Des Basketteurs Merveilleux...

Informations sur Récit
Une séance de baise au gymnase.
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Partie 5 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/25/2024
Créé 05/29/2024
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Le lundi, je rentre plus tôt de la pause déjeuner et retrouve Maxime dans son bureau, lui aussi recommence de bonne heure. Je sais qu'on n'est pas dérangés, et que nous sommes tranquilles jusqu'à 13 heures 30, largement le temps de faire un petit câlin

Il est à son bureau seul, je l'embrasse, il fait pivoter son siège vers moi. Je l'embrasse à nouveau, tire une chaise et m'assied à coté de lui, ma jupe remonte, les attaches de mon porte-jarretelles sortent de dessous l'ourlet, j'écarte un peu les jambes pour lui laisser profiter du spectacle. Maxime y porte les yeux, mais ne tend pas la main pour la glisser sur la cuisse offerte. Il boude. Je lui prend la main en souriant et la pose sur ma cuisse. Elle glisse sous ma jupe, remonte lentement jusqu'à mon sexe, écarte le string noir et insinue deux doigts dans mon orifice vaginal. J'ai ouvert les jambes, penchée sur le dossier de la chaise, ma jupe est remontée jusqu'à mon ventre.

Sentant que je commence à mouiller, il accélère le mouvement de ses doigts, j' avance le bassin sur le bord la chaise pour faciliter cette douce masturbation. Ma main part vers la braguette de Maxime et je lui sors la queue. La caresse que je lui prodigue le fait bander énormément. Tout en le caressant doucement, je lui dis :

— Tu n'es pas jaloux de ce que je t'ai avoué l'autre jour?

— Non, je ne suis pas jaloux, cela t'a permis de satisfaire le fantasme que tu fais sur Gérald. Tu m'as dit que tu aurais bien aimé te faire baiser, par un noir, c'est fait non? Tu es une femme très sexy, bien épanouie, bien dans ta peau et dans ta tête. Je suis très content pour toi, si tu as pu en tirer un réel plaisir. Je n'ai pas le droit de juger tes actes, et je te respecte toujours autant. J'ai bien aimé ta façon de me l'avouer.

Il m'embrasse tendrement. Il me traite quand même gentiment de petite Salope, tout en me rappelant le stratagème que j'ai employé pour lui faire mes aveux. Je me mets à genoux et commence à lui sucer la bite.

— Tu sais, me dit-il au bout d'un moment, comme je t'ai déjà dit, j'aimerai bien te voir faire l'amour avec un noir, et nous en avons un sous la main, qui te plaît énormément me semble-t-il! Je crois que je prendrais mon pied en te voyant jouir avec sa grosse bite noire!

— Moi aussi, j'adorerai que tu regardes Gérald me baiser, lui répondis-je! Que tu vois sa grosse bite noire glisser dans ma chatte, j'en frissonne. Je suis une vrai salope!

Cette réponse, le film qu'elle entraîne dans sa tête, la douce caresse de ma bouche font éjaculer Maxime au fond de ma gorge. J'avale entièrement son sperme.

— J'aime énormément, le goût de ton sperme. Il est meilleur que celui de Gérald...

Lui dis-je en me réajustant. Je l'embrasse avec encore de sa semence dans la bouche et pars au boulot. Suite à cette conversation, une idée germe dans l'esprit de Maxime. Il va trouver Gérald.

— Voilà, Trixie m'a tout raconté, je sais aussi que tu es au courant pour elle et moi. Elle m'a dit que tu nous avais vus à la lingerie. Je te propose un deal, nous la baisons ensemble, elle est super... Je sais qu'elle adorerait ça, qu'on la prenne tous les deux, elle me l'a avoué! Tu l'appelles pour lui donner rendez-vous un soir, par exemple après un entraînement de basket, je crois que vous avez un local pour vos après-matches. Tu lui téléphones, pour lui fixer rendez-vous.

— OK, si tu en es sur, c'est faisable, répondit Gérald, je te tiens au courant pour la date.

