Trois Sœurs: Romane et Lindsay

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Ma dernière fille et ma filleule paient à leurs tour.
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Cette histoire est basée sur l'inceste et le viol. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Pour les autres, bonne lecture.

Pour Romane et Lindsay, j'ai organisé leurs viols collectif avec Lorenzo et Anne. Anne les a contactées avec le téléphone de Roxane. Le message est simple, elle leur dit que tout est OK pour le viol qui déflorera Anne. Cela se passera le soir de leurs retour. Ce sera simple pour elles d'organiser leurs absence cette nuit-là. Elles diront aux parents de Lindsay qu'elles passent la nuit puis la semaine chez moi, comme c'est de coutume de le faire. Puis à moi, les deux filles diront qu'elles sont crevées, et qu'elles restent cette nuit-là chez les parents de Lindsay. Lorenzo gérera tout cela, moi de mon côté je compte bien m'occuper des parents de Lindsay, qui ont participé eux-aussi aux viols de Anne.

On a agis de nuit avec Pierre et Kevin. Pour être certains de ne courir aucun risques, on a attachés solidement à leurs lits Roxane et les trois autres prisonnières. On les a droguées, de façon qu'elles dorment jusque au lendemain, au minimum midi. On s'est garés devant le domicile de Lindsay. Dans la voiture, on a drogués Kevin pour qu'il nous laisse tranquille quelques heures. A deux heures du matin, avec Pierre on s'est mis en action. J'ai facilement ouvert la porte de la ville, je garde un double de leurs clés au cas où ils les perdent. On connais la maison par cœur, pour y être déjà venu. On a deux petites lampes fixé sur notre front pour nous éclairés, collé à une go-pro. On est recouvert d'une cagoule noir ne dévoilant que nos yeux et la bouche. On a aussi un tout petit déformateur vocal caché dans la bas de la cagoule. On entrent dans leurs chambre. Ils dorment sous les draps. On les tirent doucement, Robert le père de Lindsay est en short et tee-shirt. Sheila la mère est en petite nuisette. Celle-ci ayant remontée, nous laisse voir un petit string blanc. Ils dorment sur le dos. On se place de chacun d'un côté du lit. Moi je prends celui du père, Pierre de la mère. On allument les lampes de chevets, on éteints nos lampes. On sort nos flingues, on les plaquent sur leurs fronts et ont les secouent. Ils se réveillent brutalement. Je sais que l'on ne courent aucun risques, le père n'est pas un guerrier. C'est un expert-comptable très peureux, sauf quand il viole ma fille.

On enfoncent nos armes dans leurs bouches. Je parle assez fort.

- Obéissez, et il ne vous sera fais aucun mal.

Les deux hochent affirmativement la tête. Pierre fait s'allonger Sheila sur le sol. Il lui menotte les poignets dans le dos. Moi je fais mettre le père sur le ventre. Je lui ordonne de passer les mains à travers les barreaux du lit. Je lui menotte les poignets, ainsi il ne pourra se lever. Le lit est solide. Pour faire bonne mesure, je lui menotte aussi les chevilles entre elles.

- Les bijoux, où sont les bijoux?

C'est Sheila qui répond.

- Dans le tiroir de la commode, juste en face le lit.

En effet, il y a une commode avec un miroir dessus. J'ouvre le tiroir, il y a bien quelques bijoux. Je les prends. Je ne parle qu'à Sheila.

- Il n'y a que ça?

- Oui, c'est tout ce que l'on a.

- Du fric, vous avez du fric?

- Oui, j'ai mille euros dans mon sac.

- Il est où?

- En bas, sur le comptoir de la cuisine.

- On va voir, si tu mens, je te bute.

Pierre fais se lever Sheila. Il lui colle son arme dans les reins. J'appuie la mienne contre le crane du mari toujours couché sur le ventre.

- Toi, si tu cries ou tente quoique ce soit, je te butes.

Il est en larmes, tremblant de tout son corps.

- Je ne ferais rien, ne nous faîtes pas mal.

Pour la forme je lui mets un coup de crosse dans les reins. On fais descendre Sheila en bas.

On va dans le salon, la cuisine s'y trouve.

- Ton sac?

Sheila est pied nus, sa nuisette est courte mais pas transparente. Dommage. J'ai toujours fantasmé sur elle. C'est une jolie blonde de quarante ans. Mince, avec un petit cul rebondit et bombé. Des seins qui paraissent petits.

