Les Voisins

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Mon voisin vient me tenir compagnie au bord de la piscine...
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L'été est bien installé. Je suis en vacances, mon mari lui, travaille. En attendant la prononciation du divorce, il habite toujours avec moi, mais nous faisons chambre a part, les rares fois ou il rentre le soir. Tous mes amis du boulot sont partis chacun de leur côté en congé. Je passe mes journées seule à la maison. Heureusement il y a la piscine, j'en profite au maximum. J'aime me prélasser au soleil pour me faire bronzer. Tout mon corps, sans aucune exception, a une jolie couleur mordorée, aucune marque disgracieuse ne vient couper l'harmonie de mon bronzage.

La piscine est bien exposée plein sud, le soleil la chauffe presque toute la journée. Elle est située derrière la maison à l'abri des regards. Un mur la protège de mon vieux voisin Paul, dont la villa est située au nord, un couple de jeunes noirs, qui vient d'aménager récemment dans le lotissement à l'ouest. Au sud une haie d'arbuste la sépare de la maison voisine habitée par un couple, le monsieur a soixante ans et vient juste de rendre sa retraite, sa femme travaille encore. Mon mari a décidé de remplacer le grillage devant le haie d'arbuste qui sépare les deux propriétés de la haie, il a enlevé le grillage rouillé qui se trouve devant, mais il n'était pas bricoleur et les travaux traînent.

Le retraité m'épie souvent pour essayer me surprendre en petite tenue. D'ailleurs cela m' excite qu'il me regarde et je lui en donne souvent l'occasion.

Il fait très beau et très chaud cet après midi. Je me dirige à ma place habituelle au bord de l'eau. Je porte, un tout petit calicot rose pâle très transparent. Je n'ai pas mis le haut de mon maillot de bain. J'étale ma serviette à même le gazon et m'assied dessus. Je pose mon bouquin érotique, enlève le petit calicot, le pose à côté de moi. Je délace les lanières qui retiennent la culotte du string de mon maillot de chaque côté de mes hanches et l'enlève. Je suis nue, comme tous les après midi pour prendre mon bain de soleil tranquillement.

Les oiseaux, me bercent de leur chant, le ciel est d'un bleu limpide. Je m'allonge et m'offre au soleil, je prend mon bouquin et l'ouvre. C'est un passage cru, porno même. Au bout d'un moment ma lecture commence à m'exciter. Je relève les genoux et ma main part en direction de mon sexe, bien rasé qui laisse entièrement voir la fente de ma chatte. Je passe mon index le long de celle-ci, dans mon bouquin l'héroïne se fait baiser par deux noirs. J'ai eu des expériences amoureuses avec des hommes aux sexes démesurés. Gérald au un noir au boulot et le vieux Louis le marchand de légumes, mon mari ne me donne aucune satisfaction sur le plan sexuel et me délaisse alors, pourquoi ne pas chercher ailleurs le plaisir!

Me laissant porter par la lecture et m'imaginant à la place de l'héroïne, j'entre deux doigts à l'intérieur de ma chatte et me masse le clitoris avec le pouce. Je commence à mouiller et j'écarte les jambes. Ce n'était pas la première fois que je me masturbe en lisant ce bouquin, il est vraiment super.

D'ailleurs il y a deux jours, j'étais exactement dans la même position, les jambes ouvertes à demi repliées, en train de me caresser, lorsqu'au bout d'un moment mon attention fut attirée par un mouvement sur le toit de la maison du voisin. Sans bouger, faisant toujours semblant de lire, j'y portai toute son attention. Je remarquai que mon voisin était sur son toit, sûrement pour y effectuer une réparation, mais qu'il était entrain de me regarder. Je ne sus pas trop quoi faire, mais je me dis que le mieux était de me comporter comme si je ne m'en étais pas aperçue et que je n'avais pas remarqué qu'il me fixait intensément. Cela m'émoustilla.

J'avais donc continué le va et vient de mes doigts. Sachant que mon vieux voisin m'observait cela m'excitait encore plus. J'adorai ce genre de situation. Mon foutre lubrifia abondamment ma chatte. Prise au jeu, de ma main libre je me caressai d'abord un sein, tirant sur son mamelon pour le faire durcir, puis passai à l'autre.

