Les Mésaventures de Laurence 02

Informations sur Récit
Une jeune femme tombe dans les griffes de jeunes délinquants.
5k mots
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3
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 6 pièces

Actualisé 08/11/2023
Créé 07/19/2023
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Une nouvelle année s'écoule au rythme des relations sexuelles avec le fils et son père. Désormais âgée de 21 ans, Laurence entame sa troisième année d'études supérieures.

Elle passe la semaine en ville, dans son petit studio, partageant son temps entre ses cours et quelques soirées avec ses amis de la faculté. Un soir, en rentrant d'une sortie au cinéma, elle commet l'erreur de prendre le pré-métro dans un quartier particulièrement mal famé. Il est plus de 23 heures. Elle attend, seule, sur un quai, le dernier transport programmé.

Sur le quai d'en face, tout aussi désert, surgissent soudain 4 jeunes maghrébins. Ils doivent avoir entre 18 et 20 ans.

D'abord calmes, les jeunes arabes commencent à s'intéresser à la jeune femme, vêtue pour l'occasion (nous sommes à la mi-septembre et le temps est splendide) d'une jupe légère, de couleur verte et ornée de fleurs blanches entrelacées. Le chemisier, tout aussi léger, fait partie du même ensemble. Tandis que 2 s'éclipsent, les 2 autres interpellent l'étudiante :

- Bonjour, Mademoiselle, vous êtes seule ce soir? Vous êtes très jolie! Vous voulez venir boire un verre avec nous? Histoire de vous amuser?

Laurence commence à s'angoisser. Elle songe à quitter rapidement le quai. Mais il est déjà trop tard. Les 2 jeunes qui s'étaient éclipsés l'ont déjà rejointe à l'endroit où elle attend patiemment la rame, qui est annoncée dans 20 minutes.

-- Bonsoir, Mademoiselle, vous cherchez un peu de compagnie?

Avant même qu'elle ait pu esquisser une réponse, l'un d'eux, visiblement le plus âgé, a sorti un cran d'arrêt et appuie celui-ci contre le flanc de la fille :

-- Sois gentille et il ne t'arrivera rien! On veut juste s'amuser un peu! Mon pote, Djamel, vient tout juste d'avoir 18 ans et il n'est jamais sorti avec une meuf! Alors on veut juste que tu t'assoies sur ses genoux. Fais-le! Tout de suite!

Terrorisée par l'arme blanche, Laurence s'exécute. Les 2 autres Arabes étant arrivés, elle se retrouve donc assise sur les genoux d'un adolescent qu'elle ne connaît et entourée par 3 autres tout aussi inconnus.

-Tu vas juste montrer à Djamel comment on embrasse, s'il te plaît! Avec la langue...

L'étudiante tente bien d'implorer ses tourmenteurs : - Je vous en prie, j'ai un copain.

Le meneur, le regard dur, la menace clairement : - Tu l'embrasses ou je te plombe!

Vaincue, des larmes coulant sur ses yeux, Laurence obéit et laisse Djamel envahir sa bouche avec sa langue. Le baiser lui paraît durer une éternité.

-Tu vois, ce n'était pas plus difficile que cela!

Djamel s'enhardit et la jeune femme sent soudain 2 mains glisser sous son chemisier et palper ses seins. Elle tente de se dégager mais un nouveau regard du leader l'en dissuade, d'autant que celui-ci exhibe toujours son couteau. Il s'adresse alors à nouveau à Laurence :

- Maintenant que c'est ton nouveau petit ami, tu peux bien le laisser te toucher les miches. D'ailleurs tu vas enlever ton soutien-gorge pour qu'il puisse les tâter. Tu le dégrafes sans ouvrir ton chemisier, comme cela tu garderas ta pudeur, et tu le donnes ensuite à mon pote. En sanglots, se contorsionnant pour éviter de montrer son corps, elle obéit.

Le jeune arbore fièrement le trophée qui vient d'arriver dans sa main, le met dans une poche et, de retour sous le chemisier, entreprend de soupeser la poitrine de Laurence et de pincer ses tétons :

-- Putain, ils sont vachement gros! murmure-t-il à l'adresse du reste de la bande.

-- C'est du combien? du bonnet C? du D? s'enquière le chef.

La femme reste muette.

L'homme renchérit alors : -- Tu ne veux pas nous le dire? Ce n'est pas grave, on va tous vérifier!

