Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 06

Informations sur Récit
Lucie, une jeune femme de 25ans, découvre la soumission.
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Partie 8 de la série de 20 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 01/22/2020
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cinolas
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Chapitre 6 - Analement votre -

Les deux derniers samedis endurés en leur compagnie avaient été plus tranquilles. Enfin quand je dis tranquille tout est relatif, car ils les ont passés à assouvir leurs envies. Mike tout particulièrement qui n'a cessé de me rappeler et me faire comprendre que « mes deux petits trous de salope » étaient à leur disposition quand et comme ils le voulaient!

Même en pleine préparation culinaire, son hobby où il ne faut jamais le déranger, pendant que je tenais le rôle de son assistante, vous savez la potiche qui présente les ingrédients dans les émissions télé (plus pour la courbe de son Q que pour celle de son QI!). Alors qu'il jouait au maître queux, il m'a prise contre la table, les seins dans la farine, au beau milieu de la réalisation de sa tourte au poireau.

La farine a fait son office, je n'ai pas accroché à la table! J'ai, par contre, fini la préparation les cuisses toutes collantes par son foutre!

Ma précédente épopée gastronomique, ce voyage au pays des saveurs et autres piments, n'a pas laissé trop de traces. Souvenez-vous il y a 3 semaines cette initiation à l'équitation ... à cheval sur une corde! Mon sexe est quand même resté très sensible pendant quelques jours! J'ai évité, inconsciemment sûrement, le rayon condiment / sauce piquante depuis lors de mes courses, allez savoir pourquoi!

Paul, quant à lui, ne m'a pas épargné ses odieuses positions humiliantes, ce rituel de début de rencontre m'exaspère! Ce salaud déborde d'imagination pour me mettre mal à l'aise. J'ai supporté le premier samedi au coin, jupe relevée derrière tenue par une pince à linge, les mains sur la tête, alors que je n'avais pas raté mes devoirs! Et lors du second, une posture plus vicieuse qui m'a carrément cassé les jambes pour le reste de l'après-midi. Une vraie attitude de sumo avant le combat avec mes jambes écartées, en position assise dans le vide, les mains sur les cuisses et le bas de ma robe coincé entre mes lèvres!

Depuis 15 jours il me harcèle régulièrement pour connaître l'état du compte à rebours, m'obligeant parfois à me réfugier aux toilettes du taf pour consulter en toute quiétude l'application! Il varie ses messages et sait là aussi faire preuve d'inspiration. Ses quelques bons mots ou allusions finissent souvent par m'agacer et parfois je n'hésite pas à l'envoyer c... pour bien lui faire comprendre mes sentiments.

Mais depuis quelques jours à chaque consultation, en découvrant cette échéance si proche, mon estomac se noue, j'en arrive même parfois à avoir de petites suées! Et oui je suis stressée à l'idée de le perdre!

Hier soir, vieille de mon premier week-end complet chez lui, j'ai opté pour une soirée ciné entre copines pour me détendre. Une superbe séance en compagnie d'un Joachim Phénix admirable dans cette succulente composition de ce nouveau Joker! Nous étions en plein débat d'après film, toutes subjuguées par la performance de l'acteur, dans le pub de mes déboires (je n'y avais pas remis les pieds depuis la fameuse soirée, pourriiiiiiiie, en compagnie de Paul et Mike! Je me voyais mal refuser le lieu à mes amies sous ce prétexte!) qu'un funeste « tic tac tic tac » apparaît à l'écran me projetant au lendemain. Je joue ma muette ne voulant pas gâcher la soirée!

Acte 1 - vendredi - home sweet home

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Paul est impatient de ce 1er week-end, depuis plusieurs jours une sourde excitation le taraude, il ne l'avait pas été autant depuis fort longtemps! Il l'a préparé avec minutie, ajustant les moindres détails, anticipant ses réactions, imaginant les situations, s'en délectant par avance ...

Il a été agréablement surpris qu'elle accepte aussi facilement le piercing, est-elle vraiment plus docile qu'elle ne le laisse paraître? A-t-elle ça en elle, bien cachée, profondément enfouie sous ces nombreuses années d'éducation bourgeoise? Ces prémices sont encourageantes, il va falloir faire émerger cette qualité, la faire progresser et lui révéler sa vraie nature! Un challenge, un chemin aussi long qu'excitant.

