Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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cinolas
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Le plumeau parade sur mon entrejambe, réveillant un clito toujours enclin à sortir faire la fête, un glaçon parcours mes seins, s'attarde sur mes tétons qui réagissent favorablement à ce froid et pointent à toute vitesse.

Puis il descend, croise le plumeau en chemin et vient retrouver un sexe apeuré qui n'apprécie pas à la même valeur ce glaçon inquisiteur. Mon clito rentre dans sa coquille, mes lèvres se recroquevillent, volets fermés, il se barricade devant l'intrus et ce froid polaire qui l'envahit!

Le plumeau, lui, continue son office sur mes seins qui ne sont aucunement perturbés par ce changement climatique et pointent toujours avec autant d'audace. Mes duettistes continuent d'alterner ce chaud et froid, rendant ce ballet intenable, une véritable torture, fort heureusement je ne suis pas chatouilleuse cela aurait été atroce!

À chaque passage du plumeau sur mon clito mon bassin se cambre à sa rencontre recherchant un contact salvateur plus appuyé pour enfin déclencher ce plaisir naissant, cet orgasme en partance, ce panard en vadrouille, mais le bougre anticipe mes réactions et se tient à distance à chacun de mes assauts.

Impassible au début de la représentation, je suis devenue au bout d'une heure presque hystérique à force de subir cette frustration, donnant de grands coups de bassin rageurs vers ce plumeau déloyal pour atteindre cette jouissance restée au bord des lèvres. Elle est là, n'attend qu'un simple petit contact, qu'une étincelle pour exploser, doigtez-moi doigtez-moi doigtez-moi l'aurais-je même chanté ... si j'avais pu! Ces salauds ont réussi avec leur jeu à la con à me mettre dans un état de tarée! Laissez-moi atteindre ce p... de nirvana!

J'aurais aimé les insulter, les traiter de petites bites (oui je sais ce n'est pas crédible!), de trou du cul, de lâches, de couilles molles ... pour qu'enfin l'un d'entre eux me caresse juste un court instant pour permettre à mon clito de s'exprimer pleinement! Mais macache, nib, woualou , balpot, je reste avec ma foutue frustration, couinant de désespoir!

Ils finissent par me détacher et me retourner pour me mettre à 4 pattes. H-5mn s'affiche en grand devant moi, là de suite je suis moins excitée!! Paul enlève le bâillon et le petit plug, je l'avais presque oublié celui-là!

Ses gros doigts s'acharnent à badigeonner mon anus de lubrifiant et se laissent aller parfois à une petite introduction pour vérifier le résultat.

Mon palpitant s'est accéléré, je reprends pied dans la réalité, dans ce présent qui m'effraie.

Acte 2 - samedi - Mon anus mon (bel) amour ma déchirure!

-- Tu vois que je prends soin de ton cul ma salope!

Que répondre à tant de prévenance si joliment exprimée! Je ne contrôle plus rien, tout s'enchaîne comme dans un mauvais rêve, une série B dont vous devinez rapidement la fin ou un repas interminable chez la belle famille. Je suis dépassée par les événements.

Pendant ce temps Mike s'est saisi d'une caméra et a commencé à filmer la scène. La série B vient de prendre vie sur le grand écran de la télé .... Il ne m'oublie pas et met le téléphone devant moi afin de ne pas me faire rater une seule seconde de ce chrono qui défile et m'emmène à ma perte. Paul me rassure devant ma mine inquiète.

-- Il n'enregistre pas, mais je ne peux pas l'empêcher de jouer au reporter il a toujours son âme d'enfant! Sauf si tu veux garder un petit souvenir bien sûr!

Va chier! Ma libido vient de s'enfuir à la vitesse d'un pet sur une toile cirée, un début de suée et de petits tremblements incontrôlés m'envahissent. Paul me caresse la croupe avec douceur, sentant la nervosité de l'animal, se voulant par ce geste rassurant. Il se fait câlin et attentionné pour éviter ce refus d'obstacle que transpire mon attitude.

