Les Préservatifs 04 (La Jouissance)

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Le dernier jour, après le déjeuner, Arthur attend encore sa femme, espérant un retour peu après. L'après-midi avançant, il perd tout espoir de la revoir avant d'être à l'aéroport, aussi se met-il à préparer leurs bagages pour leur retour. Il pense à mettre dans sa poche la boîte de pilules contraceptives dont Fleur aura certainement besoin.

Pour profiter de prix plus bas, ils ont choisi un vol d'une compagnie 'low cost' qui propose un voyage de nuit. En fin de journée, Arthur se rend à l'aéroport. Il attend sa femme avant de faire enregistrer les bagages, mais, ne la voyant pas arriver, il le fait juste avant la clôture. La fin de l'embarquement est imminent et Fleur n'est toujours pas là. Doit-il prendre l'avion ou le rater pour l'attendre encore? Ses bagages sont partis. Il est bien démuni. A ce moment, Arthur se sent, non plus comme un cocu volontaire excité par les aventures de sa femme, mais comme un mari trompé. A-t-il perdu sa femme? La reverra-t-il? Jamais il ne s'est senti aussi mal.

Mais, à l'instant, son regard capte une petite robe d'été qu'il connaît bien, au fond d'un couloir. Fleur courre vers lui et se jette à son cou. Une hôtesse arrête leurs effusions, les pressant d'embarquer. Sans avoir eu le temps d'échanger, ils trouvent leurs places tout à l'arrière de l'avion. Dans leur rangée, sur leur côté, la troisième place est restée libre. Ils seront plus tranquilles pour leurs retrouvailles. Arthur est tellement perturbé, qu'il n'a pas dit un mot depuis leur embarquement. Fleur, qui se rend compte de l'état de son mari, cherche à le rassurer en disant :

« Pourquoi t'es-tu inquiété? Gabriel t'avait dit que je te retrouverai à l'aéroport. »

Arthur, dont l'angoisse transparaît encore dans la voix, lui répond :

« J'étais inquiet. Je croyais t'avoir perdue », puis ajoute :

« Et tu avais oublié tes pilules. Prend-les vite », lui tendant la boîte.

« Range-les. Il n'y a pas d'urgence. On verra ça plus tard », lui dit Fleur.

Pour Arthur c'est complètement incompréhensible ! Il préfère alors la questionner :

« Qu'as-tu fait avec Gabriel? Raconte-moi. »

« On en parlera après le décollage », lui dit alors sa femme adultère.

Alors que l'avion prend son envol, Arthur pose sa main sur la cuisse de sa femme. Heureux de la retrouver enfin, il la caresse, remontant peu à peu sous la courte robe. Lorsqu'il sent une chatte plus qu'humide sous ses doigts, il s'exclame :

« Mais tu es toute nue là-dessous ! », espérant que personne n'a entendu ce qu'il vient de dire.

Fleur lui chuchote à l'oreille :

« Évidemment ! Je n'avais pas de culotte en partant, je n'en ai pas plus en revenant, gros malin ! »

Lorsqu'ils peuvent détacher leurs ceintures, Fleur demande à Arthur de retirer sa veste de lin toute légère et de la poser en travers, sur eux. Beaucoup de hublots son occultés pour la nuit, mais un peu de discrétion supplémentaire ne sera pas de trop pour leurs retrouvailles. Sous le vêtement, Fleur ouvre la braguette de son mari et sort son petit sexe déjà bien tendu pour y poser sa main. Elle se laisse un peu glisser dans son siège pour permettre aux doigts d'Arthur de prendre possession de la chatte qu'elle lui a refusé ces derniers jours. Ils sont tous deux prêts aux confidences.

Arthur attaque d'emblée par ce qui pourrait être un reproche :

« Te rends-tu compte que tu as passé ton voyage de noce avec ton amant et pas avec moi, ton mari? »

« C'est vrai, je le reconnais. Je suis un peu... comment dire... un peu... cochonne, n'est-ce pas? », lui répond Fleur.

Arthur tient à corriger, disant :

« Tu es plus qu'une cochonne. Tu es, disons... une vraie salope ! Mais tu n'es plus une salope, tu es ma salope, et je t'adore comme ça. Sous mes doigts, je sens que tu es toute mouillée. Ça ne peut pas être seulement ton petit jus ! Tu dois être pleine de sperme, n'est-ce pas? »

« On peut dire ça », lui répond sa femme.