Derrière mon bouquin, je surveillai du coin de l'œil mon voisin sur le toit, il ne se cachait pas non plus, il s'était mis à genoux et m'observait, en me lorgnant avec une paire de jumelles.

— Petit coquin, pensais-je! Tu as pris goût à m'épier! Et tu aimes me voir jouer à ces jeux devant toi, et ça te fait bander! La soi-disant réparation est un prétexte, les jumelles en sont la preuve!

De plus en plus excitée, j'écartai lentement les jambes, pour bien lui laisser voir la pénétration de mes doigts. Ma chatte était de plus en plus trempée. J' insérai quatre doigts à l'intérieur. Je vis qu'il déboutonnait sa braguette et de sortait son sexe, il commença à se masturber. Cela m'excita encore plus de voir qu'on put me désirer ainsi. J'entrai presque la totalité de ma main dans ma chatte, mon autre main pétrit mes seins l'un après l'autre, je gémis de plaisir, le son monta, il dut m'entendre, et cela décupla son plaisir car il se caressa plus vigoureusement.

Mon bassin se souleva et retomba plusieurs fois, mimant une pénétration. Je vis mon voisin sur le toit se raidir, il éjacule me dis-je. Je continuai ma masturbation jusqu'à ce que je jouisse à mon tour, il ne me quitta pas des yeux.

Cela c'est passé il y a deux jours. Mais aujourd'hui il n'y a personne sur le toit. Je me doute bien que depuis longtemps, il m'épie à travers la haie, lorsque je prends des bains de soleil, car souvent j'entends craquer des brindilles, et les oiseaux s'arrêtent de chanter.

Je prête l'oreille, les oiseaux et les cigales se sont tus. Il doit être derrière le feuillage à m'observer. Je suis couchée à une distance d'environ douze mètres de la haie, il a une vue splendide sur mon corps offert. Mais je ne l'aperçois pas. De nouveau prise au jeu, je relève les jambes, les écartant lentement. Ma chatte baille au fur et à mesure que mes genoux s'ouvrent. Je me redresse un peu et me met sur les coudes pour qu'il puisse voir mes seins. D'une main je pince mes tétons, en regardant langoureusement en direction de l'endroit ou il m'a semblé voir bouger les rameaux verts. Puis ma main descend vers mon sexe, j'en écarte les lèvres, pour ouvrir mon conduit vaginal, dégage mon clitoris et le masturbe avec mon index, tout en fixant la haie. Du foutre coule à flot, et trempe la serviette sous moi. D'un air de défi je tends mes seins bronzés comme pour lui les offrir. J'ai pris goût à ce petit jeu,Une petite voix me murmura dans la tête.

— Tu fais ça pourquoi? Tu as pris goût a exciter les vieux! Oui, petite perverse, c'est le fait qu'on te regarde et qu'on t'admire? Oui, Mais ne trouves tu pas que tu vas un peu loin? Tu tombe dans la luxure et tu t'y complets.

Bien que mon cerveau réprouve, j'entre l'index et le majeur à l'intérieur de ma chatte, et lorsqu'ils sont bien imprégnés de mon foutre, je les porte à ma bouche, toujours en regardant d'un air provocatrice la haie, et les lèche longuement.

J'entends un bruit de petites branches cassées et mon voisin passe à travers la haie. Il est torse nu, une paire de jumelles accrochée autour du coup et un appareil photo dernier cri à la main. Il n'est pas très grand, des cheveux blancs, un ventre bedonnant, une barbe de trois jours. Il s'approche assez rapidement, il a un short assez lâche sur les cuisses.

Prise au dépourvu, par cette intrusion soudaine, car je ne m'attends pas à ce qu'il ose venir. Je pense qu'il doit me prendre pour une petite salope. Et j'en suis une effectivement. Je l'ai provoqué sciemment!

