Les malheurs de Clotilde Ch. 20

Informations sur Récit
Attention texte violent.
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3

Partie 20 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir je ne fais aucunement l'apologie de la violence, ni d'ailleurs l'apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j'approuve et soutien complètement. Ce n'est même pas le résultat d'un fantasme, juste une histoire que j'ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l'Ouest. D'ailleurs, l'afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d'Europe accueillant des réfugiées, n'est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n'en parle pas, alors tout le monde s'en moque... Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.

Assurez vous donc d'aimer ce type d'histoire, d'avoir le cœur bien accrocher. C'est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n'y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.

Clotilde : Victime principale de cette histoire. Trente-deux ans. Blonde aux yeux verts, elle a de gros seins : 80 bonnet E. Mince, avec une chute de reins très prononcés, mettant en valeur un petit cul bombé, en forme de cœur, aux fesses fermes.

Ninon: Vingt-trois ans. Blonde aux yeux bleus. Un vrai canon aux gros seins et au cul d'enfer. Ninon à presque le même corps que Clotilde.

Emma : Dix-huit ans. Blonde aux yeux verts. Elle est le sosie de Clotilde aussi bien de visage que de corps, mais avec quinze ans de moins. Ainsi que des seins aussi gros, un cul aussi beau, mais le tout avec la fermeté de sa jeunesse.

Géraldine : Rousse aux yeux marrons, vingt-quatre ans. Seins 90 B, un joli corps. C'est une belle infirmière qui s'occupe de Clotilde à l'hôpital.

Greg et Meyer : Collègues de travail de Clotilde. C'est eux qui la viole et en font leurs esclave en premier.

Jérôme : Ami de Greg et tourmenteur de Clotilde.

L'américain : Chirurgien travaillant pour une mystérieuse organisation. C'est lui qui s'occupe de Clotilde pour la remettre en état.

Pierre : Frère de Clotilde, qui l'a agressée sexuellement quand Greg la lui a offert.

Jeff : Mari de Clotilde et père d'Emma. Il viole et dépucelle sa fille.

Boris : Directeur d'un hôtel de passe, appartenant à la mystérieuse organisation.

Ninon :

Elle vient de partir, avec ses quatre kidnappeurs. Ils roulent dans un van, elle est à l'arrière avec trois d'entre eux. Ils passent le temps en la violant. Ils font de nombreux arrêts pour changer de chauffeur, afin que celui qui conduit ai le temps de la prendre. Ninon n'a aucune idée de l'endroit où ils vont, mais une seul certitude, ses viols y continueront. Alors au fond du désespoir, la belle professeure ne peut faire qu'une chose, pleurer.

Moi :

Depuis cet après-midi, quinze heures, je suis de retour chez Greg. Avec bien entendu, Meyer et Jérôme. Comme toujours, ils m'ont baisée et enculée toute la journée, jusque à dix-neuf heures. La seule différence avec les autres fois, c'est que j'ai souris, simulé, demandé... Par contre là, il me font me doucher. Je dois me laver entre deux sodomie de leurs part. Quand les trois m'ont bien enculée, je dois me faire un lavement. Je n'aime pas trop ça, mais j'obéis. Si je n'ai plus de marques des coups que j'ai reçu durant « mon dressage », je porte les stigmates des brûlures de clopes et de certains coups de fouets. Mais c'est cicatrisé, cela me rappelle juste le cauchemar que j'ai vécu, que je vis encore, et que je risque de vivre encore longtemps.

Ensuite, ils me font me coiffée, me maquiller. Je ne sais pas ce qu'ils mijotent, mais cela ne sera pas agréable pour moi. J'espère qu'il n'y aura juste que du sexe. Je me demande où j'en suis arrivée, pour trouver que des viols soient des choses douces par rapport à ce qu'il pourrait m'arriver. Greg me tend un morceau de tissu.

- Mets cette robe, tu ne porteras que cela ce soir.

