Les obligations de Julie 01

L'homme tapota avec son majeur sur le trou du cul de Julie voulant tenter le tout pour le tout. Le rectum se dilatant à chaque touché, il inséra une phalange, puis une deuxième et enfin le doigt entier sans autre réaction de Julie qu'un souffle plus accéléré que jusque-là.

" Ouh! Je crois... que ça ira. " Tenta Julie.

" Oui Madame. " Répondit le groom recalant ses mains sur le vagin.

Il écarta les lèvres de Julie mais n'y inséra pas de doigt. Les parois avait l'air sèches et il n'y avait pas de réaction comme pour le rectum. L'homme ne voulait absolument pas faire de mal à Julie, il conclua donc :

" Madame, après inspection je peux vous confirmer qu'il n'y a pas de poils. Rien! Puis-je vous servir votre coupe cela vous aidera sans doute à patienter le temps que votre huile pénètre?"

" Merci. Oui... Je... veux bien! Merci. " Répondit Julie se sentant toujours autant misérable.

Le groom servit la coupe signifia son depart et remercia Julie pour ce moment de " confiance". Julie le remercia à son tour et une fois l'homme dehors ne pu attendre plus longtemps pour à la fois craquer, mais aussi porter sa main libre sur son rectum.

Elle pleurait et se doigtait légèrement le cul en même temps. Le temps passa, elle sécha ses larmes, bu sa coupe et s'insèra le majeur entier dans le cul tant l'huile la gênait. Son trou du cul se dilatait si bien qu'elle sentait qu'elle aurait pu y fourrer un second doigt mais la gêne du premier suffisait à l'en dissuader. Elle était là, connement recroquevillée sur elle à se doigter le trou du cul entièrement nue.

Marc revint à ce moment là sans que julie y est prit attention.

" Et bien, je vois qu'on se doigte le cul! " Ria ce dernier.

Julie sursauta tourna la tête en direction de marc et fit mouvement pour retirer son doigt.

" Ne t'arrêtes pas. Caresse-toi le clitoris et doigte-toi la chatte. " Enchaîna Marc debout derrière Julie.

" Maître Marc... S'il vous plaît, ça va me... Enfin vous voyez... " Tenta Julie désespérée.

" Dis-moi ce que cela va te faire. Dis-moi ce que cela va provoquer. " Demanda t'il.

" Oui Maître Marc. Cela va... me demanger le vagin. Et... Je... vais me caresser et me... doigter je suppose. " Soupira Julie honteuse de parler ainsi d'elle-même.

" Et bien, vas-y, je pense que cela te plaira, que tu le veuilles ou non. " Conclua Marc s'asseyant sur la chaise de bureau juste derrière elle pour être au plus près de l'action.

Julie posa et tourna la tête vers la droite sur le lit et porta donc sa seconde main sur son clitoris qu'elle caressa, s'humiliant au plus au point. Jusque-là elle s'était contentée de se mettre à nue et voilà qu'elle en était rendue à devoir se pénétrer devant un homme qui n'était ni son mari ni son amant. Elle ne leur aurait jamais accordé ce plaisir si l'un des deux le lui avait demandé, mais l'huile faisait son petit effet et se doigter le cul lui faisait du bien.

Son clitoris réagissait assez vivement et Marc eu pleine vue sur la montée de plaisir vaginal qui se faisait sentir. Sans bruit mais avec un souffle plus accéléré, Julie inséra un doigt dans sa chatte. Elle se trouvait donc avec chacun de ses majeurs en elle. Jamais elle ne s'était doigtée doublement. D'ailleurs elle ne se doigtait plus depuis bien longtemps.

" Quelle honte... Je me... Bon sang, Mes dernières caresses ça remonte à... Mes dix-huit ans? dix-neuf ans? Quel salop, je n'en est aucune envie... Mais c'est tellement bon! " Pensa la jeune femme fixant le ciel étoilé par la fenêtre.

