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Anna va s'installer dans un fauteuil, face à Jules, assis sur le canapé.
Il veut savoir.
« Mon amour, raconte-moi », lui dit-il.
Jules aurait aimé que se femme s'essaye à côté de lui pour le branler pendant son récit, mais, la voyant s'installer dans le fauteuil, il a compris qu'il allait devoir continuer sa masturbation tout en l'écoutant.
Anna a tout de même une petite attention pour son mari, car, avant de commencer son récit, elle défait la ceinture de son peignoir et en écarte largement les pans. Puis, elle raconte tout, sans omettre le moindre détail. Jules a si bien su contrôler les mouvements de sa main qu'il éjacule au moment où Anna termine son récit.
Alors, sans même penser à remettre de l'ordre dans sa tenue, Jules questionne sa femme :
« As-tu vraiment aimé cette séance? Dis-moi. »
Anna, qui a eu le temps, avant l'arrivée de son mari, de repenser à ces moments de plaisir, lui répond immédiatement :
« Oui, c'était bon, très bon, exceptionnel, incroyable... je ne sais plus comment qualifier ça... bien meilleur qu'avec ta petite bite. »
« Alors, tu vas recommencer? », se réjouit Jules, qui est alors surpris de la réponse de sa femme :
« Non, je ne crois pas. Les caresses de cet homme étaient dures, très dures... trop dures. C'était proche du sadisme. Cela m'inquiète, car je sais que, si je recommençais avec lui, il essaierait d'aller plus loin encore. Et surtout, je sais que, s'il le faisait, ce serait tellement bon que je n'arriverais... ou plutôt ne voudrais pas l'arrêter. Excitée, je serais capable de tout, tu vois, alors j'ai peur de moi-même. Le danger serait peut-être le même avec d'autres partenaires proposés par ce club. On ne peut savoir. »
Après un moment d'hésitation, Anna ajoute :
« Et puis, tu t'en doutes bien, cette contraception, très sûre, m'enlève ce frisson du risque dont j'ai bien du mal à me passer. »
Entendant ça, Jules, inquiet, veut connaître les intentions de sa femme :
« Voudrais-tu revenir à ce que nous faisions au début? »
Anna ne peut que laisser paraître son indécision avant de répondre :
« Je ne sais pas, mais j'ai plutôt besoin de faire une pause pendant quelques temps. Je vais d'abord arrêter la pilule et me limiter, pour l'instant, aux relations conjugales. »
Puis elle ajoute :
« Mon chéri, tu n'auras même pas à prendre de précautions, car tu auras seulement droit à ma main. »
Jules ne peut que rétorquer :
« Je serai frustré, c'est certain, mais ce sera sûrement ton cas aussi, n'est-ce pas? »
La réponse d'Anna ne peut rien clarifier:
« Pour l'instant, faisons comme ça... à l'usage, nous verrons comment évoluent les choses. »
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... à suivre ...
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