Les plaisirs d'Anna -- 13 (retour)

Informations sur Récit
Anna raconte à son cocu ses passes lors de son ovulation.
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Partie 13 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/26/2022
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Les plaisirs d'Anna - 13 (le retour)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Depuis jeudi soir, Jules n'en peut plus d'attendre le retour de sa femme, Anna, qui devait continuer de se prostituer pour donner un plaisir très pervers à des hommes, qui avaient l'intention de l'engrosser et avaient payé fort cher pour cela. Comme sa femme lui avait dit jeudi soir que son ovulation était arrivée, Jules ne voyait pas comment elle allait pouvoir éviter de se retrouver enceinte d'un inconnu. Il sait bien que le risque de grossesse dans de telles circonstances excite beaucoup Anna, mais ne s'agit-il pas plutôt d'une certitude que d'un risque? Devoir attendre son retour prévu samedi matin rajoute à la crainte de Jules, qui est comme sur des charbons ardents. La journée de vendredi, qu'il sait si dangereuse pour sa femme, lui paraît interminable.

Pendant la nuit qui suit, Jules ne dort que de courtes heures entrecoupées de réveils brutaux, suite à des cauchemars qui ont tous un point commun. Dans chacun d'eux, sa femme lui apparaît avec un ventre énorme ou accouchant dans d'horribles douleurs.

Au petit matin, Jules est déjà collé à sa fenêtre, scrutant toutes les arrivées dans le quartier. Quelques heures plus tard, il voit enfin Anna sortir d'une grosse voiture qui s'est à peine arrêtée pour la déposer. Il se précipite pour ouvrir la porte et il l'enserre immédiatement dès son arrivée. Il l'embrasse follement, sans même trouver un seul mot à dire. Anna réagit immédiatement en disant :

« Laisse-moi un peu respirer, mon chéri ».

« Je n'en pouvais plus de t'attendre », lui dit son mari.

Jules la prend encore contre lui et laisse ses mains parcourir le corps de sa femme, qu'il désire ardemment, mais ce n'est pas du goût de celle-ci, qui réagit :

« Tu ne crois tout de même pas que tu vas me faire l'amour, mon petit cocu. Tu sais bien que tu n'y a plus droit. »

« J'étais si inquiet que j'ai passé des heures impossibles », lui dit-il, « alors, j'espérais au moins quelques caresses. »

Comme pour confirmer son envie, Jules attrape la main de sa femme et la pose au bon endroit sur son pantalon. Anna, qui a pourtant senti la dureté du membre de son mari, retire immédiatement sa main, en disant :

« Ça ne va pas ! C'est fini pour toi, tout ça. Tu as ta main pour le faire », puis elle ajoute, taquine :

« Moi, je me réserve pour mes amants ou mes... clients. »

Anna voit dans les yeux de son mari toute la déception qu'elle vient de créer, alors elle a envie de se rattraper en étant plus gentille, aussi lui dit-elle :

« Allez, mon petit cocu, je vais te raconter tout ce que j'ai fait hier. Ça va t'exciter, comme moi, je le sais. Nous allons d'abord nous mettre nus, tous les deux, et nous allons nous installer dans le salon. Nous ne nous toucherons pas, mais rien ne nous empêchera de nous caresser nous-mêmes. »

Tous deux s'exécutent et c'est encore Anna qui mène la danse.

« Va t'asseoir dans le fauteuil et place-le juste en face du canapé, tout près, mais sans me toucher », lui dit-elle, alors qu'elle s'y installe, impudique, cuisses largement écartées.

La main d'Anna descend vers son entrejambes et son index vient frôler son clitoris. En face d'elle, Jules commence à doucement caresser son membre qui est déjà bien tendu.

L'excitation de Jules, qui attend le récit de sa femme, ne l'empêche pas de ressentir avant tout l'inquiétude liée aux possibles conséquences des rapports sexuels de la veille, aussi la questionne-t-il :

« Anna, je sais que ce que tu vas me raconter va vraiment me donner du plaisir. La situation que tu as vécue hier vient de nos fantasmes communs les plus forts, avec l'envie du risque, mais des conséquences certaines en feraient perdre tout le côté excitant. Alors, as-tu réussi a limiter ces risques? »

Anna, qui commence maintenant à bien se caresser, fouillant sa chatte de deux doigts, lui répond d'un sourire avant de dire, curieusement enjouée :

« Ma réponse va te surprendre. C'est ni oui, ni non. »

Voyant le regard interrogateur de son mari, elle s'explique :

« J'ai été assez prudente le matin, mais un peu moins l'après-midi. Il faut que je te dise que, suite au changement de date, plusieurs clients n'ont pas pu venir et je n'en ai eu que quatre dans cette journée. Ils ont eu droit à deux heures chacun, ce qui était bien plus que suffisant.

