Les plaisirs d'Anna -- 14 (enceinte)

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« Pas de ça, mon cochon, c'est interdit. Passe-moi plutôt le lubrifiant vaginal qui est dans le tiroir de ta table de nuit. »

Un soir, alors qu'il rentre très tard de son travail, il est surpris de ne pas voir sa femme l'accueillir. L'heure du dîner est bien passée, mais il espérait qu'elle l'aurait attendu ou lui aurait laissé quelque chose à grignoter. Déçu, il décide d'aller se coucher. Lorsqu'il entre dans la chambre, sa surprise est totale. Devant lui, sur un lit dont les draps sont à demi repoussés, se trouve sa femme, dans une position obscène, cuisses écartées au maximum.

Une jambe est bien visible et l'autre reste en grande partie cachée par le drap. Elle fait doucement passer sur ses lèvres intimes le gland très réaliste d'un gode, de couleur noire, dont le diamètre n'est pas loin de celui d'une cannette de bière. Sa longueur, du moins celle visible, car l'autre extrémité est sous le drap, doit bien faire 25 centimètres. Jules, dont le sexe durcit instantanément, ne peut que s'inquiéter malgré son excitation, aussi dit-il :

« Anna, cet énorme gode, n'est-ce pas trop dangereux, dans ton état? »

« Je viens juste de dépasser les 3 mois. Il faut que j'en profite maintenant. Plus tard, ça ne sera plus possible. »

« Mais, c'est vraiment très gros ! », rétorque Jules.

Cela lui vaut une réponse humiliante d'Anna :

« Ça me changera de ta petite bite, mon cocu. Allez, ne t'inquiète pas. Mets-toi tout nu et approche-toi. Tu vas pouvoir regarder de tout près. Cela va nous exciter tous les deux. Tu peux même caresser ton petit engin, mais, pour toi, pas question de jouir, c'est interdit ! »

Jules est maintenant aux premières loges, son visage tout près de cette chatte dont les lèvres sont déjà luisantes de mouille. D'une main, Anna force sur le gode, qui pousse les lèvres vers l'intérieur, bloquant douloureusement le mouvement, puis relâche un peu la pression, en disant à Jules :

« Un vrai cocu, c'est là pour aider sa femme à se faire baiser, non? Alors rends-toi utile... »

Jules, approchant ses deux mains, pince légèrement les deux lèvres, pour les étirer, les écarter du gode. Alors, Anna pousse de nouveau et le gros gland noir rentre en elle dans un bruit de succion qui est recouvert par un cri de douleur, de plaisir, de délivrance, on ne saurait dire. Anna tient toujours le gode sans le faire bouger. Jules y pose sa main, juste à côté de celle de sa femme et entame un léger mouvement, qui fait réagir Anna :

« Occupe-toi de tes affaires, petite bite ! C'est moi qui m'occupe de mon plaisir. Contente-toi de regarder, gros cochon ! »

Sous les yeux de Jules, Anna fait coulisser délicatement le gode en elle. A chaque mouvement de va et vient, elle le pousse un peu plus profondément. La progression est accompagnée par des soupirs, voire des râles d'Anna, qui, là, ne simule plus. Les trois quarts de l'énorme membre sont déjà en elle et Jules s'en inquiète :

« Anna, arrête, c'est déjà trop loin... »

Mais sa femme, aux portes de la jouissance, lui dit :

« Non, je le veux complètement en moi ! »

D'une seule forte pression supplémentaire, elle pousse alors le gode dans son vagin, qui l'avale complètement. Et là, à cet instant, l'orgasme d'Anna explose en elle, la faisant vibrer de tout le corps pendant près d'une minute. Jules pose sa main sur la jambe nue de sa femme, qui finit pas s'apaiser. Anna paraît maintenant si détendue que Jules pense qu'elle va s'assoupir. Cependant, au bout de quelques minutes, Jean remarque un mouvement sous le drap, comme si la main gauche d'Anna, qui y est cachée, y cherchait quelque chose. Tout à coup, il entend deux 'pchit', 'pchit'. Jules n'ose pas croire à ce qu'il vient d'imaginer. Pour en avoir le cœur net, il repousse complètement le drap, pour découvrir, dans la main d'Anna, une poire reliée au gode par un fin tube de caoutchouc. A cet instant, Jules crie :

« Non, non, pas ça ! »

