Les malheurs de Clotilde Ch. 19

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Malgré sa haine pour sa sœur, Ninon fait une adorable fellation à Boris, ne lâchant pas son regard, faisant tourner sa langue agile, le faisant rentrer dans sa gorge. Comme ils le lui ont appris à force de coups, la belle prof garde les mains dans son dos tout le long de la pipe. Jusque à ce que le gros homme lui ordonne :

- Sur ton visage!

Alors elle sort le sexe enduit de salive de sa cavité buccale, elle l'attrape d'une main, dirige le gland vers son visage, et le branle énergiquement, comme il aime.

- Contre ton front!

Elle colle son front au gland, tout en le branlant. Quand il gémit, le sperme s'écrase contre elle, coulant sur tout son visage quand la bite s'éloigne. Mais il est encore dure. Elle comprend que ce n'est pas fini.

En effet l'homme se dirige vers le lit, s'allonge dessus.

- Je peux encore vous satisfaire, maître? Je ne serais que trop heureuse d'enfoncer votre bite majestueuse dans un de mes trous de salope!

- Oui, sur moi, de face, bite dans le cul.

Toujours le sourire aux lèvres, Ninon monte sur le lit, enjambant le gros homme. Elle saisit son sexe bandé, et s'enfonce analement dessus. Elle ne grimace pas lors de la pénétration douloureuse. Elle se met à se violer sur l'engin qui l'étire douloureusement, feignant le plaisir. Seules ses larmes prouvent qu'elle déteste cela.

Quand il jouit en elle, Ninon ne se retire que quand il tape sa cuisse. Elle s'agenouille près de lui, sans qu'il ne lui dise rien, elle nettoie les gouttes de sperme qui ont couler de son anus, sur le ventre masculin. Puis elle suce la bite pour la nettoyer.

- Pas mal. Reste juste à apprendre à ne pas pleurer, et tu seras parfaite. Quand je bande bien, tu remontes sur moi et tu t'empales vaginalement.

Ninon continue à le sucer, n'espérant qu'une chose, qu'après cela, elle soit tranquille. Elle ignore que ses quatre kidnappeurs viendront la visiter ensuite, ensemble.

Moi :

Dix jours que Greg, Meyer et Jérôme sont revenus. Dix jours d'enfer. Dix jours de viols. Dix jours de coups. J'ai cédée, je fais ce que l'on me dis. Je quémande pour les sucer. Je souris quand on me baise. Je simule quand on m'encule. Je crie de plaisir quand on me viole à deux. D'un plaisir que je ne ressens pas, que je ne ressentirais plus jamais. Avec Géraldine, ils m'ont appris à lécher une femme, à nettoyer la semence qui coule de ses orifices. Je lèche des culs à la demande. Je suis une chienne. Ils pensent que je ne suis plus rien. C'est vrai. En partie. Je n'attends qu'une chose, avoir une occasion de m'échapper. La saisir. Ne pas la laisser passer.

Emma :

Avec son père, ils ne sont pas loin de chez eux, de leurs ville. Là, garé dans un coin perdu, elle le suce. C'est le troisième arrêt depuis leurs départ. Au premier arrêt, il a mis une serviette sur le siège avant, puis il l'a fait le baiser, jouissant dans sa chatte. Il ne l'a pas laissé s'essuyer. La serviette c'est pour cela, que sa semence qui dégouline d'elle, ne salisse pas le siège. Qu'elle sa propre fille soit salit par ce viol incestueux, il s'en fout.

Au deuxième arrêt, c'est par l'anus qu'elle a dut s'empaler sur lui. Là, encore interdiction qu'elle s'essuie. Le sperme paternel s'écoulant doucement de son orifice forcé. Le chemin s'est pratiquement fait en silence. Une petite conversation n'ayant lieu que quand Emma à demander à son père :

- Père, votre chienne peut vous poser une question?

- Tu peux salope.

- Maman sera à la maison?

