Un Godemiché Vraiment Magique

Informations sur Récit
Mon mari me surprend avec mon amant et un godemiché.
4.4k mots
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Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/07/2024
Créé 05/29/2024
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Maintenant, j'ai confessé à Maxime ma relation avec Gérald le magasinier noir, et il n'y a pas eu de problème, je retourne au boulot avec joie et bonne humeur, avide de savoir ce que la journée va m'apporter. Le travail m'appelle dans le bureau de Maxime. Nous sommes en train de résoudre un épineux problème informatique de facture, ayant trait à des fournitures pour le service de la mécanique.

— Eh, dis donc Trixie, cela fait maintenant au moins six mois que tu n'as pas fait d'inventaire avec Gérald, non?

— Oui, à peu près. Nous n'avons pas eu bien le temps...

— Tu vois, ou ça te mènes de ne plus faire l'inventaire avec lui. C'est plein d'erreurs! Et puis, sa grosse bite noire ne te manque pas trop?

— Oui, un peu, beaucoup, même!

— Te rappelles-tu, lorsque que pour la première fois, je t'ai dit qu'il s'intéressait à toi et que je t'ai préparée pour qu'il tente quelque chose, car tu doutais qu'il veuille te baiser!

— Oui, et tu avais raison, Heureusement que tu as fait ça!

— Tu peux quitter ton string? Oui... garde ta jupe levée, j'adore voir ta chatte rasée, elle est splendide!

Je ne peux rien lui refuser, et un nouveau petit jeu érotique va sûrement avoir lieu. Le petit triangle de tissu glisse le long de mes cuisses, le bas de ma jupe retroussé, découvre largement les attaches du porte-jarretelles, qui aujourd'hui est blanc.

— Oui, parfait! Assied-toi, met ton pied sur la barre du fauteuil. C'est ainsi que tu étais? Gérald a commencé à poser sa main où? Ici sur ton genou, et il l'a lentement remontée, comme ça en caressant ta cuisse, le long de la lanière, découvrant peu à peu ta peau? Oui, je vois petite salope. Tu écartais les jambes au fur et à mesure, comme maintenant!

— Je fantasme encore au souvenir de cette main noire glissant sur ma peau blanche. Aaaaahhhhh...

— Tu as fini comme çà, jambes complètement écartées, chatte ouverte?

— Oui... et j'avais relevé ma jupe comme ça, alors il a inséré d'abord son majeur, ouuiiiii comme tu fais. Puis son index... Oui, oui... Regarde, regarde tes doigts. Rien que d'y penser, je mouille. Il a des doigts longs, mais longs. Il m'a presque fait jouir ce jour-là!! Ouuuiiii continue, caresse mon clitoris.

— S'il ne t'a pas fait jouir ce jour-là, il s'est bien rattrapé par la suite! Les inventaires au sous-sol ou tu as pu profiter pleinement de son énorme bite noire, comme tu les aimes!

— Haaaa, haaaaaa, huuuummm c'est bon, tes doigts!

— Tiens mon annulaire. Je sais, mes trois doigts ne valent pas l'énorme queue de Gérald. Elle ne te manque pas?

— Si, si... Mais continue... oouuuiiii... J'adore son énorme phallus noir!

— Bon, je crois que je vais pouvoir apporter un palliatif à cette absence!

Des bruits de pas derrière la porte nous font cesser à toute allure notre petit jeu. Deux jours après, Maxime me téléphone, me demande de passer le voir à son bureau dans l'après midi, il me précise qu'il me veut sans culotte et si possible avec une jupe ou une robe ample... A la pause de midi , je me change comme demansé et vais dans son bureau.

— Regarde ce que j'ai trouvé, me dit Max. L'autre jour u m'as dit que le gode que j'avais, était beaucoup plus petit que la bite de Géraild alors j'ai...

— Je suis curieuse, allez montre moi, vite!

Il déballe, la boîte. Il exhibe un godemiché noir, avec un prépuce amovible, légèrement arqué. C'est la réplique fidèle d'un sexe, assez conséquent.

— Prends le et dis moi ce que tu en penses. C'est toi l'experte!

Ce gode offre une souplesse et un contact remarquables. La finesse du prépuce, qui vient et va au fur et à mesure du calottage et décalottage du gland , est telle qu'on a l'impression qu'il s'agit d'une peau véritable. Les veines, avec les creux et les bosses ajoutent du piquant. Il fait vingt neuf centimètres de long et six centimètres de diamètre. La partie insérable doit faire vingt-six centimètres.