Anna, comme si cela l'excitait de contrarier son mari, contracte alors sa main, un grand nombre de fois, sans discontinuer. Les 'pchit, pchit, pchit, pchit, pchit' incessants angoissent Jules, qui voit ce gode, déjà d'un diamètre imposant, se dilater encore, provoquant même une grosse bosse sur le ventre de sa femme enceinte, qui regarde à cet endroit également. Cette vision provoque chez Anna, un orgasme fantastique qui dépasse de très loin le premier. Son corps est pris de soubresauts qu'elle accompagne d'un long hurlement de plaisir, alors qu'elle arrache brutalement le gode, sans même le dégonfler auparavant. Jules, dont le visage est si proche du vagin distendu de sa femme, reste comme paralysé d'effroi, mais de son sexe, qu'il n'a pas touché depuis un long moment, gicle un long jet de sperme qui vient arroser la vulve d'Anna, l'extrémité du gode et le drap. Jules ne peut que se coucher à côté de sa femme, épuisée de plaisir, puis, épuisés, ils s'endorment tous deux.

Le matin, au réveil, c'est Anna qui s'exprime la première :

« Pour moi, c'était bon, incroyable ! Tu t'es bien rincé l'œil aussi, à ce que je vois », dit-elle en montrant les taches de sperme, puis ajoutant :

« Tu sais que tu avais l'interdiction de jouir? »

« Oui », répond-il, « mais je ne me suis même pas touché... »

« Ce n'est pas une raison », l'interrompt Anna, « tu mérites bien une punition. »

Le soir même, alors que Jules vient de rentrer, Anna, assise sur le canapé du salon, appelle son mari :

« Petite bite, viens ici. Tu vas avoir droit à ta punition, tu le sais, n'est-ce pas? »

Jules ne peut que dire « oui » en s'approchant, attendant le premier ordre de sa femme, ce qui ne tarde pas :

« Approche-toi, ouvre ta braguette et sors ton zizi. »

Jules s'exécute, craignant le pire. Pourtant, c'est une demande bien banale que lui fait sa femme, en lui tendant ses mains :

« Tu vas me faire les ongles », lui dit-elle.

« Ah, bon? », Jules lui répond, surpris car il ne voit pas là la moindre punition, bien au contraire.

Anna lui tend la boîte qu'elle avait reçue il y a quelques temps et qui intriguait son mari. A l'intérieur se trouvent de faux ongles, très longs. Elle lui dit alors :

« Voilà, tu vas me coller ces faux ongles, puis tu les verniras avec ce rouge. »

Son mari, s'applique du mieux qu'il peut. Il se demande bien aussi pourquoi il lui fallait sortir son sexe pour faire ça. Peut-être était-ce encore une sorte d'humiliation? Rien n'est bien clair pour Jules, qui s'exécute néanmoins de sa tâche. Lorsqu'il a terminé, Anna secoue ses mains pour bien faire sécher le vernis. Voir ses ongles rouges, longs comme des griffes, excite Jules qui sent son sexe bander durement. Alors Anna lui dit :

« Viens t'asseoir à côté de moi. C'est maintenant que commence ta punition. »

Lorsqu'il est installé, tout près, Anna se tourne vers lui et pose sa main sue la petite bite tendue de son mari. Ses doigts frôlent la hampe du sexe, en remontant. La caresse se termine par un léger contact des longs faux ongles rouges sur le gland. La douce caresse est divine. Jules ne peux que penser :

'Si c'est ça ma punition, je veux bien être puni tous les jours'.

Les mouvements suivants de la main de sa femme ne le démentent pas. C'est toujours aussi bon, voire meilleur. Jules est aux anges. Cela dure ainsi très longtemps. Jules sent sa jouissance toute proche. Il s'en réjouit, mais une petite inquiétude en limite le plaisir : en a-t-il vraiment le droit?

Jules finit par penser que sa femme veut lui montrer l'amour qu'elle a encore pour lui en le menant vers une jouissance qui lui a été si souvent refusée. Les instants à venir lui paraissent magiques. Il se dit même que l'avoir privé de son plaisir n'en rend que plus intenses ces moments si rares et il se réjouit que sa femme ait décidé de le priver ainsi. C'était pour son bien, pense-t-il, et il lui en est pleinement reconnaissant.

Son esprit est encore baigné par ses belles pensées, lorsqu'il sent la caresse se faire plus dure. Les doigts d'Anna se sont repliés et les ongles griffent la hampe dans leur remontée, avant de venir buter juste sous la collerette du gland. Jules laisse échapper un cri de surprise et de douleur.

« Arrête de crier », lui dit Anna, dont la main gauche vient serrer fortement les couilles de son mari, y plantant bien ses nouveaux ongles.

Jules s'étouffe à moitié en essayant de retenir le cri qu'il allait pousser en sentant ses testicules ainsi meurtris. Sans réduire l'étreinte des ongles de sa main droite, Anna fait remonter ses doigts, griffant le gland. Seule la respiration rapide et hachée de son mari, qui se retient de crier, laisse imaginer sa douleur.