Je la prends, je n'appellerait pas cela une robe. C'est très prés du corps, il y a des bretelles accrochées à une mince bande de tissu horizontale qui ne cache que mes aréoles et mes tétons, puis une autre bande de tissu fine, verticale, qui tombe sur une autre bande fine et verticale de tissu, qui ne cache que mon sexe et ma raie culière, le reste étant offert à la vue de tous. Je dois également porter de long talons-aiguille, qui accentue encore plus ma chute de reins déjà très cambrés, mettant encore plus en valeur mon cul.

- Tu vas rencontrer ton premier vrai client. Comporte-toi bien. Les dix premiers seront là pour te tester. Ils devront faire un rapport, en échange ils ne paient que le tiers de ce qu'ils paieront ensuite. Ce n'est pas la peine que je te précise ce qu'il t'attend si il n'est pas satisfait.

- Non, monsieur, ce n'est pas la peine.

Je le sais, je ne sais que trop bien... hélas... ça y est, j'entame officiellement ma vie de putain. Mais je suis bien loin de savoir ce qui m'attend réellement par la suite...

Emma :

La jeune fille de dix-huit ans pleure toutes les larmes de son corps. Elle est à quatre pattes sur le canapé. Son grand-père lui défonce la chatte, alors qu'elle suce son oncle. Son enfer incestueux c'est multiplié par trois d'un coup. Jusque à présent il y avait juste son père, maintenant il y a son tonton et son papy...

Aucun des deux ne lui fait de cadeau, son oncle, enfoncé dans sa gorge, lui baise le visage. Son ventre frappe contre son nez, ses bourses contre son menton. Derrière-elle, son grand-père n'est pas en reste, il défonce sa petite chatte comme un fou, se moquant du mal qu'il peut faire à sa petite-fille. Emma ne le voit pas, mais son père filme le trio incestueux. Cela le fait bander comme un taureau. Après eux, ce sera son tour. Il compte bien lui casser le cul. Ensuite, sa fille pourra montrer aux deux hommes qui la viole en ce moment, tout ce qu'elle a apprit pendant son séjour chez Boris.

Moi :

Pour une fois, Greg ne me baise pas pendant le trajet de trente minutes jusque à mon premier client. Il habite une grande villa. Il y a un gardien à l'entrée, travers les grilles, j'en vois plusieurs qui patrouille dans le parc autour de la villa. Je ne sais pas qui est cet homme, mais il est protégé. J'ai imaginée que c'est de chez lui que j'aurais l'occasion de m'enfuir, voir que c'est impossible me déçoit au plus haut point. Il s'arrête à la guérite, donne son prénom au garde qui s'y trouve. Ce dernier sourit, son sourire s'épanouit en me regardant. Puis il dit à Greg :

- Monsieur vous attend.

Le grille s'ouvre, Greg démarre et entre. Il se gare devant l'entrée de la gigantesque villa. Elle doit valoir des dizaines de millions.

- On descend.

J'ouvre ma portière et attend Greg. Comme il m'a apprit à le faire, je marche derrière-lui, tête baissée, histoire de montrer à tous que je ne suis pas une de ces femelles qui pensent être l'égal des hommes.

Puis je me dis « Mon dieu, comment je peux penser cela??? Mon conditionnement va bien au-delà que ce que j'ai crus. À peine sommes nous derrière la porte, qu'elle s'ouvre. Un majordome la tient ouverte.

- Bonjour monsieur, bienvenu.

Il ne me salue pas, me regardant avec dédain, comme si je ne suis rien. C'est cela, je ne suis plus rien, juste des orifices pour mes violeurs, juste une putain pour les autres, je commence à m'en rendre compte... Pas pour mes violeurs, cela fait longtemps que je le sais... mais le regard des autres... des hommes lambda comme le garde ou le majordome... mon dieu, cela me fait plus de mal que je ne le pensais...

- Splendide.

Une voix de stentor vient de retentir. Je jette juste un coup d'œil sur la personne qui vient de parler, puis je baisse de nouveau les yeux, dans une posture soumise. C'est un émir, il est grand, musclé.