— Admirable, ton truc! Cela ne remplacera jamais la queue de Gérald! Mais manié avec dextérité, je crois que je vais prendre du plaisir!

— On va l'essayer, si tu veux. Viens ici, appuie toi sur le bureau, penche-toi en avant. Attends, je vais l'enduire de lubrifiant. Tu ne mouilles quand même pas encore. Tu veux bien écarter les jambes que je mette un peu de gel dans ta chatte. il est vraiment gros ce gode, Gérald a une bite aussi grosse?

Ses deux doigts dégoulinant d'un lubrifiant soyeux, badigeonnent mon orifice vaginal. Je frissonne pensant à ce qui va suivre. Cela me tire un gémissement lorsqu'il pose le gland humide, de l'énorme engin sur ma peau nue juste au-dessus de l'attache arrière de la lanière de mon porte-jarretelles. Il le remonte très lentement en direction de ma chatte, qui malgré moi commençe à palpiter et à s'humidifier. La jupe ample facilite cette approche. Après ce qui me semble une éternité, le gros bout noir écarte mes petites lèvres, Max glisse en forçant un peu, deux centimètres du gland dans ma vulve. J'ai un sursaut de plaisir, me mords la lèvre en attendant la suite de la pénétration, mais il retire le phallus factice et se met à me caresser la fente de bas en haut, titille mon clitoris. Il fait semblant de me pénétrer, et sent que je ne désire que cela, il ne l'enfonçe pas plus que de trois ou quatre centimètres, et recommençe ses caresses. Ce petit jeu m'excite et n'énerve de plus en plus. J'ai les deux mains appuyées sur le bureau, le bassin en arrière, je grogne de frustration. J'ai mis un soutien-gorge seins nus, mes mamelons pointent comme deux petits dards sous mon chemisier presque transparent qui moule parfaitement les globes fermes de mes seins.

— Enfonce... Enfonce-le-moi, s'il te plaît... oouuuuiiiii, s'il te plaît!!

Je réussis à attraper sa main, et à diriger le gros gland noir vers le trou béant de ma chatte, mes parois vaginales s'écartent, dix centimètres entrent dans le conduit bien lubrifié, j'écarte un peu plus les jambes. Maxime commençe alors des allers et retours, gagnant deux centimètres à chaque pénétration. Effectivement, le prépuce va et vient comme l'aurait fait celui d'une vraie bite, c'est délicieux.

— Ooooouuuuuiii, c'est bon, c'est bon... plus vite, enfonce... Enfonce... Aaaahhhhh...

— Ah tu aimes, petite Salope, c'est aussi bon que la bite de Gérald.

— Ouiii, ouiiii ne t'arrête pas, continue, plus vite, ouiiiii.

J'essaie de refréner mes ardeurs, de ne pas parler trop fort. Son bureau est assez isolé des autres, mais... des bruits de pas dans le couloir. Maxime lâche le godemiché dont il a inséré les vingt-six centimètres. Je me redresse rapidement, le manche de silicone noir enfoncé en moi.

On toque, la porte s'ouvre, Boulier, le nouveau chef de Marion, ma copine entre.

— Bonjour...

Ses yeux se fixent aussitôt sur les tâches sombres des petits pics que dessinent mes tétons, sous le mince tissu de mon tee-shirt blanc qui colle à mes seins comme une deuxième peau. Je suis sure que l'on peut aussi deviner mes aréoles gonflées et parsemées de chair de poule. D'autant que ce gars pour '' un chaud lapin ''. Il dut s'apercoit de notre gène, se doute que son intrusion a dû interrompre quelque chose, il fronce les sourcils.

— J'ai un problème sur mon PC, dit-il, en s'approchant du bureau, les yeux rivés sur ma poitrine.

Son regard ne quitte pas mes seins tandis qu'il explique ce qui cloche dans son PC. Il me semble que sa vision est doté de rayons X qui traversent mon sweater, j'en ressens la chaleur sur mes tétons,

une boule de feu me titille le ventre.

— Vous avez un tee-shirt sensationnel Trixie, dit-il en pointant son doigt sur mes seins, il met admirablement votre poitrine en valeur! Rajoute-t-il.

Je baisse les yeux sur mes seins, le thélotisme, conséquence d'une stimulation érotique, a projeté mes tétons en avant, ils pointent d'au moins deux centimètres moulés par le tissus presque transparent, qui laisse transparaître mes glandes de Morgagni, les petites papules naturellement présentes sur l'aréole entourant le mamelon. Une bouffée de chaleur m'envahit, il me semble que je devient écarlate.

