Les obligations de Julie 01

BÊTA PUBLIQUE

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Marc leur demanda de se mettre devant le banc qu'ils occupaient et alla chuchoter ses directives à Julie.

" Je sais que tu peux toujours faire le grand écart non? " demanda t'il à la pauvre Julie toute stressée.

" Oui... " Souffla t'elle pleine de peur.

" Bien, donc tu vas gentillement danser devant ses hommes. Tu vas te trémousser un peu. Tu vas leur retirer ta robe et tu vas nous faire un joli grand écart toute nue de dos sur le banc. Entre temps tu reprendras la pause les mains sur les chevilles que chacun ici voit ta belle épilation. Tu rejoindras ensuite le banc à quatre pattes en tortillant bien ton cul. Sur le banc tu te poseras et tu attendras qu'ils en est finit de te filmer ou te photographier avec leur téléphone. C'est non négociable. La prochaine fois tu seras plus indulgente avec moi pour se qui est de se ballader ensemble. Tu me prends de haut. Moi aussi. Allez, vas te mettre en scène devant ton public! " Exigea Marc la saisissant par les hanches.

Julie se figea d'abord, souffla et se dirigea entre le banc et les jeunes hommes que Marc avait rejoint. Ce dernier avait lancé une musique suave pour accompagnée la danse de sa protégée.

Julie eu un peu de mal à se concentrer devant les huit hommes face à elle. Elle ferma donc les yeux se concentra un maximum et commença à doucement bouger.

Très vite Marc intervint pour la motiver:

" Chérie, pense à tes mains descendant le long de ton corps, danse, tourne, joue! Ton public t'attends. "

Julie toucha donc ses cheveux, descendit ses mains sur son cou puis ses seins et son ventre sous les sifflements, remarques et clameurs de la bande. Puis vint le difficile moment où il fallu relever sa robe et se retrouver dans le plus simple appareil en talons. Elle se mit donc de dos et remonta sa jupe à hauteur de nombril dévoilant ses fesses aux groupe.

" Woow! Allez pétasse! " " Quelle salope! " "La pute! " firent quelques-unes des réactions en réponse à son geste.

Cela la motiva à accélérer pour en finir au plus vite avec cette seconde humiliation. Elle remonta sa robe au dessus de ses épaules et la prit dans une main se figeant.

" Allez par terre la robe! ", " Tourne-toi! ", les ordres s'accumulaient. Julie devait réagir.

Elle lâcha doucement la robe qui tomba à terre et hésita à se retourner. Marc intervint encore pour l'aider.

" Allez ma belle montre tes charmes! Tourne-toi chérie! " Demanda son bourreau.

Elle se pencha alors en avant et attrapa ses chevilles devoilant intégralement ses intimités. Là elle pleura aussi discrètement que possible cachant son visage derrière une de ses jambes. Elle se sentait misérable et vulnérable devant des banlieusards et au beau milieu d'un parc public.

Après avoir laissé passer sa crise de larmes elle plia les jambes et se dirigea à quatre pattes vers le banc, balançant exagérément les fesses, sous les clameurs de son public peu discret et très vulgaire à son propos. Elle ne retint pas toutes les remarques mais les "Salope", "Pute", "Chienne" furent dure à entendre pour une femme de bonne famille traditionaliste, à la vie si bien contrôlée.

Elle se releva le temps de s'accroupir de dos sur le banc et d'enfin tenir la position du grand écart qui devait être le clou du spectacle pour le jeunes hommes la filmant. Elle se tint ainsi cinq bonnes minutes posant ses mains l'une sur l'autre sur la rambarde et y posant son front baissant la tête et patientant docilement.

Le chef de bande demanda à Marc si lui et sa bande pouvait peloter une dernière fois le cul de la belle avant de partir. Marc accepta afin de ne pas les frustrer. Julie subissa donc l'épreuve en silence les mains se succédant sur ses fesses. Elle serra les dents pour ne pas craquer devant la bande qui était maintenant juste derrière elle.

" Merci M'sieur! Vous avez bien de la chance. Allez les gars on file en boîte. On va se trouver deux trois nanas à mater! " Fit en signe de conclusion le meneur.

" Je vous en prie, à plus tard messieurs! " se contenta tout sourire Marc.