Je ne sais pas trop quoi faire. Je rabaisse mes jambes, en les resserrant, et met rapidement

mon calicot sur ma chatte pour la cacher, je n'ai pas le temps d'enfiler ma culotte. Je reste appuyée sur les coudes. Les seins pointant en avant, les mamelons toujours en érection. Je baisse les yeux sur mon pubis, le chemisier transparent ne cache en rien le triangle de duvet très ras au dessus de la fente de mon sexe, tant pis! Que va-t-il se passer? Mon sang s'échauffe malgré moi.

Il est debout devant moi, il me dit bonjour. Je remarque le bout de son gland qui sort au dessus de la ceinture du short, il est en érection totale. Il me mate les seins, son regard descend vers mon pubis, par provocation je desserre un peu les cuisses. Il s'assied à côté de moi, pose son Nikkon dans l'herbe.

— Bonjour Trixie, je suis tranquille jusqu'à ce soir, ma femme est partie après le boulot, en ville faire des courses, je crois que votre mari n'est pas ici, il travaille, non? Votre bronzage est vraiment splendide, mais ce n'est pas ce qu'il y a de plus beau chez vous. Vos jambes sont magnifiques, vous avez des seins merveilleux.Vos mamelons sont extraordinaires, j'en ai rarement vu d'aussi longs. Ce genre de tétons aussi érectiles m'excite au plus haut point. Dites je peux caresser vos seins?

— Eh bien Jacques, vous êtes un petit coquin. Il n'en est pas question.

Je joue les offusquée, mais ma chatte est en feu. La vision de son gland décalotté m'a légèrement troublée. Je n'espère en fin de compte que cela sentir la caresse des ses mains sur ma poitrine. Salope, salope me susurre la petite voix dans ma tête. Il insiste, me disant que cela lui ferait énormément plaisir.

— Je n'arrête pas de me masturber en pensant à vous! L'autre jour sur le toit, je me suis branlé en vous regardant vous masturber! Il faut dire que vous y avez mis du votre, pour me faire éjaculer, vous saviez que je vous voyais. Je ne suis pas dupe, je vois bien que ça vous plaît que je vous observe, et je crois que vous faites exprès de m'aguicher! Je suis seul aujourd'hui alors, je vois que vous avez recommencé à m'exciter. Vous saviez que je vous regardais et vous vous êtes masturbée quand même devant moi, si ce n'est pas une invitation!

Tout en parlant sa main attrape un bout du chemisier transparent, il le tire doucement, pour l'enlever mes cuisses. Son autre main baisse lentement le bord de la ceinture de son short dévoilant petit à petit son phallus, je ne quitte pas des yeux la descente du short!

Une fois son sexe dénudé, sa main se dirige vers mes seins. Je lui tape sur les doigts.

— Nttttttt, Nttttttt, nooon Jacques!

Le chemisier glisse lentement sur mes cuisses. Il en découvrit une. Le calicot continue de glisser lentement, la lente caresse du tissu sur mes cuisses m'excite de plus en plus. Je commence à mouiller, à nouveau, mes tétons durcissent et leur volume augmente encore, je le laisse donc faire...

— Laisse-moi te caresser les seins, il sont si merveilleux et j'en ai tellement envie... tu peux toucher ma bite!

— Ooohhh nonnnn... vous pouvez les voir.. c'est déjà pas mal!!

— Bon, si tu ne veux pas, regarde le petit film que je viens de prendre et les photos prises au téléobjectif lorsque tu te masturbais l'autre jour. Crois-tu que ton mari appréciera que tu te masturbes devant un vieux comme moi? Je crois que tu es en train de divorcer...Cela ne ferait pas des bons points pour toi!

Il me tend l'appareil photo, effectivement, les photos sont assez nettes, et le film ne rate rien de ma masturbation récente. Je le regarde en souriant. Mon chemisier découvre entièrement mon sexe et mes cuisses. Il le tire d'un geste sec, le calicot s'envole et atterrit assez loin sur le gazon. Il avance de nouveau la main, vers mes seins. En minaudant, je capitule. Plus par envie, que pour la menace qu'il m'a faite, je sais qu'il ne l'aurait pas mise à exécution... Il n'est pas bien beau pourtant.