Maxime lui dit, que ce n'est pas tout, ils discutent encore un moment, Gérald lui répond que c'est d'accord pour sa demande et qu'il essayerait de faire ainsi. Une fois Maxime partit, Gérald m'appelle au téléphone. Il m'explique que si c'est possible, il a envie de passer un long moment avec moi, un soir. Il s'entraîne deux fois par semaine le mardi et le jeudi, que les entraînements finissent à 21 heures et qu'ensuite, il est libre, je peux le rejoindre au gymnase, l'endroit est tranquille, il sera seul. Je lui réponds qu'effectivement c' est faisable, s'il veut jeudi prochain, car mon mari suite à son avancement s'absente souvent une semaine entière, je suis donc seule et libre le soir. Il me dit que c'est d'accord, on se donne donc rendez-vous au gymnase.

— Tu mets ton porte-jarretelles, tes bas et ton soutien-gorge seins nus, j'adore. Pas besoin de mettre de string, c'est pour consommer de suite dit-il en riant.

—Vos désirs, sont des ordres Monsieur, lui répondis-je sur le même ton!

Le jeudi suivant, habillée d'un chemisier blanc déboutonné jusqu'à la naissance de mes seins, d'une jupe a carreaux noirs et blancs courte et assez moulante, on aperçoit les bosses des attaches de mon porte-jarretelles sous le tissu tendu, je pousse la porte du gymnase. Gérald m'attend discrètement dans le noir, il ferme la porte d'entrée à clef, et me conduit dans la salle de détente. Elle est vaste, bien éclairée. Il y a un assez long bar dans un coin, avec des tabourets hauts devant. Trois grandes tables avec des chaises, et dans un autre coin, trois fauteuils disposés face à face, un canapé fait aussi office de lit pour ceux qui ne peuvent plus renter lors des soirées où l'on arrose un peu trop les victoires. Les sièges profonds se trouvent autour d'une table basse. Maxime est assis dans un de ces fauteuils, un verre à la main. Je suis vraiment surprise de le trouver là, mon cœur se met à battre plus vite, j'ai compris. Je lui souris. Je m'assied sur le fauteuil en face de lui.

— C'est un vrai traquenard... Je ne m'y attendais pas du tout!! Dis-je en faisant un clin d'œil à Maxime.

Je croise mes jambes fines gainées de noir, ce qui fait remonter ma jupe assez haut sur mes cuisses en laissant apparaître une bande de peau blanche traversée par la lanière de mon porte-jarretelles, sur le côté de ma cuisse. Gérald lui apporte un verre.

— J'espère que tu ne nous en voudras pas, pour cette combine.

Je me met à rire en les regardant langoureusement l'un après l'autre.

— Mais non, vous êtes mes mecs préférés... Et je crois savoir que vous rêvez de me baiser ensemble... Tout au moins Maxime, il me l'a avoué...! Et moi j'adorerai!

— Moi aussi du Gérald... Et je crois que tes désirs vont être exaucés!

Maxime s'assied alors sur l'accoudoir de mon fauteuil, et caresse mes longs cheveux châtains teintés de mèches blondes. Gérald se met debout face de moi. Il a pris une douche, mis un short et un maillot propres.

— Bon, on fait quoi maintenant? leur dis-je...

Mes yeux brillants de convoitise, fixent la bosse que je devine sous le short de Gérald. A ce moment la porte s'ouvre et deux jeunes grands noirs entrent dans la pièce. Je ne peux pas retenir un « OH » de surprise. Ils sont torses nus, une serviette blanche nouée autour de leur taille, et fait ressortir leur couleur noir ébène. Leurs muscles roulent sous leur peau. Ils doivent avoir environ entre vingt et vingt-cinq ans. Ils sortent de la douche leurs cheveux ras crépus sont mouillés. Eux aussi nous regardent avec étonnement, ils ne s'attendent pas à trouver une aussi jolie jeune femme à cet endroit, bien que Gérald leur ait demandé de venir, nus sous leur serviette après leur douche. Car il y aurait une surprise dans la salle de détente.

Il me présente aux deux garçons Thymotée et Jérémy, puis part derrière le bar pour leur servir des verres. Les deux garçons s'assoient en face de moi, ils ne peuvent pas détacher leurs yeux de mes jambes, ma jupe remontée laisse voir largement mes cuisses et les attaches de mon porte-jarretelles.

— C'est pire qu'un traquenard, dis-je en souriant, croisant et décroisant mes jambes, la jupe remonte un peu plus.

— Tu as trois supers noirs, pour toi toute seule, me murmure Maxime à l'oreille, on va les faire bander, laisse moi faire... Rappelle toi ce que je t'ai dis, sur la longueur et la grosseur, tu ne seras pas déçue... Es-tu d'accord?