Mike détend quelque peu l'atmosphère, enfin moi seule en fait, car eux ne sont pas tendus, du moins pas encore, et qui plus est pas de la même façon! Il se prend pour Frédéric Lopez et nous fait un remake de « Rendez-vous en terre inconnue ». Comme en cuisine, il tourne, courre, voltige dans tous les sens caméra au poing. Il invite le téléspectateur à admirer ce vaste territoire encore vierge, la courbe de cette vallée inexplorée, la douceur du terrain, l'humidité de ses grottes et de ses sous-bois (en me caressant la chatte).

Il compare Paul au premier conquérant, impatient de planter son drapeau en signe de victoire, de prendre possession de ces terres en jachère, de défricher cette aride contrée, piaffant d'affirmer sa puissance à tout indigène « belle-y-queue ».

Il raconte l'épopée, resitue l'action, fait fi du passé, se transporte, se projette, extrapole pour nous conter en détail sa vision de l'avenir et tous ces espoirs placés dans cette nouvelle exploration. Il nous en vend les bénéfices, nous en affirme tous les bienfaits, nous enjolive les conséquences de ce petit pas qui représente un bond de géant pour leurs queues!

Et au comble de l'excitation il questionne à tout va, prend le téléspectateur à partie, interpelle le public, évoque les éléments, implore la sainte bite ... mais quand va-t-on enfin marcher sur la lune?

Ce fichu chrono me donne la réponse, à une minute du décollage Paul m'ordonne en me titillant le clito de me projeter à cap Canaveral et d'égrener cette dernière minute à voix haute avant ma mise en « in-bite ». Je commence péniblement, à voix basse, contrariante, ce décompte, serrant les fesses, sentant sa queue avide d'en découdre avec cet anneau inviolé. Elle bat la cadence contre mon postérieur et dans les derniers instants s'insinue, se rapproche, entre en contact avec cet obscur objet du désir.

Son gland est en place et appuie contre ma rondelle, prêt à l'abordage, intrépide, gonflé d'envie, dégoulinant de désir. À peine la sonnerie retentit qu'il entame son expédition dans le plus simple appareil et fait du charme à cette rosette toute luisante.

Mais c'est sans compter ma combativité inconsciente, le stress de l'outrage me fait serrer les fesses plus que de raison, retardant l"échéance, interloquant le commentateur et énervant le conquistador qui se manifeste en grand.

-- Pousse donc petite conne, tu auras moins mal au cul comme ça, peste-t-il en me claquant les fesses.

Mais je n'y peux rien et ne me résous pas à lâcher ma garde! C'est Mike qui vient à son secours, pinçant et tirant violemment un de mes seins. Cette sournoise attaque détourne mon attention et lui permet, d'un coup de rein hargneux, de crier victoire après mon grognement de douleur.

-- Le gland est rentré, le plus dur est fait, détends-toi le reste va passer tout seul.

Purée non le plus dur n'est pas fait, je sens sa queue me pénétrer, progresser centimètre par centimètre, me posséder, m'envahir, me remplir, me dilater. Elle prend ses aises, découvre ses quartiers, admire la déco, le confort, la chaleur du lieu et ne s'arrête que lorsque Paul fait corps avec mes fesses.

-- Tu vois tout est rentré!! Mais c'est vrai que tu es étroite dis donc il va falloir arranger ça. Un cul se doit être accueillant, il faut toujours offrir un toit à un hôte de passage, non? Tu n'as pas appris ça au caté? Nous allons y remédier, me précise-t-il en entamant à me besogner!

Mike continue son reportage, il commente et détaille à outrance l'action, mais je ne l'entends plus vraiment, seule cette queue qui commence à trouver son rythme de croisière dans mon cul me préoccupe!

Régulièrement Paul me tire les cheveux, relevant ma tête pour me permettre d'admirer la scène sur l'écran. Je vois ce chibre disparaître en gros plan entre mes fesses, me pistonnant en douceur, mais fermement, ne voulant laisser aucun doute sur le maître des lieux. Ces va-et-vient me donnent envie d'aller aux toilettes et alors que j'ose la remarque, Mike me retourne un éclat rire.

-- Mais que c'est mignon tout ça, allez c'est juste une impression tu vas t'habituer.