« Allez, dis-moi si c'était bon avec Gabriel », lui dit Arthur, qui veut tout savoir.

Fleur reprend le contrôle de leur conversation, en précisant :

« Bon, je vais tout te raconter à condition que tu ne m'interrompe pas tout le temps. S'il y a des questions, ce sera après. Voilà : nous étions dans sa jolie petite maison en bord de mer, mais nous ne nous sommes jamais baignés. Nous avons fait des 'galipettes' partout, tout le temps. Gabriel était insatiable. C'était bon de me sentir dilatée par son gros sexe. J'avais à chaque fois l'impression que son membre avait encore grossi. Après cette semaine, je ne suis pas certaine que ma chatte sera aussi serrée qu'avant. Je suis même plutôt sure du contraire. A chaque fois que tu as essayé de me pénétrer, je n'ai presque rien senti. Alors, maintenant, devine ce que cela va être. Je ne sentirai plus rien du tout. Finalement, il vaudrait mieux que tu t'abstiennes. Gabriel m'a dit que je ne devrais plus te laisser me pénétrer. C'est une façon pour lui de marquer ... euh ... son territoire. Je lui avais répondu non, mais je crois qu'il avait raison ... »

« C'est que ... », l'interrompt Arthur.

« Pas de ça ! Pas de question ! Pas d'interruption. C'est la règle. Sinon je ne te raconte plus rien », assène Fleur.

« Bon », reprend-t-elle, « Où en étais-je? Oui, il me prenait à fond et, en plus d'être complètement dilatée, il me perforait. Je sentais son gland écraser le col de mon utérus et finir par le noyer dans son sperme abondant. Nous avons passé la première journée à baiser comme des fous, mais, dès ce premier soir, il a eu la visite d'un de ses copains, Lyam. C'était un beau métis, comme lui. Lorsqu'il est entré, j'étais empalée sur le sexe de Gabriel. J'ai fait mine de me relever mais mon amant m'a retenue, me disant que Lyam en avait vu d'autres et qu'il me suffisait d'être gentille avec notre visiteur, qui s'est tout de suite mis nu. J'ai vu qu'il avait un sexe plus fin que celui de Gabriel, mais encore plus long, ce que je croyais impossible. Il s'est placé derrière moi et j'ai senti son sexe se placer entre mes fesses. Je savais ce qui allait m'arriver. J'aurais dû refuser, mais j'avais envie de vivre cette expérience. J'ai immédiatement pensé à la longueur de son pénis, me demandant jusqu'où il allait pouvoir pénétrer dans mon fondement. J'ai poussé un petit cri lorsque le gland, un peu plus gros que la hampe, a passé mon anus. Il a poussé doucement, lentement. Sous moi, Gabriel était resté planté, sans bouger. J'ai senti le long sexe de Lyam s'enfoncer en moi, jusqu'au bout. J'avais l'impression que mon ventre avait grossi avec ces pressions internes. Ce n'était probablement pas qu'une impression. Puis, ils se sont mis à bouger, synchronisant parfaitement leurs pénétrations. C'était divin. J'étais si proche de l'orgasme que j'espérais ! Ils ont ensuite accéléré la cadence, mais cette fois c'était chacun à son rythme. C'est devenu fou ! J'avais l'impression que chacun essayait d'aller plus vite que l'autre. J'étais poussée, tirée dans tous les sens. Je sentais des frissons de plaisir me parcourir. J'ai fini par glisser ma main sous moi pour titiller mon clitoris pendant ces coïts de folie. J'ai presque atteint la jouissance lorsqu'ils ont éjaculé en moi tous deux en moi, en même temps. »

Se remémorer ces moments de plaisir excitent Fleur, dont la chatte coule encore plus, maintenant, trempant les doigts de son mari. Elle prend une minute de repos pour se calmer avant de reprendre son récit.

« Ils ont recommencé toute la nuit. Ils étaient infatigables. Ils échangeaient leurs positions, mais je préférais lorsque c'était Lyam qui me sodomisait. Il me faisait moins mal et j'aimais la sensation de le sentir plus profondément en moi à cet endroit.

