Les Préservatifs 04 (La Jouissance)

« J'ai compris », lui répond son mari, « et je ne vais plus penser qu'à ça. Ne t'inquiète pas, fais-moi confiance. »

« On verra », lui dit sa femme, dubitative.

Pendant le peu de temps libre qui lui reste, Arthur cogite. Il se met à bien surveiller le cycle de son épouse, pour détecter une possible date d'ovulation où Fleur sera particulièrement excitée. Il a aussi une idée pour intégrer le préservatif dans son scenario pervers.

Un soir, il se lance :

« Je vais t'emmener faire une petite promenade dans les dunes, derrière la plage. Tu devrais être très fertile, ce soir. »

Fleur, qui sent très bien le moment de son ovulation, confirme.

« Tu vas mettre une jupe légère sans rien au-dessous. Tu dois être disponible. »

Arthur a rarement vu sa femme aussi excitée quand ils commencent leur promenade. Ils se cachent derrière une dune et attendent. Arthur n'hésite pas à passer une main sous la jupe et découvre des lèvres complètement trempées. Ils n'ont pas à attendre longtemps. Un couple d'amoureux vient d'arriver, une femme blanche et un homme noir. Arthur se dit que cela augmente encore l'érotisme de son scénario. L'homme sort de sa poche un préservatif qu'il enfile sur son sexe alors que la femme se couche sur le sol, cuisses bien écartées. Le coït est puissant et rapide. Fleur, tout en restant bien cachée, jette un coup d'œil. Ce qu'elle voit l'excite encore plus. Elle se doute maintenant de ce que son mari a prévu pour elle. Elle s'en veut même de l'avoir si mal traité pendant plusieurs mois. Tout a coup l'homme se cambre et crie sa jouissance, accompagné par sa partenaire. Puis, son affaire faite, il retire le préservatif qu'il jette au sol.

Arthur attend que le couple s'éloigne suffisamment pour ne pas être repéré, d'autant plus qu'il doit allumer une grosse torche, du genre lampe de chantier, pour bien éclairer la zone. Dans la lumière, Arthur voit qu'il n'y a pas qu'un seul préservatif au sol. Il y en a quatre, presque côte à côte. L'endroit est visiblement très fréquenté, se dit Arthur, ce qui n'arrange pas son projet. Il explique le problème à Fleur qui est trop excitée pour abandonner, aussi lui dit-elle de prendre n'importe lequel.

Fleur se couche sur le dos et relève sa jupe jusqu'à la taille. Elle tremble déjà d'excitation. Malgré le risque qu'il soient surpris, Arthur positionne l'éclairage pour que le ventre et la chatte de Fleur soient en pleine lumière, car il sait que voir ce qu'elle va faire est essentiel pour sa femme. Alors, Arthur dépose le préservatif sur le ventre de Fleur. Il lui fait ouvrir largement les cuisses et, de ses mains, il écarte les lèvres vulvaires, rendant le vagin accessible. Alors, il regarde sa femme retourner le préservatif et faire couler quelques gouttes de sperme sur son clitoris, qu'elle caresse d'un doigt. Puis, ce sont ses lèvres vulvaires qu'elle recouvre de sperme. Son excitation grandissant, sa respiration devient saccadée, haletante, s'amplifiant lorsque le sperme finit par s'écouler dans le vagin. Alors, elle fourrage dans son sexe avec ses doigts, d'une façon désordonnée, mal contrôlée, trahissant ainsi son excitation. Arthur a sorti sa petite bite et la branle en regardant sa femme. Fleur place alors l'ouverture du préservatif dans l'entrée de son sexe et presse sur le caoutchouc, poussant dans son vagin tout le sperme qui restait dans le préservatif. Fleur tremble d'excitation. Elle est au bord de l'orgasme qu'elle espère depuis si longtemps. Arthur est le plus heureux des hommes en la voyant comme ça. Alors qu'il s'attend à la voir jouir, il la regarde, incrédule, jeter au loin le préservatif usagé et se mettre à pleurer.

« Que ce passe-t-il, mon amour, tu y étais? Dis-moi », interroge Arthur.

« J'ai senti tout à coup en moi que le sperme était tout froid. Ce n'était pas le bon préservatif. Une vielle semence d'hier n'aurait pas pu m'engrosser. C'est encore raté ! »

Puis, se relevant, elle se rend compte de l'air affligé de son mari. Elle l'embrasse alors tendrement, puis lui dit :

« Tu avais fait tout ton possible. Merci. Ce sera pour une autre fois, j'espère. »

Presque un mois a passé et Arthur n'a pu évacuer le problème de sa tête. Faire jouir sa femme comme elle le souhaite est devenue son obsession. Il lui est venu une idée qui lui paraît parfaite, mais c'est très délicat pour lui. Osera-t-il?              