Ils laissèrent donc les deux amants, partirent et embarquèrent la robe avec eux avec le consentement de Marc.

" Alors Julie? Heureuse? Je suppose que non mais la prochaine fois tu seras peut-être plus ouverte et moins fière vis à vis de moi non? " Enchaîna Marc toujours derrière Julie toujours en grand écart.

" Oui... Je... Non... Ma robe? Je... " Julie ne se contrôlait plus entre pleurs et interrogations multiples.

" Je vais te filer mon manteau pour la suite. Mais il va falloir te faire pardonner. Tu veux me prendre de haut depuis notre accord en te contentant du minimum vis à vis de se que je te demande et voilà le résultat. Mais j'ai plusieurs idées là. Et je vais commencer par te remettre à ta place que tu comprennes où elle est. Ne bouge pas! "

Julie se figea s'attendant au pire. Mais certainement pas à ce pire-là. Elle entendit un zip et un liquide chaud lui coula dans la foulée sur le dos.

" Voilà ta place! " Fulmina Marc lui urinant sur le dos.

Julie se remit immédiatement à pleurer. Elle sentait l'urine couler long de son dos et ses fesses.

" Je t'en prie... " pleurait-elle.

" Tu vois. Tu ne comprends toujours pas... Je t'ai dit quoi à mon propos? Ne doit tu pas me dire Maître quand tu t'adresse à moi? " Releva Marc.

" S'il... vous plaît Maître Marc arrêtez ça! Je vous en supplie! " Reformula Julie pleine de regrets.

" Je... je ferais tout ce que tu me demande. Mais pas ça, ça va trop loin! Plus de nu en public et pas d'urine! " poursuivie la jeune femme sans faire attention à la reformulation demandée.

" Tu ne comprends rien faut croire. Le vouvoiement? Le maître? la politesse? Et en plus tu fais deux exigences!? " Insita Marc voyant qu'il allait bientôt la faire totalement lâcher prise. Il cessa d'uriner la vessie vide.

" Non... Mais... Je... Pardon.... Haaaa... " Julie craqua complètement sous le regard satisfait de Marc. Il l'a savait enfin complètement vulnérable.

" Je vais devoir sévir tu le sais! Visiblement te montrer nue à des inconnus et te faire pisser dessus ne suffisent pas pour te soumettre à des directives plutôt indulgentes. Je pourrais te foutre dans une sacrée merde avec ce que j'ai à ton sujet. Je me demande si je ne vais pas tout dire à ton mari et ta belle-sœur moi... "

" NON!!! Non!!! Mar... Maître Marc! Non! Je serais à l'écoute et j'obéirais promis! je t'en... vous en supplie! Pas ça! " Pleura de plus belle Julie toujours en position du grand écart sur le banc.

" Très bien. J'attends donc que tu m'écoutes en tout point dorénavant et jusqu'à dimanche prochain. Tu as grillé tes quelques jokers ma grande. Ton attitude naturellement hautaine t'en auras coûté tu vois... Bref j'attends maintenant que tu te prosterne à mes pieds pour tes excuses, la demande de ma veste et que tu me remercie de te laisser une dernière chance! " Répondit sèchement Marc.

Sans émettre une protestation Julie se redressa se tourna et descendit du banc. Elle se mît à genoux et voulu commencer à parler mais Marc l'interrompit de suite.

"Quand on se proterne on a le torse au sol et la tête avec. Que tes mains touchent mes chaussures et que ton cul soit cambré petite conne. Je t'appellerais comme ça dorénavant quand on sera tout les deux. " Fit savoir Marc vindicatif.

Julie, obéissante et visiblement docile se mit en situation pour s'excuser comme il convenait à son maître-chanteur. Les mains sur ses chaussures et nez et front touchant le sol, elle commença :

" Maître Marc je m'excuse. Je... Je ne voulais pas vous froisser et je suis désolée d'être hautaine envers vous alors que je n'ai pas... d'arguments à donner pour cela. Auriez-vous l'obligeance de me donner votre veste que je ne sois plus complètement nue dans le parc. Je m'excuse sincèrement et vous serais obéissante dorénavant. Laissez moi une dernière chance. Je vous montrerais comme je sais écouter. Merci Maître Marc. "

Marc voulait marquer le coup une bonne fois pour toute et se prépara à ce que Julie craque pour de bon. Elle se releva et lui fit face nue et vulnérable en tous points, La force morale n'y étant plus...