Sa main m'englobe un sein, il fait rouler le téton entre son pouce et son index, et sa bouche engloutit le mamelon gorgé de sang, qui est devenu dur comme du bois. En même temps son autre main est passée entre mes cuisses, qui se sont ouvertes comme par enchantement, pour me caresser le sexe. Un frisson me parcourt. J' écarte encore plus les jambes pour faciliter sa caresse. Le désir l'a emporté, je me couche sur le dos, faisant taire ma conscience.

Très vite, de peur que je refuse à nouveau, il enlève son short, il est nu dessous. Je me suis assise jambes largement ouvertes. Je le regarde, il est debout devant moi nu, le sexe tendu, les mains sur les hanches. Je soulève mes fesses et écarte les lèvres de ma chatte avec mes doigts. Je souris dans sa précipitation, il a gardé ses jumelles autour du cou. Par rapport à ceux qui m'ont pénétré ces derniers temps son phallus est plus petit, je me traite à nouveau de nympho, car il est grassouillet,pas du genre apollon. Je me demande pourquoi je laisse faire ce vieux qui n'est vraiment pas très beau.

Il me demande s'il peut me lécher la chatte, n'attendant pas la réponse, il se met à plat ventre et enfouit sa tête entre mes jambes écartées. L'intérieur de mes cuisses est luisant de foutre. Il commence à lécher d'abord une cuisse, puis l'autre, sa langue remonte jusqu'au bas de mon vagin, il suce avec application mon foutre. Puis il lèche le pourtour de ma chatte humide, sans y faire pénétrer sa langue, il l'écarte doucement avec ses doigts. Je halète, je n'attends qu'une chose, c'est que cette langue me fouille le vagin, me caresse le clitoris, mais le vieux ne se presse pas. Elle part du bas de ma fente et cette fois entre dans mes lèvres, elle remonte jusqu'au clitoris qu'elle titille et il l'aspire entre ses lèvres. Je pousse de petits gémissements de contentement et des petits cris d'extase étouffés. Je lui tiens la tête pour qu'il ne cesse pas cette délicieuse masturbation. Je suis de plus en plus excitée. Envolées mes réticences, c'est le plaisir qui les remplace!

— Tu permets que je te baise? Je ne me rappelle pas avoir fait l'amour, avec une fille aussi jolie que toi.

— Je me suis laissée caresser et ce n'est déjà pas mal, on est voisins tout de même!

— Oui, mais tu laisses faire et si tu refuses, je ne plaisante pas ton mari verra le film!!

— Vous n'avez pas honte Jacques! C'est du chantage...

Je veux lui donner l'impression que si je cède, c'est à cause de ses menaces, et non pas par envie. Mais maintenant je le désire vraiment.... alors je réponds par l'affirmative.

Comme sa queue n'était pas tellement grosse, le meilleur moyen d'en profiter pleinement, c'est que je me mette à califourchon sur lui, la pénétration sera ainsi plus profonde. Je lui demande de se mettre sur le dos.

Toute cette conversation a lieu à haute voix, croyant que nous étions seuls dans cette partie du lotissement. C'est là que nous nous trompons. Notre jeune voisin noir est en train de jardiner au ras du mur qui sépare les propriétés. Il suit avec attention la conversation depuis un bon moment. Intrigué, il est en train de grimper à une échelle pour voir ce qui se passe, mes petits cris de plaisir et mes gémissements l'ont passablement intrigué et excité. Au moment ou sa tête émerge du mur, il me voit enjamber le vieux monsieur, positionner mes genoux de part et d'autre de ses hanches, attraper la bite turgescente d'une main, et m'empaler dessus.

Ma chatte bien lubrifiée, l'avale d'un seul coup. J'ai posé les mains sur la poitrine velue du vieux Jacques, et commence des rotations du bassin, et le projette ensuite d'avant en arrière.

Le noir devant ce spectacle, n'y tenant plus se laisse tomber en douceur sur la pelouse à côté de la piscine. Je lui tourne le dos, tout à notre plaisir, nous n'avons pas remarqué sa présence. Il s'approche doucement, il n'est vêtu que d'un short léger, sa bite noire dépasse de la ceinture tellement il bande.

