Les malheurs de Clotilde Ch. 02

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- Pi... Pitié...

Ses mains se pose contre mes hanches, il me tient fermement.

- Greg, je t'en supplie... pas toi...

Son sourire s'agrandit.

- Si moi.

Il regarde mon corps, ses yeux s'attardant sur mes gros seins.

- Mais avant, je dois te prévenir, tu as parlée sans autorisation, quand on se sera bien servit de toi, je tiendrais ma promesse. Je te punirais sévèrement!

Je suis encore plus épouvantée, j'ouvre la bouche, mais ne dis rien. Il me punira encore plus après.

Mais aussitôt j'oublie sa menace de punition. Une vive douleur envahit mon sexe, mon intérieur, mes chairs délicates et fragiles. Bizarrement un bruit puissant, aigu, très aigu envahit la pièce. Ça m'oppresse, me fait mal aux oreilles, mes poumons se comprime. Je ne sais pas ce que c'est, mais ce bruit horrible me brûle la gorge, les cordes vocales. Puis il pleut dedans. C'est impossible je sais, mais je peux vous jurer que mon visage est trempée, comme mon menton, le bas de mes joues. Comment un bruit peut-il faire ça.

Peu à peu, tandis que Greg progresse lentement en moi, je me rends compte que ce bruit est humain.

Peu à peu je me rends compte que c'est un hurlement. Comme un être humain peut-il hurler comme cela? Comment peut-il avoir mal à ce point? Comment peut-on lui faire subir une telle chose? Et Greg qui continue à rentrer dans mon corps. Lentement, savourant chaque millimètre de son pénis qui viole mon vagin. C'est horrible comme cela fait mal. C'est une torture absolue. C'est monstrueux.

Mon dieu, je sais enfin d'où vient ce bruit abject. C'est moi, c'est moi qui hurle. De douleur, de haine, d'humiliation, d'anéantissement. Et ce truc que je sens progresser dans mon sexe, comme un serpent énorme, comme un poison. A voir le visage de Greg, on peut dire qu'il aime ça. Autant ce qu'il me fait que ce qu'il entend. Jamais je n'aurais put croire que je pouvais hurler comme cela. Aussi puissamment, aussi longtemps. On y entend tout ce que je ressens. Toute la destruction totale et absolue que ce monstre fait subir à mon âme et à mon corps. Quand à la pluie, c'est mes larmes, ma bave, ma morve, le tout réunit, qui me trempe le visage, le haut de mon torse...

Ça y est, il est entièrement en moi. Il reste immobile, me souriant. Pas un sourire gentil ou bienveillant, non celui du pervers, celui du monstre fier et heureux de ce qu'il fait subir à sa victime. Ce qui se passe actuellement. Lui est le bourreau, moi la victime. Mais au milieu de ce maelstrom je me jure que je me vengerais.

Mais je me mets à hurler plus fort, montant d'un cran dans l'horreur. Il se met à bouger en moi. Pas amoureusement, non, violemment, puissamment, comme si il voulait me tuer de son pénis. Il me détruit, me défonce, sans aucun respect pour mon sexe étroit. Il est gros, bien trop gros pour que je puisse le recevoir sans conséquence. La douleur, mon dieu, cette douleur, sourde lancinante, irradiante.

Non, il fait quoi? Il vient de me cracher dessus. D'abord dans ma bouche grande ouverte sur mon hurlement continu. Puis sur mon visage. Il m'humilie encore plus, me rabaisse comme un animal, un vulgaire animal. Pire, pour lui je ne suis donc plus humaine, je suis juste un sexe, un fourreau pour son pénis.

Je n'en peux plus de hurler, et Greg continue son viol si plaisant pour lui. Moi je me contente de subir et de gémir de souffrance. Ne lâchant qu'un cri quand la douleur est trop forte. Il coulisse mieux, mais je ne mouille absolument pas. Il a dut me déchirer le vagin, cela doit-être mon sang qui lubrifie mon intérieur. Rendant, ainsi, pour ce monstre mon viol bien plus agréable. Mes seins volent dans tout les sens, frappant même mon menton, de les voir ainsi bouger, cela rajoute à mon humiliation, à ma détresse mentale.