- Elle est encore plus bandante que Siobanne, c'est dire.

Je pense que Siobanne est une autre des putes de Greg. Je suis persuadée de ne pas être la première à être traitée de la sorte. Ce monstre fait trop bien ce qu'il fait pour être un novice. Mais j'espère vraiment me tromper.

- Cinq cent euros la nuit, pour elle, c'est vraiment pas cher!

Je fais rapidement le calcul, si Greg ne fais payer qu'un tiers de ce que je vaux, cela veut dire que pour eux, une nuit avec moi équivaut à 1500 euros... C'est donc cela ma valeur, mon prix? 1500 balles pour une nuit? Je ne suis donc plus qu'une marchandise? Qu'une poupée de chair que l'on loue?

- Elle a trente-deux ans, c'est beaucoup plus âgé que les putes habituelle, donc le boss ne veut pas prendre trop cher. Surtout qu'à priori, elle n'est pas destinée seulement à être une pute.

D'un côté cela me rassure de savoir que je ne ferais pas tout le temps la pute, mais d'un autre côté, je me demande quel sort il me réserve...

Je n'ai pas le temps de m'appesantir là-dessus. Il s'approche de moi, il passe sa main sous ma robe.

- Pas de culotte, j'apprécie.

Je gémis d'un plaisir simulé quand un de ses doigts me pénètre. Là, je le regarde dans les yeux. Encore une fois, mon dressage, mon conditionnement marche bien. Si je ne dois pas regarder un homme la plupart du temps, je dois le faire quand il pénètre un de mes orifices. Que ce soit avec sa bite, ses doigts ou un objet. Sauf ordre contraire bien entendu.

- Elle a la chatte bien serrée, j'aime ça, elle va être une bonne baise.

Son doigt se retire, sa main avance sous ma jupe, je gémis de nouveau, d'un plaisir simulé, alors que j'ai envie de hurler de douleur, quand il pénètre mon anus de deux doigts.

- Putain, le trou-du-cul de malade qu'elle a. Elle me traie les doigts! Toi, ma salope, tu va prendre plusieurs fois ma bite dans le cul cette nuit!

Quand il retire ses doigts, je baisse de nouveau la tête, reprenant ma position de soumise.

L'arabe regarde Greg :

- OK. Tu lui a donné le programme?

- Non, je te laisse ce plaisir.

L'émir se tourne vers moi, je garde la tête baissée.

- Je vais te prendre une première fois. Puis je vais prendre un viagra, tu me sucera le temps que je bande à nouveau. Pendant deux heures, je vais prendre tout tes trous bien serré. Ensuite tu passeras le reste de la nuit à divertir mes employés. Trente-cinq hommes en tout, tu vas voir, tu vas aimer. Quand ils en auront fini avec toi, douche rapide, puis tu me rejoindras pour une bonne baise du matin. Pour finir, vers neuf heures, Greg viendra te rechercher.

Je me retiens de pleurer, la nuit qui arrive va être très dur pour moi.

Ninon :

Quand le van s'arrête, ils lui bandent de nouveau les yeux, sans la rhabiller. Elle entend la portière avant claquer. Le chauffeur descendre. Puis la porte latéral s'ouvre, deux des hommes la font descendre. Ninon reste debout, le temps que la porte latéral soit fermée. Puis un homme la prend à chaque coude, la guidant. Elle marche sur du gravier, puis entre dans une maison. Elle le sait en entendant une porte s'ouvrir, puis un sol dur sous ses pieds.

À l'intérieur, elle entend des gémissements étouffés qui ne sont pas de plaisir. Au bruit elle reconnaît qu'une femme se fait baiser ou enculer, tandis qu'elle doit sucer un chibre. Ce qui atténue ses cris. Ninon reconnaît très bien ces sons pour les avoir fait elle-même tant et tant de fois, en se faisant prendre tout en suçant un chibre.

Elle doit monter des escaliers, puis elle entend une porte s'ouvrir, elle avance, puis elle entend la porte se refermer. On lui enlève son bandeau. Elle est dans une grande chambre avec ses quatre kidnappeurs. Tandis qu'elle reste debout, ils se déshabillent.