J'avais remis la tenue que j'avais portée pour les clients d'Abdul, ce long fourreau noir largement fendu sur le côté. C'était mon seul vêtement.

Mon premier client était un très bel homme, d'une quarantaine d'années, très séduisant. Tu vois, ça commençait bien pour moi. Il a pris son temps et il était très caressant. J'ai sucé son sexe. J'avais vraiment envie de lui donner du plaisir. Il me disait des mots gentils, que j'étais belle et qu'il était heureux que je me donne à lui, sans limite. En aspirant son sexe dans ma bouche, j'ai bien failli le faire jouir, mais il s'est tout de suite retiré, me disant qu'il réservait son sperme pour ma chatte fertile. Le laissant reprendre son contrôle, j'ai continué en léchant ses bourses imberbes. Cet homme me plaisait tellement que j'aurais pu faire n'importe quoi pour lui. Je ne le connaissais pas mais j'avais déjà l'impression d'en être amoureuse.

Puis, il a repris le contrôle de notre relation et m'a pénétrée, avec d'abord beaucoup de douceur. Son sexe, pas très épais mais assez long, était très doux en moi. Lorsqu'il a enfin accéléré ses mouvements, je suis venue à sa rencontre, avec plus de force. J'avais envie de sentir son gland buter tout au fond.

Pendant qu'il me baisait, je lui ai laissé prendre ma bouche. Nous avons partagé un baiser passionné, comme deux amoureux. C'était divin. Il m'a dit qu'il n'avait pas l'impression d'être avec une prostituée. Je lui ai dit que je n'en étais pas une, que je ne toucherai rien de ce qu'il avait payé et que je ne faisais ça que pour le plaisir. C'est en m'entendant dire cela qu'il a éjaculé au fond de moi, me disant qu'il allait me faire un bébé d'amour. Je n'ai pas vraiment joui à ce moment, mais j'étais à la limite et je ronronnais sous lui comme une chatte.

Je savais que je devais aller me laver rapidement pour éviter de me retrouver enceinte, mais je l'ai fait avec un peu de retard, car nous sommes restés un moment enlacés, échangeant des mots d'amour. »

Anna, qui interrompt un moment son récit, entend un gros soupir de son mari et s'en inquiète :

« Qu'est-ce qui t'arrives, mon petit cocu? Qu'est-ce qui t'as déplu?», lui dit-elle, ajoutant :

« Serait-ce ce retard dangereux ou bien que j'ai été un peu amoureuse? »

« Les deux, évidemment », lui répond Jules, « mais je ne peux m'empêcher de me sentir excité pour ces deux raisons et j'en ai un peu honte. Continue de raconter, je t'en prie. »

« Bon. Le prochain client était très différent du premier. Il était plus vieux d'au moins vingt ans. Son visage était très ridé, mais j'ai trouvé sa couleur de peau très belle, presque dorée. J'ai pensé qu'il devait être Guadeloupéen, ou venir d'un des îles de cette région. Il a voulu m'embrasser et a visiblement été étonné que je le laisse faire, sachant que les prostituées refusent en général, réservant cela à leur souteneur. Il a été encore plus surpris lorsque j'ai répondu à son baiser, mêlant ma langue à la sienne, et je l'ai senti très excité, pressé contre moi.

Lorsqu'il s'est reculé, il ne s'est pas déshabillé et m'a demandé d'ouvrir sa braguette. Je l'ai fait et, passant ma main à l'intérieur de son pantalon, j'ai senti qu'il était nu dessous. J'ai alors fait sortir son sexe et ses bourses. Sa bite n'était pas très longue... enfin, tout de même un peu plus que la tienne ! Elle était surtout très épaisse. Je ne pouvais même pas refermer complètement ma main autour. Son gland était plus gros que la hampe, un peu comme un champignon. Ses bourses étaient énormes. Je n'ai pu m'empêcher de penser à tout ce qu'elles pouvaient contenir et j'ai senti ma chatte se mouiller en pensant que j'allais les vider complètement en moi. J'attendais avec impatience d'être pénétrée.