Après seulement cinq minutes supplémentaires de ce traitement, Julie commença à émettre quelques soubresauts de plaisirs, Son trou du cul ne se refermait plus complètement autour du doigt et son vagin était trempé si bien que par moment elle s'enfonçait deux doigts pour mieux calmer la chaleur l'envahissant.

Marc souriait, la jeune maman prude avait si peur de perdre sa vie contrôlée au millimètre qu'elle se transformait en chienne aux premières menaces qu'il avait émises. Son attitude hautaine avait fait long feu et elle se retrouvait à se doigter par les deux trous devant lui. La semaine allait être bien sympathique avec tout ce qu'il avait en tête. La jeune maman n'était pas au bout de ses peines. Marc choisit cet instant pour interrompre les caresses de la belle. Elle devait finir sa soirée frustrée et le supplier demain matin de pouvoir se finir.

" Ma petite conne, arrête de te doigter les parties. Commence par te remettre de l'huile sur ta chatte et ton anus. Ensuite, tu vas aller me prendre un plug, les godes pour le cul, sur la table de nuit de droite et le mettre en remplacement de ton doigt! ensuite tu refermes la menotte de gauche sur ton poignet. " Exigea Marc.

Julie soupira, à la fois frustrée d'arrêter ses caresses mais pour autant tout heureuse de ne plus le faire devant Marc. Elle se saisit de l'huile posée près d'elle, s'en badigeonna la chatte et le trou du cul et enfin remonta à quatre pattes le lit King Size et saisit le plus petit plug, un noir, qu'il y avait sur la table de nuit et le lubrifia d'huile au gingembre à son tour.

" Penche-toi en avant, tourne-toi légèrement vers moi et tends les cuisses. Je veux voir ce plug s'enfoncer dans ton cul et la tête que tu vas faire avec. N'oublie pas de me dire que tu l'as dans le cul aussi. " Exigea encore marc d'un ton radical.

" Bien Maître Marc. " Répondit docilement Julie épuisée.

Elle se tourna donc légèrement vers Marc poussant son cul dans sa direction et levant les cuisse. Cela ouvrait au maximum ses fesses laissant pleine vue sur son trou du cul. Elle se baissa alors plaçant le profil gauche de sa tête sur le lit, le regard tourné vers Marc. Elle porta ensuite, d'une main peu sûre d'elle, le plug noir à l'orée de son rectum et commença à l'enfoncer, dilatant ainsi ce dernier.

" Ouch! " Ne pu s'empêcher de dire Julie faisant la grimace.

" Courage ma petite. Ton cul va aimer ça, tu te doigtais il y a encore deux minutes. " l'encouragea Marc.

Le " ma petite " eu particulièrement le don de contrarier Julie qui ne supportait pas d'être prise de haut.

Julie appuya légèrement son geste et sous l'effet du rectum et du plug lubrifiés ce dernier rentra d'un coup ne laissant que le capuchon du plug visible.

" Aah! Ouille! Oh! " s'exprima surprise Julie fronçant les sourcils et grimaçant encore.

Marc souria attendant impatiemment la suite.

" Je... Je l'ai dans... Je l'ai dans le cul Maître Marc... " S'humilia Julie.

Elle se redressa et saisie la menotte gauche qu'elle referma sur le poignet de la même main. Marc se rapprocha de l'angle droit de la tête de lit.

" Ta main s'il te plaît ma petite conne. " Demanda t'il poliment.

Julie fit un mouvement de recul prise de peur et affolée d'être attachée dos a la pièce qui plus est.

" Non... Maître Marc. Je... Je vais me toucher encore! Non! Je... Je ne veux pas! Pas menottée! Mes huiles ça... ça me chauffe..." Tenta la jeune femme paniquée.

" Allez pose ton poignet sur cette attache et tout ira bien. Et oui pour les huiles je sais ma cocotte! Mais là comme je te l'ai dit tu as grillée tes jokers. Donc soit tu poses délicatement ta main soit... Mmmh! On peut demander au groom de te branler! À toi de voir! " Expliqua calmement Marc.