- On va tous te baiser dans chacun de tes trous. Pour que ce soit plus rapide, on passera par trois. Ensuite on dors.

- D'accord messieurs, ce sera un plaisir de me faire prendre mes orifices de salope par vous quatre.

L'un des quatre hommes va se coucher sur le lit, nu, bite dressée.

- Bien, fais-toi plaisir!

Aussitôt, la mort dans l'âme, mais le sourire forcé aux lèvres, Ninon grimpe sur le lit. Elle va s'empaler le sexe sur le pieu dressé. Elle sait qu'elle aura ensuite une bite dans le cul, puis une dans la bouche. Bientôt, elle aussi, comme la fille qu'elle a entendu en arrivant, poussera des cris étouffés...

Moi :

- Oui, j'adore, défonce moi la chatte plus fort!!!!

Il est huit heures trente du matin, j'arrive à simuler malgré mon corps perclus de douleur. Ma gorge me brûle rien que de parler, mon anus pulse encore alors qu'il n'y a rien dedans. Quand à la queue qui viole ma chatte, elle me donne envie de hurler, mais pas de plaisir... Pourtant, je suis là, à quatre pattes au milieu de l'immense salon de l'émir, me faisant prendre en levrette et demandant qu'il me défonce encore plus fort.

La nuit a été difficile. Après le départ de Greg, j'ai dus sucer l'émir dans sa chambre, le gorgeant profondément. Puis pendant deux heures, il m'a défoncé la chatte et le cul. Comme promis, il m'a ensuite offerte à ses hommes. Ils m'ont tous prise violemment, comme le morceau de viande que je suis devenu. Ils m'ont vraiment massacré, me faisant plusieurs fois saigné de mon sexe, mais surtout de mon cul. Fier d'eux, ils me l'ont montré à chaque fois, en prenant des photos avec leurs téléphone.

À huit heures, l'émir est venu me chercher, je n'ai pas pus me laver ou me reposer, cela ne faisait même pas cinq minutes que mon dernier agresseur m'a giclé au visage. J'ai dus simuler tout le temps aussi dur cela soit-il. Il m'a emmenée au salon, couverte de sperme, dégorgeant de semence de tout mes orifices. Il m'a fait mettre à quatre pattes, et m'a prit longtemps en levrette. Quand il a fini dans mon sexe, que je lui ai nettoyée la bite de ma bouche, je dois attendre Greg, nue, debout au milieu du salon, au garde-à-vous. Tête baissée, regardant le sol, comme la bonne pute que je suis.

Greg est arrivé trente minutes plus tard. En entrant, il me dit :

- Je vois que tu t'es bien amusé, salope.

- Oui monsieur.

- Bien, elle a été une bonne putain?

- Elle a été parfaite, mes hommes ont confirmés mon impression. Tu as fais du bon travail, c'est une bonne putain. Même en sachant que c'est un dressage, qu'elle simule, j'ai vraiment crut qu'elle prenait du plaisir.

- Bien Clotilde, tu as beau être un déchet, tu as au moins une qualité, tu es une bonne pute.

- Oui monsieur, je fais tout pour vous satisfaire. Vous et tout les hommes qui veulent bien me faire l'honneur de me prendre dans un de mes orifices de chienne.

Malgré l'humiliation de dire tout cela, je suis soulagée, je ne serais pas punis.

L'émir demande à Greg :

- Je l'envoie à la douche?

- Non, elle va juste mettre sa robe. Elle pue le sperme et le sexe, mais elle se lavera chez moi.

- Comme tu veux, mais elle va salir ta voiture. Avec tout ce qu'elle a prit, elle va dégorger pas mal de jus d'homme pendant longtemps.

- Elle nettoiera le siège avec sa langue une fois arrivé.

- Greg, tu es un esthète.