Il a surveillé le cycle de Fleur et il a conclut que son ovulation devrait avoir lieu ce soir ou demain. C'est le moment. Il ne peut plus tergiverser. Alors, Arthur téléphone au père de Fleur, qu'il veut rencontrer en toute confidentialité. Celui-ci lui dit qu'il peut le recevoir, son épouse étant partie voir une amie.

Dès son arrivée, son beau-père, intrigué, le questionne :

« Alors, mon gendre, que puis-je pour toi? »

« C'est assez délicat... c'est très personnel... », commence Arthur.

« Allez, accouche !Nous sommes entre hommes, tu peux tout me dire. »

Alors Arthur se lance. Il explique a son beau-père le problème d'orgasme de sa fille, puis la particularité de ce qui lui ai fait atteindre, une première fois, cette jouissance explosive qu'elle attend toujours. Il n'a rien caché des deux éléments majeurs : le préservatif usagé et le risque de fécondation. Il finit par dire :

« J'ai vu que vous l'aviez faite jouir totalement, une fois, devant moi, mais il ne s'agit pas de recommencer. Fleur m'a dit que sa jouissance était venue de la réalisation d'un fantasme d'adolescente et qu'elle croyait qu'il serait difficile de reproduire ces circonstances bien uniques. »

« Elle a raison », répond son beau-père, « mais j'ai compris ce qu'il vous faut et je vais vous aider. Comment comptes-tu procéder, pratiquement? »

« Ce soir, je mettrai un léger somnifère dans l'infusion qu'elle prend chaque soir. Vous pourrez venir assez tôt, un peu avant 8 heures, alors qu'elle dormira encore. Vous pourrez la voir... et cela vous aidera, je pense. »

« Alors, à demain matin, mon gendre », conclut son beau-père.

« C'est bien que tu sois aussi attentif aux besoins de ma fille », ajoute-t-il au départ d'Arthur.

Le soir, après avoir pris son infusion, Fleur se couche car le sommeil ne paraît pas loin. Arthur, a côté d'elle commence à la caresser. Elle se dit qu'il choisit un mauvais moment car il lui faut luter pour rester éveillée. Fleur se force pour donner un peu de plaisir à son mari. Elle lui doit bien ça, tant il fait d'efforts en ce moment pour la satisfaire. De plus, elle vient de sentir en elle cette sensation qu'elle connaît bien. Son ovulation est là. Fleur se dit que son gentil mari va certainement tenter quelque chose ce soir pour l'amener au plaisir suprême qu'elle attend depuis si longtemps, aussi tente-t-elle de rester éveillée. Elle le laisse la déshabiller et repousser les draps. Il a envie de la voir nue, exhibée, c'est certain. Rentrant dans son jeu, elle prend pour lui une pose excitante. Elle se veut alanguie, cuisses écartées, impudique, presque obscène. C'est dans cette position qu'elle tombe dans un sommeil profond.

Le lendemain matin, comme convenu, le beau-père arrive. Sans dire un mot, Arthur le fait entrer dans la chambre. Ils ne communiquent que par signes. Fleur dort toujours profondément et sa pose est restée presque la même, peut-être encore plus érotique, cuisses un peu plus écartées, un doigt posé sur le clitoris, preuve probable d'une nuit peuplée de rêves érotiques. Son père se place au pied du lit, le plus près possible, les yeux rivés sur la chatte offerte de sa fille. C'est un sexe tendu à en être douloureux qu'il sort de son pantalon. Il tire de sa poche un préservatif dont il recouvre son membre et commence une branlette rapide. Cela fait bien un mois qu'il n'a pas eu de relations sexuelles, sa femme n'y prenant plus trop goût, l'âge avançant. Ses couilles sont donc plus que bien pleines. Ceci, ajouté à l'excitation de voir sa fille si impudique, fait que sa jouissance arrive vite et est plus que copieuse. Le préservatif, qu'il avait pris soin de ne pas trop tirer sur son sexe, contient maintenant une belle dose de sperme à son extrémité. Le beau-père le retire avec précaution et le tend à son gendre, avant de quitter la pièce sans le moindre mot. Il aurait bien voulu assister à la suite, mais il n'a trouvé aucune solution pour le permettre en toute discrétion.

A peine son beau-père a-t-il franchi la porte qu'Arthur pose un doux baiser sur les lèvres de sa femme et il recommence jusqu'à ce que celle-ci se réveille.

« Bonjour mon chéri, j'ai vraiment bien dormi », dit-elle.

« J'ai un petit cadeau pour toi, ma chérie. C'est un jour spécial aujourd'hui, n'est-ce pas? », répond Arthur en déposant le préservatif usagé sur le ventre de Fleur, qui se sent alors hyper excitée.

