Les malheurs de Clotilde Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- A mon tour!

C'est Greg qui vient de parler.

- Tu monte sur moi et tu t'empales sur ma bite. Je te veux de face pour pouvoir jouer avec tes seins!

Je vous ais dis que jamais je ne participerais à mon propre viol. Mai la vérité d'hier n'est pas celle d'aujourd'hui. Alors je me lève, je vais lui obéir. Je vais être sa pute, je vais me violer moi-même. Je ne suis plus rien, je n'existe plus. Je ne suis plus qu'une poupée gonflable bien accueillante aux orifices bien douillet.

Je me relève donc, regard baissé.

- Regarde-moi dans les yeux, je préfère.

Je lui obéis, bien entendu. Je fixe mon regard emplit de larmes dans le sien. Greg me sourit perversement, le sourire du gars qui va passer un bon moment de baise. Bien entendu, dans le mien il ne doit lire que l'épouvante que je ressens à ce nouveau viol qui s'annonce. Je l'enjambe, je descend mon bassin vers lui. Je suis obligé de prendre son pénis dans ma main droite, pour le guider. Je gémis en le faisant. C'est invraisemblable, comment peut-on prendre du plaisir en faisant vivre ce qu'ils me font vivre.

Je sais, mes pensées sont chaotique, mais à ma place, vous penserez de la même façon. Je lâche un gémissement de dégoût quand j'attrape sa hampe volumineuse. Son sexe est tellement épais que mes doigts ne se referment pas en entier sur lui. Je me demande comment un tel engin a put rentrer en moi sans me tuer. Je m'arrête quand le gland de son pieu entre en contact avec les lèvres de ma vulve.

Contrairement à mon premier viol, cette fois il y a leur sperme pour lubrifier mon sexe. Heureusement je dirais presque, car sinon, je serais toujours totalement aride. Je prends mon courage à deux mains, et lentement je fais pénétrer le bout du pénis de mon bourreau en moi. Je commence alors à grogner de douleur, me retenant de tout mon être, de toute mon âme pour ne pas hurler.

Le poids de mon corps, et le fait que je pousse sur mon buste pour descendre me font descendre sur cet engin monstrueux. Je le sens se frayer un chemin en moi, me distendre mon intérieur au maximum de ses possibilités. La douleur est vraiment infernale, je gémis, je grogne. Je pleure aussi de plus en plus fort. Des trucs horrible que j'ai l'impression de faire depuis des siècles.

Greg doit trouver que je vais trop lentement, il agrippe mes hanches et me tire vers le bas. Rapidement je me retrouve complètement empalée sur son pénis. Voilà, empalée, c'est le mot. Je revis la torture moyenâgeuse, mais avec un sexe masculin au lieu d'un pieu de bois. Je suis obligée de me concentrer pour remonter le long de son engin. Avant de redescendre, puis de remonter, et ainsi de suite. Je suis en train de copuler avec lui, ce n'est pas un viol, non, c'est une copulation entre adulte consentant. Du moins c'est l'impression qu'un voyeur aurait. Car pour moi je peux vous le dire, c'est bien un viol. Même si la femme forcée se viole elle-même. Un auto-viol, je ne sais pas si le mot existe, mais c'est ce que c'est. La grimace de douleur qui déforme mon visage le prouve. Grimace que je ne peux voir, mais que je me sens faire, que je sais faire. Surtout que ses yeux fixé dans les miens, Greg me malaxe brutalement les seins. Me faisant mal là aussi.

Je vais de plus en plus vite sur son engin. Ses mains serrent de plus en plus fort mes hanches. Et moi j'accélère, et j'accélère, pour rebondir sur lui au maximum de la vitesse que je peux mettre. Je ne gémit plus, je ne grogne plus, je crie comme une malade tellement j'ai mal. Pourtant je continue, je sais que la punition qu'il me réserve sera pire, bien pire. Alors si je ne veux pas avoir encore plus mal, il va falloir que je fasse tout pour le satisfaire. Je saute pratiquement sur sa bite, quand il commence à gémir comme je l'ai fait de si nombreuse fois. Mais lui, c'est de plaisir.

Quand il la maintient sur lui et qu'il grogne, je comprends qu'il se vide en moi, juste après je sens sa semence me remplir. Il me force à l'embrasser, avec la langue. Je suis dégoûter de ce baiser.

- Allez, retire-toi. Et te plains pas d'être violer, là c'est plutôt toi qui m'a violer, salope!

Ces mots me blesse, même si je pense la même chose.

- Allez, à mon tour, mais de dos, j'ai envie de voir ton superbe cul quand tu me baise!

C'est Jérôme qui vient de me donner l'ordre. Je me relève, faisant sortir le sexe de Greg du mien. Je sens aussitôt le sperme de mon bourreau me tremper l'entrecuisse, et se mélanger à celui séché de mes précédents viols. Je vais pour faire deux pas vers Jérôme, mais Greg m'en empêche ne me retenant par le poignet gauche.