Et les 3 autres Arabes de passer, à tour de rôle, leurs mains sous le chemisier, tâtant, pinçant et soupesant la charmante et fière poitrine, désormais sans défense.

D'une voix à peine audible, Laurence, anéantie, murmure : - C'est du C!

- J'en étais sûr! répond, triomphant le leader du gang.

Le calvaire de la fille n'est malheureusement pas fini, car elle sent à présent les mains du jeune homme sur qui elle est assise lui caresser ses fesses.

-- Je ne sens rien avec sa culotte! soupire-t-il.

Le meneur s'adresse à nouveau à Laurence : - T'as entendu! C'est ton copain maintenant : il a donc le droit de te toucher le cul! Enlève ta culotte! Sans remonter ta jupe!

Et sur ces mots, il appuie son cran d'arrêt sur le flanc de la pauvre victime qui, se tortillant pour ne rien dévoiler, n'a d'autre choix que de faire ce qui lui est demandé.

Désormais nue sous ses vêtements, Laurence entend avec horreur le meneur ordonner à ses acolytes de s'arracher du quai, en emmenant avec eux la demoiselle. Solidement encadrée par les 4 jeunes, un couteau dans le bas de son dos, la fille voit également le leader s'emparer de son sac et le fouiller méticuleusement. Il trouve ainsi sa carte d'identité, un peu d'argent liquide, son GSM, l'adresse de son studio et l'adresse de ses parents.

-- T'inquiète, chérie, maintenant qu'on sait où tu habites, on va rapidement te déposer chez toi et tu n'entendras plus jamais parler de nous. D'autant que notre voiture n'est pas loin!

Quelques minutes plus tard, la malheureuse est donc poussée sans ménagement sur la banquette arrière d'une vieille voiture d'occasion. Le chef de bande s'assied au volant, le « petit ami » de Laurence sur le siège passager, tandis qu'elle-même se retrouve au milieu de la banquette, encadrée de chaque côté par les 2 autres Arabes.

-Bon, on va faire les présentations! éructe le meneur. Moi, c'est Momo! Djamel, tu le connais déjà. A ta gauche, c'est Youssef et à ta droite, Djibril. Maintenant, Laurence, il est temps de nous montrer tes gros nichons! Déboutonne ton putain de chemisier et ouvre-le en grand! Sinon, mon pote Youssef va te faire une jolie balafre sur la gueule avec son opinel! Et ledit Youssef d'exhiber immédiatement une lame d'environ 15 cm.

En pleurs, l'étudiante n'a d'autre choix que d'obéir. Tandis que Momo regarde le spectacle ainsi offert dans le rétroviseur, malgré l'obscurité, tout en restant concentré sur la route, les autres ne se gênent pas pour contempler le moindre détail de la poitrine ainsi offerte.

-- On ne voit que dalle! maugrée le chef. Mais ce n'est pas bien grave, on arrive chez elle!

Réussissant à se garer à quelques mètres de l'immeuble de 3 étages où réside Laurence, les Arabes intiment à celle-ci de leur montrer le chemin, d'ouvrir la porte d'entrée principale et, s'engouffrant dans le hall d'entrée, de leur indiquer l'étage où elle habite. L'immeuble, assez vétuste, est occupé par quelques personnes, essentiellement des étudiants.

-Je vis au troisième, articule-t-elle dans un sanglot.

Précédée de Momo et Djibril, elle commence à monter les escaliers, suivie de Youssef et Djamel. Alors qu'il arrive au 2ème, Momo se retourne vers elle et lui donne un ordre qui ne souffre d'aucune contestation : - Donne-moi tes fringues! Qu'on voit enfin tes loches et ton cul dans la lumière!

Laurence, tête basse, sachant que toute protestation risquerait de lui attirer de plus graves ennuis encore, enlève donc ses vêtements et les remet au meneur...

L'étudiante est toujours dans les escaliers, tremblante de peur et d'appréhension, les pointes de ses seins dressées par la honte. Elle monte lentement les marches, les jambes flageolantes, s'arrêtant à chaque bruit.

Se retournant, elle remarque alors Youssef -qui a une vision parfaite de son cul- filmant son ascension à l'aide de son GSM, avant de découvrir que Djibril fait de même, immortalisant pour sa part ses seins et de sa chatte.