— Pourquoi crois-tu que je suis venue...

— Commence par déboutonner ton chemisier...

Je lui obéis assez discrètement, les boutons situés au dessus et sous mon soutien gorge cèdent. Il entame avec les deux garçons, une conversation sur l'équipe de basket. Tout en parlant, il passe derrière moi. Mes tétons commencent à durcir, et à pointer sous le mince tissu. Les jeunes noirs se sont enfoncés dans les fauteuils, leurs regards vont de mes jambes à mes seins. La main de Maxime commence à descendre lentement le long de mon cou, s'insinue sous le chemisier, elle dégage peu à peu mon sein droit, en écartant doucement le tissu. Les doigts arrivent presque à l'aréole qui s'est couverte de chair de poule, la caresse s'éternise. L'index de Maxime en frôle le bord, tourne doucement sur mon aréole, ceci me fait cambrer la poitrine en avant, mes mamelons s'érigent de plus en plus. Maxime me murmure à l'oreille.

— Regarde les bites de deux jeunes noirs... elles sont immenses... écarte doucement les jambes pour leur montrer que tu n'as pas de string et leur laisser apercevoir ta chatte, tu dois avancer un peu tes fesses sur le fauteuil.

Je m'exécute, le mouvement fait remonter la jupe plus haut que la moitié de mes cuisses. Les deux jeunes noirs, ne quittent pas des yeux la main de Maxime, et suivent tout en discutant le lent dénuement de mon sein. Ils aperçoivent maintenant, la moitié du globe laiteux, soutenu jusqu'à par le demi-bonnet de dentelle noire transparente. Je les regarde, un étonnement sans fin se lit sur leurs visages. Ils sont tétanisés par le spectacle de la jolie blonde se laissant déshabiller. Le bord du chemisier arrive à la moitié de l'aréole, lorsqu'il franchit le mamelon, le doux frottement du tissu sur le téton durci, me tire un gémissement de plaisir. Comme demandé, j'écarte lentement les jambes, ma jupe remonte se tend sur mes cuisses, révèle ma peau blanche au-dessus des bas noirs. Je me renverse ensuite au fond du fauteuil, la jupe se retrousse presque jusqu'à ma chatte, bien rasée. Mon foutre commence à humidifier ma fente palpitante qui s'offre aux yeux des deux jeunes qui ne savent plus ou regarder. Les serviettes font comme des petites tentes soutenues par un pieu. Ils passent leurs mains dessous et se masturbent doucement. Les draps de bain se sont légèrement ouverts sur leurs cuisses musclées. Gérald se positionne debout entre les deux fauteuils, pour ne rien louper du spectacle. Son sexe tend aussi son short. Maxime me dit.

— Tu as vu la hauteur, sous les serviettes?

— Putain, oui, répondis-je... Crois-tu qu'elles sont aussi grosses et longues que celle de Man dingo, tu sais l'acteur porno dont tu m'as prêté le DVD...

— Qu'est-ce que je t'ai dit! Tu vas voir de plus près, si c'est le cas... et si l'on ne m'a pas menti...

Je me lève, m'assois entre les deux fauteuils sur la table, pose une main sur la cuisse de Jérémy et la fait remonter doucement sous la serviette, qui s'entrebâille lors de ma progression vers le haut. Le jeune garçon n'ose pas bouger estomaqué. Puis je tire sur le tissu éponge. Il s'écarte, libérant le pénis noir et turgescent, tendu comme un arc. Mon autre main attrape la serviette de Thymotée et la tire aussi vers le bas. La sœur jumelle de la bite de Jérémy se tend elle aussi comme un ressort, les jeunes on à l'unisson un hoquet de plaisir. Je me rappelle que Maxime m'a dit que les joueurs blancs de l'équipe font presque des complexes sous la douche. Je viens de comprendre pourquoi. Les deux bites tendues ne sont pas comme celle de Mandingo, mais pas loin...

— Putain dit Max, on me l'a pourtant dit... je n'en ai jamais vu de si grosses en réalité!! Tu vas te faire baiser par ces engins?

— Oh ouiiii, murmurai-je... j'en ai des frissons... je mouille, rien que d'y penser...

— Salope, je crois que je vais adorer voir cela...