Il m'a fait mettre à quatre pattes sur le lit. J'étais toute cambrée, prête à recevoir ce gros mandrin dans mon vagin. J'ai senti son gland passer sur les lèvres de mon sexe déjà bien mouillé. Il appuyait sans forcer, ouvrant un peu ma vulve, mais se contentait de faire glisser son gland, le chargeant de mes sécrétions. Puis j'ai senti ses deux mains écarter mes fesses et il a pressé son sexe contre mon anus. J'ai voulu lui dire ironiquement que ce n'était pas comme ça qu'il allait m'engrosser, mais ma phrase a été coupée par mon cri de douleur. Il venait d'enfoncer d'un coup son gros engin dans mon fondement, sans la moindre préparation. Il était planté jusqu'aux couilles. Puis, il a bougé un peu et a commencé à me sodomiser lentement, mais tout en force. J'étais à la limite de la jouissance et seule la douleur, qui ne s'estompait que lentement, m'en empêchait. Les sexes de Bouma et d'Abdul avaient déjà pénétré plus profondément à cet endroit, mais jamais je n'avais été aussi dilatée. A chaque mouvement de son sexe, je sentais la collerette du gland frotter sur les parois de mon fondement déjà écartées au maximum par la hampe. Cela me faisait penser à une râpe que l'on aurait faite coulisser avec force. Lorsqu'il s'est retiré, j'ai eu l'impression que mon anus restait ouvert. Je me suis sentie vraiment indécente.

Heureusement, il ne pouvait me voir, car il était venu tout de suite se placer à genoux face à mon visage, pour me dire 'suce'. C'était le premier mot que j'entendais de cet homme, mais cela sonnait vraiment comme un ordre qu'on ne discute pas. »

« Tu as refusé, évidemment ! », intervient Jules, qui vient d'interrompre un instant le mouvement de sa main sur son sexe.

Anna, au lieu de répondre, regarde son mari droit dans les yeux et enfonce trois doigts dans son vagin qu'elle ramone comme une folle. La cadence qu'elle s'impose l'amène à la limite de l'orgasme et rend sa réponse entrecoupée de halètements :

« Au début... ça me... dégoûtait, mais... l'idée de faire ça... m'a tellement... excitée... que j'ai eu... envie... »

« Tu l'as fait? », l'interrompt Jules, qui se masturbe maintenant presque aussi vite qu'elle.

Anna ne peut qu'avouer :

« Oui, j'ai ouvert grand ma bouche et j'ai sucé cette grosse bite. L'homme est resté immobile et c'est moi qui ai fait coulisser ma bouche autour de son sexe. Son engin était si gros que je ne pouvais faire une fellation comme avec toi. Dans les mouvements de mon visage, c'étaient mes dents qui raclaient la peau de son membre. Penser à d'où venait ce gros sexe aurait dû me dégoûter, mais c'était ce qui m'excitait. Je suis vraiment une salope, n'est-ce pas? »

« Oui, c'est bien vrai ! », répond son mari, qui doit freiner sa masturbation pour ne pas éjaculer à cet instant et c'est d'autant plus difficile pour lui de se contrôler que sa femme se laisse aller au plaisir, cuisses écartées, juste en face de lui.

Lorsque l'orgasme s'efface doucement, Anna peut reprendre son récit :

« Mon client, qui ne voulait par jouir dans ma bouche, évidemment, s'est retiré et m'a couchée sur le dos, relevant bien mes jambes qu'il a écartées sans ménagement. J'étais tellement excitée par ce que je venais de faire, que ma chatte était complètement trempée. Alors son sexe est rentré en moi, d'un coup, très facilement, malgré sa grosseur. L'homme s'est mis à me baratter à une cadence incroyable, puis il s'est arrêté, planté au maximum. Son sexe étant assez court, le gland ne touchait pas le fond de mon vagin. A cet instant, j'ai pensé à cette place libre et j'ai eu envie de la remplir complètement avec la semence de cet homme. C'était si excitant d'imaginer le col de mon utérus baignant dans une grosse flaque de sperme ! Alors, j'ai passé une main sous lui et j'ai serré fortement ses énormes couilles. Cela a déclenché sa jouissance et j'ai cru qu'il n'arrêterait pas de gicler, me remplissant complètement ! »