Il lui faut remercier ce mari si attentionné, aussi dit-elle :

« Oui, hier soir, j'ai senti mon ovulation arriver. Et tu as choisi parfaitement ce moment pour ton ... cadeau. Et, là, je sens sur mon ventre que le sperme est encore tout chaud. Tu es vraiment un merveilleux mari, mon gros Nounours. »

Comme la fois précédente, Fleur retourne le préservatif et fait couler quelques gouttes sur son clitoris qu'elle caresse doucement. Son excitation monte vraiment, mais Fleur, pour remercier son mari, veut une suite un peu différente.

« Cette fois, c'est toi qui va le faire, mon amour », lui dit-elle.

Arthur, surpris, en est si excité qu'il ouvre sa braguette et en sort son petit sexe bien tendu. Il veut ainsi montre à sa femme comme ce changement l'excite. Puis, il écarte les lèvres vulvaires avec une infinie douceur, avant d'y verser une bonne dose de sperme chaud. Tous deux regardent cette semence glisser sur les lèvres et leur excitation monte alors d'un cran. D'un doigt Arthur pousse le sperme, qui englue encore la vulve de sa femme, dans un vagin accueillant. Fleur vibre d'excitation. Elle sent son orgasme approcher. Elle sait que cette fois sera la bonne. D'une voix entrecoupée par les soubresauts du désir, Fleur veut remercier son mari :

« Tu es ... merveilleux. C'est génial ... d'avoir ... joui dans ... ce ... préservatif... pour... m'engrosser, aujourd'hui. C'est ... ton sperme ... tout chaud ... que je sens en moi. »

« Oui, peut-être ... ou ... peut-être pas », répond Arthur, qui continue à pousser le sperme dans le vagin d'une main, tout en se masturbant de l'autre.

L'idée qu'elle puisse avoir en elle la semence d'un autre homme fait presque jouir Fleur, mais elle sait bien que c'est vraiment improbable, aussi lui dit-elle :

« Je sais que c'est toi, mon chéri. Le sperme est tout chaud. Tu n'aurais pas pu trouver quelqu'un pour te donner son préservatif usagé, ici, quelques instants avant mon réveil ! », puis elle ajoute :

« Et puis, tu n'aurais pas voulu que je sois enceinte d'un inconnu. »

« Non » , répond seulement Arthur.

Pour ne pas laisser retomber l'excitation de sa femme, il soulève le préservatif encore à moitié rempli pour le lui montrer.

« Regarde tout ce qui reste et qui va venir engluer le col de l'utérus de ma femme fertile », dit-il.

Entendre ça fait encore monter l'excitation de Fleur, qui tremble toute. Alors, Arthur enfonce l'ouverture du préservatif dans le vagin offert et écrase le caoutchouc, propulsant tout le sperme à l'intérieur. Pour parfaire sa tâche et être certain de la fécondation, il enfile deux doigts jusqu'au fond du sexe de sa femme, pour repousser la semence au plus près du col. Du bout d'un doigt, il en masse l'ouverture, longuement. Il sent alors, au bout de son doigt, l'ouverture du col se dilater sous l'effet d'un orgasme fulgurant qui fait hurler sa femme de plaisir. Il a réussi, il lui a fait atteindre le Graal. Fleur est prise de soubresauts inconnus qui durent, durent, durent ...

Lorsque sa femme retrouve une certaine sérénité, heureuse, Arthur se couche sur le lit, à côté d'elle pour recevoir quelques doux baisers de remerciement. Puis il se relève pour venir placer un oreiller sous les fesses de sa femme, qui lui dit alors :

« Oui, il faut mettre toutes les chances de notre côté. C'est merveilleux de faire un bébé dans de telles circonstances. Ce sera si bon d'avoir un enfant de toi. »

« Peut-être », répond seulement Arthur.

« Comment 'peut-être'? Ce n'était pas ton sperme ! Ce n'est pas possible », crie presque Fleur.

« Non, ce n'était pas le mien, ma chérie », confirme Arthur.

« Mon dieu, mon dieu », crie sa femme, « C'était qui? Dis-le moi ! Vite ! »

Arthur la fait encore attendre. Il se régale de l'inquiétude qu'il lit dans les yeux de sa femme. Puis, il lâche :

« Ton père. »

Fleur crie un « Ah » interminable, se roulant sur le lit alors que, sans qu'elle ne se soit touchée, un orgasme foudroyant, encore plus fort que le précédent, la traverse. Elle se met à frotter son clitoris à toute vitesse, fortement, jusqu'à la douleur, comme si elle voulait se punir de cet inceste si spécial, si érotique. Sa souffrance n'arrête pas son orgasme, bien au contraire. Il revient sans cesse, comme des ondes qui la traverseraient, jusqu'à ce qu'elle s'effondre, épuisée, heureuse.

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... Fin ...