Sans bruit, a pas feutré il vient vers nous, le Jacques les yeux fermés savoure la pénétration de la chatte de sa jolie voisine, il ne l'a pas vu. Le noir passe ses mains sous mes aisselles et me saisit les seins. J'ai un hoquet de surprise et sursaute en voyant ces deux grosses mains noires m'englober les seins. Mais je comprend vite à qui elles appartiennent et me détends. Il me les caresse doucement, me titille les mamelons ce qui les fait encore s'allonger et rend mes seins encore plus fermes. Puis il passe devant moi, les jambes de chaque côté du corps du vieil homme qui me besogne toujours. J'espère que sa bite sera du même calibre que celles des noirs qui m'ont baisé jusqu'à présent. Je ne suis pas déçue lorsqu'il abaisse son short, elle est dans la norme longue, bien raide et bien dodue.

Il me la présente, je met son gland presque rose dans ma bouche et commence à le sucer. Je le branle en même temps, la grosse bite noire ne met pas longtemps à prendre sa taille maximale. Elle est plus longue que mes deux mains. Mes doigts font tout juste le tour de la circonférence.

Une fois qu'elle atteint son apogée, le grand noir passe derrière moi, il se met à genoux, il me fait pencher en avant sur le torse du vieux, celui-ci en profite pour me tenir la tête et m'enfourne sa langue dans la bouche, je lui rends son baiser.

Ayant dégagé mon anus, le noir y met deux doigts, il crache entre mes fesses et fait pénétrer avec ses deux doigts la salive dans mon orifice anal. Il approche son gland, et pénètre l'anus offert, je crie de plaisir en sentant cette grosse bite noire s'enfoncer en moi. Il se retient croyant m'avoir fait mal. Je lui crie de me sodomiser avec plus de vigueur, et plus profondément, que j'aime vraiment ça et que je raffole des grosses queues noires comme la sienne. C'en est trop pour le vieux, je sens les contractions de sa verge au fond de mon vagin, et l'écoulement de son sperme chaud. Il me crie à chaque giclée de sa semence :

— Tiens prend ça, salope, encore ça, encore, encore.... putain que c'est bon. Il y a longtemps que je veux éjaculer dans ta chatte... tu me rends fou de désir... tiens, tiens. Oooooooohhhh je n'ai jamais joui comme ça!

Une fois son éjaculation terminée, il ne peut pas sortir de sous mes jambes, le grand noir pèse en effet de tout son poids et me tient fermement aux hanches, sa bite reste prisonnière de ma chatte, ce qui n'est pas pour me déplaire...

Mon voisin noir, de plus en plus excité par mes demandes et mes cris de plaisir, me laboure l'orifice anal sans ménagement à grands coups de rein, son énorme phallus entre et sort de mon anus béant à une allure phénoménale. Je n'ai jamais connu une telle vitesse de pénétration, je crois me faire prendre par un marteau pilon. Mon plaisir monte lentement, mais je me retins le plus longtemps possible.

Mais lorsqu'il me renverse la tête vers lui, et enfourne sa grosse langue dans ma bouche, en me prodiguant un baiser fabuleux, quand je sens les énormes soubresauts de la bite qui vide sa semence au fond de son ventre, j' explose, je crie ma jouissance. Je m'écroule sur le torse du vieux, qui en profite pour me donner un autre baiser. Le phallus du noir toujours dans mon orifice anal, je me recule et lèche la queue du vieil homme comme pour la nettoyer du sperme et du foutre qui la poisse. Celui-ci tremble de plaisir. Je me retourne et fit subir le même traitement à la grosse bite noire, qui pend maintenant entre les cuisses musclées.

Puis, pour se rafraîchir tout le monde entre dans la piscine, en espérant n'avoir pas ameuté tout le voisinage avec nos ébats....

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1 Commentaires
histoiresdellehistoiresdelleil y a 5 jours

J'aime beaucoup l'écriture, je pense juste que la présence du "grand noir" n'était pas nécessaire, c'est un peu le défaut de beaucoup de textes ici, la surenchère, alors que ce qui est excitant est d'un autre ordre, et ne nécessite même pas de rapport sexuel. Mais j'ai beaucoup apprécié

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