Impression, mouais à d'autre. Malgré les efforts constatés de Paul pour rendre cette initiation supportable je n'arrive pas à me détendre. Cette queue me déchire, me brûle le fondement, j'en sue à grosses gouttes et serre les dents à chaque assaut. Après un quart d'heure interminable, il se bloque au fond de mon cul pour décharger et attend patiemment bien calé que son sexe rende les armes avant de se retirer.

Je sens son foutre me remplir, cette première giclée d'une semence chaude et abondante dans mon cul restera dans mes annales, dans mes mémoires, pardon je divague!

Alors que je tente de récupérer, il me demande à nouveau de regarder l'écran. Mike conclut son reportage d'un gros plan sur les restes de ma virginité. Mon anus continue à palpiter en rythme, s'ouvrant et se refermant telle une carpe hors de l'eau à la recherche d'un second souffle. J'en ai encore les jambes qui tremblent.

-- Tu n'as pas l'impression qu'elle en réclame une autre? renvoie-t-il à Paul.

Cet odieux spectacle se conclut par une petite bulle de foutre qui se forme, tel un chewing-gum, au creux de mes fesses à cause d'un petit pet mal contrôlé et qui finit par éclater de manière obscène et dégoûtante. Moi qui n'ai jamais réussi à en faire une avec la bouche!

Mike me tend le « micro », prêt à récupérer mes premières paroles.

-- Alors petite femelle quelles sont tes impressions après ce premier enculage?

-- Je crois que vous pouvez aller vous faire foutre! lui dis-je en grimaçant.

Sans se départir de son calme, il sourit à ma vulgarité, note que l'héroïne n'a plus toute sa tête avec ce trop-plein d'émotion et finit son reportage en rendant l'antenne! Aussitôt fait il recommence à me caresser avec le plumeau alors que Paul me met sur le dos.

Son contact ne tarde pas réveiller ce désir laissé au bord de la route une demi-heure auparavant, indiquant clairement à mon clito en hibernation une douceur retrouvée propice à toutes les fantaisies. Mais Paul me tient les mains m'interdisant tout attouchement libératoire. Très vite mon bassin se remet à gigoter furieusement cherchant à nouveau la rencontre du plumeau.

Tout en cheminant dans ces méandres du plaisir encore parfois semés d'embûches avec ce cul douloureux que j'aperçois ce désir abandonné et décide d'aller le récupérer. « C'était un petit bonheur, que j'allais ramasser, il était tout en pleurs, sur le bord d'un fossé. Quand il m'a vu passé, il s'est mis à crier, Madame ramasser moi, chez vous emmenez-moi ». D'accord Felix Leclerc n'est jamais passé à la Star ac, mais là c'est le cadet de mes soucis, car je jouiiiis purée!!!

Deux trois caresses de Paul ont suffi à m'envoyer sur orbite! La vache le ballet du début d'après-midi m'a vraiment mis sur les nerfs pour que je me lâche aussi vite. Heureusement, car je commençais à craquer avec ce plumeau et ne voulais pas m'abaisser à leur demander de me faire jouir.

-- Je crois que notre petite cochonne vient de prendre son pied, note-t-il en indiquant à Mike mes petits mouvements de bassin caractéristiques de mes orgasmes.

Devant cet affriolant tableau, Mike passe de sa verve à sa verge. Il troque son habit de présentateur contre celui d'un hardeur fou de chez Marc Dorcel n'ayant pas croisé le cul d'une collègue depuis plus de 3 semaines!!

À peine remise de ma jouissance il me retourne et me « califourchone » de tout son poids. Je n'ai pas le temps de protester, d'évoquer une pause, un temps mort qu'il relève mes fesses, glisse un coussin pour mon confort, et que sa queue se faufile entre mes miches prête à l'action.

Il ne frappe pas avant d'entrer et malgré mes poings serrés je n'ai pas pu retenir de petits cris quand son chibre s'est enfoncé complètement en seulement deux violentes poussées. Comme Paul il profite, savoure le moment présent, prend son temps bien ancré au fond de mes fesses, il m'invite même dans un élan de bienséance à me détendre!

Puis d'une goujaterie vite retrouvée me demande si je suis bien leur « petite enculée favorite », il me claque les fesses pour me motiver à lui répondre et à le lui répéter plusieurs fois jusqu'à le crier, allant même me faire dire que j'adorai l'être!