- Il est là.

De la tête, elle nous désigne le comptoir, le sac est dessus. Pierre lui met son flingue contre l'arrière du crâne.

- Si tu as mentis, il tire.

- C'est la vérité.

J'ouvre le sac, il y a bien les mille euros. Un peu plus même avec la monnaie et les petits billets. Je les mets dans ma poche.

- Bien, belle somme. Maintenant on va jouer un peu.

Sheila me regarde interloquée. Je me mets à côté de Pierre.

- Relève ta nuisette.

- Quoi?

- Tu as compris.

- Mais... Mais... pourquoi?

Pierre relève le chien de son arme. Le clic fait gémir Sheila.

- Obéis où il tire.

Sheila en pleure, remonte alors lentement sa courte nuisette sur ses reins. Nous dévoilant son string et un cul super bandant. Je tends le bras. Elle lâche un gémissement en sursautant, quand ma main touche sa fesse droite. Ses fesses sont douce, fermes. Pierre fait de même avec la fesse gauche.

- Penche-toi un peu vers l'avant.

Sheila obéis. Son cul ressort encore plus. Je fais passer mon doigt dans le sillon de ses fesses, suivant la ficelle de son string. Sheila pleure un peu plus fort, mais ne fais rien pour nous résister. Je retire mon doigt, je détache un de ses poignets. Les menottes pendent alors à son poignet gauche.

- Enlève ton string.

- Pitié...

Je la retourne, lui enfonce mon arme dans la bouche. Sheila est terrorisée.

- Me casse pas les couilles, où je tire et je baise ton corps mort!

Dans mon regard, elle voit que je ne rigole pas. Je retire mon arme.

- Alors?

- D'acc... d'accord...

J'emprisonne un de ses petits seins. Ils sont fermes eux aussi, Sheila à un corps de jeune femme malgré ses quarante ans. Pierre m'imite avec son autre sein. Je suis tenté de les dénuder, mais ce sera pour plus tard. Je la fais se retourner.

- Allez, enlève-le!

Sheila passe ses pouces dans l'échancrure de son dessous, la femme le fait alors descendre. Sheila lève ses pieds pour l'enlever.

- Bien, penche-toi en avant.

Elle obéit sans protester.

- Écarte tes fesses.

Sheila pose ses mains sur ses fesses, les écartent. Elle nous dévoile une mignonne petite chatte rose, un petit trou du cul hermétiquement clos, cette chienne est sans doute pucelle de cet orifice, mais plus pour longtemps. Je passe mon doigt une nouvelle fois entre ses fesses, mais cette fois le bout de mon doigt entre dans sa chatte. Elle lâche un petit cri.

- Aïe!!!

Je retire mon doigt. Je la fais se retourner. Je fais un clin d'œil à Pierre. On baisse nos braguettes, et on sort nos bites.

- Branles-nous. Si tu refuses je tire.

En tremblant, Sheila prends nos bite dans ses mains. Quand nous sommes à demi-dur, je lui fais lâcher nos engins et se retourner.

- Branle-nous de nouveau!

Sheila tend les bras et saisit nos pieux, qu'elle commence alors à masturber. Je passe de nouveau ma main entre ses fesses. Mais cette fois j'enfonce le bout de mon majeur dans son vagin. Sheila lâche un petit cri de surprise. Il est plus étroit que je ne l'imaginé.

Quand nos bites sont bien bandés, on fais cesser la masturbation de nos engin à la femelle. Je la retourne pour qu'elle me fasse face. Je vois son bas-ventre complètement épilé. J'aime ça.

- Tu vas me sucer.

- Pitié...

J'enfonce le canon de mon arme dans sa bouche.

- Tu préfères mourir?

Elle fais signe que non de la tête.

- Alors, je me répète, mais ce sera la dernière fois. Le prochain non, je t'abats. Alors, tu va me sucer?

Cette fois elle hoche affirmativement la tête.

- Bien.

Je la prends par l'épaule, on se dirige vers le canapé. Je baisse mon pantalon et je m'assois. Sheila se penche vers moi.

- Non, assis-toi à côté.