" Très bien petite conne. Je vais être très clair. Tu es ma chose. Je peux et vais faire de toi ce que je veux pour la semaine pour ce qui est des humiliations. Tu m'as toujours pris de haut et cela se termine maintenant. Soit tu te calmes pour de bon soit ta vie sans histoire se termine dans la semaine. Je crois que la petite femme parfaite que tu tiens à être en public en prendrais un sacré coup si on te voyais en compagnie de ton amant ou faire la gymnaste à poil pour des banlieusards. Ta famille, tes parents, beaux parents et sans doute une bonne partie de tes amis te seront perdus. Tu as déjà eu un avant goût de ce que je peux faire en t'ayant obligée à envoyer une photo de ton vagin imberbe à ton mari. Me concernant, si tu me désobéis encore une seule fois ou que tu oublies ne serait-ce que d'être poli, ce n'est pas sur ton dos que je pisserais mais sur te petite gueule de conne la bouche bien ouverte! Je ferais de ta bouche mon urinoir personnel!! Dès maintenant tu oublies ton ancien amant. Ton nouvel amant c'est moi et je vais te dresser! Je me fais bien comprendre? "

Julie craqua aussitôt et tomba le cul sur le banc. Marc venait de gagner probablement la partie. Il l'a voulait docile et prête à tout pour sauver sa vie tranquille. Il l'a laissa pleurer quelques minutes profitant de lui envoyer un sms pour ce qu'il attendait qu'elle fasse une fois à l'hôtel.

Julie renifla, avala, chouina, sécha ses larmes et se contenta d'un " J'ai froid... " comme simple retour vers Marc.

Marc lui tendit donc un mouchoir et sa veste, qu'elle enfila en se relevant. Cela recouvrait pleinement son torse beaucoup moins ses jambes. La moitié de ses fesses était à l'air mais cela n'était plus vraiment un problème. Julie se sentait assommée de tout ce qui venait de lui arriver et ce qui lui avait été signifié depuis la sortie du restaurant.

" Allez on rentre à ton hôtel petite conne. J'ai ta valise à prendre avec moi avant de te laisser à Morphée... ou pas! " Ria Marc fière de son coup.

Julie suivie Marc pendant quelques mètres jusqu'à ce qu'elle émerge du brouillard dans lequel son esprit était. Retenant la leçon et de peur d'être encore interrompu elle attrapa la main de Marc et la tint solidement. Ils marchèrent ainsi sans plus de mots jusqu'à l'hôtel. Le peu de passant qu'ils croisèrent devisagèrent Julie à chaque fois. Elle compris rapidement que chacun savait qu'elle était nue sous sa veste.

" Nous voilà arrivés. Va à l'accueil demander une seconde carte d'accès je garde la tienne avec moi petite conne! " Demanda Marc.

" Oui Maître Marc. " Se contenta Julie en mettant les deux mains dans les poches pour tirer le vêtement au maximum.

La femme de l'accueil la dévisagea d'un regard noir qui en disait long :

" Bonsoir Madame. Que puis-je pour vous? "

" Je voudrais un second pass pour la 27 s'il vous plaît. "

Le second Pass en main, elle rejoignit rapidement Marc au pied de l'ascenseur.

" Très bien, très bon comportement petite conne. Docile et obéissante, c'est très bien! " Complimenta exagérément Marc.

" Merci Maître Marc! " répondit Julie hagarde.

L'ascenseur arrivé Julie s'y précipita et Marc plus calemement suivit. Julie s'efforça de faire des efforts et se rapprocha de Marc laissant une de ses cuisse frôler la main du jeune homme. Marc ne répondit pas. Il voulait que ce soit Julie qui fasse l'ensemble de ces petites choses qui la conduirait malgré elle à se rapprocher de lui. Marc jubilait à cette idée. Moins il répondrait, plus Julie en ferait. Il voulait tester les limites ultimes de la jeune femme.

Arrivés à la chambre, Marc lui ordonna d'aller à la douche se rincer et d'ensuite regarder son téléphone. Il s'installa quant a lui dans le canapé de la suite.

Sortie de la salle de bain, Julie lu rapidement un sms de son mari et y répondit puis lu celui de Marc.

