperme d'un d'homme, juste un peu différent, mais connaître sa provenance me débecte et je ne peux m'empêcher de jeter à nouveau un œil vers son chien en recommençant à la lécher du bout de la langue.

- Dépêche-toi de la finir on ne va pas tarder à fermer. Va voir Paul pour lui montrer tes nouvelles attirances en matière de glace!

Acte 3 - 30 millions d'amis!

Paul sirote un demi, il a récupéré la gazette et s'enquière des derniers potins du village. Je prends place à sa table, il ne me parle pas afin de ne pas me déconcentrer, mais se délecte de mes grimaces permanentes. Le patron vient de mettre gentiment à la porte les derniers clients qui avaient du mal à décrocher de leur verre de bière. Seuls mes quatre mousquetaires de la queue ont eu le droit de rester et sont regroupés à la même table. À force de prendre mon temps pour la terminer, la glace a coulé sur mes doigts que Paul m'oblige à lécher pour ne pas gâcher. Antoine vient de nous rejoindre et me tend une pièce.

- Aurai-je aussi le droit ...

- Je suis crevée, vannée par ma première soirée comme serveuse. J'ai un peu aussi ... l'entre jambes en souffrance. Je ne peux pas vous sucer plutôt? Cela me conviendrait mieux.

- T'as encore envie de foutre? Il t'a donnée envie d'y revenir ton esquimau? T'en es devenu insatiable dit donc! Ça peut s'arranger ça!

- Non ... c'est pas ça ... c'est que ... mais ... bon je vais en chercher une, m'emmêlé-je piteusement. Mon sexe est encore douloureux et gonflé de la visite de toutes queues et j'en aurais bien évité une nouvelle. Je me motive, en allant quérir la capote, en me disant que c'est la dernière ligne droite. Le patron sait au moins se servir de la sienne, cela m'aidera à la supporter. J'ai cependant la ferme intention aujourd'hui de lui montrer que je ne suis pas une poupée avec laquelle on s'amuse, je ne lui ferais pas le plaisir de jouir sous ses coups de queue comme la dernière fois.

De retour, je me retrouve rapidement allongée sur une des tables à tenir mes cuisses bien écartées collées contre mon ventre, le sexe à disposition. La position favorite du patron, semblerait-il! Il y promène son chibre encore à moitié endormi, taquine et réveille mon clito qui jusqu'à présent s'était tenu tranquille, redécouvre sans se presser tous les recoins de mon vagin qu'il finit par pénétrer en douceur quand il est au meilleur de sa forme, sans endosser le condom gentiment ramené!! Je ne relève pas le foutage de goule!

Puis, calé bien au fond, il prend le temps de se rouler une cibiche. La moitié du tabac finit sur mon ventre, ses doigts boudinés s'affairent et par miracle accouchent d'un mégot difforme qu'il allume dans la foulée. Il tire dessus quelques bouffées et me fait profiter de la dernière en approchant son tarin de ma figure. Cette épaisse fumée acre me fait tousser. Il l'a fait ensuite virevolter encore un peu entre ses lèvres avant de la caler dans une des commissures et entame de me labourer.

L'interprétation malencontreuse de mes propos n'est pas restée sans suite. Pendant la création artisanale de la sucette à cancer, Paul est allé chercher deux ramequins, l'un avec le foutre de mes amants et l'autre plein d'olives avec quelques piques. Ils ne se sont pas faits prier pour me les faire déguster copieusement enrobées de leur infecte semence pendant toute la chevauchée du patron.

Lui ne s'est d'ailleurs pas privé de jouer avec mon clito en me besognant. Je l'ai senti frustré de ne pas avoir réussi à arriver à ses fins quand il m'a demandé de me mettre en levrette. Il m'a prise plus violemment et c'est dans un cri de porcelet que l'on égorge qu'il vient de se lâcher dans mon sexe.