- Non, elle est au Brésil. Dans une zone blanche. Un très gros contrat que son cabinet a eu. Une ville entière est créé là-bas. Elle doit s'occuper d'un quartier entier. Elle ne reviendra que dans deux ou trois semaines.

- OK. Quand elle sera là, vous continuerez?

- Je vais continuer quoi?

- À me...

Emma cherche les mots adéquat. Elle ne veut pas risquer une punition.

- Ben à me faire l'amour. Que ce soit par devant ou par derrière. À me laisser sucer votre sexe, boire votre urine.

- En gros tu veux savoir si tu vas pouvoir continuer à être la salope que tu es?

- Oui, c'est cela père. Cette putain aura-t-elle l'honneur de continuer à être votre salope?

Jeff sourit, elle est vraiment sous contrôle.

- Je viendrais te voir toute les nuits. Je te prendrais dès que l'on sera seul. J'ai également un ami qui peut me prêter un studio où l'on se retrouvera deux heures par jours minimum. Il faudra que tu sois gentille avec lui, une nuit par semaine, dans son appartement. Tu diras à ta mère que tu vas dormir chez une amie.

- Merci père.

- Mais n'oublie pas, si tu parles de quoi que ce soit à ta maman, je la tue. Ensuite Boris nous fera sortir du pays. Là, tu devras vendre ton corps à l'abattage pour que l'on ait du fric. Donc un conseil ferme ta gueule.

- Votre chienne ne dira rien, père. J'aime trop votre bite en moi pour dire quoi que ce soit. J'en ai besoin.

- Bonne pute.

Pratiquement plus rien ne fut dit jusque à cette dernière pipe avant leurs arrivée à leurs domicile.

Ninon :

Ninon est couchée sur le ventre, sur son lit. L'homme au-dessus d'elle, la bite enfoncée dans ses reins, se vide enfin. C'est son septième client de la journée. Depuis qu'elle a cédée, ils ont fait d'elle une pute. Elle connaît son tarif, cent-cinquante euros pour une heure. Éjaculation à volonté pendant ce laps de temps. Tout ses trous accessible sans suppléments. Sauf avis contraire du client, elle doit simuler, sourire.

Sa journée depuis qu'elle fait la putain, se fait toujours au même rythme. De midi à six heures du matin, elle reçoit des clients, seul ou à plusieurs. Heureusement, la plupart du temps ils ne passent que par un. De six heures à onze heures trente, elle peut dormir. De onze heures trente à midi, elle peut manger. Son seul repas de la journée.

Après chaque client, elle a quinze minutes pour se laver, se remaquiller. Quand elle n'a pas de clients, ce sont ses kidnappeurs, dont elle ne connaît même pas les prénoms ou Boris qui viennent la prendre. Souvent les cinq à la fois.

Ninon ne se rebelle plus. Ce qu'elle subit la dégoûte toujours autant, lui fait toujours aussi mal, surtout la sodomie. Mais elle simule et sourit. Tout pour ne plus être punie... Ninon s'est toujours considérée comme une femme libre, une femme forte. Maintenant elle est brisée. Elle est devenue une putain, se laissant prendre par tout les hommes qui paient pour ça. Ils l'ont même forcée à démissionner de son poste de prof, elle n'a pas protestée. Comprenant pourtant, que pour le reste de sa vie, elle ne va plus qu'être une putain...

Emma :

Après qu'elle est avalée le sperme dans sa bouche, son père lui donne une autre robe, aussi pute que la première, encore plus courte, mais propre. La différence ne se verra pas tant qu'elle reste assise dans la voiture, par contre une fois debout, on pourra voir le bas de ses fesses. Mais pour l'instant Emma ne le sait pas. Il lui tend aussi un paquet de lingettes bébé.

- Il faut que tu présentes bien. Je n'ai pas envie que les gens du quartier voient la sale pute tachée de sperme que tu es.