Il va ajouter quelques règles de vie et vérifier que les autres sont toujours bien ancrées en elle. Il n'en doute pas, mais il a noté qu'elle n'était pas retournée à la piscine depuis sa visite chez Christian (le pierceur), prétextant des piercings trop voyants sous son maillot de bain moulant qui questionneraient ses amies. Il a été obligé de lui rappeler fermement la semaine dernière de ne pas changer ses habitudes et de continuer à y aller, seule si cela l'arrangeait. Un petit selfie devant le grand bassin en milieu de semaine l'a rassuré, elle avait compris le message!

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J'ai eu tout juste le temps de repasser chez moi après le boulot pour me changer. Ce midi son dernier texto avait été très clair, je dois cette fois venir dans une tenue correcte, me mettant en valeur et devant lui plaire! Je m'étais, depuis quelques samedis, efforcée de les rendre aussi effroyables que possible, me surprenant même par mon imagination! Mais si mon nouveau style campagnard l'avait amusé au départ, j'avais senti la semaine dernière un certain agacement au ton commentant ma parure!

À peine arrivée en fin de journée qu'il m'a débarrassé du petit sac qui m'accompagnait pour l'enfermer dans un placard. Bien sûr il m'avait précisé de venir les mains dans les poches, mais je n'avais pu m'empêcher de prendre quelques affaires de rechange et la trousse de toilette de survie nécessaire à toute jeune fille bien éduquée!

Là, je joue à la gymnaste, dos à son canapé, les mains touchant mes sandales marines, cuisses écartées, la robe à volant bleu pastel tombant sur les seins, découvrant une paire de bas noirs et une culotte dentelle assortie en partie transparente que Paul m'a enfoncée entre les fesses pour détacher ma croupe!

Après une demi-heure passée à me refaire le film du Joker, tout en lui offrant une magnifique vue sur mon hémisphère nord, il me félicite sur ma tenue ... avant de me demander de l'enlever! Je le suis ensuite dans une chambre attenante au salon les bras encombrés par mes affaires.

-- Tes nouveaux appartements, je te laisse les découvrir et en prendre possession! me les présente-t-il d'un geste auguste.

Une pièce très spacieuse me fait face, au ton pastel, au grand lit recouvert d'une couette épaisse (un véritable appel aux nombreuses grasses matinées paresseuses!), aux murs décorés par quelques tableaux : une mer déchaînée d'une pointe du Raz submergée par la houle et les embruns d'une tempête hivernale captée par un célèbre photographe. Un grand Kandinsky sur le mur face au lit, j'adore cet artiste, son style, sa vision, ses formes, j'ai surtout un faible pour sa période art abstrait dont est issu celui-ci. Je me plais à penser qu'il est là pour moi, mon côté pétasse nombriliste!

Au-dessus du lit, le « Rouge », de Georges Mathieu, un artiste que je ne connaissais pas, lui aussi du mouvement expressionnisme, enrichit la collection. Une fenêtre donne sur le parc à l'arrière de la maison, je n'ai pas encore eu le droit de le visiter, mais comme je me balade à poil chez lui, je ne suis pas pressé dans cette période automnale d'aller faire un petit tour à l'extérieur!

Une salle de bain individuelle avec tout le nécessaire et une petite pièce adjacente formant le dressing-room complète le luxe de mes appartements. Je fais ma curieuse et écarte le pan de la penderie, quelques cintres sont garnis de robes aux divers tons de rouge, un vrai maniaque, que j'ai pour certaines déjà portées.

En y accrochant la mienne je reconnais le cintre utilisé il y a quelques semaines sur mes tétons, je réprime un frisson et évite son regard envieux de revenir prendre possession de mes seins. Plus libre là mes tétons!! Je l'écarte et en choisis prestement un autre pour ma robe!