" Petite conne, retire le peignoir immédiatement, tu seras nue pour le reste de la soirée. Voici tes directives et punitions:

- Masse-moi les pieds et remercie-moi une fois encore pour mon indulgence, en me regardant dans les yeux. Tu me supplieras de t'excuser une fois encore le massage finit en te prosternant.

- Redécors la suite avec tes jouets. Qu'ils soient bien voyant.

- Mets deux menottes de chaque côté de la tête de lit. Laisse une menotte ouverte sur chacune et donne-moi les clés.

- Appel la réception pour commander du champagne.

- Fous-toi à quatre pattes cul cambré à mort sur le lit.

- Remets-toi de la crème au gingembre sur le rectum.

- Lors de l'arrivé du champagne tu t'excuseras de la situation auprès du groom et tu lui expliqueras que tu viens d'appliquer une crème qui doit sécher. Pour autant tu ne bougeras pas d'un pouce tenant ton cambrage.

- Pour m'avoir pris de haut je rajoute ce bonus : En guise de pourboire tu lui proposeras une inspection de tes parties, savoir si il reste des poils.

- Ne pleure pas, sois jovial et souriante.

Magne! "

Outrée elle s'empêcha de pleurer et de râler pour ne pas empirer la situation. Elle se défit de son peignoir et se dirigea vers Marc.

" Ah! te voilà, à la bonne heure. Je me ferais bien masser les pieds. " Souria Marc voyant l'inquiétude calme de Julie.

" Je vous les masses tout de suite Maître Marc. " Répondit docilement la jeune maman s'agenouillant devant son nouvel amant.

Elle déchaussa Marc, lui enleva ses chaussettes et commença son massage. Marc lui ne prêta pas attention à sa petite chose et regardait tranquillement la télé.

Au bout de cinq minutes elle changea de pied et l'interpella de la voix la plus douce qu'elle pouvait avoir malgré tout le stress l'habitant.

" Maître Marc? Regardez-moi s'il vous plaît. " intervint-elle.

Marc posa son regard sur Julie qui poursuivant son massage reprit :

"Maître Marc, je suis navré de vous avoir manqué de respect. Je vous demande encore une fois de m'excuser pour avoir été hautaine et trop fière. Merci Maître. "

" Je t'en prie, espérons que tu sois sage cette semaine... " fit simplement remarqué ce dernier avant de ne plus prêter attention à Julie. Elle massa donc l'autre pied encore cinq minutes puis, tenant chacun des deux pieds avec ses mains, elle enfonça sa tête contre le tapis, cambra les hanches et s'exprima de retour:

" Maître Marc. Navrée de tout ce dérangement. Je suis désolée et je m'excuse encore et toujours pour avoir été stupide. Je me prosterne devant vous et vous demande votre plus grande indulgence pour avoir eu un comportement déplacé. Je suis là, nue et misérable à votre entière merci. Je vous supplie de me pardonner et de ne pas faire de moi la victime de mes égarements. Je saurais être reconnaissante. Pardonnez-moi! " Supplia Julie voulant plaire à Marc.

" Très bien ma petite conne! Tes excuses sont acceptées. Allez file faire la décoration. J'en veux partout et que ce soit bien visible! " Demanda Marc.

Julie prit sur elle et manipula l'ensemble des objets qu'elle avait été obligée d'acheter avec Marc. Elle posa les plugs et godes aux quatre coins de la pièce, laissa sa valise ouverte et rangea quelques-uns de ses nouveaux vêtements dans le placard de l'entrée le laissant bien ouvert. Une fois fait elle demanda l'avis de son nouvel amant. Marc fit le tour vu que les jouets étaient bien visibles et le placard ouvert avec plusieurs tenues dedans. Il félicita une Julie des plus stressée. Il retourna ensuite au canapé laissant sa soumise aux restes de ses directives.

Julie, s'affera donc à caler chacune des paires de menottes à la gauche et la droite du lit puis de laisser une accroche de chacune d'entre elle ouverte et alla donner les clés à Marc. Elle dûe se mettre à genoux, la tête baissée et les bras tendus vers le haut, les clés dans la peaume des mains. Elle remercia Marc et commanda du champagne à la réception. Enfin elle s'engeaga sur la dernière partie, la plus dure pour elle, se masser le trou du cul avec l'huile de la masseuse et se cambrer sur le lit.