Cela n'est pas fait pour atténuer l'émoi sensuel qui est en train de m'envahir. En effet, l'incongruité de cette situation commence à m'exciter. Je n'ose pas trop bouger, mais des ondes de chaleurs partent de ma chatte et montent dans mon ventre, de légers frissons me parcourent, en pensant au gros tuyau noir qui emplit ma vulve. C'est très émoustillant de se retrouver ainsi, je désire que Maxime repasse sa main sous ma robe et recommence ses pénétrations avec le gigantesque pénis noir en présence de l'intrus. Mon foutre coule sur ma jambe au-dessus de mon bas. J'ai envie de frotter mes cuisses l'une contre l'autre. Je regarde le chef de Marion avec un petit air de défi et je tends ma poitrine vers l'avant pour mieux imprimer en relief le bout de mes tétons à travers le mince tissu transparent qui les enveloppe. Son index est toujours pointé sur mon seins droit.

— S'il me touche, je joui pensai-je! Fais le, fais le putain!!

Insidieusement le plaisir m'envahit, un léger orgasme traverse mon corps. Comme dans un rêve, j'entends Maxime lui promettre de passer voir le problème du PC, il s'éclipse enfin. En tremblant, j'ôte lentement le godemiché, il ruisselle de mon foutre. Je suis pantelante!

— Eh...eh bien, j'ai cru que j'allais jouir! Enfin j'ai eu un petit orgasme! Nous l'avons échappé belle, nous aurions pu donner un tour de clef!!

— Ouf, c'est vrai, mais tu viens de me dire que tu as failli jouir!!

— Oui, pendant qu'il te parlait, et qu'il me complimentait sur ma poitrine! Cette situation m'excitait au plus haut point! J'aurai voulu qu'il caresse mes seins! Je suis vraiment une petite salope! C'est vraiment merveilleux ton nouveau jouet. J'ai joui un peu, touche comme suis mouillée! Ce soir, mon mari rentre vraiment tard. Si tu veux, on pourra recommencer cela tranquillement chez moi après le boulot vers dix huit heures!

— Mais tu es vraiment sûre de toi? Et si jamais il est là, ton Jules?

— Tu sais, il n'y a plus grand chose entre nous. Je t'ai raconté comment il a réussi à avoir son avancement, en me faisant baiser par son patron et les clients de celui-ci, alors!!

Le soir, à l'heure convenue, Maxime arrive chez moi.

— Tout à l'heure, je n'ai pas eu le temps de vérifier, mais est-ce que cela te fait bander de me masturber avec cet énorme engin noir? Lui dis-je en avançant ma main vers sa queue.

— Ben oui, mais c'est le fait de voir comme tu prends ton pied qui m'excite!!

En disant cela, il m 'attrape par la taille, plaquée contre lui, sa langue partit à la conquête de ma bouche, ses mains à celle de mes seins. Je ne sais pas comment, mais je me retrouve couchée, à côté de mon string qui fait une petite tâche noire sur la moquette du salon. Mon pull moulant remonté au-dessus de ma poitrine, la jupe enroulée au-dessus de mon porte-jarretelles. Les lèvres de Maxime butinent mes mamelons, ses dents mordillent juste la pointe, à la sortie des canaux galactophores, il sait que je raffole que l'on s'occupe de mes seins. Avec ces attouchements, les glandes apocrines situées dans l'aréole des mamelons produisirent des hormones qui augmentent de manière subliminale l'attraction de mon partenaire. La libération d'endorphines, d'ocytocine, de prolactine et de testostérone entraînent une vague d'excitation sexuelle qui font augmenter la taille de mes seins de plus de vint cinq pour cent et accélérent mon flux sanguin vers mon clitoris et les zones de mon vagin. J'ai constaté que la stimulation de mes mamelons me détend, mon stress et mon anxiété disparaissent comme par enchantement

— Merde, j'ai oublié le gel lubrifiant...

— Tu crois que je vais en avoir besoin? Lèche un peu ma chatte, elle coule!

Il continua à pincer, et à prendre mes tétons entre le pouce et l'index en les pressant doucement et en tenant la pression. Si je donnais des manifestations de plaisir en gémissant d'extase, il augmentait le pincement par palier, mais doucement pour que le plaisir ne se transforme pas en douleur. La pression poussait alors le sang hors du mamelon, il relâchait, le sang revenait, créant une sensation intense de plaisir. Il était le seul à me faire ce genre de ''Truc''! Il arrivait presque a me faire jouir ainsi. Sa langue s'activa dans mon vagin trempé, ses lèvres aspirèrent mon clitoris, ses caresses me rendirent folle.