En commençant à me pistonner « hard-emment » il se parle à lui-même, se convainc qu'il n'avait pas besoin de beurre, affirme ne pas découvrir dans mes fesses le moindre secret de famille et me promet de faire valser mon cul alors qu'il préfère le tango!

Voilà qu'il se prend pour Marlon Brando quand il est de passage à la capitale maintenant (!). Seul ce chibre qui me laboure le fondement violemment m'obsède et m'arrache un petit cri à chaque coup de boutoir. Mon cul me brûle, cette onde de chaleur qui a envahi mes fesses au début s'est vite transformée en fournaise et a décuplé la sensibilité du lieu la rendant intenable.

Mike n'entend pas mes suppliques alors que je l'implore d'un ravitaillement lubrifiant indispensable à la survie de mon rectum et c'est une longue plainte ininterrompue qui fait place aux petits cris et résonne tout au long de la seconde partie de cette sauvage sodomie.

Malgré le soulagement prodigué par ce foutre qui, enfin, m'inonde abondement les intestins, signe tant espéré d'une reddition et de la fin des hostilités, je n'ai ni le courage ni la force de lâcher un « Yippee kay » pour ce début de journée en enfer!

Un pop de bouchon de bouteille des plus disgracieux signe la sortie en fanfare de Mike de mon arrière-train. Je m'écroule (oui je sais c'est difficile de s'écrouler lorsque l'on est déjà allongé, mais c'est une image! Faites un effort!), ferme les yeux, ma main caresse mes fesses, réflexe vain pour tenter de calmer la douleur qui résonne dans tout mon postérieur.

J'ai réussi à supporter la première sodomie grâce à l'excitation latente provoquée par le plumeau conjuguée à la préparation attentionnée de Paul, mais pour cette seconde, après cette jouissance ayant éteint toute exaltation, elle a été des plus horrible. Je confirme mes premières impressions, Mike est à caser dans la catégorie des bourrins sans cerveau.

Après plusieurs minutes seule au monde avec mon postérieur meurtri, Paul dépose trois queues devant moi. Et non il ne se l'ait pas coupé pour me l'offrir, cela aurait été trop beau! Là ce sont 3 répliques de queue animale fixées à un petit plug argenté de diamètre variable. Similaire à celui que j'ai porté en début d'après-midi pour le plus modeste jusqu'au calibre de la queue Paul pour le plus imposant.

-- Comme tu peux le constater, nous avons plusieurs modèles en stock. Sur ce petit plug, une queue de chienne bien fournie, elle représente l'animal fidèle et affectueux. Ensuite d'un diamètre moins confortable une queue plus fine et plus longue, celle d'une pouliche fière et fougueuse. Et pour clôturer celle d'une jument, plus épaisse et tressée au 3/4 signe d'un animal docile et dressé, son plug assez large nécessite une croupe plus expérimentée! Alors vers laquelle va ta préférence?

-- On ne peut pas laisser mes fesses tranquilles un peu Mr, elles ont eu leur compte et sont en compote, j'ai mal au cul grave! Je n'en veux plus ça ne serait vraiment pas raisonnable, et puis je vais être ridicule avec ça en plus.

-- Pourquoi? Tu ne penses pas qu'il doit s'habituer à être possédé et à devenir plus accueillant? Même si c'est un bonheur d'être dans un endroit aussi serré, il faut l'assouplir, le discipliner, l'inciter à aimer et à se détendre au moindre contact d'un doigt, d'une queue ou d'un plug! En faire un endroit agréable, avenant en toute circonstance! Alors lequel choisis-tu pour embellir ton joli fessier? questionne-t-il en me caressant le derche!

Je sens que je ne vais pas y couper à sa parure de m... , quelle idée saugrenue de m'affubler de cette queue ridicule!

-- Je vais prendre celle-là Mr, lui précisé-je, complètement dépitée de voir arriver ça dans mon cul.

-- Laquelle?

-- Celle de chienne.

-- Tu ne sais toujours pas faire de phrase. Tu pourrais me remercier pour cette belle queue qui convient parfaitement à la petite chienne que tu es.