Je farfouille dans ce qui m'apparaît comme un véritable hymne à Dita Von Teese, découvre dans une tripotée de tiroirs le sac à main, la collection de rouge à lèvres, de nombreux ensembles de lingerie en dentelle, bustiers, bodys, guêpières ..., en tout genre. De grands talons aiguilles aux formes d'avaleuse de trottoir tiennent compagnie à quelques paires de Stilettos et autres escarpins hauts perchés. Je referme rapidement le dernier tiroir en y découvrant le bâillon boule!

Toutes ces toilettes semblent, en plus, être à ma taille et ont l'air de n'attendre que moi pour prendre vie! Je dois reconnaître qu'il sait recevoir, je suis médusée devant cette garde-robe aussi bien étoffée. Une nouvelle fois un petit sentiment de fierté me traverse l'esprit en pensant que tout était là pour moi, comme si c'était mon style!

-- J'y ai même rangé tous tes jouets, tu notes qu'il reste beaucoup de place pour en accueillir de nouveaux! Tu pourras essayer tout ce qui s'y trouve dans tes moments libres, mais pour l'instant le dîner est servi!

Je ne l'avais pas entendu arriver absorbée par ce que je découvrais dans cet immense dressing.

-- Elles sont toutes à ma taille? lui demandé-je en désignant les robes, mais il est déjà reparti!

Nous passons un repas studieux, moi tout particulièrement, répétant entre chaque bouchée les règles de bonne conduite et de tenue que je devais appliquer! Il constate avec satisfaction que ma mémoire est toujours aussi efficace en lui récitant celles émises lors du contrat comme « avoir le sexe toujours fraîchement rasé quand je viens le voir » ... et que je sais intégrer aisément les nouveautés comme celle « de porter des toilettes agréables et soignées pour nos rencontres »!

La suite l'est tout autant, studieuse, mais pour d'autres raisons, sur la 5 un documentaire « la vie sexuelle des manchots du Grand Nord en pleine aurore boréale » retient son attention, tout un programme! Deux heures de grand froid pour eux et de désarroi pour moi!

Car je les passe avec la queue de Paul dans la bouche! Lui confortablement installé dans son canapé en peignoir de bain, détendu du gland. Moi à genou devant lui, la tête entre ses cuisses, les mains dans le dos, le nez écrasé dans ses poils, ses couilles contre le menton, la respiration difficile avec sa bite prenant toute la place dans mon suçoir!

Je tente de résister, m'efforce de tenir la position, mais sans autre appui que ma bouche je fatigue rapidement et me retrouve avachie, les seins écrasés contre le canapé, la tête tentant désespérément de trouver une posture moins désagréable sans jamais vraiment y parvenir!

-- Alors comment trouves-tu ce documentaire? Tu crois vraiment que c'est parce qu'ils serrent les fesses qu'ils ont cette démarche si particulière les manchots?

Qu'est que j'en ai à battre de la marche de l'empereur! Sa queue vit et vibre dans son nouveau fourreau et m'oblige régulièrement à ajuster ma posture sous peine de la voir m'étouffer en prenant ses aises. Je la suce de temps en temps sur son ordre, toujours sans la sortir de son antre, cela serait rédhibitoire à la réussite de ma soirée selon lui, suggérant ainsi qu'elle pourrait mal se terminer dans ce cas.

Alors je lutte, je combats au mieux cette foutue envie de la lâcher, de la mordre, de m'octroyer une pause, de récupérer mon minimum d'espace vital, de lui cracher à la face du gland, de l'insulter copieusement, de retrouver une bouche libre et non asservie!

Seuls quelques grognements sourds répondent à ses questions sans intérêts! Il est au pays des manchots et moi à celui du gland chaud! Occupée à réchauffer un iceberg qui passe son temps à me montrer toute son ampleur.

Après avoir joué une bonne heure au yoyo dans ma bouche, sa queue m'offre une première giclée abondante et vient récompenser la douceur de ma langue experte (Paul dixit). J'espère en avalant difficilement tout son foutre avoir atteint l'apogée de la soirée et qu'il me libère de ma tâche. Mais la paluche qui force ma tête à accompagner la débandaison de son chibre me fait vite perdre espoir et me replonge dans la noirceur de ses poils!

