Les Monstrueux Jumeaux, Partie 04

Informations sur Récit
Partie 4, suite et fin.
4.3k mots
4.53
4.6k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 07/12/2023
Créé 07/11/2023
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Dans la partie 3, Pete et Brian avaient drogué puis violé Alicia Stevens, une afro-américaine, influenceuse, qui dénonçait le pouvoir du mâle blanc. Ce qu'ils avaient fait subir à cette superbe black avec été des plus humiliants. Dans cette dernière partie, nous assisterons à l'apogée des deux jumeaux, mais aussi à leur chute....

Quand Alicia Stevens se réveilla, elle crut à un cauchemar. Elle était nue, les cuisses écartées avec les chevilles attachées aux montants de son lit. Si elle avait enlevé subitement sa main qui tenait le poireau enfoncé dans sa chatte, elle l'avait utilisé à nouveau pour enlever avec précaution le légume, puis, le tube de verre enfoncé dans ses fesses, qui contenait une clef USB. Alicia pleurait, et compris vite ce qu'elle avait subi. Sa chatte et son cul lui faisaient mal. Elle enleva les pinces a linge qui pinçaient ses tétons. Quand elle se fut détachée, elle se regarda dans le miroir. Son visage était couvert de sperme séché, comme autour de ses deux orifices. Elle arriva à lire ce que ces salauds avaient écrit sur sa peau à l'aide de peinture blanche. C'est sans doute le mot « esclave » au-dessus de ses fesses qui lui fit le plus mal. Elle cria quand elle vit le contenu de la clef Usb. Les plans de ces deux bites blanches la défonçant étaient horribles. Alicia était devenue lesbienne, car elle ne voulait plus qu'un homme la pénètre, et encore moins un homme blanc. Avec sa petite amie, elle avait découvert le plaisir simple d'une langue sur son clito. Là, elle était devenue un pantin de chair noire pour deux pervers blancs. Elle pleura davantage quand elle vit ses seins frappés, ses fesses rougies, et quant à la fin, ils urinèrent sur elle. Alicia finit par appeler les secours...

Une année s'était écoulée depuis que Pete et Brian avaient sauvagement abusé de la jeune black. Ils s'étaient faits discrets et Alicia Stevens avait disparu des écrans, ne voulant pas communiquer sur ce qu'elle avait vécu. On parla d'une dépression sévère. Une enquête de police avait eu lieu en cachette, mais elle n'avait rien donné.

Pete : « On risque pas de revoir cette salope de négresse! »

Brian : «  Sinon, on la fera baiser par un chien!

Pete : «  Blanc évidemment!

Les deux hommes rirent.

Pete et Brian occupaient leur premier poste d'avocat d'affaires dans un célèbre cabinet. Chacun s'accordait sur le talent de ces beaux jeunes hommes, bien sous tous rapports. On leur promettait un bel avenir. L'âge aidant, Pete et Brian avaient décidé, non pas d'être plus sages, mais de s'accorder plus de moments à eux. Ils eurent leur propre appartement.

Néanmoins, ils continuaient de s'échanger des conquêtes et de les baiser parfois ensemble. Par moment, il fallait forcer ces jeunes femmes, ce qui les excitait davantage. Ils continuaient de fréquenter la boite échangiste très huppée, qui leur avait permis de connaitre bien des plaisirs, même les plus sombres.

Et puis, il y eu cette soirée mondaine. Elle aurait pu être comme les autres pour Pete, mais il tomba sous le charme d'une jeune femme blonde et toute menue. Son visage était rond et souriait. Elle était petite, mais très bien proportionnée dans sa belle robe de soirée. Pete tomba amoureux d'elle. Elle s'appelait Alyson Wilde. A tout juste 22 ans, elle avait de nombreux prétendants, car il faut dire qu'elle était aussi la fille de Margaret Wilde, la femme procureur, que certains voyaient un jour ministre de la Justice. Margarete Wilde était veuve et avait une volonté de fer ainsi qu'une solide ambition. Si sa fille était menue, Margarete était grande, blonde, 45 ans, avec des formes avantageuses.

Pete confia ses sentiments à Brian.