Momo se contente de commenter sèchement : - J'en étais sûr! Une petite salope de blanche qui se rase l'abricot pour mieux se faire baisée. T'inquiète : tu vas en avoir de la queue de rebeu! Et plus que tu ne crois!

Déjà ils pénètrent tous dans son petit appartement. Un coin cuisine minuscule et un coin salon qui l'est tout autant débouchent sur une chambre suffisamment grande pour accueillir un lit et un coin douche.

-Allez, salope, allonge-toi sur le lit et écarte tes cuisses : je vais te baiser! ordonne Momo.

Privilège du chef, sans doute, pense-t-elle en son for intérieur. Toute la tristesse du monde semble l'envahir. Elle sait ce qui va se passer, voudrait refuser, mais sait aussi qu'elle n'a aucune échappatoire possible. Alors elle obéit. Elle voit, le regard trouble, le meneur se déshabiller tranquillement. Il vient s'allonger près d'elle. Elle tremble de peur. Se plaçant dans son dos, il la fait se mettre se le coté et lui lève une jambe à l'équerre. Laurence pousse un gémissement de honte lorsque Youssef vient se placer de telle façon à filmer tout. Dans cette position, elle dévoile chacun de ses détails intimes et ferme les yeux lorsqu'elle sent ses nymphes se décoller.

Elle sursaute quand l'Arabe, guidant sa queue d'une main, la promène sur son entaille, le long de ses lèvres vaginales jusqu'à son clitoris. Il remonte ensuite dans son sillon fessier, puis s'arrête devant son petit trou.

-- Non, je vous en prie, pas par-là! implore-t-elle.

Mais avant qu'elle n'ait pu ajouter quoique ce soit, le gland est déjà entré. Elle éclate en sanglots, plus par honte que par douleur. Le sexe du jeune homme est plus fin que ceux de Sébastien et de Raymond. La tenant aux hanches, il se penche sur elle, et fait entrer peu à peu la moitié de sa queue entre les fesses de la jeune femme. Cette dernière souffle pour s'habituer au sexe qui la sodomise.

- Tu l'as dans le cul, salope! s'esclaffe Momo.

Laurence, elle, continue à frissonner de honte lorsqu'elle entend le léger bruit de la caméra du GSM entre ses cuisses. Il doit tout filmer, se dit-elle. Dans cette position, je dois être obscène...

Mais déjà elle sent Momo éjaculer dans ses entrailles. Aussitôt, Djibril le remplace, mais ce dernier choisit la position du missionnaire. Tandis que Laurence est contrainte, à la demande du Magrébin, d'écarter largement les cuisses, ce dernier la lime vigoureusement, ne tardant pas à lui remplir l'utérus. Lui succède Youssef qui, tout comme Momo, a visiblement lui aussi une préférence pour le sexe anal. Pour la 2eme fois de la soirée, la femme est donc enculée, mais cette fois plus longuement. Enfin, pour terminer cette tournante, elle est forcée de tailler une pipe sensuelle et lente à Djamel, son nouveau petit « copain ». Epuisée, l'étudiante gît dans un état second sur son lit.

Elle entend néanmoins les dernières instructions de Momo :

- Ecoute bien, salope! On a tout filmé. Et pendant que tu te faisais défoncer, on a également piraté tous tes contacts GSM. Si tu ne veux pas que tes parents et tes copains soient au courant de tes exploits, tu as intérêt à la boucler et à faire ce qu'on te dit. Tu vas être très gentille avec nous pendant quelques mois. Tu seras présente chaque mardi et chaque jeudi, en soirée, dans ton appartement. Le mardi, Drijbril et moi, on viendra te baiser. Le jeudi, ce sera au tour de Youssef et de Djamel. Que tu le veuilles ou pas, tu es devenue notre pute attitrée! Si tu nous vides bien les couilles, il ne t'arrivera rien! Compris?

Faisant signe de la tête, Laurence acquiesce dans un murmure : - Oui, j'ai compris.

Les mois qui suivent s'écoulent selon une routine principalement axée autour des études et du sexe. Contrainte de baiser 2 hommes chaque mardi et chaque jeudi, sans compter les week-ends avec Sébastien et son père, Laurence est contrainte de satisfaire 6 mâles par semaine.

Il lui reste donc peu de loisirs. Lorsqu'elle a, en journée, des heures d'études, elle se rend en bibliothèque et mémorise ses cours afin d'être prête pour ses examens. Le reste du temps, elle sert de « vide-couilles pour Arabes », comme Momo aime lui rappeler très souvent.