— Vas-y, mets moi le gode, défonce-moi avec cet engin... ouiiiiii... c'est ça... Ça ressemble énormément à la queue de Gérald aussi grosse et aussi longue. Aaaahhhhhh, encore plus loin.

Maxime, maniant avec dextérité l'énorme phallus factice, me fit grimper une à une les marches du plaisir, je perdis la notion du temps. Je me retrouvai au bord du précipice de la jouissance, j'allai plonger dans l'abîme du plaisir.

— Non, non mets moi ta queue! Je veux ta queue pour jouir, sentir ton sperme couler en moi.

— J'allais te l'enfiler, tiens voilà, c'est fait!

Patatras... la sonnette retentit! De la rue, la voix de mon mari m'appelait.

— Trixie... Peux-tu venir nous ouvrir, j'ai oublié mes clefs, je suis avec un collègue en route pour le resto, mais avant je veux lui offrir l'apéritif.

Dans le salon, ce fut le branle-bas de combat, j'enfilai mon string en toute hâte, abaissai mon pull, Maxime fit disparaître le gode dans la poche intérieure de sa veste, il se réajusta à toute vitesse. Heureusement que mes cheveux tombaient sur mes épaules, je n'étais pas trop décoiffée. Le cœur battant chacun examina l'autre rapidement, le test était assez concluant, j'allai ouvrir.

Mon mari accompagné d'un d'un de ses jeune collègue patientait devant le portillon. Il avait l'air d'avoir assez bu.

— Nous venons d'une réception de la boîte, nous sommes en route pour le restaurant, mais avant je voulais que David vienne boire un coup à la maison et fasse la connaissance de ma femme, qui parait-il est un super canon! Tiens!! Mais que fait ici ton pote Maxime?

— Il... il est venu... pour... Pour regarder le micro qui avait des problèmes, il a fini...nous... Il... ilEn En disant cela, il m'avait attrapée par la taille, plaquée contre lui, sa langue partit à la conquête de ma bouche, ses mains à celle de mes seins. Je ne sus pas comment, je me retrouvai couchée, à côté de mon string qui fit une petite tâche noire sur la moquette du salon. Mon pull moulant remonté au-dessus de ma poitrine, la jupe enroulée au-dessus de mon porte-jarretelles. Les lèvres de Maxime butinèrent mes mamelons, ses dents mordillèrent juste la pointe, à la sortie des canaux galactophores, il savait que je raffolais que l'on s'occupe de mes seins. Avec ces attouchements, les glandes apocrines situées dans l'aréole des mamelons produisirent des hormones qui augmentèrent de manière subliminale l'attraction de mon partenaire. La libération d'endorphines, d'ocytocine, de prolactine et de testostérone entraînèrent une vague d'excitation sexuelle qui firent augmenter la taille de mes seins de plus de 25 % et accélérèrent mon flux sanguin vers mon clitoris et les zones de mon vagin. J'avais constaté que la stimulation de mes mamelons me détendait, mon stress et mon anxiété disparaissaient comme par enchantement.

— Merde, j'ai oublié le gel lubrifiant...

— Tu crois que je vais en avoir besoin? Lèche un peu ma chatte, elle coule!

Il continue à pincer, et à prendre mes tétons entre le pouce et l'index en les pressant doucement et en tenant la pression. Je donne des manifestations de plaisir en gémissant d'extase, il augmente le pincement par palier, mais doucement pour que le plaisir ne se transforme pas en douleur. La pression pousse alors le sang hors du mamelon, il relâche, le sang revient, créant une sensation intense de plaisir. Il est le seul à me faire ce genre de ''Truc''! Il arrive presque a me faire jouir ainsi. Sa langue s'active dans mon vagin trempé, ses lèvres aspirent mon clitoris, ses caresses me rendent folle.

— Vas-y, mets moi le gode maintenant, défonce-moi avec cet engin... ouiiiiii... c'est ça...ouiiiii. Ça ressemble énormément à la queue de Gérald aussi grosse et aussi longue. Aaaahhhhhh, encore plus loin.

Maxime, manie avec dextérité l'énorme phallus factice, me fait grimper une à une les marches du plaisir, je perds la notion du temps. Je me retrouve au bord du précipice de la jouissance, je plonger dans l'abîme voluptueux du plaisir.