Puis, ce n'est plus que douceur. Les doigts d'Anna caressent légèrement le gland sans le contact des ongles. Jules se calme et apprécie ces instants. Il veut même remercier sa femme en essayant de l'embrasser amoureusement, mais elle détourne la tête, tout en continuant ses douces caresses. Puis, avec le faux ongle long et pointu de son petit doigt, Anna frôle le bout du gland, s'attardant autour du méat. L'ongle finit par atteindre cet endroit sensible pour s'y attarder, l'accrochant un peu en passant. Tout cela est si léger que cela fait beaucoup de bien à Jules, qui a envie que cela se poursuivre encore longtemps. Tenant son petit doigt bien vertical, Anna fait un peu rentrer l'ongle dans l'urètre. L'ongle est si fin qu'il n'y là aucune douleur. Les petits mouvements verticaux font un frottement interne très léger qui n'est que plaisir. Jules sent sa jouissance proche. Quand Anna, pousse son petit doigt vers le bas, faisant ainsi pénétrer complètement l'ongle dans l'urètre, puis le fait tourner doucement à l'intérieur, comme si elle voulait en racler les parois, la sensation est divine pour son mari, qui est au bord de l'éjaculation.

Jules est au paradis des plaisirs lorsque, tout à coup, Anna retire son petit doigt et vient le remplacer par son index, qu'elle presse au même endroit, sans ménagement. Le faux ongle, très long, mais surtout bien trop large vient de s'enfoncer dans l'urètre qu'il obstrue complètement. Jules lâche un cri de douleur et de plaisir mêlés, alors qu'il éjacule violemment, mais, comme Anna n'a aucunement relâché sa pression, rien ne peut sortir et la douleur de Jules, comme sa frustration n'en sont que plus fortes. Au même instant, il entend sa femme dire :

« Tu vois, c'était ta puni... », phrase qu'Anna ne peut finir tant un orgasme très cérébral l'emporte.

Pendant les mois qui suivent, le ventre d'Anna continue de s'arrondir. Jules la trouve de plus en plus excitante. Comme beaucoup de femmes enceintes, Anna, dont les hormones s'affolent, a encore plus envie de jouissance qu'habituellement, mais la situation ne le permet pas et elle se sent horriblement frustrée. Elle passe alors souvent son énervement sur son mari. Jules, qui s'est habitué à ces conditions, est tout de même heureux de regarder Anna se caresser devant lui ou d'écouter ses récits lorsqu'elle revient d'une visite de contrôle chez son médecin. Bien évidemment elle aurait aimé que cet homme lui fasse connaître les derniers outrages, mais l'homme de science, bien que toujours aussi excité et pervers, refuse toujours, du fait de l'état de sa patiente. Cependant, à chaque fois, les examens gynécologiques sont prétexte à des attouchements que la médecine ne rend pas nécessaires. C'est vrai des doigts qui excitent le clitoris, qui palpent les lèvres vulvaires, qui pressent le point G, qui explorent les parois du vagin, qui viennent contrôler l'ouverture du col de l'utérus. C'est vrai aussi du toucher rectal qui permet à un doigt de coulisser trop longtemps dans ce fondement interdit. Cela l'est encore plus de cette main qui vient se glisser entièrement dans le vagin avant de refermer le point, comme pour juger de la capacité de l'endroit à bien s'écarter pour un futur accouchement. Tout cela est évidemment fidèlement rapporté en détail par Anna à son mari pour lui offrir le seul plaisir, uniquement cérébral, auquel il a droit.

Au bout des 9 mois, lorsque sa femme est prise de contactions, Jules la conduit à la clinique. Il a décidé d'assister à l'accouchement. Le médecin 'spécial' d'Anna a demandé à être présent également. Tout se passe très bien, mais les deux hommes voient immédiatement la surprise du gynécologue accoucheur lorsqu'il remarque le teint très basané de la petite fille qui vient de naître. Le bébé porte même, sur le crâne, une très légère toison un peu frisée. Le nouveau-né est à peine posé sur le ventre de sa mère que l'obstétricien fait le rapprochement entre le teint du bébé et celui du médecin qui accompagne Jules. Son questionnement s'accroît encore lorsque le médecin d'Anna vient se pencher vers elle, bien avant Jules, pour l'embrasser fiévreusement sur la bouche, avant de lui dire :

« Merci, merci, c'est merveilleux ».

