Les Mésaventures de Laurence 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Au ¾, le Maghrébin l'autorise à finir sans la paille, alors Laurence enchaîne, évite de réfléchir, prend une grande inspiration et avale le tout d'une traite. Elle bloque sa respiration pour réprimer les remontées, lutte longuement, puis sentant avoir vaincu son envie de vomir, se détend.

Elle doit après faire place nette, bien aspirer le contenu résiduel de la paille et nettoyer le fond du verre avec ses doigts. Rien ne lui est épargné ce soir.

Sur le chemin du retour, Momo oblige la jeune femme à prendre un petit chemin forestier situé juste derrière la maison de ses parents. Lui ordonnant de mettre le moteur à l'arrêt et de passer sur la banquette arrière, il lui relève brutalement sa mini-jupe et l'encule sans ménagement.

Un quart d'heure plus, Laurence ayant remis ses vêtements initiaux, ils sont de retour au bercail. La fin de nuit est des plus sages, l'Arabe dormant dans la chambre d'amis. La jeune femme, elle, n'arrive pas à trouver le sommeil : il a fait de moi une pute, se dit-elle, une salope de bas étage. Le salaud m'a m'obligé à baiser 10 mecs sur une soirée! Je me dégoûte.

Le samedi se déroule plus tranquillement, Momo se contentant, après le départ des parents, de baiser Laurence dans ses 3 trous dans le lit parental.

En fin de journée, il l'invite à contacter le collègue de son père. Elle devra se montrer suffisamment persuasive pour qu'il vienne la voir le lendemain, chez ses parents, en début d'après-midi. Prétextant la nécessité de le rencontrer pour lui parler d'un dossier personnel, elle parvient à le convaincre. Jacques Dechambre viendra vers 14h, après le repas du midi.

Le dimanche matin se passe sans événement particulier, le Magrébin prenant simplement à nouveau la fille dans le lit de ses parents. Vers 13 heures, il invite Laurence à aller étendre, sur la pelouse du jardin, une simple couverture et à poser un oreiller sur celle-ci. Avant d'entrer un peu plus dans les détails :

- Quand le collègue de ton père viendra, tu le séduiras et tu iras le baiser dans le jardin. Il faut super beau!

Laurence tente de s'y opposer :

- Mais... il y a des trous dans la haie... si des voisins passent... ils me verront et... Momo la coupe alors sèchement :

- Ce n'est pas mon problème! Tu fais ce que je te dis! Je t'avais dit que ce serait un week-end d'adieux inoubliable! Et à propos de trous, tu le feras jouir dans chacun de 3 orifices! Et sans capote! Compris?

Tandis que l'étudiante reste silencieuse, l'Arabe lui tend un paquet :

- Tiens, va enfiler cela! Tu verras comme ça va être facile de l'aguicher avec cette tenue!

La fille ouvre la boîte et y découvre avec stupéfaction un bikini, ou plutôt un micro bikini blanc, tellement petit qu'il va à peine couvrir les aréoles de ses seins tout en dévoilant totalement ses globes fessiers, une simple ficelle séparant ceux-ci. Enfilant le vêtement devant son tourmenteur, elle contemple le résultat obtenu dans le miroir du salon : l'étendue de son corps n'est couverte que par la fine ficelle du string qui sépare ses fesses pour se relier à une mince bretelle autour de ses hanches, et au lien de son haut en travers de son dos. Son cul arrondi et pâle est complètement exposé.

Devant, la blancheur de sa nudité est brisée par les 3 petits triangles couvrant ses points les plus intéressants. Ses beaux seins ont été expulsés, les bouts de tissu reliés par d'étroites lanières ne servant qu'à les souligner. On peut voir leurs courbes tout autour de ceux-ci, qui font ressortir les mamelons, durs et dressés. Elle est éblouissante avec son ventre encore plat et son nombril parfait. Et la minuscule trigone censée cacher son sexe est trop réduite que pour le recouvrir entièrement. Momo, satisfait du résultat, monte à l'étage où l'une des chambres donne sur le jardin. Il pourra donc pleinement profiter du spectacle à venir.

Mais déjà la sonnette retentit. Laurence devient toute rouge. Mon dieu, se dit-elle, si mon père me voyait accueillir son collègue dans cette tenue! Se forçant à sourire, elle ouvre la porte et tente de faire bonne figure à Jacques Dechambre, qui, lui, n'en croit pas ses yeux : la fille de son confrère a bien grandi depuis toutes ses années! Elle est même devenue une splendide jeune femme qui, de surcroît, l'invite à rentrer chez elle en étant quasi nue. Elle le précède, l'emmenant vers le salon. Le regard de l'homme, proche désormais de la soixantaine, se porte sur l'étudiante, qui marche devant lui. Ses globes fessiers chaloupent à mesure de sa démarche, tandis que les côtés de sa poitrine bougent légèrement. Il ne peut s'empêcher de sourire d'un air idiot.

-Je suis contente de vous revoir, Jacques! minaude-t-elle, faussement séductrice, avant de poursuivre :

- Le seul dossier personnel dont je voulais vous parler, c'est qu'en fait, j'ai toujours été attirée par vous et qu'aujourd'hui, je voulais vous le témoigner... Si vous êtes d'accord évidemment...