Je couine, râle, soupir, tente de lui faire comprendre que j'étouffe, je le supplie d'abréger, essaie de le convaincre de l'intérêt du documentaire pour ma culture personnelle ..., mais il n'est pas facile de parler la bouche pleine!

Pour toute réponse il me caresse la tête, joue un peu avec mes cheveux comme avec un animal à ses côtés, commente une levrette chez les manchots, note le sensationnel de la scène pour cette figure de leur kamasutra rarement usitée. Il m'attache même les mains avec la ceinture de son peignoir, trouvant que je tentais de m'en servir trop souvent pour soulager ma position.

Ce n'est qu'après avoir reçus une seconde bordée tout aussi généreuse et difficile à avaler, pris soin de bien nettoyer, comme vivement recommandé, ce braquemart fraîchement essoré, embrassé mainte fois ce gland pour le remercier de ses dons copieux et réguliers, comme gentiment conseillé, que Paul m'autorise à la lâcher. En arrière-plan le jingle d'une page de pub sonne la fin de mon calvaire!

Je peine à me relever, la mâchoire à moitié bloquée, le cou tendu, les seins martyrisés par ces deux heures de compression, j'offre un plein d'air frais à mes poumons reconnaissants, reprend mes esprits et vais pour l'incendier, mais ...

-- Alors comment c'était cette apnée? N'arrêtes pas la piscine surtout sinon tu n'auras plus le prix Jacques Mayol de la bite! rigole-t-il, on peut en faire des choses quand même avec une petite bouche!

-- Vous savez ce qu'elle vous dit ma bouche!

-- Tu as apprécié j'espère (?) moi je t'ai trouvé à ta place, comme une bonne femelle au service du mâle, servant de fourreau à cette queue qu'elle se doit de vénérer. Je suis sûr que tu rêves de passer tes soirées en sa compagnie!

-- Vous êtes complètement taré, purée j'ai la mâchoire en vrac avec vos conneries!

-- Pourquoi, c'est le côté fourreau à bite qui t'a dérangé ou c'est ta conscience de végane qui a du mal à accepter un morceau de viande aussi longtemps dans la bouche?

Acte 2 - samedi - Objectif lune

Je me réveille vers 9h30, la soirée ayant été plus humiliante que chargée je n'ai pas vraiment besoin d'une vraie grasse matinée, même si j'adore ça. Je reste cependant flâner encore une bonne demi-heure bien au chaud sous cette couette moelleuse à souhait avant de me lever, Paul m'a simplement précisé d'être prête pour midi.

J'ai dormi nue, ma tenue obligatoire chez lui, une première, pas désagréable du tout, mais c'est un peu particulier de sentir le frottement de la couette sur son corps à chaque mouvement dans le lit. Cela en serait presque un peu excitant à force.

Un petit fond de jazz m'accueille en arrivant dans le salon, je ne vois pas Paul, mais découvre un copieux petit déjeuner qui semble n'attendre que moi. J'en profite, debout forcément!

Après une petite douche pour finir de me réveiller, comme il n'est toujours pas rentré, je flâne un peu dans la maison. L'étage m'est interdit, alors j'essaye d'ouvrir quelques portes encore inconnues du grand salon sans grande réussite! Cette partie de la maison restera pour l'instant encore un mystère.

Une grande baie donne sur le parc, un peu de vie animale, quelques oiseaux, le passage fugace d'un écureuil et le martèlement d'un pivert qui rythme ce tableau de nature. Je réalise que moi aussi je le suis, nature, j'ai un petit mouvement de recul pour m'extraire du regard d'un éventuel voyeur, je ne suis pas exhibitionniste! Mais face à moi ce parc entouré de grands pins n'offre aucune possibilité de voir la maison!

Mes envies de curieuse ne sont pas rassasiées, j'avoue c'est un de mes défauts! J'explore alors un peu le contenu des meubles, y dégote une chaîne hi-fi avec un tourne-disque, un ancêtre, à côté une belle collection de vinyle où Brel et Brassens tiennent compagnie à Barbara, Moustaki et Ferré.