Jules, qui le suit de près, se sent humilié d'être ainsi montré comme un mari cocu, qui n'est même pas le premier à venir féliciter et embrasser son épouse. En voyant le bébé, il a bien compris, comme Anna que c'était le marocain de 80 ans, père du médecin, qui avait engrossé sa femme. Jules reprend cependant ses esprits pour parer aux prochaines formalités administratives. Il sait qu'il va devoir aller déclarer l'enfant, qui sera évidemment le sien pour l'état civil. Comme Anna avait absolument refusé de choisir un prénom avant la naissance, bien qu'elle ait eu connaissance du sexe de l'enfant lors des échographies, Jules demande alors :

« Comment va-t-on appeler cette jolie petite fille? »

Anna ne réfléchit qu'à peine une minute avant de répondre :

« Pourquoi pas Maroca? Ça lui irait bien, ne crois-tu pas, mon coc... euh, mon chéri? »

« Oui, sûrement... », répond timidement Jules.

Anna, qui se sent en forme, rentre assez tôt chez eux. S'ensuivent les visites de la famille, tout d'abord. Les parents des deux côtés arrivent quasiment ensemble pour voir le bébé.

Derrière les « oh, elle est si mignonne », transparaît tout de même la surprise, qui se cache sous des : « Ah, elle a plus de sa mère que de son père ! »

Jules se sent humilié, d'autant plus que les questions ne sont pas vraiment posées mais que les regards en disent plus long que les paroles. Anna paraît heureuse, enjouée. Tout se passe comme si les questionnements ne la concernaient pas. Jules, bien au contraire, supporte tout cela si mal qu'il voudrait s'enfuir. Le ferait-il, ce serait encore plus convenir de sa situation de cocu. L'humiliation serait encore plus forte. Jules reste sans voix, comme paralysé. Comment pourrait-il se sortir de cette situation intenable? C'est pourtant son père qui lui apporte une solution en prenant la parole :

« Allons, ne tournons pas autour du pot. Nous avons tous vu que cette jolie petite Maroca est très typée, comme un enfant d'Afrique du Nord. D'ailleurs Anna a joliment choisi son prénom, soit dit en passant. Et bien tout cela n'est que la logique de la génétique », puis, se tournant vers son épouse, il poursuit :

« Tu te souviens de ma grand-mère, qui avait un petit air comme ça. Elle était née au Maroc où ses parents avaient vécu pendant de longues années. Nous nous étions tous demandés si l'arrière grand-mère n'avait pas 'fauté' avec un homme du coin. Et bien, là, nous avons la réponse : c'était bien le cas. Les gênes finissent toujours par ressortir à un moment ou un autre... »

Chacun va alors de ses excuses. Sont-ils sincères ou encore dubitatifs? Personne ne le sait.

Jules est si heureux d'être sorti de cette situation humiliante que, lorsqu'il vient embrasser son père, il est presque prêt à croire à l'histoire, alors qu'il sait bien qu'aucun gêne n'a pu venir de son côté, évidemment.

Lorsque les amis viennent leur rendre visite, Jules s'empresse de leur raconter la fameuse histoire. Anna se contente d'ajouter, malicieuse :

« Avec vous, les hommes, on ne sait jamais ce que vous allez nous apporter. »

Visiblement, l'histoire ne passe souvent qu'à moitié, mais l'humiliation n'est plus aussi flagrante.

Les seuls à gober totalement l'histoire sont leurs deux grands enfants, très contents d'avoir une petite sœur dont ils pourront s'occuper.

Jules, qui laisse sa femme bien récupérer, s'occupe de tout. Il a très vite appris à s'occuper du bébé. Ses deux grands sont très autonomes et lui donnent peu de travail supplémentaire. Lorsqu'il promène le bébé dans son landau, il y a bien sûr quelques regards interrogateurs, surtout lorsque ses deux autres enfants l'accompagnent.

Trois mois, plus tard, Anna a retrouvé sa ligne. Elle est en pleine forme et de toute beauté, peut-être encore plus belle qu'avant et Jules s'en réjouit. Anna finit par lui dire :

« Petite bite, j'ai une grande nouvelle : je viens de nouveau d'avoir mes règles. Tout est rentré dans l'ordre et tout va redevenir comme avant. »

Jules, ravi, ne peut que questionner :

« Alors, nous allons pouvoir de nouveau faire l'amour, ma chérie? »

La réponse d'Anna le déstabilise :

« Et pourquoi donc? Ça ne change rien pour nous deux ! »

Alors que Jules ne trouve pas un mot à dire, Anna poursuit :

« Au fait, Abdul vient juste de rentrer d'Afrique. C'est bien, non? »

... à suivre ...

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2 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a 11 mois

J'ai envie d'acheter un beau gode noir! J'ai rêvé que ma gyneco enlevait mon stérilet. C,ext Mon engine engine malignant Abdul!! Je vois Mamadou demain!

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