- B... Bien sûr, Laurence, bégaie-t-il. Tu es tout bonnement splendide!

Se souvenant des consignes de Momo, après lui avoir servi une coupe de champagne, elle fait passer son visiteur dans le jardin. Lentement, face à lui, sachant qu'elle n'a pas d'autre choix, elle passe ses mains derrière son dos, défait lentement le petit lien, faisant tomber le morceau de vêtement et révélant ainsi pleinement ses beaux tétons, parfaitement plissés.

Elle ne prend pas la peine de les couvrir. Elle regarde autour d'elle avec anxiété, de peur du passage d'un voisin, mais il n'y a rien d'autre que le léger murmure du vent. Ses doigts se dirigent alors vers les lanières de chaque côté de ses hanches, dont elle défait les deux sangles. Le string tombe et elle se révèle toute entière dans sa glorieuse nudité.

-- Vous aimez ce que vous voyez? arrive-t-elle à articuler.

Elle n'attend même pas la réponse de M. Dechambre et tombe à genoux devant lui, défait sa braguette et extirpe du pantalon un sexe déjà à moitié raide. Avec toute sa science, elle lui administre une savante fellation, motivée par la crainte d'être vue et décidée dès lors à en finir au plus vite. Moins de 5 minutes plus tard, le vieil homme éjacule dans sa bouche. Elle avale la semence ainsi expulsée et entreprend de nettoyer le gland avec d'habiles petits coups de langue.

Se redressant, tout en continuant à caresser la queue, elle se rapproche de M. Dechambre, tandis que celui-ci commence à toucher sa poitrine, soupesant lentement chaque globe, tirant sur les mamelons et les faisant rouler entre ses doigts. Une nouvelle érection voit ainsi rapidement le jour. Poussant son avantage afin de terminer rapidement les choses, Laurence invite le collègue de son père à s'allonger sur la couverture. Sans plus attendre, elle se positionne au-dessus lui et s'emmanche sur le sexe dressé. Malgré sa sécheresse vaginale résultant d'un manque total de désir, elle réussit à accueillir la queue dans son vagin, avant de monter et descendre sur celle-ci. Pressée d'en finir, elle chevauche l'homme et ondule sensuellement et langoureusement des hanches, tandis qu'il empoigne ses seins et en lèche les bouts. Le résultat ne se fait pas attendre : après 10 minutes, l'homme éjacule dans la chatte de l'étudiante.

Une pause s'impose toutefois, afin de permettre à Dechambre de recharger ses batteries. Elle s'empresse d'aller lui chercher un second verre de champagne et d'entamer une conversation des plus banales, faisant sembler de s'intéresser passionnément à son interlocuteur. Elle a d'ailleurs profité de son retour dans la maison pour embarquer un tube de lubrifiant car elle sait qu'elle va devoir, comme exigé par Momo, lui offrir son cul. Après une nouvelle fellation destinée à revigorer le sexe de son amant du jour, elle se positionne à 4 pattes, s'enduit l'anus de gel et invite le vieil homme à s'introduire par sa « petite porte ».

Ayant déjà éjaculé par 2 fois, le collègue de son père met beaucoup plus de temps à jouir. Laurence est ainsi pilonnée par derrière pendant près d'une demi-heure avant de sentir un liquide chaud envahir son fion.

Ayant fait ce qui lui avait été demandé, elle remet prestement son micro-bikini et raccompagne son visiteur, lui signifiant qu'il s'agissait pour elle de lui faire un beau cadeau, mais que les choses devaient en rester là...

Et M. Dechambre de s'éloigner de la maison, à la fois heureux d'avoir pu profiter des charmes de l'étudiante mais très déçu de ne pouvoir la revoir!

Le soir même, Momo, avant de repartir, tient à honorer une dernière fois Laurence, en la prenant à nouveau par le cul. Au moment du départ, il lui tient une phrase lourde de sens, à la fois rappel des humiliations passées et présentes, mais aussi des humiliations à venir :

- Voilà, ma petite pute! Il est temps de se dire définitivement adieu. Je t'avais promis un dernier week-end en feu d'artifice : tu l'as eu! Imagine un peu : tu t'es fait passer dessus par 12 bites! Et j'ai une autre bonne nouvelle : je sors de ta vie mais je ne voudrais pas que tu restes seule! Une salope comme toi à besoin de beaucoup de queues! Alors, dès lundi, je téléphonerai à M. Dechambre et lui expliquerai, vidéos à l'appui, que tu es toute prête à devenir sa petite chérie dévouée!

Sur ces paroles, le Magrébin s'en va, laissant Laurence liquéfiée par ce qu'elle vient d'entendre. Je ne m'en sortirai jamais, pense-t-elle, sanglotante.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Comment dire... je suis très réactif à cette histoire

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Bonjour ilme semble l avoir déjà lu

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Ce deuxième chapitre avait déjà été publié ?

Je me trompe ?

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Réveil préhistorique Un homme préhistorique intact est retrouvé en Sibérie.
La Punition J'ai bien mérité ma punition.
Gang-bang d'une Femme Riche Une femme riche et mature subit un gang-bang contre son gré.,,
La Belle au Bois Dormant La véritable histoire.
Plus d'histoires