Elle m'obéit, je sens la douceur de la peau satiné de sa cuisse contre ma jambe. Je lui attrape la tête et la dirige vers mon chibre. Sheila ouvre la bouche en grand, avec difficulté, elle gobe mon gland. Puis elle commence un mouvement de va-et-vient sur mon engin. Pierre se masturbe doucement en nous matant, pour entretenir son érection. La femme est douée pour la pipe, on voit qu'elle y est habituée. Sa langue joue avec mon gland, ses lèvres sont doucement fermée sur ma peau. J'apprécie énormément. Sheila moins, en larmes, elle à des bruits de gorges comme si elle allait vomir, cette pipe la dégoûte vraiment. Mais pour sauver sa peau, elle s'y plie.

Tout en me faisant sucer, je déchire la nuisette de la fille. Je dégage ses seins, ils sont petits, en cône. Un peu de chair, avec des mamelons épais, gonflés. Je lui en malaxe un, tout en savourant sa prestation. Je lui caresse les cheveux, tout en la laissant aller à son rythme. Rythme qui me convient bien. En moins de dix minutes, le plaisir monte de mes reins.

- Je vais jouir, avale tout.

En entendant ça, Pierre s'assoit de l'autre côté de Sheila. Quand mon plaisir jaillit dans sa bouche, comme ordonné, elle avale tout. Une fois fini, je lui retire sa tête de mon pieu. Un mince filet de sperme coule de la commissure gauche de sa bouche.

- Allez, tu vas passer à mon pote.

Sheila se retourne vers lui, elle va pour se pencher et avaler son pieu. Pierre stoppe sa tête.

- Non, moi je veux ta chatte. Tu vas t'asseoir sur moi et enfoncer ma bite dans ta chatoune de putain! Je veux que tu me baise!

Sheila ne répond rien, la menace d'une balle dans la tête au moindre non la hante encore. Alors pleurant encore plus fort, totalement nue, elle se lève. Sheila s'approche de Pierre. Sa bite immense quoique petite, fais 25 centimètres. Sheila, à travers ses larmes, voit avec horreur la monstrueuse taille de l'engin qui va la violer.

- Mon dieu, c'est trop gros!

Je souris.

- Cela change de celle de ton mari. Allez, vas-y!

Pierre enchérit.

- Je te veux de dos sur moi, tu vas te mettre ma bite toute seule, comme une grande.

Sheila sait ce qui l'attends si elle refuse, alors elle grimpe sur le canapé. La femme est debout, les pieds de chaque côté des cuisses de Pierre, lui tournant le dos. Lui, à une vue plongeante sur la jolie petite chatte de la femelle. Il savoure la vue de ce vagin qu'il n'a pas encore visité, mais que bientôt sera sien.

Sheila, en se tenant à l'accoudoir s'accroupit sur Pierre. Sa vulve à quelques centimètres du gland qui s'apprête à la violer. La femme commence alors lentement sa descente. Jusque à ce que le gland soit contre ses lèvres intimes. Elle lâche un petit cri au moment du contact.

- Mon dieu... ça n'entrera... jamais...

- Il va falloir!

Pour la motiver, je lui pose le canon de mon arme sur le front. Sheila descend alors sur le pieu, criant quand elle s'enfonce la gland dans son corps. Son vagin est sec, c'est douloureux, la grimace qu'elle fait le prouve. Néanmoins elle continue sa descente, s'arrêtant quand un tiers du gros engin est en elle. Puis elle commence à monter-et-descendre dessus, hurlant sa douleur. Au bout de cinq minutes, son vagin s'humidifie un peu. Pas de plaisir, juste une réaction de son corps pour adoucir cette copulation non désirée et si douloureuse. Tout en montant et descendant, elle réussit à enfoncer les deux tiers du pieu en elle. Puis elle s'immobilise, elle me regarde, suppliante.

- Je peux pas plus, c'est trop énorme!

- On va t'aider!

Je pose mes mains sur ses épaules, Pierre l'attrape par les hanches.

- Allez!

Pierre la tire vers le bas, moi je pousse sur ses épaules. Avec le poids de son corps en plus, la bite s'introduit en entier en elle. Son hurlement de douleur est horrible. Je lui caresse les cheveux.

- Tu vois la pute, c'est rentré en entier...

Son visage est déformé par la souffrance. Je rebande à l'idée de ce que cela va être quand Kevin s'occupera d'elle. Sheila reste immobile sur le pieu violateur, son hurlement se tarit, elle sanglote, tremblante. Pierre lui attrape les seins à pleines mains. Il les lui broient. Nouveau cri de douleur de Sheila.

- Tu as intérêt à bouger, ou je te jure que l'on va te tuer et que tu vas souffrir, vraiment souffrir!