Les deux ont raison. Quand on est arrivés, j'ai nettoyée le siège avec ma langue, tout en me faisant baiser le cul par Greg. Il a juste remonté ma robe sur mes reins pour me sodomiser. Je peux dire une seule chose, il y avait beaucoup de sperme froid à la place où j'étais assise. Le goût étant presque pire que mes douleurs anal.

Emma :

Jeff ne lui demande pas de simuler pour ce premier viol incestueux de la part de l'oncle et du grand-père d'Emma. Mais ensuite elle devra leurs montrer la bonne putain avide de sexe qu'elle est devenue. Enfin, pense Jeff, il devrait plutôt dire « simulatrice de plaisir », car avide, son père sait qu'elle ne l'est pas. Que chaque pénétration est un calvaire pour Emma. Mais cela il s'en fou, tant que lui, y prend du plaisir. Il bande bien dur en voyant son enfant se faire simultanément défoncer la chatte et la bouche.

Quand les deux hommes ont jouis en elle, Emma n'a pas le temps de bouger. Déjà son père est derrière-elle, il l'encule d'un seul coup, à sec. Elle pousse un cri de douleur, qu'elle ne peut retenir. Mais elle se rattrape vite. Son conditionnement marche si bien, que rapidement elle se met à simuler un plaisir qu'elle ne ressent absolument pas. Emma ne le sait pas, mais ce n'est que le début. Pendant plusieurs jours, elle va être la poupée sexuelle de son père, son oncle et son grand-père. Ils vont user et abuser son corps jusque à plus soif.

Ninon :

Le calvaire est le même pour la jeune et belle prof. Pendant plusieurs jours, elle va se faire baiser par tout les trous par ses quatre kidnappeurs. Son calvaire va être sans fin, car quand un ou deux sont épuisé, les deux autres sont en forme. Rien ne lui sera épargné, le pire étant les nombreux viols qu'elle doit subir les yeux bandés sans savoir pourquoi. Tout cela ne conduit qu'à une chose, sa haine de plus en plus forte pour sa sœur, qui est à l'origine de tout ses maux.

Moi :

Il est dix-huit heures. Greg m'emmène à mon dixième et dernier client testeur. Je n'ai eus que des notes parfaites, obtenant les félicitations pour mon dresseur. Je suis désespérée, j'ai été laissée seule chez mes clients chaque fois. A aucun moment je n'ai eus le moindre petit espace pour tenter de m'enfuir. Je pense que cette nuit ne sera pas différente. Pourtant ce soir je ne suis pas loin de chez moi, trente minutes à pieds environs. C'est pire, se savoir si près, mais si loin aussi... Si je pouvais arriver chez moi, mon mari me sauverais, il appellerait la police, je serais sous protection, pour témoigner contre Greg et tout les autres... Tout mes violeurs... tout mes bourreaux...

Je connais la maison, j'y passe devant chaque matin pour aller travailler... enfin quand j'allais travailler, avant que je ne connaisse cet enfer... C'est une petite villa de plain-pied. J'ai une robe très courte qui m'arrive juste en dessous des fesses. Mais elle ne laisse rien à l'imagination, elle est blanche et totalement transparente. Greg se gare devant la porte d'entrée, mais on ne descend pas immédiatement.

Ton client à laissé des consignes. Quand il ouvre et nous fais rentrer, tu ne lui dis rien. Jusque à ce qu'il te le dise, tu reste habillée. Tu lui roule une pelle tout en sortant son sexe. Tu le prends ensuite en bouche en te penchant en avant. Moi je vais te baiser. Quand il te le dira, tu arrêtes de le sucer, tu te tourne vers moi, et c'est lui qui te baise. Pour finir on te prend a deux, debout, moi dans ta chatte, lui dans ton cul. Il ne veut pas que tu dise un mot, jusque à ce qu'il t'autorise. Ta nuit va être longue, il a prévu de prendre des pilules sexe-dure. Tu passe vingt-quatre heures avec lui, il a déjà fait le virement, donc il ne paiera pas. Il a payé six-cent-cinquante euros pour te tester. Normalement, tu prendra deux mille pour un jour entier.

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