Ainsi assis, leurs deux grosses queues noires leur arrivent presque jusqu'au sternum. Elles doivent mesurer au minimum cinq ou six centimètres de diamètre. Celle de Jérémy semble un peu plus grosse et l'autre moins large mais plus longue. Gérald a lui aussi quitté son short, son énorme bite pointe fièrement vers le haut, j'en avais oublié la grosseur et la longueur

— La aussi, je comprends maintenant pourquoi tu as apprécié... dit Maxime en matant le pénis de Gérald... Si tu les caresses, je crois qu'elles prendront encore plus de volume!

J'en saisis une dans chaque main et commence à les masturber, les deux jeunes noirs gémissent de plaisir sous la caresse. Je leur calotte et décalotte rapidement le gland plusieurs fois. Puis je suce à tour de rôle leurs bouts bruns, les titillant du bout de ma langue. Gérald se rapproche de moi, il me présente sa queue dressée et raide, tout en continuant à branler les deux jeunes, je l'enfourne dans ma bouche, je l'avale le plus profondément possible au fond de ma gorge, la ressort pour mieux l'engloutir. Il me tient la tête m'aidant à faire pénétrer son gros rouleau noir.

Maxime est passé derrière moi, il me dégrafe mon chemisier, et me le quitte. Mes seins soutenus par mon soutien-gorge seins nus se dressent fièrement, les mamelons durcis appellent à être sucés.

— On peut lui caresser les seins? demanda Thymotée.

— Elle est venue pour ça, répondit Gérard en riant.

— Ooohhhh ouiiiiii, hoqueté-je, la bite de Gérald dans la bouche.

Les jeunes garçons s'emparent chacun d'un sein qu'ils pétrissent et caressent avec douceur. Leurs langues titillent mes cônes bruns. Je continue à les branler avec ardeur. Puis Maxime me fait lever.

— Je vais vous montrer comment elle est belle, leur dit-il.

Il défait la fermeture éclair de ma jupe, la descend doucement sur mes longues jambes, gainées de noir. Je dégage avec élégance mes pieds chaussés de talons aiguilles, du vêtement.

Maxime me fait tourner sur moi-même.

— Regardez son corps, il est parfait... sa lingerie est vraiment super!! Elle est vraiment belle ainsi...

Les jeunes noirs ont les yeux écarquillés... Ils n'en reviennent pas de pouvoir mater une blanche aussi jolie, en bas et porte-jarretelles. Ils croyaient qu'il n'y avait que dans les films pornos que cela se passait ainsi. Ils pensent vivre un rêve.

Mes deux seins fermes, aux pointes bien brunes érigées d'au moins trois centimètres, pointent hors de mon soutien-gorge seins nus de dentelle noire, sur mes hanches mon porte-jarretelles encadre mon sexe rasé, j'ai juste au-dessus un petit triangle de duvet ras châtains.

Les grandes lèvres de ma chatte, entrouvertes par l'excitation, laissent perler un peu de foutre et luisent d'humidité. Les lanières de mon porte-jarretelles sont bien tendues sur l'avant et le côté de mes cuisses, et tranchent avec ma peau blanche. Je mets les mains derrière la nuque, ce qui fait ressortir ma poitrine, et fais encore une volte pour me faire admirer. Les deux jeunes noirs sont béats d'admiration, ils s'approchent, haletants.

— Vous pouvez toucher, leur dit Maxime...

— Oh ouiiiiii, caressez moi...

Je regarde avec délice leurs grandes mains noires commencer à se promener langoureusement sur mon corps, cela ma plaît énormément.

Jérémy passe derrière moi et me pétrit les seins, le soutien-gorge l'embêtant quelque peu, il me l' ôte, me faisant frissonner de plaisir. Il frotte son énorme bite entre mes fesses, en grognant.

Thymotée s'est mis à genoux devant moi, ses mains parcourent mes jambes que je garde ouvertes. Elles partent des chevilles, remontent doucement jusqu'à mes cuisses, passent sous les lanières tendues, et remontent à l'intérieur pour effleurer, la fente offerte. Je frissonne à nouveau de plaisir sous les caresses de ces jeunes noirs. J'adore le contraste de ces mains noires sur ma peau blanche, ça m'excite à mort. Mon ventre commence à se nouer de désir, mon souffle s' accélère...

Les quatre mains noires, explorent et caressent mon corps sous toutes les coutures. Je m'offre langoureusement et voluptueusement aux caresses, regarde Maxime, avec un petit air de défi.