Quand Pierre lâche ses seins, la femelle se met à monter lentement, forçant sur ses jambes, retirant le pieu de son corps. Avant de redescendre tout aussi doucement. Geignant tout du long, mais vraiment pas de plaisir. Contrairement à ce que j'ai lu plus jeune dans beaucoup d'histoires, une femme ne jouit pas d'un viol. Parmi toutes mes victimes, cela n'est arrivé que deux ou trois fois. Et encore, j'ai bien vu que ces orgasmes était purement corporel. Leurs cris, leurs postures, leurs visages, leurs larmes me prouvait qu'elle n'y prenaient aucun plaisir. Par contre, au bout de plusieurs viols, c'est vrai que le corps les fais mouiller. Mais encore une fois, elles n'y ressentent aucune envie, aucun plaisir. C'est juste la façon du corps de faciliter la pénétration violatrice, afin de minimiser au maximum la douleur corporelle. Tandis que la souffrance psychologique est augmentée par la présence de cette cyprine purement défensive.

Bref, Sheila monte-et-descend sur le pieu de mon frère, mais quand celui-ci la saisit aux hanches pour accélérer le mouvement, les geignements de la fille se transforme en cris. Même si en utilisant ses jambes, elle accompagne les mouvements que lui fais faire mon frère pour diminuer sa douleur. D'ailleurs un peu de sang apparaît sur le sexe de mon frangin. Il y en a peu, mais cela prouve la douleur de cette accouplement bestial. Au bout de dix minutes, il la saisit aux hanches, et la fait monter-et-descendre de plus en plus vite sur son engin violateur. Sheila, sous la douleur, se met à hurler comme une truie.

- Laissez-ma femme!!! Arrêtez de la violer!!! Sale bâtard!!!

Tiens, il viens de pousser des couilles au mari de Sheila. Cela semble exciter encore plus Pierre, qui se met à violer encore plus puissamment sa belle victime. Ses petits seins volent dans tout les sens. Je les attrapent dans mes mains, je les lui broient, augmentant le volume des hurlements de la fille.

- Je vais jouir, putain salope, je vais jouir!!!

- Pas dedans, pitié, pas dedans!!!

Hurle une Sheila qui ne prends pas la pilule, essayant avec son mari d'avoir un autre enfant, malgré la différence d'âge qu'elle aura avec Lindsay. Mais c'est trop tard, Pierre l'immobilise sur son sexe, se vidant en elle, tandis que Sheila pousse un hurlement encore plus fort en comprenant que son bourreau se décharge dans son utérus.

- Laissez-là!!! Laissez-ma femme tranquille!!!

Pierre vidé, repousse Sheila de son corps. Cette dernière se couche en chien de fusil sur le canapé, cachant de ses cuisses son vagin et ses seins. Reprenant haleine, elle sanglote sur le lit, choquée par ce qu'elle vient de subir. Pendant ce temps mon frère remet son caleçon.

Son repos est de courte durée, Pierre la fait se lever par les cheveux, tandis qu'un flot de sang rosé s'écoule de son vagin. Il lui menotte les poignets entre eux, par devant.

- On va voir ton pédé de mari, qui hurle quand on te baise!

Il tire Sheila par les menottes. Nous montons tout trois vers la chambre du couple. Je rentre en premier, Sheila et Pierre restent dans le couloir, je me précipite sur Robert.

- Je t'ai dis de fermer ta gueule!

Deux coups de poings puissant en plein visage le calme. Je lui détache les poignets du lit, je les lui attachent dans le dos.

- Pierre, rentre!

Je soulève la tête du père de Lindsay.

- Regarde ta pute de femme, regarde ce qu'on lui a fait!

Pierre rentre avec Sheila, dont le bas-ventre est taché par le sperme rosé de Pierre. Mon sperme à laissé une trace sèche sur le visage de la femme. Elle baisse les yeux de honte, pleurant de tout son saoul. Il la pousse sur le lit, elle s'y met à genoux, appuyant son torse sur ses jambes, sa tête sur le matelas, pour pleurer. Elle se cache les yeux dans ses mains. Elle ne se rend pas compte que ainsi elle prend une position hautement érotique. Robert ne dis rien en voyant sa femme dans cet état. Je le relâche. Il s'écroule sur le lit. Mais ce n'est pas fini, ce n'est que le début.

J'attrape Sheila par les hanches, elle sursaute quand mes mains la touche.