Le lendemain, Lyam est resté avec nous. Gabriel m'a dit qu'il avait une idée pour augmenter mes sensations. Il a placé un bandeau sur mes yeux. Il est vrai que, sans la vision, le ressenti paraît plus intense. Tu devrais essayer, lorsque je te branle, mon chéri. Il n'a plus été pour moi que de baiser les yeux bandés. Ils me prenaient chacun leur tour. J'avais refusé de continuer les sodomies car, après tout ce qu'ils m'avaient mis la première nuit, c'était trop douloureux. Gabriel s'est amusé à me demander de dire qui me prenait. J'ai été très bonne à ce jeu : je ne me suis jamais trompée.

La nuit suivante, nous avons continué de la même façon, mais Gabriel n'a plus voulu de ce jeu de devinette. Dans ma tête, j'ai un peu continué, mais j'y arrivais moins bien. Je ne savais plus qui me prenait. J'avais l'impression que ce n'était ni l'un ni l'autre. Je me suis dit que j'étais perturbée par ces pénétrations successives et que je n'arrivais plus à me concentrer. Ce n'était pas bien grave. Ce n'était qu'un jeu sans importance. »

Fleur s'interrompt car l'hôtesse vient leur proposer des boissons. Elle ouvre alors la tablette pour y poser le gobelet. Fleur se dit qu'ainsi ses jambes seront encore un peu plus cachées et elle se laisse glisser plus loin, facilitant ainsi l'accès de sa chatte par son mari, qui en profite pour glisser un doigt dans le vagin de sa femme. Encore plus excitée, Fleur vide son gobelet puis reprend son récit :

« Dans les journées suivantes, nous avons baisé ... ou plutôt fait l'amour ... tu m'excuses, mon chéri. Oui, j'étais bien avec eux deux. Ils étaient moins fougueux. Ils me câlinaient. J'avais deux amants et j'étais heureuse de m'offrir à eux. J'avais deux beaux étalons pour moi seule. Je me suis sentie un peu ... amoureuse ... des deux. Tout à l'heure, j'ai eu du mal de me séparer d'eux. Tu ne m'en veux pas, mon Nounours? »

« Non », lui répond Arthur, « C'est normal que cela finisse par t'arriver, dans de telles conditions, même si c'est dur pour moi. Je le supporte bien, comme tu peux le sentir entre tes doigts. C'est anormal, mais ça me fait encore plus bander de te savoir amoureuse d'un autre, non, de deux autres. Allez, raconte-moi jusqu'à la fin. »

« Bon », reprend Fleur, « chaque jour n'était que câlins, petites caresses, pénétrations en douceur, jouissances contrôlées et même échanges de mots d'amour. Je crois que cela a été comme ça dès que je leur ai dit que j'avais laissé mes pilules contraceptives à l'hôtel. Ils m'ont proposé d'aller les chercher et j'ai refusé, ce qui les a vraiment excités. Ils m'ont dit qu'ils auraient pu faire attention si je le leur avais dit plus tôt et ont ajouté que, dorénavant, ils se retireraient, que c'était pour eux la meilleure méthode car ils n'aimaient pas les préservatifs. Je leur ai dit qu'il n'en était pas question et que j'aimais sentir leur sperme en moi. Quelle cochonne, n'est-ce pas? J'ai même dit que le risque qu'ils puissent m'engrosser m'excitait. Depuis, ils se sont assurés de bien jouir en moi, tout au fond, à chaque fois que nous faisions l'amour. Ils ont même fait des paris : qui serait l'heureux papa? Évidemment, je ne leur ai pas dit que j'étais dans la première semaine suivant mes règles et que le risque était très faible. Je voulais qu'ils profitent au maximum de l'idée de me féconder.

Après une journée de plaisirs amoureux, chaque soir ils me remettaient le bandeau sur les yeux et, toute la nuit, ce n'était plus l'amour qu'ils me faisaient. Ils me baisaient ... c'est vraiment le mot. C'était fort, puissant, rapide, parfois violent. C'était si différent que, parfois, je ne les reconnaissais plus. Leur façon de faire était par moments surprenante. Je sentais parfois couler un peu de sueur sur moi, alors que je n'avais jamais senti cela auparavant. J'ai pensé que c'était parce qu'ils se déchaînaient en me prenant avec une telle fougue. Parfois des mains seraient mes seins d'une façon inhabituelle.