Brian : «  C'est du sérieux? »

Pete : «  Je veux l'épouser... »

Brian : «  Vous venez juste de sortir ensemble... Tu l'as même pas baisé... »

Pete : «  Je prends mon temps....tu imagines si j'épouse la fille de Margarete Wilde, j'entre dans la cour des grands. »

Brian : «  Évidemment, ce serait le top... Fini nos jeux alors! »

Pete (sourit) : «  Certainement pas! »

Pete avait mis six mois pour séduire Alyson, qui était devenue éperdument amoureuse. Ils avaient fait l'amour et Pete avait battu des sommets de délicatesse et de romantisme. Il avait voulu la sodomiser, mais Alyson l'avait refusé autant pour une question morale que pour la douleur qu'elle devinait avec ce genre de pratique. Pete n'avait pas insisté, et était d'une grande douceur. Cette petite Alyson était fort agréable à baiser. Il savait que Brian appréciait... Douce et prévenante. Elle l'avait sucé en lui demandant.

«  Je le fais bien? »

La mère d'Alyson, d'habitude méfiante, avait fini par trouver que ce garçon était sérieux et pouvait rendre sa fille heureuse. Alyson fit aussi la connaissance de Brian.

Alyson «  C'est fou comme vous vous ressemblez! »

Les fiançailles eurent lieu puis le mariage. Un beau mariage des plus mondains.

Brian à Pete : «  Bravo!!!... Mais je trouve la mère plus bandante. »

Pete ; «  Attends d'essayer Alyson... »

Brian se mit à sourire.

La nuit de noces, dans leur chambre, Alyson se sentait au paradis. Elle avait mis des dessous blancs, en dentelle et se montrait ainsi à Pete.

Pete : «  Comme tu es belle ma chérie! »

Alyson vint vers Pete et l'embrassa.

Puis Pete pris un bandeau et entoura les yeux d'Alyson.

Pete : «  On va jouer à un jeu, d'accord? »

Alyson se mit à rire.

Pete : «  Une sorte de Colin Maillard »

Alyson, les yeux bandés, ne vit pas Brian entrer nu dans la chambre. Pete se mit lui aussi nu. Il fit tourner Alyson sur elle-même, puis se mit à la toucher, la palper, avec de petites touches. Brian fit de même.

Alyson se mit à rire encore, quand son soutien-gorge puis sa culotte furent enlevés. Il ne lui restait plus que ses bas blancs.

Alyson : «  Oh, mon chéri! »

Elle sentit une bouche sur ses seins, une main sur sa chatte, ses fesses puis sa bouche reçurent une langue, en même temps que sa chatte écartée par des doigts reçue aussi des coups de langue

Alyson : «  Mais!!!!! »

Elle retira soudainement son bandeau et vit avec surprise et horreur Pete et Brian nus et souriants.

Pete : «  On va passer une superbe nuit de noces ma chérie! »

Brian : « Oh que oui, mon amour! »

Alyson tomba des nues devant les demandes de Pete qui lui demandait de tout partager avec son frère.

Pete : «  Je t'aime ma chérie, mais sexuellement, je partage tout avec mon frère... »

Alyson : «  Mais je ne veux pas!!!, jamais!!!..s'il te plait! »

Alyson essaya tant bien que mal de négocier devant son époux et son frère jumeau dont les sexes étaient déjà au garde à vous. Il était inconcevable qu'elle puisse être la maitresse de son frère. C'était horrible, heurtait ses croyances en l'amour, la fidélité. Elle avait idéalisé Pete et se voyait trahi. Elle était devant eux, nue, avec ses bas blancs et pleurait.

La situation était bien trop excitante pour les deux frères, qui furent fatigués des jérémiades d'Alyson. Ils la baisèrent toute la nuit, se relayèrent. Cela ressemblait surtout à un viol, mais Alyson avait beau se débattre, elle reçut la bite de son époux, mais aussi celle de son jumeau dans la chatte et la bouche. Brian la dépucela du cul, malgré ses cris. Ils la prirent évidemment en doublette, chatte/cul, leur spécialité. Alyson fut inondé de foutre, car les deux frères étaient heureux de se retrouver pour ce grand moment de plaisir.

La situation était des plus bénéfiques pour Pete. Il avait fait un mariage qui assurait son avenir et lui offrait une esclave sexuelle qu'il pouvait partager avec son frère.

Quand ils partirent tous les deux en voyages de noces au Mexique, ils furent hébergés dans un palace à Acapulco. Alyson voulu raisonner Pete et essayer de recoller les morceaux.