- Pitié, pas encore, pas encore...

Je la tire vers le bord du lit, son vagin poisseux du sperme de mon frère, ma fait bander. Elle est toujours à genoux, ses pieds dépassent lit jusque aux chevilles. Je me dessape complètement. Je bande dur. Pierre fait se mettre aussi à genoux le mari. Il lui soulève le crâne par les cheveux.

- Tu vas voir ce que l'on va mettre à ta putain de femme!

Il ne répond pas, se contentant de pleurer. J'approche mon chibre de la vulve offerte et encore ouverte. Je m'enfonce en elle d'un seul coup. Sheila crie de douleur. Je ne reste pas longtemps dans son ventre, juste le temps de me lubrifier un peu avec le sperme de mon frère. Quand je me retire, c'est contre son petit trou que je me place. Sheila comprend ce que je veux lui faire subir.

- Pas par là, je vous en prie... Je suis vierge de là...

Je m'en fou, je force. Pour une fois, un anus n'ayant jamais été visité s'ouvre d'un coup. Je la pénètre de toute ma longueur, de toute ma largeur. Sheila cabre, en poussant un hurlement démentiel, avant de retomber sur le matelas, ma bite en entier dans son cul. Je commence alors à la défoncer comme un fou.

- Tu vois ce qu'on lui fais à ta pute? Dis-toi que ce n'est que le début!

Son mari ne répond pas. Moi je travaille Sheila, je suis compressé par son anus étroit, cette chienne à un super trou du cul. Un trou du cul première classe. Je me moque de ses hurlements, seul mon plaisir compte, et il est immense.

Alors que j'écartèle le petit cul de Sheila, j'entends Pierre s'exclamer.

- Merde, je n'y crois pas.

Il descend le caleçon de Robert, ce dernier bande dur.

- Paul, j'y crois pas, il bande en te regardant enculer sa femme!

Alors que Sheila hurle toujours, ne paraissant pas avoir entendu ce que mon frère a dit, je lui répond.

- Normal, il est fan du spectacle que je lui offre!

Pierre le fait se lever et s'approcher de moi et de sa femme.

- Voilà, tu verras mieux la grosse bite de mon frère éclater le petit cul de ta pute!

L'homme ne répond pas, il est comme hypnotiser par mon pieu, couvert du sang du pucelage anal de la chienne, défonçant l'anus de sa femme. Moi je la sodomise de plus en plus vite, de plus en plus fort. Avant de me planter en elle, mes couilles contre sa vulve, mon ventre contre ses fesses. Je décharge alors un flot impressionnant de sperme dans le rectum de ma victime, qui hurle encore plus fort sous le tsunami de semence qui emplit son rectum.

Je me retire la bite souillée de sperme, de sang et de merde. Un flot de semence s'échappe alors de l'anus grand ouvert de ma victime. Je m'enfonce alors encore dur dans le ventre de Sheila, qui crie de nouveau. Après deux ou trois allez-retour, je me retire, j'ai nettoyé mon chibre dans son ventre.

- Je dois allez chercher Kevin, il ne va pas tarder à se réveiller.

- Vas-y.

Mon frère sort de la chambre. Je regarde Paul en souriant.

- C'est ton jour de chance, prends-ma place.

- Non, pitié...

- Choisis, soit tu l'encules, soit je la bute!

Sheila qui a tout entendu, murmure.

- Tuez-moi, mais pas lui... Ne me faites pas violer par mon mari... Pas par là...

Je ne lui répond pas, je lève simplement mon flingue vers elle. Alors son époux s'approche de sa femme et la saisit aux hanches. Elle gémit à ce contact. Mais déjà son époux s'enfonce dans son rectum, lui faisant reprendre ses cris. Moi je savoure ce spectacle, ma vengeance va bien au-delà ce ce que j'ai pus imaginer. Rapidement Robert se met à sodomiser sa femme comme un sauvage. En le voyant faire, je comprends tout ce qu'il a dut faire subir à Anne. Même si il n'est qu'un parmi tant d'autre.

Son mari défonce Sheila comme un fou, savourant pour la première fois l'anus de sa femme. Il ne tarde pas à jouir en elle en criant son plaisir. Avant de s'écrouler sur le dos de son épouse, le pieu toujours fiché dans son fondement. Quelques minutes plus tard, Pierre revient avec Kevin. Mon frère lève vers moi un regard interrogateur en voyant le mari toujours couché sur le dos de la fille.