- Reste à quatre pattes ma cochonne. Ce n'est pas fini.

Je n'ai pourtant que cette envie, que cela se termine. Une langue toute râpeuse vient de parcourir mon sexe. Je suis surprise et n'imagine pas le patron venir se repaître de son foutre après m'avoir baisée! Elle a l'air énorme en plus! Je profite un moment de cet agréable nettoyage imprévu avant de me décider de découvrir le téméraire qui s'occupe de ma toilette intime. Je viens de changer de musique en voyant le Beauceron du patron s'évertuer à me rendre l'endroit aussi nickel qu'en début de journée à grand coup de baveuse. Je joue ma lolita énervée et pique une crise de nerfs. Ça va faire du bruit dans le Landerneau c'est moi qui vous le dit. Paul a anticipé ma réaction et est venu s'accroupir à mes côtés pour m'empêcher de me relever.

- C'est un bon moyen de te réconcilier avec la gent canine, tu ne trouves pas?

Je ne relève pas son ironie, car je sens les pattes du molosse me taquiner les fesses. Mes craintes se réalisent, il veut me monter. Mais « queue » nenni mon bon, il est hors de question que je prenne celle du chien. Il aura beau me faire chanter, je n'accepterais pas, c'est innommable! Je ne trouve pas assez de mots pour leur dire mon abjection, mon dégoût, ma répugnance, comment peut-on fantasmer sur cet acte dégradant! Ces salauds ont prévu leur coup et ont couvert ses pattes avant de petits gants en laine pour m'éviter ses griffures! Cette attention ne calme pas ma furie, je gueule, les emmerde, les insulte, secoue mon postérieur de refus dans tous les sens.

Ma peur incontrôlée des clébards vient de s'envoler, seul l'acte prend toute la place dans mon esprit et me révulse. Deux spectateurs ont attrapé mes chevilles. Paul, lui, me tient fermement les bras alors que je le supplie de m'éviter cette honte, cet acte dégradant, cette copulation abjecte. J'ai beau lui faire mes yeux de cocker, il ne plie pas. Je sens la main d'Antoine guider le sexe de son chien dans le mien. Quand son chibre me possède entièrement, tous me lâchent et s'écartent pour avoir une vue d'ensemble et apprécier le tableau.

Après deux ou trois coups de queue pour découvrir le lieu, son sexe est encore en train de grossir, enfin la base plus précisément, elle me dilate, étire les parois de ma salle de jeux, se fait une place dans la place. Puis rapidement les quarante kilos du bestiau me secouent brutalement, il est bien monté. Je couine derechef!

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Au-dehors, intriguées par ce remue-ménage tardif, quelques fenêtres s'éclairent. Des mégères aigries et mal lunées dans cette nuit noire essaient, sans succès, d'apercevoir par l'entrebâillement de leur volet l'origine de ce bruit étrange qui résonne depuis un moment dans la ruelle mal éclairée. Devant le piètre résultat de leurs mesquines investigations, quelques têtes s'aventurent plus avant et lorgnent à tout va. Mais rapidement, le bruit sourd des persiennes que l'on referme rageusement clôt cette tentative de curiosité déplacée.

Le voisin du bistrot est, quant à lui, carrément accoudé à la sienne, le regard dans le vague, rêveur à la douce musique des gémissements depuis peu ininterrompus. Il n'a aucun doute sur les origines de ce que l'on pourrait prendre à s'y méprendre pour des jappements ni sur la race de la chienne qu'est en train de monter le Beauceron d'Antoine (qu'il connaît bien d'ailleurs, Antoine pas le Beauceron, en tant que fidèle client de son estaminet campagnard). Il se met à imaginer la scène et se laisse aller à un début d'érection qu'il devra soulager manuellement avant de se recoucher sous peine de ne pas retrouver un sommeil de qualité. Les couinements s'accentuent, il se dit qu'il doit en mettre un sacré coup. Il va falloir qu'il négocie sa présence lors de la prochaine chevauchée, il s'en voudrait de rater ça.