Elle se dirigea donc vers la salle bain et revint avec la crème. Là, sous le regard de Marc elle se mit à genoux sur le lit puis avec un doigt d'huile commença à se caresser l'anus.

" Enfonçe-toi une falange petite conne! Histoire de lubrifier l'entrée. " Exigea Marc.

"Ooh! Mais... Ok! Bien Maître Marc. " Répondit surprise et déçue Julie.

Sans grimacer elle s'enfila donc une falange et demie du majeur dans le cul et fit de petits cercles pour bien lubrifier l'intérieur de son rectum. Elle fut surprise par la sensation qui était tout autre que sur sur son trou du cul. Son colon la démangeait. Elle retira donc son doigt et se recaressa en douceur le trou du cul. Marc observa que celui-ci se contractait et se décontractait à mesure des caresses du doigt.

On frappa à la porte, le champagne arrivait. Julie se mit donc sur les coudes et accentua son cambrage au maximum forçant son dos et lâchant les hanches. Marc en fut le premier ravi, ce cul ne demandait plus qu'on s'occupe de lui. " Ce temps viendra " se dit-il allant ouvrir la porte. Il invita le groom à entrer pour le plus grand désarrois de Julie.

" Vous excuserez ma femme, elle est un tantinet... joueuse disons! " Prévint Marc jovial.

" Mes collègues de l'accueil m'en ont parlé oui. Mais je dois dire que je ne m'attendait pas... à ça! " Répondit le groom regardant la pièce décorée des jouets sexuels. Il fixa ensuite son regard sur les fesses de Julie.

" Veuillez m'excuser Monsieur, Je... Je viens de m'épiler et j'ai une crème qui demande un peu de temps à sécher... " Se désola Julie fixant la tête de lit, n'osant pas se retourner pour voir la tête du groom quelque peu rêveur.

" Non... je... C'est votre chambre Madame! Aucun problème! " Répondit tout surpris le groom.

" Je vous laisse. Je descends au bar! Chérie je te laisse gérer le pourboire! " Fit savoir Marc s'éloignant après avoir soigneusement posé son téléphone sur le meuble face au lit lançant l'enregistrement pour filmer la scène.

Il sortit de la pièce et après plusieurs secondes de silence, le groom servant les deux coupes, Julie toute gênée reprit :

" Je... Je profite... De vo... votre présence pour vous demandez si en guise de pourboire, à défaut de... pouvoir bouger, vous pourriez... disons... Mmh... "

" Oui madame? Si je peux...? " commenta le groom impatient d'entendre la suite.

" Si vous pourriez vérifier si il reste des poils sur... mes parties épilées? " Termina une Julie misérable.

" Monsieur ne l'a pas fait Madame? " Demanda le groom.

" Si mais... Deux a... avis valent mieux qu'un! " Répondit la jeune femme cambrée.

" Très bien! Voyons voir ça! " Répondit le groom s'accroupissant derrière elle.

Il resta là à regarder le vagin et le trou du cul de la jeune maman qui était des plus gênée. Puis d'une main sûre il palpa la zone entre le nombril et le clitoris faisant avancer sa main en direction de ce dernier. Julie ne pu s'empêcher de contracter les fesses pleine de honte. Elle ne pouvait rien dire, c'est bien elle qui avait demandée une inspection de ses parties.

" Tout va bien Madame, détendez vous, j'inspecte comme vous me l'avez demandé! Ça fera très bien l'affaire comme pourboire rassurez-vous! " Tenta de rassurrer le groom la main carressant le vagin de la jeune maman et commençant à remonter vers ses fesses.

" Merci... " Répondit bêtement Julie.

L'homme palpa les fesses de la jeune femme et en passant sur le rectum pu voir que celui-ci réagissait légèrement à la caresse.

" Cette femme est une vraie salope. " Pensait le jeune homme.

Julie, elle, n'en revenait pas que son corps puisse la trahir alors qu'elle trouvait l'instant des plus détestables. Malgré toute sa concentration son rectum se dilatait légèrement au touché.

" Saleté d'huile, mon colon me démange trop. Souffle Julie, Souffle, pense à Paul, aux enfants. Courage ma grande " s'encourageait mentalement Julie.