Emma ne répond pas, pourtant la remarque de son père la blesse. Oui, elle n'est plus qu'une pute, la putain à son papa.

Ce qui fait le plus peur à Emma, c'est le retour de sa mère. Elle est presque soulagée qu'elle ne soit pas là. Elle va avoir honte devant-elle. Honte que son père trompe sa maman qu'elle aime tant avec elle. Mais si c'est de l'inceste forcé, Emma se sent sale envers sa mère. Surtout qu'elle ne pourra jamais rien lui dire des viols que lui fais subir son père, ce serait trop dangereux.

Quand ils arrivent chez eux, Emma panique, la lumière est allumée dans le salon.

- Il y a quelqu'un? Maman est là?

- Non, je te l'ai dit, elle est au Brésil. Ce doit-être ton grand-père et ton oncle. J'ai demandé qu'ils s'occupent de la maison pendant notre séjour en amoureux.

- Ils savent?

Jeff rigole :

- Heureusement que tu es très belle et que tu es une bonne salope, car autrement, tu es vraiment très conne. Non, ils ne savent pas. Ta mère étant partie pour le boulot, et toi en colonie, j'ai dit que je partais pour le travail moi aussi. Je leurs ai demandé de venir voir la maison de temps en temps. Je les aient appelé ce matin, pour leurs dire que l'on feraient tous un bon repas pour notre retour, pour les remercier de s'être occupés de la maison.

Emma réfléchit pour bien répondre. Si elle se manque, il peut la punir de bien des manières, surtout sexuellement... après le départ de son oncle et de son grand-père. Il aura tout le temps.

- Vous avez raison père, heureusement que je suis une belle salope, car sinon je suis vraiment idiote.

La jeune fille descend de voiture une fois que son père est garé. Elle se rend compte que la robe cache à peine son sexe et pas le bas de ses fesses. La honte la submerge encore plus, quand elle comprend que son oncle et son grand-père vont la voire dans cette tenue de salope...

Moi :

Je suis à quatre pattes sur le lit. Derrière-moi, Greg me sodomise depuis de longues minutes. J'ai mal, putain ce que j'ai mal. Il ne me voit pas le visage, donc je n'ai pas à sourire, c'est déjà ça. J'ai envie de crier de douleur, pourtant, au lieu de cela...

- Putain! C'est bon! Vas-y éclate moi le cul!

- Tu aimes quand je t'encule?

- J'adore, monsieur. Allez-y plus fort!

- Comme tu veux...

Le chien, il le fait. Il me défonce encore plus fort.

- Comme ça! Oui... comme ça!!!

Il ne va plus tarder, tant mieux. D'ailleurs, il donne encore quelques coups de reins encore plus fort, qui me font gémir, puis il se fiche en moi. Je grogne en sentant son liquide assassin envahir mes entrailles.

Quand il a fini, je le sens se retirer, s'allonger sur le lit. Restant à quatre pattes, je me retourne. J'avance vers lui, je gobe son sexe semi-dur. Je le nettoie dans ma bouche, le goût infect de mes entrailles m'envahit. Je ne m'habituerais jamais.

- Voilà, tu es enfin une vraie putain bien professionnelle...

Il pousse ma tête en mettant sa main sur mon front, signe que mon nettoyage est fini.

- Merci, monsieur.

- Tu m'a tutoyer à plusieurs reprises quand je t'ai enculer, mais c'est autoriser quand on te prends. C'est même recommandé. Par contre si tu le fais à un autre moment...

Greg réfléchit à ce qu'il va me dire. Il garde le silence. Comme ils me l'ont appris, je garde la tête baissée, regardant le matelas. Une chienne ne doit pas regarder un homme, encore moins dans les yeux, sauf si il la baise ou le lui demande. Une chienne doit savoir ce qui est sa vrai place. Ils m'ont tellement fait mal pour que j'apprenne cela aussi, que c'est devenu comme une seconde nature. J'ai bien appris leurs leçons, je les appliquent. Mais je reste sur mes gardes, à un moment ils feront une erreur, à moi de la saisir.