Alyson : «  Je devrais te haïr...et pourtant je crois que je t'aime encore... »

Pete : «  Tu es chanceuse ma chérie... (veut plaisanter) deux en même temps... »

Alyson : «  Je t'en prie... »

Les premiers jours, Alyson crut que Pete serait différent. Elle accepta de faire l'amour avec lui. Cette lune de miel commençait à ressembler à beaucoup d'autres. Elle reprenait confiance. Mais, le dernier week-end, Brian vint les rejoindre à l'hôtel. Et, quand Alyson revint de la piscine en maillot de bain, sa gorge se noua en voyant Brian et Pete rigolant ensemble dans la chambre.

Brian : «  L'eau était bonne... On sait comment te faire mouiller... »

C'était le milieu de l'après-midi. Ils tirèrent les rideaux et la baisèrent. Pete avait appris à Alyson a bien le sucer. Elle se devait de faire de même avec son frère. Même s'ils se ressemblaient beaucoup, Alyson, par de petits détails, faisait la différence entre les deux frères. Brian prit son cul, en la bâillonnant avec sa main, car Alyson détestait toujours autant la sodomie, et meuglait comme une truie.

Le voyage de noces se terminait et la dernière nuit à Acapulco se devait d'être inoubliable. Alyson pensait qu'elle serait encore la poupée sexuelle des deux frères, quand après le diner, Brian arriva dans la chambre des jeunes mariées avec une prostituée mexicaine.

Pete : «  Whaouh! »

La pute se mit à sourire. Elle portait une mini-jupe, était plutôt vulgaire, avec une poitrine des plus avantageuses.

Alyson ne comprenait pas.

Pete : «  Ma chérie...plus on est nombreux, plus c'est amusant... »

Brian : «  Elle me rappelle Maria (partie 1), tu ne trouves pas? »

Pete : «  Tu as raison, mais Maria était plus bandante... »

Alyson : «  Qui est Maria? »

Pete : «  C'était la gouvernante de la maison. Elle fut aussi notre nounou. On avait à peine 18 ans quand on l'a baisé. Elle était trop bonne! »

Brian : «  Oui, on la regrette! »

Alyson : «  C'est elle qui vous a perverti! »

Brian et Pete rirent.

Pete : «  Non, on l'a violé et pas qu'une fois! »

Alyson : «  S'il te plait Pete... »

Les deux frères avaient décidé de baiser les deux salopes en miroir. Ainsi, Alyson devait sucer alternativement Pete puis Brian et la même chose pour la pute. Brian et Pete s'amusèrent à leur donner des notes. Alyson et la mexicaine furent prises en levrette au même moment, puis elles devaient chevaucher les deux hommes en même temps. Alyson trouvait des plus humiliants d'être comparée à cette fille, qui était très bien faite et qui faisait du zèle pour avoir un gros pourboire.

Alyson du être tenu fermement quand Pete demanda à la pute de lécher la chatte de la jeune mariée. Jamais, elle n'avait été léchée par une femme. Ce n'était pas désagréable, mais sa moralité protestante s'y opposait, Quand elle a dû à son tour rendre la pareille à la mexicaine, elle refusa. Mais, après quelques fessées et gifles sur les seins, elle a dû obéir. La pute avait bien écarté ses cuisses et appréciait que l'on s'occupe de son minou.

Brian : «  Elle le fait bien? »

La pute (dans un mauvais anglais) : «  Elle peut faire mieux! »

Pete : «  Tu entends chérie?... Appliques toi! »

Brian : «  Sinon, je t'éclate le cul! »

Alyson qui craignait plus que tout la sodomie, s'appliqua et fit jouir la Latina.

Ce qui n'empêcha pas Brian et Pete de violer son anus chacun leur tour, sous les yeux amusés de la puta, qui lui tenait les bras.

Rentrée aux USA, Alyson du s'habitué à être partagée entre les deux frères. Parfois, Pete la trompait et elle le savait. Alyson était très malheureuse et ne pu cacher longtemps sa souffrance à sa mère qui devinait qu'il se passait quelque chose.

Lorsque Margarete, femme droite et d'autorité, apprit ce qui se passait, elle se mit dans une grande colère tout en réconfortant sa fille.

Margarete : «  Nous allons vite régler cela! »

Alyson était retourné chez sa mère. Margarete avait convoqué les deux frères.

Margarete : «  Pete, vous avez trahi ma fille, qui vous aimait. Vous m'avez trahi aussi. Avec votre frère, vous avez abusé... Sexuellement et psychiquement d'Alyson...Je vous maudis... Vous allez divorcer et je vous interdis de revoir ma fille! »

Les deux frères étaient abasourdis. Ils étaient démasqués. Ils avaient peut-être abusé trop durement d'Alyson. Ils partirent de la grande maison, la tête basse.

