Les plaisirs d'Anna -- 12 (passes)

Informations sur Récit
La première expérience de prostitution d'Anna.
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4.21
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Partie 12 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/26/2022
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Les plaisirs d'Anna - 12 (les passes)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Ce jeudi, Jules est dans une terrible angoisse. Il n'a plus eu aucune nouvelle d'Anna, sa femme adorée, depuis son appel téléphonique du dimanche soir. Elle avait promis de le tenir au courant de cette semaine si spéciale, moment de sa prostitution consentie. Bien qu'excité par cette nouvelle expérience de sa très coquine épouse, Jules n'a pu, pendant toutes ces journées d'attente, que regretter de l'avoir abandonnée ainsi à ses deux souteneurs, Bouma et Abdul. Il n'a pensé qu'à elle pendant toutes ces journées et son travail a été vraiment peu productif, tant il était incapable de se concentrer.

Savoir que non seulement sa femme allait se prostituer pendant toute la semaine mais qu'elle le ferait de plus sans aucune protection ni contraception pendant une période dangereuse n'a pu que faire monter son inquiétude. Le pic a été pour lui atteint mercredi, le jour prévu de l'ovulation d'Anna et, depuis, sans aucune nouvelle, rien n'a pu faire redescendre cette sensation angoissante.

Dans la soirée, lorsqu'une sonnerie retentit, Jules s'empare fébrilement de son téléphone et crie :

« Anna, Anna, pourquoi ne m'as-tu pas appelé. Tu avais promis ! Et... »

Sa femme l'interrompt sèchement, en répondant :

« Ne t'énerve pas. Je n'ai pas pu. C'est tout ! »

Toujours aussi tendu, Jules laisse encore une fois paraître son inquiétude :

« Comment? Comment? »

Anna se rend bien compte de l'état de son mari, aussi n'est-elle plus que douceur lorsqu'elle lui dit :

« Mon chéri, calme-toi. Je n'ai vraiment pas pu. Je vais t'expliquer. Ça va mieux, maintenant...? »

« Oui, dis-moi... », répond Jules, un peu moins perturbé.

« Voilà », lui dit Anna, « lundi matin, Bouma est venu me reprendre le téléphone. Il m'a dit qu'il en avait besoin pour une de ses filles qui travaillait dans un quartier un peu délicat. Le smartphone était la sécurité de cette fille, aussi il aurait été malvenu pour moi d'insister. J'espérais que Silvia, la femme de chambre, me prêterait son smartphone, mais elle a refusé, me disant qu'elle n'avait qu'un tout petit forfait. J'ai été un peu choquée par sa réponse, mais j'ai pensé que je n'aurais pas pu abréger une conversation avec toi et qu'elle avait donc sûrement raison. Elle est tout de même bien gentille, car c'est elle qui m'a trouvé un téléphone, juste pour ce soir. »

« Que s'est-il passé? Raconte-moi », lui dit Jules, d'une voix toujours très angoissée.

« Bon, je vais le faire », lui répond Anna, « mais il faut d'abord te calmer... ou plutôt t'énerver ... différemment. Tu vas sortir cette petite chose qui est dans ton pantalon... et la caresser doucement. Tu es prêt? »

« Oui, oui », répond Jules dans un murmure.

« Ta femme va tout te raconter, mon petit cocu. Que dis-je? Non, pas ta femme, mais ta pute. Bon, lundi matin, je me suis préparée pour les clients de Bouma. J'ai enfilé les vêtements qu'il m'avait apportés, un petit haut en forme de bandeau qui couvrait à peine mes seins et une jupe très serrée et hyper courte. C'était tellement extrême que, lorsque je me suis regardée dans la glace, ça m'a fait rire. J'avais vraiment l'air d'une putain de bas étage, mais c'était probablement ce que ses clients attendaient. Tu m'imagines ainsi? »

« Oui, oui », lui répond Jules, dont le sexe est maintenant bien tendu, « raconte-moi. »

« Mes clients ont défilé les uns après les autres. Ils étaient de toutes sortes, mais tous très excités par ma 'situation'. Ils savaient tous que je n'étais pas une professionnelle, ce qui les excitait encore plus. Ils savaient aussi que je me donnais, non, plutôt me vendait à eux, alors que j'étais dans une période fertile et sans contraception. Ils avaient d'ailleurs payé pour cela le double du prix habituel.