Julie résignée stoppa toute tentative de résistance et tendit son bras droit. Marc ferma la menotte et quitta la vue de Julie. Il se dirigea dans la salle de bain avec un gode qu'il récupéra sur une étagère.

Julie regardait donc bêtement le mur, les bras étirés de chaque côté du lit et à genoux, ses parties intimes chauffants.

Marc revint rapidement plaquant le gode couleur chair contre le mur à hauteur de la tête de Julie, juste au dessus de la tête de lit.

" Si tu as soif courant de la nuit. " Rigola t'il.

" Tu auras juste à mettre la bouche et à sucer et aspirer. Je viens de la remplir d'eau. " Poursuivit-il.

" Non mais j'ai pas soif! " Se hâta Julie.

" Attends d'être bien chaude avec tes huiles! Tu seras contente de sucer cette bite pour te désaltérer! " Insista le maître-chanteur.

Julie gromela et tenta de tirer ses menottes mais rien à faire, elles étaient solidement attachées au lit.

Marc alla se rasseoir sur la chaise et regarda sa petite infortunée se remuer. Il savait que bientôt elle allait remuer ses jambes alternant entre la position accroupie et à genoux pour tenter veinement de calmer le feu dans son entre-jambes.

Une fois calmée Julie tenta de souffler et de se concentrer. Elle se faisait une raison sur le fait d'être menottée les bras grands ouverts sur la tête de lit. Il lui fallait gérer maintenant les chaleurs de son cul et de son con. Cela allait être compliqué.

N'ayant pas une vie sexuelle des plus épanouie elle ne résista pas bien longtemps aux fulgurances de son corps et Marc se régala de la voir, telle une ado se decouvrant, faire corps avec un oreiller qu'elle avait caler entre ses jambes et chevaucher vainement ce dernier. Marc était au summum de sa joie et Julie de sa honte. Elle se savait ridicule mais ne pouvait s'empêcher de réagir ainsi tant son corps la trahissait.

Marc regarda la scène encore quelques minutes et se régala des premiers gémissements de julie. " Oooh! ", " Aaah! ", " Alleeeeez! " furent quelqu'uns de ces mots.

Il décida qu'il était temps pour lui de retrouver son hôtel, il était près de deux heures du matin. Il reviendrait seulement le matin, certain qu'une Julie suppliante entre douleur et paisir allait lui demander beaucoup de choses.

Afin d'être assurer que personne n'ai de doutes sur Julie. Il mit le câble en route sur une chaîne porno en augmentant le son assez fort afin qu'il couvre toute tentative de demande d'aide de Julie. Il s'était fait un plaisir de demander le déblocage des chaînes adultes pour la 27 lorsqu'il était descendu.

Marc se rapprocha de Lucie pour lui signifier son congé.

" Je te laisse à tes basses besognes pour la nuit petite conne de nympho. Ton oreiller est déjà trempé! Je te dis à demain matin. Inutile d'appeler à l'aide après mon départ. Entre les closions robustes de la suite et le son des pornos qui vont défiler ce serait vain! passe une bonne nuit. Je serais là demain pour 10h30 au plus tard. je ferais monter le petit-déjeuner. Tu en auras besoin... "

Julie crue défaillir. Elle pensait que ce jeu durerait un peu mais certainement pas une nuit. Elle tenta d'interpeller Marc qui avait tourné les talons et se dirigeait vers la porte.

" Non! Non! S'il vous plaît Maî... " se désespéra la menottée en chaleur.

Marc n'entendit pas la suite il referma la porte sans même prêter attention aux suppliques de Julie. Il prit soin de déposer l'écriteau "Ne pas déranger " sur la poigné et prie la direction de l'ascenseur avec la valise d'affaires de Julie. cette dernière allait passer une nuit dont elle se rappelera longtemps