Emma :

Ils entrent dans le salon, la télé est allumée. C'est un documentaire, l'image est sur pause. Son père la regarde :

- Chérie, je suis vanné, cela te dérange si je vais prendre un bain en premier?

La jeune majeure de tout juste dix-huit ans va pour lui répondre : « Non, cette chienne est faîtes pour vos désirs. Elle se lavera quand vous le lui dîtes. ». Elle se rattrape au dernier moment :

- Non papa, cela ne me dérange pas. Je reste avec tonton et papy en attendant.

Les deux hommes se sont remis dans le canapé trois place en face de la télé. Un de chaque côté, Emma va s'asseoir entre-eux deux. Elle espère qu'ils ne verront pas qu'elle ne porte pas de culotte quand elle s'assoit. Son grand-père lui fait le résumé, avant de remettre le documentaire en route :

- C'est sur l'inceste. Tu vas voir, c'est hallucinant.

Quand elle entend le mot « inceste », Emma se crispe. Elle a envie de leurs dire que son père la viole depuis des jours. Qu'il l'a offerte à d'autres. Elle sait que son tonton et son papy la protégerons, ferons quelque chose, voir qu'ils casseront la gueule à son père. Mais elle sait aussi qu'il y a Boris, que lui la retrouvera, et là, ce qu'elle a vécu pendant son séjour là-bas, lui paraîtra bien dérisoire à côté de ce qu'il lui fera alors vivre. Désespérée, Emma ne dit rien, se retenant de pleurer.

Ninon :

Plusieurs jours de prostitutions plus tard, Ninon se réveille à son heure habituelle. Cette fois, quand la porte s'ouvre, il n'y a que ses quatre kidnappeurs.

- La pute, on va bouger. Tu es bien dressée maintenant, je ne pense pas que tu nous fasse chier. J'ai raison?

- Oui, monsieur. Je serais une bonne salope pour vous quatre.

- Bien on va rentrer chez toi. Mais avant on fera plusieurs arrêts dans des bordels. Tu y feras la pute un jour ou deux. Histoire que tu ne perde pas la main.

- D'accord monsieur. Je serais une bonne putain aussi.

- J'espère pour toi. Tu as vu ce qu'il arrive aux chiennes qui ne sont pas gentille?

- J'ai vu monsieur. Vous n'aurez pas de problèmes avec ça.

- J'espère pour toi.

Il lui lance une robe.

- Mets-là, tu ne vas pas voyager nue.

La robe couvre à peine ses atouts. Mais c'est beaucoup plus que ce qu'elle a portée depuis son enlèvement, c'est à dire rien.

Emma :

Emma est horrifiée par les commentaires de son oncle et de son grand-père. Tout au long des interviews de différentes victimes d'inceste, ils n'arrêtent pas dire des trucs dans le style « toutes des salopes »... Pour eux c'est toujours la faute de la fille, si elle se fait violer par un père, un frère, ou tout autre membre de la famille. Elle sait que c'est faux, que le pervers c'est l'agresseur, pas l'agressée. Que, comme ils disent, la victime se pavane en petite tenue, voir presque à poils, qu'elle titille les mâles de sa famille, les excitent, les allument. Qu'après il ne faut pas s'étonner si elle y passe.

Puis son papy lui pose une question :

- Tu es d'accord avec nous, Emma?

Elle ne sait pas quoi répondre. Puis elle se dit que eux deux, ne font pas partie des hommes à qui elle doit le plus grand respect, comme son père le lui a appris de force.

- Non... pas du tout. La grande majorité des cas d'incestes sont des viols. À la limite, dans quelques cas, un cousin et une cousine, voir un frère et une sœur qui se découvrent.... c'est peut-être... de rare fois, consentis, mais le reste...