- On ne nettoie pas les lieux avant d'aller en visiter d'autre?

Sur le coup je ne comprends pas ce qu'il veut. Je le regarde, plein d'incompréhension. D'un mouvement de tête, il me désigne son ventre. Je vois quelques gouttes de sperme sur sa cuisse, ainsi que son sexe sali. Je m'agenouille et lèche le tout. Quand il s'estime propre, il repousse ma tête.

- C'est bon, va t'occuper de mon ami.

Comme je commence à trop souvent le faire, j'obéis. Moi, qui me croyais rebelle, qui croyait-être une femme forte et libre, je me révèle faible, prête à obéir au premier homme un peu violent. Comme pour Greg, j'enjambe Jérôme. Mais lui je lui tourne le dos. Au moins je n'aurais pas l'humiliation de devoir le regarder dans les yeux.Je saisis son sexe de ma main droite, pour le maintenir et je m'empale dessus. Je suis parfaitement lubrifiée par le sperme de Greg, aussi je descend plus facilement sur le pénis. Comme pour son acolyte je me mets à monter-et-descendre sur le pieu de chair. Lui, ce n'est pas mes seins qu'il malaxe brutalement, c'est mes fesses.

Je ne sais pas si c'est le spectacle que j'ai offert malgré-moi avec Meyer et Greg, ou le spectacle de mon cul rebondissant, mais Jérôme ne tient pas longtemps dans mon ventre. Rapidement il se vide en moi. Mais mon calvaire n'est pas fini. Loin de là.

La suite fut une série de viol. Ils jouissent dans mon ventre, sur mon corps. Ils forcent mon sexe et ma bouche dans toute les positions. Des fois les trois à la fois. Un dans le vagin, un deuxième dans ma bouche, le dernier, je dois le branler. Et lécher ma main pleine de sperme quand il a jouit. Tous passent aussi à la branlette espagnole. Souvent avec en plus une bite dans la chatte ou une dans la bouche. Voir les deux à la fois.

Je m'aperçois avec horreur que je n'emploie plus trop de mot châtié. Je ne pense plus pénis, mais bite. Je ne pense plus semence mais sperme. Je ne sais pas pourquoi, mais cet état de fait me choque. Après je n'ai pas trop le temps de penser à cela, tant je me fais prendre. Je ne suis plus qu'une outre pour eux. Un contenant qu'ils remplissent à foison de sperme. Ils se gavent de pilules sexe-dure, ça les fait bander et éjaculer encore et encore.

Je ne sais pas quelle heure il est quand ils me font aller sur la douche. Je pense que c'est enfin fini, que je vais être tranquille. Qu'ils me font me laver pour être certains que je ne garde aucune trace ADN, et que ensuite ils partiront enfin. Me laissant survivre à cette nuit de cauchemar. Nuit qui hélas n'est pas terminée. Vu que hélas, il me viole sous la douche. Greg comme toujours est l'instigateur de cela. Il me fait appuyer contre le mur, tandis que l'eau tiède coule sur mon corps, mon visage. Je dois tendre les fesses, et il me prends comme cela. Debout, son sexe dans mon vagin.

Ils me violent tous dans cette position. Au moins deux fois, trois pour Jérôme et Greg. Puis enfin, je peux me laver. Malheureusement devant eux. Je me frotte le corps pour enlever toute cette crasse, pour enlever toute traces de sexe, de sperme, de viols. Je frotte surtout mes seins et mon sexe, mais rien n'y fait, je sens toujours leurs odeur sur moi, en moi. Greg me fait enlever le pommeau de la douche, avant de me faire enfoncer le tuyau dans mon vagin. Je crie, ça fais mal toute cette eau qui jaillit en moi. Me rappelant l'épisode funeste de Meyer urinant dedans. Après, plusieurs fois entre mes viols, j'ai dus boire leur urine. Au moins trois fois pour chacun. Je ne savais pas que le sexe est autant diurétique. Avec les litres d'urine que j'ai avalée, je peux vous confirmer que ça l'est.

Une fois qu'ils m'estiment propre, dedans comme dehors, ils me font couper l'eau, sortir de la douche. Sans me sécher. Le corps et les cheveux trempés, dégoulinant. Je me rends compte que je ne pleure plus. D'ailleurs, lors des derniers viols, je ne criais plus, me contentant de grogner quand ils me faisaient trop mal. Je suis trop crevée pour ça. Je suis amorphe, je n'ai plus de force. Même plus celle de pleurer.

Je me retrouve donc de nouveau au milieu du salon de Greg, debout. Pour la première fois sans bite en moi. Greg me caresse le visage.