En répétant la phrase proposée un début de rougeur me gagne, quelle conne, je suis à poil devant lui, viens de me faire défoncer les fesses copieusement et réagis en ingénue à ces obscénités! Sûrement un reste de « cathomania » encore présent dans mon esprit.

-- C'est la taille, la référence animale ou le look qui t'a fait craquer pour celle-là?

-- La taille du plug Mr.

-- Mince moi qui espérais avoir réveillé ton côté animal après cette découverte anale! se moque-t-il en enfonçant sans aucune difficulté le plug dans mes fesses.

En me relevant il me tend une belle paire de sandales plateforme rouge et noir au talon d'une quinzaine de centimètres, très stylées, se fermant par deux petites lanières en cuir sur la cheville.

Belles et stylées, mais avec ce rouge un peu flashy elles font bien pute quand même.

-- Enfile ça, elles vont cambrer tes fesses et faire ressortir cette magnifique queue!

Les jambes encore un peu en coton je joue à l'équilibriste quelques minutes sur ces nouvelles échasses qui me font faire des pointes. Ils ne tardent pas à me faire m'exercer et je passe la fin d'après-midi à les servir affublée de cette horrible queue entre les fesses. Je ne leur sers jamais de bonniche, mais là ils profitent de la moindre occasion pour me solliciter, réclamant un café, un verre d'eau, le journal ..., tous les prétextes sont bons pour la voir me câliner le popotin au rythme de ma démarche mal assurée.

A chaque pas ma croupe se crispe et mon cul se resserre sur cet envahisseur anal. Entre deux services je dois me tenir à genou à côté du canapé en attendant patiemment leurs ordres. Paul en profite pour me caresser régulièrement les cheveux comme à son habitude.

Dans quoi me suis-je fourrée avec mes presque conneries dans ce pub, c'est vrai ça j'y suis pour quoi moi là-dedans bordel. Je suis sûr qu'il n'y avait pas que de l'aphrodisiaque dans sa p... de bière. Je me hais!! Je suis là à poireauter, à attendre son bon vouloir, que Mr claque des doigts, j'ai envie de lui couper les c... à ce châtelain de mes fesses.

-- Je crois que j'aurai dû t'écouter Mike quand tu me proposais de lui acheter un collier et une laisse. Je pensai cela un peu rapide, mais la voir se dandiner avec sa nouvelle parure m'excite, cela lui irait à ravir, je suis sûr qu'elle le porterait avec élégance. Je le note, une acquisition à faire de toute urgence! Tu as une préférence pour la couleur? m'interroge-t-il.

-- Parce que vous pensez réellement que je vais mettre un collier de chien? Vous êtes en plein rêve messieurs. Enfin je ne veux pas vous donner de faux espoir.

-- Oui on pourra ainsi vérifier si tes nouvelles tendances de chienne se confirment, rebondit Mike, on va tester tout ça demain, voir ta réaction et ton endurance, une petite après-midi passée à quatre pattes devrait être un bon début.

Et ils partent dans leurs délires canins, s'imaginent les situations, m'inventent des attitudes, me détaillent mes obligations. Faire le beau, aboyer, tirer la langue ..., je deviens un animal de cirque dans leur fantasme extravagant. Je déconnecte, les laisse à leur amusement, on n'est pas sur la même longueur d'onde, moi qui ai peur des chiens!

Après un repas où pour une fois je ne sers pas nue, mais avec un petit tablier de soubrette blanc bordé de dentelle, qui ne recouvre que mon sexe (!), leur laissant tout loisir d'admirer et de tripoter mes fesses!!! Et ils en profitent, excité sûrement par mon nouvel atout, jouant avec, s'amusant de ses mouvements lorsqu'ils me donnent de petites claques sur le prose.

Après ce repas tourmenté donc je passe avec Paul dans la salle de bain, il m'indique qu'un entretien minutieux de mon cul doit aussi faire partie des prérogatives d'une bonne petite femelle et qu'il va me montrer comment procéder. Il sort une grosse poire à lavement d'un tiroir, la remplit d'eau tiède, libère mes fesses de l'intrus qui y avait trouvé refuge et s'apprête à me glisser la canule dans l'anus.

cinolas
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