Son grand-père lui sourit :

- Moi je comprends qu'un père qui voit sa fille chez lui, sans dessous, habillée courte... chatte apparente, tétons apparent cède à la tentation. Ce n'est pas sa faute à lui, mais de la salope qui l'allume à longueur de journée, son corps disant, demandant: « Baise-moi! ».

Son oncle enchérit :

- Regarde, ton cas, ton père ne t'a jamais baisée?

Emma tressaille, met du temps à répondre.

- Hein, Emma, il ne t'a jamais baisée?

Elle répond du bout des lèvres :

- Non... jamais...

- Tu mets bien une culotte et des soutiens-gorges quand tu es chez toi?

- Oui...

Son grand-père intervient dans cette conversation que Emma trouve très glauque.

- Menteuse, je vois tes tétons à travers ta robe!

- Mais...

- Tu as envie que ton père te baise? C'est cela?

- Non... papy...

- Tu veux allumer ton oncle et ton grand-père alors?

- Tonton... non!

- Je parie que tu ne portes pas de culotte non plus!

Son grand-père remonte sa robe courte, dévoilant sa chatte où coure un fin duvet de poils blonds, juste en dessous du tatouage.

- La salope, j'en étais certain! Tu es une putain d'allumeuse, je l'ai toujours su!

- Tu es tatouée? Juste au-dessus de la chatte en plus?

Emma ne répond pas, trop occupée a essayer de baisser sa robe. Son oncle lui écarte les cuisse, dévoilant son sexe tout rose.

- Tu as un piercing? Sur le clito? Sous tes faux airs de sainte-nitouche, tu es une belle salope, en fait!

Les mots de son grand-père la blesse, surtout que pour elle, il a raison.

- Ton père te baise, c'est ça?

Emma n'a pas le temps de répondre. Son père vient d'entrer dans la pièce. Nu. Il répond pour elle :

- Oui, elle me suce et je l'encule aussi. Et elle me fait des tas d'autres choses.

Emma baisse les yeux, les larmes commencent à couler. Son père enchérit:

- Les gars vous le savez bien, vous voulez la torturer mentalement en plus?

Le grand-père d'Emma en rigole encore une fois :

- On c'est juste amusés un peu en t'attendant.

- Bien, vous allez voir, ma fille est un putain de bon coup. Emma, à poils!

Emma regarde son père, horrifiée, toute la misère du monde dans les yeux. Après son père, voici que son oncle et son grand-père vont aussi la violer...

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7 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Cru comme je les aime

liviolheureliviolheureil y a plus d’un anAuteur

merci pour vos commentaires. anonyme pour te répondre, c'est exactement ce que j'essaie de retranscrire, un texte qui colle à la réalité. Attention, je ne dénigre pas les autres, où les filles aiment cela, j'en suis moi-même un lecteur fan de ces textes. Mais dans les miens j'essaie de montrer une autre face, plus proche de ce qu'il se passe en vrai.

Sinon, la série n'est pas arrêtée. D'abord il y a eut un bug avec le chapitre 20, je l'ai envoyé mais il a sauté. Ensuite, j'ai eus beaucoup trop de boulot avec les fêtes de noël pour trouver le temps de le renvoyer. Ensuite, maintenant je suis en vacances et mon texte se trouve chez moi en France, et moi à l'étranger. J'envoie la suite dès mon retour. Mais pas de soucis, j'ai déjà écris la fin, il n'y a plus qu'à faire paraître.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

La série est-elle arrêtée ?

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Je crois avoir compris pourquoi ce texte semble si violent. Il y en a des tas, sur ce site, des textes de viols et de prostitution forcée. La différence est que ici, le texte ne prétend pas que les filles finissent pas aimer ça. Il ne prétend pas que la soumission est innée, mais montre la brisure. L'horreur psychologique n'est pas cachée par un "gentil viol parce que dans le fond elle aime ça". En soi, c'est peut être un des textes les plus sains... Il ne déforme pas le dégoût de l'acte.

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