Toutefois, au fil du temps, les visites de ses tourmenteurs se font moins fréquentes : la bande finit par se laisser de son corps, d'autant que Djibril, Djamel et Youssef se sont trouvés des copines régulières, dont ils sont tombés amoureux. Seul Momo, chaque mardi, continue à rendre visite à Laurence et à la baiser régulièrement, dans chacun de ses trous.

Les vacances de Pâques approchent. Dernière ligne droite avant les examens. Ce soir-là, le leader de la bande interroge l'étudiante de manière très précise :

- La fin de l'année scolaire approche. Il est temps de terminer cette histoire en beauté. Premièrement, dis-moi, c'est qui ton voisin de palier?

Et Laurence de répondre, décontenancée : - Je ne sais pas, je l'ai juste croisé une ou deux fois.

-- Il est jeune? poursuit le chef de bande.

Et Laurence de répondre : - Oui, je crois.

-Bien, il est temps de faire sa connaissance. Déshabille-toi et suis-moi.

Bien qu'interloquée, la fille obéit docilement et suit Momo dans le plus simple appareil. Celui-ci frappe immédiatement à la porte du voisin inconnu!

Un asiatique d'environ 25 ans lui ouvre, surpris de trouver cet homme à l'allure scélérate accompagné d'une femme, qu'il identifie comme sa voisine, entièrement nue. Momo ne lui laisse pas le temps de réfléchir.

D'emblée, il l'interpelle : - Elle te plaît? C'est ma meuf! Mais je travaille beaucoup et elle a énormément de besoins sexuels. Bref, je n'ai plus vraiment le temps de la baiser autant que je le voudrais. Cela te dirait, une fois par semaine, le jeudi soir, de te la tirer? Tu pourras lui faire ce que tu voudras : elle est chaude, elle aime la bite et fais tout...

Aussitôt dit, aussitôt conclu entre les 2 hommes : Laurence ira donc « soulager son voisin » chaque jeudi, le « contrat » ainsi passé courant jusqu'à la fin mai, juste avant la date des examens finaux. En guise de témoignage de sa bonne volonté, Laurence a d'ailleurs été contrainte de sucer son nouvel amant sur le pas de la porte. De retour à l'appartement, Momo, non sans l'avoir félicité d'avoir désormais l'occasion de « découvrir une queue de jaune », l'interroge à nouveau très précisément.

Elle a une semaine pour lui fournir la prochaine date de vacances de ses parents ainsi que le nom et le GSM d'un collègue de son père, comme lui employé de banque. La femme s'exécute, de peur que le chef de bande ne mette sa menace à exécution en cas de non-respect des demandes faites : transmettre à tous ses contacts ses exploits sexuels filmés.

Le mardi suivant, après une séance de baise particulièrement « hard » et déplaisante, Laurence donne à Momo les informations sollicitées.

Ses parents ont en effet décidé de partir une semaine (du samedi soir au samedi suivant) en Grèce durant le mois de mai. Elle a également réussi à trouver le GSM du collègue de son père qui travaille dans la même petite agence bancaire. Celui-ci s'appelle Jacques Dechambre et la jeune femme se souvient l'avoir rencontré il y a une dizaine d'années à une fête du personnel. Ado, elle n'avait pas aimé son regard lubrique. Il doit avoir à présent entre 50 et 60 ans.

-Parfait, salope! se contente de répondre Momo. Je viendrai chez tes parents en ta compagnie le vendredi soir. Tu me présenteras comme l'un de tes copains de fac, venu t'aider à préparer tes examens. On va bien s'amuser!

Le week-end tant redouté arrive. Quelque peu surpris par l'allure de Momo, magrébin de surcroît, les parents ne font toutefois aucune remarque. Le repas du soir se déroule relativement bien, Laurence entretenant la conversation, tandis que son « copain de fac » assure le service minimum, notamment en remerciant sournoisement, et en affichant un léger sourie, ses hôtes de lui permettre de dormir dans la chambre d'amis.