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Je n'avais pas prévu qu'une autre queue débarque pour visiter mon sexe. Moi qui venais de me complaire, dans une auto satisfaction non feinte, sur la maîtrise de mon corps. Fière de ne pas avoir craqué sous les assauts du patron, d'être restée concentrée malgré la dégoûtante farandole d'olives et de ne pas lui avoir fait don d'une jouissance arrachée à l'insu de mon plein gré! Mais après quelques offensives de mon actuel étalon, mes inquiétudes viennent de faire leur retour. Mon corps est en train de réagir à ce puissant braquemart et fait un bras d'honneur à toutes les réprimandes et les injonctions que je lui débite inlassablement depuis le début de cet accouplement contre nature.

C'est moi qui décide bordel! Mon esprit lui intime fermement de se mettre en mode off, lui répond sans ciller qu'il l'emmerde et qu'il restera en mode on. Je ne suis plus le maître à bord de mon navire sensoriel, je ne contrôle plus rien, et pourtant cela fait un moment que je le cherche ce putain d'interrupteur pour lui couper toute envie d'expression. Je suis au bord du gouffre, moi qui suis sujette au vertige!

Honteuse d'atteindre cette jouissance sous les assauts d'un vil clébard, je me mords les lèvres, cache mon visage derrière mes bras, rentre la tête au maximum pour soustraire au mieux cet orgasme incontrôlé aux yeux de mon public averti. Lui qui me lorgne sans cesse, m'observe sous tous les angles tels une bande de paparazzis avides de sensations fortes pour en faire les gorges chaudes dans la presse du lendemain.

J'imagine la manchette de la gazette locale qui s'affichera sous un titre évocateur : « Un Beauceron fait jouir une jeune chienne! »

« Hier soir, c'est au bar à papa, de notre bien-aimé Antoine, qu'après la fermeture, sous la bienveillance de quelques spectateurs triés sur le volet, que Bernard, son fidèle beauceron, s'est envoyé en l'air avec une jeune chienne de la ville voisine. Sa conquête, qui se faisait monter pour la première fois, n'a pu retenir très longtemps ses cris de plaisir sous les assauts fougueux de ce saint, il faut dire qu'il est bougrement bien monté l'animal! Viendrait-on de voir naître une nouvelle idylle? »

Mon « ami », mon amour comme se complaisent à l'appeler mes voyeurs ... mes emmerdes oui! Mon gigolo de service donc, n'en a cure de mon panard, il active son os a moelle à un rythme soutenu, me bave sur le dos la langue pendante, son haleine enveloppe ma nuque et ses mitaines me taquinent les côtes par moment. Le rosebud résonne dans mes fesses à chacun de ses coups de reins. Mon plaisir évanoui, le rapport devient douloureux, cette grosse boule qui me dilate le vagin depuis le début m'insupporte. Heureusement, la fin ne tarde pas, mon Bugs Bunny de l'amour me fait don de nombreuses petites giclées de foutre, suivi dans la foulée par d'incessantes émissions plus importantes, il est en train de me remplir ce con, je vais finir par déborder!

Au moment de me fendre d'un adieu déchirant à mon partenaire, je manque d'esprit et ai une réaction imprévue! Je me bloque, mon sexe se crispe rendant impossible notre séparation! Je suis de nouveau au bord de la crise de nerfs en le sentant se démener pour quitter mon fourreau qui vient de se transformer en prison. Il me soulage enfin les endosses et se retourne sans se désolidariser de mon sexe. Toute la magie de l'anatomie canine, nous nous retrouvons soudés cul à cul, le tableau doit presque en être cocasse.

Le patron intervient et vient le calmer pour le faire patienter, Paul fait de même avec moi! Pas d'urgence ni d'inquiétude. Alors que certains se proposent de faire appel au classique seau d'eau pour nous séparer, il rassure l'auditoire et ouvre les paris sur la durée de notre accouplement pour passer le temps!