Mais dans leur voiture.

Pete : «  Cela ne peut pas se terminer comme ça! »

Brian : «  Tu as raison, on va pas se laisser faire! »

Pete : « Elle va appeler un avocat, si ce n'est déjà fait! »

Brian : «  Il faut vite intervenir! »

Pete : «  Tu as une idée... »

Brian (sourit) : «  Oui, le jackpot.. »

Quand le lendemain soir, Margaret revint chez elle, après une journée au tribunal, elle fut étonnée de trouver Pete dans l'entrée.

Pete (sourit) : «  Belle maman, Alyson a donné congés a votre bonne. Il faut que l'on ait une réunion de famille.. »

Margarete : «  Sortez d'ici! »

Pete pris le bras de Margarete et le tordit.

Margaret : «  Aie... Lâchez-moi!!! »

Pete : «  Avancez!... Votre fille nous attend! »

Margarete fut obligé de monter au premier étage de la vaste demeure. Elle fut horrifiée, quand, entrée dans la chambre de sa fille, elle la découvrit nue, les mains et les chevilles attachées aux montants de son lit. Un bâillon lui couvrait la bouche. Brian était assis à côté d'elle, nu et bandait. Il caressait les seins de la jeune salope. Alyson se débattit quand elle vit sa mère.

Brian : « J'adore caresser la femme de mon frère et la baiser est un délice! »

Margarete : «  Arrêtez cela tout de suite, détachez là....je vais appeler la police... »

Pete, qui continuait de tordre le bras de sa belle-mère.

Pete : «  Pourquoi la police?... On est bien tous les quatre! »

Margarete : «  Qu'es ce que vous voulez? »

Pete : «  Rester une famille... Oublions cette histoire de divorce... Vous voyez bien qu'Alyson...elle est bien traitée... »

Brian descendit sa main vers la chatte de la jeune femme. Une chatte rasée et baisée tellement de fois.

Pete : « Maintenant, tu vas gentiment te foutre à poil, belle maman. »

Margarete : «  Salaud.... Jamais ».

Brian enleva la ceinture de son pantalon qu'il avait posé sur sa chaise.

Brian : «  Alyson a vraiment une peau très douce... Quel dommage de la marquer... »

Margaret : « Ne faites pas ça! »

Brian : « A poil!! »

Margaret défiait Brian du regard. Ce fut la chose qu'il ne fallait pas faire. Brian leva sa ceinture et frappa le doux ventre de la jeune salope, qui se cabra en criant.

Margaret : «  Non....!!! »

Puis deux autres coups suivirent.

Margaret : «  Arrêtez!!!!, je ferais tout ce que vous voudrez!!!... Par pitié! »

Brian s'arrêta et sourit.

Brian : « Tu feras tout ce que l'on veut, sinon, on la battra jusqu'au sang! »

Quelques minutes plus tard, Margarete se tenait nue et debout devant Pete et Brian. Elle cachait son sexe avec une main et l'autre essayait de cacher ses seins.

Pete : «  Mains derrière le dos! »

Margarete baissa la tête quand ses mains se joignirent derrière elle.

Elle n'était plus le procureur général de Washington, mais une femme nue qui savait qu'elle allait être baisée de force par son gendre et le frère de celui-ci. C'est sa fille qui était sa seule préoccupation. Margarete était plus grande que sa fille. Blonde comme elle, elle portait bien ses 45 ans et était des plus désirables. Elle avait une poitrine beaucoup plus grosse que celle d'Alyson, et un fessier de femme mûre. Sa chatte était poilue et blonde.

Margarete : « Faites vite si c'est cela que vous voulez! »

Pete : «  Que sais-tu de ce que nous voulons... Va t'asseoir sur le fauteuil... Pose tes cuisses sur les accoudoirs qu'on voit bien ta chatte... C'est bien! »

Brian : « Maintenant, branles toi la moule avec ta main, l'autre sur tes seins. Fermes les yeux et passe ta langue sur tes lèvres... »

Pete sorti son smartphone et commença à prendre des des photos. Margaret s'arrêta net et compris.

Margaret : «  Non, s'il vous plait!!! »

Brian : «  Je crois qu'elle a compris... »

Pete : «  Clair... Imagine le procureur ayant des ambitions politiques... Se branlant la chatte sur le net... Ou... »

Brian s'approcha de la bouche de Margaret et lui tendit sa queue déjà bandée.