Je sentais vraiment leur excitation car ils atteignaient tous bien trop vite l'orgasme, après m'avoir traitée comme la dernière des putes. Ils prenaient plaisir à m'insulter, disant : 'Tu ne fais même pas ça pour l'argent, salope !', ou 'Tu veux te faire mettre un polichinelle dans le tiroir. Tu es pire qu'une pute', ou 'Tiens, prend ça, cochonne, je vais te le donner, ton bâtard !', ou 'Quand tu vas accoucher, ton cocu va être surpris par la couleur !'. Tu vois et je t'en passe et des meilleures. C'était vraiment insultant, mais me sentir rabaissée ainsi m'excitait tout de même. Heureusement d'ailleurs car, trop excités, ils allaient trop vite et et jouissaient trop rapidement, m'empêchant d'atteindre l'orgasme. »

Jules ne peut que réagir à cette déception :

« Ma chérie, c'est bien dommage. J'aurais tant aimé que tu y trouves du plaisir.»

Anna le détrompe :

« Ne t'inquiète pas. J'ai fini par bien en profiter. Au début, après chaque passe trop rapide, j'allai me faire un rapide lavage intime dans ma salle de bain, pour limiter les risques, et, à ce moment, je comptais mes clients. Tu te souviens que Bouma m'avait dit, devant toi, qu'il y en aurait 10 par jour. Tout cela allait très vite, trop vite. Lorsque j'ai dépassé ce chiffre, alors que la seule matinée n'était même pas terminée, j'ai trouvé une jouissance purement cérébrale à penser que je travaillais comme une vraie pute, à l'abattage. »

« Attend, attend un peu, tu vas me faire jouir trop tôt », l'interrompt Jules.

Quelques instants plus tard, Anna reprend son récit :

« Bon, tu dois être calmé maintenant. Cette idée d'abattage m'a envahie complètement et, ensuite, à chaque fois qu'un homme me prenait rapidement, je me mettais à jouir, souvent avant lui, provoquant alors son éjaculation. Je criais vraiment ma jouissance et tous les clients qui faisaient la queue dans le couloir l'entendaient, ce qui les excitait encore plus à l'avance, si bien que chaque nouveau client ne pouvait se retenir bien longtemps. Certains éjaculaient en moi dès leurs premiers mouvements. Malgré cela, je jouissais à chaque fois. Je ne comptais plus, mais c'était pourtant ce nombre, ou plutôt cette cadence qui m'amenait à l'orgasme. J'étais prise d'une furie de vitesse. Je me précipitais dans la salle de bain, pour un temps le plus court possible, comme si je voulais battre un record. Je voulais être la championne des putes, tu imagines ça? L'information sur mes performances devait avoir bien circulé, car la file d'attente paraissait sans cesse renouvelée. Je ne comptais plus, mais j'avais l'impression que j'allais vers la cinquantaine. Vers la fin, ma toilette intime était si courte, si bâclée pour aller plus vite, que je me suis dit qu'elle ne servait plus à rien. Je me suis faite prendre sans discontinuer. Les clients étaient alors tous dans la pièce en même temps et ils se jetaient sur moi, l'un après l'autre, repoussant même le précédent à peine sa jouissance arrivée. Mon vagin débordait de sperme et mon corps tremblait sans arrêt, dans un orgasme continu. Quelle jouissance ! »

C'est alors le cri de plaisir de son mari qui interrompt Anna, qui s'inquiète :

« Ça va, mon cocu? »

« Oui, oui... mais j'en ai partout », lui répond son mari, « ... continue, tu m'excites comme jamais. Et, c'est incroyable... je n'ai pas débandé. »

« Le soir », poursuit Anna, « j'étais si épuisée que je me suis couchée sur le lit, sans même avoir dîné. Je ne me suis même pas déshabillée et me suis endormie comme une masse.

Le lendemain matin, je me suis réveillée dans un odeur de stupre. Je ne m'étais même pas lavée la veille au soir. Tu imagines? Quelle cochonne ! J'ai pris un bon bain réparateur pour me préparer à une nouvelle journée de 'travail'. Silvia, la maline, m'a apporté un petit-déjeuner plus que copieux. Il y en avait bien pour trois personnes, mais j'ai tout liquidé. J'en avais bien besoin.

Mardi était une journée pour les clients d'Abdul, d'un tout autre style. Je me suis faite belle pour eux. J'ai mis une robe longue, noire, fendue très haut sur le côté. Je ne portais rien au-dessous, évidemment. Je me suis même parfumée. Cette fois, chaque client, qui avait certainement payé bien plus cher que ceux de la veille, pouvait passer une heure avec moi. J'ai eu droit à des préliminaires comme des caresses intimes et même, une fois, ma chatte a été bien léchée. J'ai sucé quelques belles queues avant de les recevoir en moi. J'ai eu de belles jouissances, mais moins extrêmes que les précédentes. Cependant, j'ai aimé cette différence. Je me suis sentie comme une femme appréciée et pas du tout comme une putain. Tu vois, cela m'a fait penser à mon expérience de call-girl. Les hommes qui me prenaient, bien que très excités, donnaient l'impression de me respecter. A l'approche de l'orgasme, les mots qu'ils disaient m'excitaient sans me choquer. C'était : 'C'est excitant de baiser une femme qui fait ça pour le plaisir', ou 'J'adore les petites cochonnes perverses comme toi', ou 'Tu vas sentir mon sperme tout au fond, c'est ce que tu veux, n'est-ce pas?', ou encore 'J'ai toujours eu envie de baiser une femme fertile. Je vais t'engrosser', ou 'Là, maintenant, je vais t'offrir une belle surprise pour ton mari cocu', ou encore 'Dans neuf mois, tu auras un joli bébé noir'. Tout cela m'excitait au plus haut point... »