À côté, un versant plus moderne composé d'une série de cd où domine très largement le pop rock des années 70 / 90, Paul remonte un court instant dans mon estime. Une 3ème partie est consacrée à sa marotte pour le jazz, c'est moins mon style, mais je reconnais quand même quelques grands noms.

Je décide de remplacer le jazz par un petit Prince de la grande époque avec son album Purple Rain, la qualité du son est magnifique et je pousse un peu les enceintes. Je m'assois sur le tapis moelleux devant le meuble pour continuer de découvrir sa collection musicale.

Oui « mon postérieur n'a pas le droit de connaître la douceur des sièges de la maison », une des règles édictées par Paul. Je peux seulement m'asseoir par terre en tailleur ou me mettre à genou, c'est assez limité et inconfortable malgré la présence de quelques tapis épais.

Une petite tornade vient briser la quiétude de cette fin de matinée, Paul vient d'arriver les bras couverts de paquets et courses en tout genre.

-- Alors la petite femelle a-t-elle bien profité de sa première nuit à la campagne?

-- Oui, la nuit a été très agréable, merci Mr.

-- Bien ce Prince pour se réveiller, tu as du goût même si un petit Elton John aurait été plus adapté à la thématique de la journée!!

-- Pourquoi Elton John?

-- Et bien tu sais lui aussi aimait la sodomie!

No comment!

Acte 2 - samedi - « Allô Houston »

Mike nous retrouve pour le repas, il n'avait pu être que de passage la semaine dernière, j'ai dû lui manquer, car sa main ne quitte pas mes fesses pendant cet encas!

À l'heure du café, il s'empresse d'aller brancher mon téléphone sur la télé. Il ouvre l'application et le décompte s'affiche en grand et en toutes lettres. J'avais un peu réussi à m'évader de cette échéance ce matin bercée par Prince, mais à un peu plus d'une heure de la perte de mon dernier pucelage ma boule au ventre revient à toute vitesse!

Un petit plug, abondement lubrifié, vient prendre fermement possession de mon cul. Paul me tient par la taille et ne me laisse aucune chance d'y échapper. Il l'insère en douceur, vérifie sa bonne tenue et me claque les fesses satisfait du travail accompli.

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Il la prépare pour plus de confort, desserrer un peu cet étroit goulet, mais pas trop, il adore les culs serrés! Il faut trouver le bon dosage, juste ce qu'il faut pour permettre au gland de se frayer un chemin!

Il ambitionne de la faire jouir lors de sa première sodo, il perçoit ce challenge relevé, mais il espère tout du moins mélanger un début de plaisir avec cette désagréable sensation qu'elle aura forcément lors de cette initiation. Il la sait très hostile à cette pratique, il a dû lui rappeler une ou deux fois le contrat cette semaine pour bien lui signifier ce qu'il attendait d'elle aujourd'hui et continuer à lui mettre la pression.

Elle n'a pas, depuis son arrivée, tenté de négocier comme à son habitude, peut-être s'est-elle faite à l'idée, le chrono a peut-être bien joué son rôle pour la préparer!

Il prévoit un dépucelage en douceur, il ne veut pas lui laisser un mauvais souvenir de sa première sodomie, cela l'aidera sûrement à accepter plus aisément de mettre ses fesses à disposition par la suite. Par contre pour les suivantes il ne promet rien!!

Il connaît l'importance de l'instant, le savoure, s'attache comme d'habitude à observer ses réactions, ses émotions, il jouit de son inconfort et de ses appréhensions.

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En quelques instants je me retrouve allongée, les mains au-dessus de la tête attachées au pied de la table basse, une grande barre fixée à mes chevilles m'empêchant de fermer les cuisses et le bâillon boule dans la bouche coupant court à toute revendication. Ils m'encadrent, Mike, côté cour, tenant délicatement un énorme plumeau bien garni, Paul, côté jardin, jouant avec des glaçons dans un bol, un petit sourire vicieux aux coins des lèvres!

Ils m'observent et prennent plaisir à mes interrogations, ils semblent attendre un moment favorable, indéfinissable en soi, totalement subjectif, presque irréel. C'est alors que les tintements d'un glaçon contre le bol donnent le départ du ballet.

cinolas
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