Brian : «  Dès que je t'ai vu au mariage de ta fille, j'ai eu envie de te baiser et de connaitre tes lèvres.... Suce! »

Margaret : «  Non s'il vous plait... »

Quand elle vit que Pete allait chercher la ceinture, elle se mis à obéir et suça Brian.

Pete pris des photos.

Pete : «  Tu vois belle-maman... On ne veut pas grand-chose... Seulement rester une famille unie... Pas de divorce... Et en plus, ce n'est plus seulement ta fille qu'on va baiser, mais toi. Vous serez désormais nos petites femmes, un ménage a quatre ... »

Pete s'approcha des cuisses écartées de Margaret, s'agenouilla, écarta les lèvres de sa chatte et la lécha.

Brian : «  Putain, quelle bonne suceuse!!! »

Pete, étonné : «  Mais elle mouille cette salope!! »

Pete enfonça puis retira deux doigts du minou. Ils étaient brillants et les montrèrent à Alyson.

Pete : «  Ta mère est une salope!!! »

Margarete, honteuse, fit non de la tête.

Oui, elle mouillait et ne comprenait pas pourquoi. La situation était horrible et pourtant l'excitait visiblement. Veuve depuis de nombreuses années, Margaret avait tout sacrifié pour sa carrière et sa fille. Terriblement ambitieuse, elle avait mis sa libido de côté. Elle se caressait parfois, mais rarement. Et là, des années de frustration et d'interdits volaient en éclat.

Pete alla détacher Alyson et lui enlever son bâillon. Elle pleurait en voyant sa maman sucer ce salaud de Brian.

Alyson «  Pardonne-moi Maman...!!! »

Margaret sortit la queue de sa bouche et eu juste le temps de lui répondre, avant que Brian lui viola encore ses lèvres : «  Non ma chérie, ce n'est pas ta faute!!! »

Pete approcha sa queue d'Alyson, qui savait ce qu'elle avait à faire. Mère et fille suçaient. Pete et Brian étaient aux anges. Ils changèrent de bouche et se mirent à comparer, en riant.

Le moment de baiser Margaret était venu. Brian la pénétra en levrette pendant elle était contrainte de sucer Pete. Puis ce fut l'inverse, sous les yeux d'Alyson.

Brian : «  Ça rente tout seul, elle coule... »

Pete : «  Bouche ou chatte, c'est une bombasse.... Ta mère est trop bonne ma chérie! »

Puis ce fut le cul de la mère qui fut défoncée. À la différence de sa fille, Margaret semblait bien supporter la sodomie et au contraire s'offrait aux coups de bite profonds et violents de Brian.

Alyson voyait sa mère grimacer et l'entendait crier, mais son intuition lui disait qu'elle prenait aussi du plaisir. Elle ne comprenait pas pourquoi et en était abattu.

Baiser la mère et la fille cette nuit-là fut de plus mémorables pour Brian et Pete. Ils avaient le moyen imparable de faire chanter Margaret. Elle était à eux comme sa fille. Ils n'en doutaient pas une seconde. L'ambition de Margaret l'empêcherait de les dénoncer.

Brian et Pete décidèrent de s'installer quelques mois dans la grande demeure de Margarete. Avec sa fille, elles n'étaient pas prisonnières, mais devaient être sexuellement totalement disponibles et soumises. Alyson voyait ses amis et jouait la comédie du couple épanoui et amoureux. Il fallait donner le change. Margaret avait son travail comme bouée. Elle était très appréciée. Chacun la voyait comme une femme forte et inflexible. On la craignait aussi.

Pourtant, pratiquement chaque soir, dès qu'elle rentrait, elle avait pour ordre de se doucher et d'enfiler des sous-vêtements sexys ou vulgaires, comme sa fille Alyson. Pete et Brian regardaient la TV et se faisaient sucer, les prenaient avant ou après le diner.

L'ignominie eu lieu lorsque Margaret fut contrainte de lécher la chatte de sa fille. Alyson pleura, mais ne put se débattre, car elle avait été attachée. Ils aimaient attacher et tourmenter Alyson, car sa petite taille et son visage d'ange en faisait une victime des plus excitantes. Quand ce fut au tour de la fille de lécher la mère, celle-ci ne put s'empêcher de mouiller comme d'habitude, malgré sa honte.

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