Thymotée me lèche la chatte à grands coups de langue rose, il me mordille le clitoris qu'il fait rouler entre son pouce et son index, je pousse de petits cris de plaisir. Jérémy, frotte toujours sa queue entre mes fesses. Il veut pénétrer mon anus, mais la position ne s'y prête pas. Il m'a légèrement penchée en avant, mais il n'a tout juste put entrer dans ma vulve que la moitié de son gros gland.

Gérald lui, laisse ses jeunes amis s'occuper de mon corps. Il transforme le divan en lit, prêt à accueillir nos futurs ébats. Maxime, me souris lorsque je le regarde toujours avec mon petit air de défi. Ayant l'air de dire.

— Tu voulais me voir baiser par un noir, profites en bien...!! Il y en a deux!! Et tu as vu leurs bites!

Il sort sa bite raidi par l'excitation prodiguée par le spectacle se calotte et décalotte le gland lascivement, se délectant du spectacle.

— Je savais que ça me plairait énormément me dit-il, tu as l'air d'adorer... toi aussi... petite Salope.

Gérald s'approcha de notre trio, cherche mes lèvres, tout en me caressant les seins. Je lui rends passionnément son baiser. Puis, ses lèvres descendent sur mes épaules, elles suivent ensuite la courbe du sein et il mordille le téton renflé. Je pousse un cri de plaisir en sentant la douce morsure. Doucement, il nous fait tous reculer jusqu'au lit. Jérémy y tombe sur le dos, ses jambes pendent sur le sol à partir des genoux, il m'entraîne doucement sur lui. Il veut toujours me sodomiser. J'enjambe les cuisses du garçon, qui caresse sa bite d'une main dégoulinant de salive et essaye de me l'enfiler dans l'anus. Le gland, vu les précédentes pénétrations que j'ai subies, n'eut pas de mal à forcer mon ampoule rectale. Je m'assois doucement sur la queue tendue. Jérémy tient fermement sa hampe noire et celle-ci pénètre lentement dans mon trou le plus intime. Thymoté dit à son copain de patienter trente secondes avant de me besogner. Il me couche, le dos sur le ventre de son ami, me pénètre et son long phallus noir, glisse dans l'orifice vaginal bien lubrifié et les deux compères ajustent leur cadence de pénétration.

— Ooooohhhhhh ooooouuuuui, c'est bon, c'est bon... j'aime

Maxime se déshabille, il s'approche et se met du côté gauche, de notre trio. A genoux, il aspire mon téton droit avec force. Je vois qu'il est au bord du nirvana. De me voir baiser ainsi par les deux jeunes noirs et de prendre un tel plaisir. En effet, je râle, hoquette et gémis d'extase, leur disant de ne pas cesser. Gérald s'occupe du sein gauche le frappant avec de petites claques, il tire le mamelon gorgé de sang et lui donne de grands coups de langue. Au bout d'un long moment, Gérald dit à ses copains de lui laisser une place, pour me pénétrer. Jérémy et Thymotée cessent leurs pénétrations, celui qui a la queue la plus grosse obtempère en dernier, il sort sa verge de mon anus, et pénètre la place laissée vacante dans le vagin ruisselant. Je sens les couilles du jeune homme, me battre les fesses. Je crie de plaisir sans m'arrêter, Maxime peut voir mon foutre qui s'écoule le long de la grosse bite noire et former un anneau blanc à la base du sexe gigantesque. Son copain ne veut pas être en reste, me repousse doucement pour me faire allonger de dos sur le torse de Jérémy. Il approche sa bite de ma chatte, au-dessus de celle de Jérémy me caresse le clitoris avec son pouce. Il force pour enfoncer sa bite dans mon sexe ruisselant, son gland entre un tout petit peu. Mais je crie qu'elle n'entrera pas, que cela me fait mal, que leurs bites sont vraiment trop grosses, qu'il faut qu'ils arrêtent. Ils ne peuvent pas me faire une double pénétration.

Maxime me caresse les cheveux, et me dit de me détendre, il faut qu'elle rentre, et elle rentrera. Pour cela, je dois bien écarter les jambes. Il crache sur la grosse queue noire qui peine à se frayer un passage. Le jeune insiste avec fougue, il veut à tout prix me pénétrer. Ça me fait mal.

— Non, les gars vous êtes trop gros, arrêtez...!!

— Oui, dit Gérald...vous avez vu vos bites... doucement vous allez la déchirer... A moins que...

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