Chacun y va de son estimation, argumentant leur choix par l'état de mon sexe, les efforts du chien, notre attirance mutuelle. Ils demandent quelques indications supplémentaires au patron sur les libidos de son clébard, sa dernière femelle en date, ses performances habituelles ... Tous pleins de petits détails qui vont faire pencher leur décision! Antoine propose même d'offrir la tournée si l'un des clients trouve le temps exact! Le concours de pronostics bat son plein alors je tente désespérément de me séparer de mon envahisseur en donnant de petits coups de bassin régulier. Paul me le déconseille et m'invite à me détendre, à déconnecter pour laisser faire la nature. Il en a de belle lui je voudrai l'y voir avec ce chibre qui me déforme le sexe.

Il me caresse les seins, la joue, les cheveux, me susurre de doux mots à l'oreille et devant l'inefficacité de sa tendresse finit par me proposer sa queue à sucer pour détourner mon attention de ce vil blocage. Sa stratégie fonctionne! Je me jette à bouche perdue, mon corps étant déjà pris (!), sur son dard et lui joue la flûte enchantée. Au cours de ma partition, après une vingtaine de minutes, un vulgaire plop m'annonce la fin de mon amitié avec mon camarade de jeux.

Je vous passe la suite en accéléré, la salve d'applaudissements qui félicite la performance de Bernard accompagne la fin de ma turlutte qui ne tarde pas à faire son effet. Avalage, déglutissement, grimace, rétablissement cahin-caha sur mes deux jambes en coton, bisou collectif à l'assistance, un réflexe à la con de mes aisances en société, je suis encore toute déboussolée par cette expérience. Puis retour chez Paul la culotte trempée par l'abondant foutre du chien. Il me laisse enfin rentrer chez moi éreintée, fourbue, harassée par cette journée surchargée!

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Au loin un hurlement dans la nuit,

Auprès ce molosse qui me sourit.

Il a la bave aux lèvres, l'œil torve, la langue pendante,

Je suis acculée dans cette impasse sordide et puante.

Il m'observe, me détaille, me renifle,

Il fourre sa truffe dans mon sexe et le kif.

Excité par sa conquête il fait feu de toute part,

Et clame tout en me besognant, quel bâtard.

« Un poème d'amour d'un toutou a sa maîtresse,

Dont toute l'admiration n'a jamais de cesse.

Toutou toutou toutou

D'une queue frétillante, indicible liesse,

Vénère, sans faille, ses sublimes fesses.

Toudoux toudoux toudoux

Détail s'il en est d'un corps de déesse,

Muant toutou en clébard, quelle diablesse.

Touloup touloup touloup

Qu'un rut opère sans nul autre bassesse,

Jappement, jouissance et moult allégresses.

Toufou toufou toufou

Se libérant enfin, sans hymne ni noblesse,

D'une vile semence émise sans délicatesse.

Toumou toumou toumou »

C'est la 3ème fois cette semaine qu'il me rattrape et me prend à la hussarde dans la pénombre d'un réverbère défaillant. J'ai beau courir comme une dératée sur les pavés glissants de cette ruelle sordide sans fin, je finis invariablement, vaincue, par me mettre en position et offrir mes charmes à sa queue qui bat la mesure. La 3eme fois que je me réveille en sueur avec les images de la langue râpeuse et du sexe titanesque de ce clébard qui me poursuivent. Il va falloir que je consulte ou que je finisse par accepter cette relation perverse avec Paul. Mais ça, je ne pense pas en être encore prête! Allez je vous laisse, je vais me faire une petite grasse matinée, cela va m'aider à récupérer de mes cauchemars!

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

J'apprécie toujours autant les traits d'humour et les références historiques/musicales etc etc

Bravo

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

TB ! Lucy est pieds nus pour son service ?

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