Je me suis demandée comment ils pouvaient me prendre autant de fois dans la nuit et avec une telle vigueur. Chaque nuit, j'ai compté. J'étais prise au moins dix fois de suite. Cinq fois chacun était vraiment une performance, d'autant plus que nous avions fait l'amour plusieurs fois dans la journée. Ce qui m'étonnait le plus c'était qu'à chaque fois ils éjaculaient en moi et j'étais bien remplie, il y avait la dose. Comment deux hommes, même jeunes et athlétiques comme eux, pouvaient avoir de telles performances... et tous le soirs. Alors, j'ai eu des doutes. Ce matin, au réveil, ils m'ont laissée seule un moment. J'ai ouvert le tiroir de la table de nuit de Gabriel et, surprise, elle était remplie de billets de 50€. Je me suis doutée qu'ils m'avaient prostituée sans mon accord.

A leur retour, furieuse, je les ai questionné à ce sujet. Sans être le moins du monde gênés, ils m'ont dit que, vu que j'aimais me faire baiser, il pouvaient en faire profiter tous leurs copains et qu'en plus un peu d'argent de poche était toujours bon à prendre. Je ne leur en ai pas voulu car savoir que j'avais fait la pute m'a beaucoup excitée, mais j'ai tout de même réclamé la moitié des gains. Tu vois, en rentrant je pourrai faire plein de petites emplettes. »

« Tu m'étonneras toujours, ma chérie », lui dit Arthur, qui veut maintenant la questionner :

« Avec tout cela, as-tu pu atteindre enfin l'orgasme que tu attendais tant? »

Arthur n'obtient pas la réponse qu'il espérait :

« Non, malheureusement. J'ai été cent fois toute proche de l'atteindre, mais il manquait toujours quelque chose. Le risque d'être engrossée n'était pas vraiment là, compte tenu de la période, et il me manquait le préservatif pour me rappeler cette première fois si excitante. »

Arthur comprend qu'il va devoir reprendre sa quête des situations qui pourraient permettre à sa femme adorée d'atteindre enfin le sommet des plaisirs qui lui est refusé pour l'instant. Fleur lui a tout raconté, mais il lui manque le récit de cette journée du départ, aussi questionne-t-il :

« Ma chérie, j'ai bien senti que ta chatte était encore pleine de sperme... »

Fleur l'interrompt alors par :

« J'ai été prise au dernier moment, dans les toilettes de l'aéroport et j'étais si en retard que me nettoyer m'aurait fait rater l'avion. »

Fleur attend une autre question qui ne vient pas. Elle reprend alors la parole pour dire :

« Tu as été un bon cocu, privé de plaisir et de ma présence pendant ce voyage de noce. Tu mérites bien une petite récompense. »

Elle se lève alors, après avoir pris son gobelet vide qu'elle garde en main, et se dirige vers les toilettes. Lorsqu'elle revient et repasse devant son mari, celui-ci se rend compte qu'elle tient précautionneusement le gobelet. Sitôt assise, elle déploie la tablette devant son mari et y pose le gobelet, en disant :

« C'est pour toi, mon amour. »

Arthur, regardant le récipient à demi rempli, se doute de ce qu'il contient mais questionne tout de même :

« Tu veux que je boive ça? C'est le sperme de Gabriel qui était en toi, n'est-ce pas? »

Sans attendre la réponse, Arthur en boit une bonne gorgée.

« Pas que Gabriel », lui précise Fleur.

« Comment? », questionne Arthur, qui s'étouffe à moitié en entendant la réponse :

« Ils m'ont accompagnés tous les deux, Gabriel et Lyam, et ils m'ont honorée des deux côtés, vois-tu? »

Fleur insiste alors :

« Allez, bois tout. Tu ne vas pas refuser mon cadeau. »

Arthur s'exécute et se rend compte qu'il y prend même un certain plaisir. Puis, voyant qu'elle est satisfaite, il a encore une question dont il voudrait la réponse :

« Fleur, j'ai toujours ta boîte de pilules dans ma poche. Quand veux-tu reprendre ta contraception? »

« Je crois que je vais arrêter tout ça maintenant », répond-elle, « J'ai besoin de ce risque pour atteindre le plaisir qui me manque. Mon fantasme est aussi lié à ce préservatif usagé. C'est un peu compliqué tout ça, mais je te fais confiance pour avoir des idées. »

Depuis qu'ils sont rentrés chez eux, Arthur n'a pas pu essayer de pénétrer sa femme, qui lui a rappelé l'interdiction :

« Tu sais bien que Gabriel ne veut plus que tu fasses ça ! »

Fleur devrait se sentir frustrée car elle n'a pas, depuis déjà un bon mois, eu le moindre rapport sexuel, hormis les quelques caresses manuelles ou buccales de son mari. Elle n'a fait aucune rencontre et n'a donc pas pris de nouvel amant. Arthur s'étonne d'une telle abstinence, d'autant plus qu'il connaît bien les besoins de Fleur.