C'est à cet instant que Jules ne peut plus se retenir et éjacule. De belles giclées de sperme atterrissent sur les cuisses d'Anna, qui se nettoie, ramassant une à une les coulées avec sa main, avant de les porter à sa bouche. Elle poursuit ensuite :

« Après cela, mon client s'est retiré et m'a seulement déposé un petit baiser sur la bouche avant de partir sans me dire un mot. Pensant à toute la semence que j'avais en moi, je me suis précipitée sous la douche pour une toilette profonde et complète. Tu vois, j'ai été assez prudente pendant cette matinée et cela doit te rassurer un peu, n'est-ce pas? »

« Oui... un peu... seulement », lui répond son mari.

« Tu sais », reprend Anna, « j'ai encore mes deux passes de l'après-midi à te raconter. Elles ne sont pas mal non plus, mais, après ton éjaculation, tu ne me parais pas en état de bien en profiter. C'est dommage ! »

Puis elle ajoute, avec un petit sourire coquin :

« Allez, je vais être gentille et faire une entorse à la règle, juste pour cette fois. »

Alors Anna se rapproche un peu plus et pose sa main sur le sexe de son mari. Elle branle tout doucement la petite bite qui est maintenant toute molle. Elle caresse aussi ses petites couilles. Anna, pour exciter de nouveau son mari, place son autre main sur sa chatte et y enfonce 4 doigts. Elle frotte un peu son clitoris avec son pouce, qu'elle finit par replier et forcer entre les lèvres de son sexe. Avec un chuintement caractéristique, sa main vient de pénétrer complètement, jusqu'au poignet, dans son vagin. Anna fait tourner doucement sa main et laisse échapper quelques petits gémissements. Sont-ils de plaisir ou seulement pour exciter son mari? Probablement les deux ! D'ailleurs, après plusieurs minutes de cette exhibition, Anna sent un frémissement dans sa main. Le petit sexe de son mari reprend un peu de vigueur. Jules s'en réjouit mais s'en étonne car il a rarement pu bander peu de temps après une éjaculation. Il se dit que cela doit être la pensée de l'incroyable perversion de sa femme qui le lui permet maintenant. Anna, sans un mot, continue de branler son mari pendant encore de longues minutes, puis elle lui dit :

« Tu bite est toujours aussi petite, mon chéri, mais elle est enfin bien dure. Je sens que je vais pouvoir reprendre mon récit. Comme je dois vraiment être dans mon jour de bonté, tu n'auras même pas besoin de te masturber. Je vais continuer à entretenir ton érection avec mes doigts. Si je sens que tu es prêt à jouir, je ralentirai mes caresses. Puisque que tu n'es pas capable de te contrôler, il faut bien que je le fasse. Et, si tu débandes un peu, mon impuissant petit cocu, je t'astiquerai plus vite et tu regarderas bien ma chatte où je laisse ma main bien enfoncée. Ça te va, 'petite bite'? »

En entendant cette dernière phrase, Jules sursaute. Sa femme ne l'avait jamais appelé ainsi. Il se sent à la fois humilié et excité, aussi se contente-t-il de répondre :

« Oui, bien sûr. Vas-y, raconte. »

« Avant de commencer », lui dit Anna, « je dois te rappeler que cette branlette est vraiment la dernière pour toi. Ensuite, je ne toucherai plus ton petit zizi inutile... plus jamais ! »

Jules ne peut qu'acquiescer d'un signe de tête. Sa soumission fait bander encore plus durement son sexe. Anna s'en aperçoit et dit alors :

« Bon, je vois que tu es prêt. Je vais te raconter la suite. Après déjeuner, avec mes deux derniers clients, j'ai été un peu moins prudente que le matin. »

Jules, toujours inquiet, intervient :

« C'était déjà très dangereux le matin, surtout un jour d'ovulation. La méthode du nettoyage n'est pas sûre du tout, tu le sais bien ! Pourquoi n'as-tu pas, au moins, continué de la même façon? »

« C'était nécessaire pour moi de garder un certain risque si excitant, tu le sais. Le matin était parfait. Je n'ai pas vraiment voulu changer quoi que ce soit, mais tout ne s'est pas passé comme prévu. Tu vas comprendre en écoutant mon récit.