— Non, non mets moi ta queue! Je veux ta queue pour jouir, sentir ton sperme couler en moi.

— J'allais te l'enfiler, tiens voilà, c'est fait!

Patatras... la sonnette retentit! De la rue, la voix de mon mari m'appelle.

— Trixie... Peux-tu venir nous ouvrir, j'ai oublié mes clefs, je suis avec un collègue en route pour le resto, mais avant je veux lui offrir l'apéritif.

Dans le salon, c'est le branle-bas de combat, j'enfile mon string en toute hâte, abaisse mon pull, Maxime fait disparaître le gode dans la poche intérieure de sa veste, il se réajuste à toute vitesse. Heureusement que mes cheveux tombent sur mes épaules, je ne suis pas trop décoiffée. Le cœur battant chacun examine l'autre rapidement, le test est assez concluant, je vais ouvrir.

Mon mari accompagné d'un d'un de ses jeune collègue patiente devant le portillon. Il a l'air d'avoir assez bu.

— Nous venons d'une réception de la boîte, nous sommes en route pour le restaurant, mais avant je voulais que David vienne boire un coup à la maison et fasse la connaissance de ma femme, qui parait-il est un super canon! Tiens!! Mais que fait ici ton pote Maxime?

— Il... il est venu... pour... Pour regarder le micro qui a des problèmes, il a fini...nous... Il... il allait partir!

— Oui, ce n'était pas bien grave, c'est réparé maintenant. Allez, je me sauve, dit Max.

— Bon, David, viens au salon! Trixie, sers-nous l'apéro s'il te plaît!

— Bonjour madame me dit le jeune homme, ne vous inquiétez pas, c'est moi qui conduit, me dit-il en souriant.

Ce jeune homme d'environ vingt-cinq ans, que je ne connais pas est beau comme un Apollon, assez grand, blond, les yeux bleus, un corps d'athlète qui emplit un costume de grande marque. Mon mari me jette des regards suspicieux, pas persuadé que Maxime était là seulement pour le PC.

Effectivement, mes mamelons, après les caresses qui leur a été prodiguées, semble vouloir transpercer le mince tissu de mon pull moulant. La fine étoffe colle à ma peau sculpte comme le matin le moindre détail de mes aréoles, c'est vraiment érotique, le jeune homme, comme Boulier semble s'en être aperçu. mon mari aussi!!

Ils prennent place, autour de la table basse au salon, David sur le divan, mon époux sur un fauteuil. Je passe devant lui pour servir les boissons, ses deux mains se faufilent sous ma jupe, d'un coup sec de sa main gauche, il tire sur mon string, qui céde. Sans ménagement et avant que je ne puisse esquisser un geste de défense, deux doigts de sa main droite s'insinuent dans ma chatte.

Éberlué le jeune homme regarde la scène d'un air vraiment gêné.

— Salope, salope, j'en étais sûr! Tu mouilles comme une pucelle, qui vient d'avoir son premier doigter!! Ton copain était en train de te baiser!! David, regarde mes doigts, ils coulent de son foutre et sa culotte et moite.! Salope! C'est la longueur de tes tétons qui m'a mis la puce à l'oreille!! Attends, petite traînée puisque tu aimes tellement te faire baiser. Tu vas y avoir droit!!

Il tira fortement ma jupe vers le bas, avec un peu de résistance, elle glisse le long de mes jambes, rapidement ne me laissant pas le temps de réagir, il est debout et saisissant mon sweat-shirt, il le fait passer par-dessus ma tête.

Je me retrouve en porte-jarretelles et soutien-gorge seins nus face aux deux hommes. Le doigter sauvage de mon époux devant son collègue relançe les sensations qui ne m'ont pas quittées depuis les caresses de Maxime. Je suis comme paralysée. Je culpabilise de m'être fait surprendre avec Maxime. Mon époux dégrafe mon mini soutien-gorge qui tombe à mes pieds. Mais ce déshabillage brutal devant ce jeune homme beau comme un Dieu, qui n'en revient pas, commençe à m'exciter. Ma vulve garde encore le souvenir du gigantesque gode noir que Maxime m'a inséré. Mon excitation n'est pas retombée, preuve en est la moiteur de ma chatte. Le collègue de mon mari regarde ce qui se passe avec de grands yeux ronds, il s'estt levé. Une bosse assez conséquente se profile à hauteur de son sexe.

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