Elle passe beaucoup de temps sur la messagerie, communiquant chaque jour, et même parfois la nuit, avec Gabriel et Lyam. Leurs échanges doivent être assez érotiques, car Fleur se caresse souvent devant son ordinateur ou sa tablette. Jamais elle ne laisse son mari voir le contenu de ses échanges. C'est son jardin secret.

De semaine en semaine, la frustration de Fleur augmente. Le plaisir lui manque atrocement. Arthur ne comprend pas son attitude et lui propose même de reprendre un ou plusieurs amants. Fleur refuse, lui disant qu'elle se réserve pour ses deux amants, alors qu'ils n'ont aucune chance de se revoir bientôt. Arthur va même jusqu'à lui proposer de lui payer le voyage pour qu'elle retourne en Guadeloupe, seule. Elle refuse encore. Il suggère aussi qu'elle pourrait recevoir des 'clients', si cela l'excite, mais elle refuse de nouveau. L'état de tension de sa femme est telle qu'elle exige de son mari des caresses de plus en plus fréquentes et elle le réveille toutes les nuits pour se faire sucer la chatte. Elle le remercie, de temps en temps, par une fellation rapide.

Arthur, bien que de plus en plus fatigué, s'acquitte de sa tâche du mieux qu'il peut. Lorsqu'il réclame le remerciement qu'il attend, il est surpris d'entendre Fleur lui dire :

« Non, mon petit mari, tu n'auras plus droit à une fellation. Gabriel m'a demandé de ne plus le faire, et c'est définitif, mon chéri. »

« Mais... », tente de réagir Arthur.

« Il n'y a pas de 'mais'. C'est décidé ! De plus, Gabriel et Lyam sont tous les deux du même avis. Tu auras tout de même droit à une petite branlette de temps en temps », lui dit Fleur en souriant.

Au bout du troisième mois d'abstinence, Fleur est devenue insatiable. Elle a besoin de la bouche de son mari entre ses cuisses dès qu'il rentre du travail et elle le réveille maintenant plusieurs fois par nuit. Ce n'est pas difficile pour elle, car elle a arrêté son activité, laissant à son mari le soin d'apporter les finances, ce qui le pousse à faire des heures supplémentaires et même à prendre un second travail à temps partiel pendant le week-end. Fleur peut récupérer dans la journée les heures de nuit passées à recevoir les cunnilingus dont elle raffole. Sa seule activité consiste en ses échanges de messages avec ses deux anciens amants. Arthur, quant à lui, est physiquement au bord du gouffre. De plus, alors qu'il est sollicité par sa femme plusieurs fois par jour et par nuit, ses récompenses se limitent à une simple branlette, au mieux une fois par semaine.

Le printemps est maintenant là et les tenues de Fleur deviennent bien plus légères et bien plus excitantes. On a l'impression qu'elle fait tout pour exciter son mari, tout en retardant de plus en plus ses 'remerciements'. Un jour, alors qu'Arthur s'étonne d'un retard particulièrement long, alors qu'il se tue à la tâche, au travail comme au lit, Fleur lui répond :

« J'ai eu une communication avec Gabriel et Lyam. Ils ne veulent plus que je te touche. Alors, il n'y aura plus de branlette, mon chéri. Mais tu as toujours ta main et rien ne t'empêche de te masturber. »

Tout cela a été dit sans méchanceté, mais Arthur ne peut se passer d'une franche explication, aussi dit-il :

« Je ne comprend pas, Fleur. Je fais tout pour toi, tout ce que tu me demandes, et je n'obtiens plus rien de toi. De plus, je sens que tu es frustrée, qu'il te manque le plaisir que tu aimes tant. Comment peut-on sortir de ce cercle infernal? Dis-moi, ma chérie. »

Pour Fleur, c'est le moment de vérité. Elle a trop attendu pour exprimer ses reproches. Elle va tout dire :

« Arthur, nous avions bien parlé dans l'avion pendant notre retour de voyage. Tu devais essayer de m'aider à retrouver cette jouissance extrême qui me manque tant... et tu n'as rien fait, rien. »