- Tu restes avec nous, on reprends tout cela tout-à-l'heure. Ou peut-être de suite, ça dépend des autres. Moi en tout cas je vais me coucher, je suis trop crever.

Mes espoirs s'échappent. Moi qui croyais être libre, je me rends compte que Greg comptent me garder encore au moins un jour. Je suis trop conne, il m'avait prévenu, il va me punir, donc j'ai espérée pour rien. J'aurais put m'éviter cela, l'espoir quand il s'envole fait mal, très mal. C'est horrible comme ça fait mal.

- Moi aussi je vais me coucher. Il est neuf heures du matin, j'ai besoin de sommeil.

C'est Jérôme qui à parlé. Je suis horrifiée. neuf heures du matin, ça fait plus de quinze heures qu'ils me force. Cela semble beaucoup et peu à la fois. Tant il me semble que cela fais des jours et des jours que je me fais violer.

- Moi je la garde encore un peu, on dormira dans le canapé.

Meyer, je le regarde horrifiée, il bande de nouveau.

- D'accord Meyer, bonne nuit.

Greg s'en va le premier, suivit de Jérôme. Je me dis que au moins il y en a deux de moins, ça ne devrait plus tarder avant que Meyer aille dormir.

Il me fait me coucher sur le canapé, sur le dos, cuisses écartées. Il se couche sur moi, et de nouveau un pénis force mon corps. Il prendra son temps. Si j'en avais eus la force, j'aurais hurler tant il me fait mal, mais je n'en ai plus la force. Je le subis, simplement. Grognant un peu quand la douleur devient insupportable. Et je vais grogner souvent. Surtout qu'il jouira plusieurs fois en moi. Sans sortir, sans se retirer. Reprenant ses coups de reins après avoir fini de me remplir. Il n'a même pas besoin de se lever pour prendre une de ces maudites pilules sexe-dur, il a mit deux boîte en bas du canapé.

Il a dut jouir une dizaine de fois en moi, avant de changer de tactique. Il me viole, et au moment où son éjaculation arrive, il se retire rapidement. Jouissant sur mon sexe, mon ventre, mes seins ou mon visage. Il dure et il dure. Je crois que parfois je m'endors ou je m'évanouis, je ne sais pas trop. Il me réveille en me mordant méchamment un sein, ou en pinçant mon clitoris. Plusieurs morsures ornent ma poitrine, s'ajoutant aux marques de doigts qui mettront plusieurs jours à partir. Mon entrecuisse est couverte de bleu.

Puis je me remets à hurler. A force d'être violée, mes chairs interne son brûlées, à vif. C'est sûrement dut au frottements des sexes. Quand je dis hurler, le mot est fort, tant je suis vidée de toute force. En fait, je grogne continuellement de douleur, ce serait plus exact.

Puis de nouveau, Meyer ne sort plus de moi. Me violant sans fin, cessant ses coups de reins que pour éjaculer et remplir mon utérus. Si après cela je ne suis pas enceinte, je ne le serais jamais plus. Je suis tellement abattue, détruite, que même l'idée d'être enceinte de ce viol ne me révolte plus. Comme je peux tomber aussi bas?

Alors pour fuir tout cela, je me contente de fixer le lustre au plafond. Me vidant l'esprit de toutes pensées. Meyer continue de violer mon corps mou, comme abandonner par mon esprit. Je le laisse me martyriser, lui offrant mon corps. Qu'il en fasse ce qu'il veut, moi je n'en peux plus.

C'est la voix de Greg qui me fait un peu revenir à moi. Quoique je n'ai même pas la force de bouger la tête. Je bouge juste mes yeux vers lui, tandis que Meyer s'agite encore entre mes cuisses.

- Putain, Meyer, tu la baise encore?

- Oui, elle est trop bonne cette pute!

- Je vois ça, il est dix-huit heures, ça fait neuf heures de suite que tu la prends cette pute!

- Merde, le temps passe vite avec elle. Cette chienne est encore aussi étroite que la première fois.

- Tant mieux, quand tu as finis, je prends ta place, et on la laisse se reposer un peu. Je la veux vive pour la suite.

- OK Greg, OK.

En effet, dès que Meyer à jouit pour la énième fois en moi, Greg prends sa place. Heureusement il ne jouit que une fois en moi, avant de se retirer. Enfin ils me laissent tranquille. Aussitôt je sombre dans l'inconscience.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

récit TAGS

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Trois Sœurs: Romane et Lindsay Ma dernière fille et ma filleule paient à leurs tour.
Pirates! Un couple part faire le tour du monde.
Révolte 01: Diana et Nicole Une révolution éclate dans un pays africain.
La Naufragée Une belle naufragée est recueillit par un cargo.
Le Mauvais Chemin Une bourgeoise et sa fille se perdent en route.
Plus d'histoires