Jules, que les paroles des clients de sa femme inquiètent, l'interrompt en disant :

« N'as-tu vraiment rien fait pour te protéger? », ce à quoi Anna répond :

« J'ai eu le temps de bien me laver entre deux clients, ce jour-là, mais tu verras que le risque n'étais pas si grand. Je vais t'expliquer pourquoi tout de suite. »

« Que s'est-il passé? », interroge Jules.

« Tu sais que mon ovulation devait arriver ce soir là ou le lendemain. C'est même toi qui avait dit à Bouma que mon pic de fertilité devrait être ce mercredi, connaissant la régularité de mon cycle. Les clients qui payaient très cher pour avoir une quasi certitude de me féconder devaient venir mercredi après-midi.

Les prises de température du mardi soir et même du mercredi matin ont montré que ce n'était pas arrivé. Alors Bouma, apprenant cela, est rentré dans une rage folle. Abdul l'a empêché de me mettre une bonne raclée, lui disant que je n'y étais pour rien. Je me suis dit que c'était peut-être cette activité sexuelle ininterrompue qui avait créé ce dérèglement. Comme ces clients spéciaux avaient demandé un certificat médical attestant de mon ovulation, ce qui ce conçoit vu le prix exorbitant qu'ils payaient, Bouma était prêt à faire des faux. Abdul craignait de perdre ainsi des clients très fortunés, qui étaient surtout les siens d'ailleurs. Ils s'en est suivi une altercation entre les deux frères et j'ai cru qu'ils allaient en venir aux mains. Ils ont fini par trouver un terrain d'entente : Abdul informait ses clients de ce changement, leur disant qu'ils seraient prévenus le moment venu, mais beaucoup ne pourraient se libérer ainsi, évidemment. En contre-partie, d'ici ce jour tant attendu, je n'aurais qu'exclusivement les clients de Bouma. »

« Et c'est ce qui s'est passé? », interroge Jules.

« Oui, mais je te rassure, c'était moins extrême qu'au début. D'abord, ils étaient moins nombreux, certains n'ayant pas les moyens de s'offrir mes services à quelques jours d'intervalle. Et puis, sentant que j'entrais vraiment dans une période hyper dangereuse, j'ai pris le temps de bien me nettoyer après chaque client. J'étais un peu contractée et j'ai donc pris moins de plaisir pendant ces deux derniers jours. J'ai tout de même eu de très beaux orgasmes, avec certains. »

« Qu'avaient-ils fait de particulier pour te faire jouir? », s'enquière Jules.

Anna hésite un peu à répondre. Elle se sent embarrassée, mais finit par lui dire :

« Certains... surtout ceux qui avaient un très long sexe, venaient presser leur gland tout au fond, juste sur le col de mon utérus, retardant un instant leur jouissance. J'imaginais alors le contact du méat sur l'ouverture du col. C'était comme si je le voyais et je savais que leur semence allait gicler, juste là, passant d'un conduit à l'autre. Et c'était ce qui me déclenchait un orgasme de folie. Tu te rends compte, c'était ce que je craignais le plus et, pourtant, c'était ça qui me faisait jouir. Je dois être folle... »

Anna s'interrompt en entendant son mari pousser un cri d'excitation, qu'elle arrête d'un :

« Retiens-toi ! Ne jouis pas tout de suite ! J'ai encore quelque chose à te dire. »

« J'ai bien failli tout lâcher... », lui dit son mari, avant d'ajouter un peu plus tard :

« Vas-y, je t'écoute. »

« Ce soir, juste avant de t'appeler, j'ai ressenti une certaine chaleur en moi, que je connais bien. J'ai pris tout de suite ma température... mon ovulation est enfin arrivée. Je suis prête pour mes clients spéciaux, demain. Tu ne peux pas savoir comme je suis excitée ! »

Un long « Aaaahhhh ! » émis par Jules ponctue la phrase d'Anna, ce qui lui fait dire :

« Et bien, ça t'a fait jouir. Tu dois être aussi fou que moi? », puis elle ajoute :

« Je raccroche et je ne te rappellerai pas demain soir. Mon petit cocu devra bien gentiment attendre mon retour, samedi matin. D'ici là, sois sage, laisse ton petit oiseau tranquille, car j'aurai sûrement plein de choses excitantes à te raconter. »

... à suivre ...

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