Empruntant la voiture paternelle -comme Momo l'a exigé- en prétextant d'aller boire un verre en ville pour faire découvrir celle-ci, la jeune femme se retrouve dans un bar lounge assez populaire. L'Arabe l'a toutefois obligée à prendre des vêtements dans un sac et à se changer durant le trajet. Alors qu'elle était vêtue fort sagement devant ses parents, elle se retrouve désormais habillée d'une mini-jupe ultra-courte et d'un débardeur blanc légèrement transparent. Le port de tout sous-vêtement lui ayant été interdit, sa grosse poitrine et ses tétons sont plus que visibles! Fort heureusement, se dit-elle, elle ne rencontre personne de ses connaissances dans le café tamisé. La soirée se passe sans difficulté majeure. Vers 23h, alors que l'ambiance bat son plein, le chef de bande sort de sa poche une dizaine de préservatifs :

-- C'est pour toi, salope! Tu vas les remplir! Tous! Tu vas aller te lever des mecs et tu vas aller les baiser dans les chiottes. Tu peux les sucer pour les mettre en forme, mais ils doivent absolument te baiser. Ils peuvent bien sûr te tripoter ou t'embrasser. Et n'oublie pas, à la fin, de me ramener les 10 capotes pleines de foutre!

Incrédule face à la demande qui lui est faite, Laurence se lève, telle une automate avant, quelques minutes plus tard, de se rendre aux toilettes avec un premier mâle. Celui-ci dégage une odeur de bière et de transpiration.

Désormais enfermé avec la fille dans les WC « hommes », il baisse son pantalon et son boxer. L'étudiante commence à caresser sa queue tandis qu'il la déshabille complètement. L'effet est immédiat et sa bite devient assez dure pour qu'elle puisse lui enfiler le préservatif. Laurence se met à 4 pattes au-dessus de la cuvette et lui offre son sexe en l'invitant à venir. Il la pénètre d'un grand coup, un minimum de préliminaire semblant être le cadet de ses soucis. Il la laboure à grand coup désordonnés, quelques allers-retours suffisant pour le faire jouir. La jeune femme récupère la capote, la ferme et la remet dans son sac.

A peine sortie des toilettes, Laurence, en mode zombie, retourne au bar pour lever un autre client. La capote en place, elle se met en position de levrette mais l'homme veut qu'elle s'allonge le dos sur la cuvette. En relevant ses jambes pour la pénétrer il lui écrase les seins. Il la pistonne avec lenteur, s'occupe de ses seins, les malaxe généreusement et lui offre de nombreuses pelles baveuses et sentant l'alcool. Il se vide enfin dans la chatte de la fille et, se rhabillant, sort des WC sans mot dire.

Le 3ème est un jeune homme de l'âge de Laurence, grand, musclé, qui a rejoint le bar quelques minutes auparavant, remarquant sûrement son manège. Sa tête est par contre toute petite au regard de sa carrure. Il est bien membré et bande déjà comme un porc à peine arrivé aux toilettes. Il la prend debout contre le mur, la bourre sans ménagement en la soulevant un peu à chaque coup de reins, et la laissant retomber lourdement le long de sa verge. Il est rude, ses assauts sont violents. Il continue sa besogne au même rythme. Cela lui prend encore un long moment avant d'éjaculer au plus profond du sexe de la jeune femme pour tout lâcher dans la capote. Il se rhabille et sort, laissant Laurence assise sur les chiottes, le préservatif à ses pieds. Après 2 heures de calvaire, elle revient enfin près de Momo, qui est toujours assis à la même table. Ne lui laissant pas le temps s'asseoir, il lui intime d'aller immédiatement demander au bar un grand verre vide avec des glaçons et une paille. Elle s'exécute, sans vraiment comprendre.

Revenue à table, elle voit alors le chef de bande fouiller son sac et sortir, une à une, les 10 capotes, les défaire puis verser leur contenu dans le verre. Un mélange de différentes teintes de blanc, aux épaisseurs variées, aux textures parfois grumeleuses s'accumule dans le verre : la vue écœure Laurence. Momo prend ensuite la paille, touille la mixture, lève le verre, le contemple et le scrute d'un œil faussement expert :

- Voilà un bon cocktail pour une salope. Bois tout, sac à foutre!

Une 1ere aspiration et un liquide un peu pâteux, au goût acide, voire aigre, envahit la bouche de la fille, qui a un mal fou à déglutir. Chaque aspiration lui demande un effort surhumain, surtout qu'à chaque fois la quantité de mixture avalée est assez faible, le verre ne se vidant pas rapidement.

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