Mon premier client de l'après-midi m'a surprise. C'était un jeune asiatique très bien habillé, mais il était énorme. Il devait faire dans les 200 kilos. Il m'a baisé la main et m'a dit quelques mots gentils, que son accent rendait difficiles à comprendre. Il m'a demandé de me déshabiller complètement et j'ai laissé tomber ma robe à mes pieds. Il a retiré sa veste et sa chemise. J'ai vu une peau très douce et très tendue sur laquelle j'ai tout de suite passé ma main. Son visage n'avait pas la moindre ride et j'ai pensé qu'il était peut-être de mon âge ou même plus jeune. C'était difficile à dire car les personnes de cette corpulence ont souvent une peau très tendue, comme les jeunes. Lorsqu'il s'est déshabillé complètement, il m'a paru encore plus gros. Il me faisait penser à un lutteur de Sumo et c'est ce qu'il a confirmé lorsque je l'ai questionné.

Il n'a pas cherché à m'embrasser et m'a entraînée vers le lit. J'ai eu un instant de panique en pensant qu'il allait se coucher sur moi et m'écraser comme un insecte. Heureusement, il en était conscient, car il s'est couché sur le dos. C'est à ce moment que j'ai vu son sexe. Mon chéri, tu peux être fier de ta petite bite, car la sienne était vraiment minuscule. Elle devait faire 3 à 4 centimètres de long et était aussi fine que mon petit doigt. Il a dû se percevoir mon étonnement car j'ai vu une certaine tristesse dans son regard. Alors, sans savoir comment m'y prendre, j'ai voulu lui donner un peu de plaisir. Je me suis assise sur le lit, à côté de lui, et ai pris son sexe minuscule entre le pouce et l'index. Je l'ai branlé ainsi, tout doucement. J'espérais faire grandir ce petit sexe, mais j'ai vite vu que ça ne serait pas possible car il bandait déjà complètement. Ma nudité l'avait excité au maximum.

Le tout petit trou, au bout de son gland miniature, laissait sortir un peu de liquide pré-séminal. J'ai alors fait passer un doigt juste à cet endroit, en le repliant un peu. Dans ce mouvement lent, mon ongle pointu venait par moments raccrocher le méat, ce qui faisait soupirer d'aise mon lutteur de Sumo. J'ai senti qu'il appréciait cette caresse, car il a alors voulu me faire du bien. De ses mains, il suivait les courbes de mon corps avec beaucoup de douceur, s'attardant sur mes seins, mes hanches, mes fesses. Par moments, il posait sa main sur ma chatte et y glissait un doigt, avant de le poser sur ma bouche pour que je le suce, ce que je faisais avec plaisir. Il y avait beaucoup d'érotisme dans ces caresses mutuelles. Puis, j'ai pincé légèrement son gland entre pouce et index, ce qui a fait ouvrir un peu le petit trou. J'avais senti que le toucher à cet endroit précis l'excitait. Alors, plaçant mon petit doigt verticalement au dessus du gland, j'ai enfoncé mon ongle fin et pointu dans l'ouverture de l'urètre. Mon énorme client a laissé échapper un petit gémissement aigu qui aurait été plutôt celui d'un gringalet que d'un colosse. Cela lui faisait visiblement beaucoup de bien et, pour moi, c'était une impression de puissance que je n'avais jamais connue jusqu'ici. J'ai fait coulisser mon ongle dans ce petit conduit, par petits coups rapides et légers d'abord, sans aller trop loin, puis j'ai ralenti et amplifié le mouvement. Par moments, je m'arrêtais, l'ongle bien enfoncé dans l'urètre, et je pressais fortement, comme si je voulais faire rentrer mon petit doigt dedans. J'avais l'impression d'une situation totalement inversée. C'était moi qui pénétrait l'homme. Tu ne peux savoir, mon chéri, la sensation de puissance que cela donne à une femme. J'ai cru que j'allais le faire jouir, mais il m'a arrêtée, retenant ma main avec la sienne.

Cela a été tellement excitant pour moi que je ferai parfois une entorse à nos nouvelles règles pour te faire subir ça. Et ce sera sans ménagement, tu peux me croire ! Mais, revenons à ces moments avec mon énorme partenaire.