Non, non, il accélère le rythme de son accouplement. Il doit jouir ailleurs, mais pas dans mon corps. Je ne prends pas la pilule, je risque de tomber enceinte. Mon dieu, attendre un enfant de lui, un enfant du viol, je ne le supporterais pas. J'ai une peur phobique de la mort, mais là, je crois que je franchirais le pas. Et lui qui va de plus en plus vite. Il respire plus fort. Il gémit maintenant de plaisir. Comment peut-on prendre du plaisir lors d'un viol? Quel monstre doit-on être en détruisant ainsi, psychologiquement comme physiquement une femme? Son amie qui plus est?

Il y va tellement fort, tellement vite, ma tête cogne contre le montant du lit, mes seins ont comme une vie propre tellement ils vont dans tout les sens. Et mon vagin qui me brûle, qui me torture. Sa phrase horrible résonne alors à mes oreilles.

- Je vais jouir, putain, je vais jouir!

- Pas dedans, pitié, pas dedans.

Il se fiche en moi, en entier, je sens ses couilles contre l'intérieur de mes cuisses.

- Trop tard la pute! Je jouis!!! Putain, je jouis!!!

Je sens aussitôt son liquide séminal me remplir l'utérus. Il jouit en grognant, un air de plaisir intense sur le visage. Il envoi un geyser, que dis-je, un tsunami de semence dans mon ventre. Il y en a tellement que ça déborde de mon vagin. Je hurle de nouveau tant son sperme brûle mes chairs interne rendu ultra-sensible par son viol sauvage. Presque comme si elles étaient à vif. Il s'effondre sur mon corps, son sexe toujours en moi. Il colle sa bouche à la mienne. Quand je sens ses lèvres contre les miennes, je les écartent. Sa langue rentre dans ma bouche. Il me roule une pelle, tout en me malaxant brutalement les seins, me faisant mal. Je réponds aux mouvements de sa langue. Je ne veux pas l'énerver, je ne veux pas qu'il me frappe ou me punisse. Puis il cesse son baiser, il se retire alors. Un flot de sperme inonde mon entrecuisse.

Je pleure doucement, il prend ma main, la colle sur mon vagin. Elle se retrouve rapidement trempée de son sperme immonde. Quand il me lâche, je remonte ma main. Il y a du sperme, beaucoup, mais aussi un peu de sang.

- Je ne veux pas mourir...

Tous rigolent. Greg me répond.

- J'y suis aller un peu fort, c'est tout. Juste quelques petites déchirures, c'est normal lors d'un viol, mais je te rassure tu ne mourra pas. On veux garder notre jouet intact.

Leurs jouet, voilà ce que je suis pour eux, un vulgaire sex-toy. Mais sa semence qui coule toujours à flots de mon sexe, me rappelle l'horreur de la situation. Je lui parle en sanglotant, doucement, je n'ai pas la force de parler fort.

- Je ne prends pas la pilule... Je ne veux... pas tomber enceinte...

- Désolé, je ne peux rien pour toi. On a le droit. Ce sont même les ordres.

Le droit, les ordres? Dans l'état traumatique que je suis, je ne comprends rien, je n'arrive pas à penser.

- Lèche-ta main.

L'ordre est sec. Il ne tolère pas le refus.

- Quoi?

- Tu as compris, fais-le de suite si tu ne veux pas que je te battent!

Le viol est suffisant, pas les coups en plus. Alors je porte ma main à la bouche et je la lèche. Le goût du sperme mélangé au sang est infect, je me retiens de vomir. Mais je la nettoie entièrement.

Dès que je repose ma main propre, Jérôme m'attrape par les cheveux, comme si je ne pesais rien, il m'envoie de l'autre côté du canapé. Il me plaque au dos de celui-ci, courbée, fesse tendu vers lui. Il me pénètre aussitôt, me faisant reprendre mes hurlements. Il est un peu moins long et épais que Greg, mais si j'ai sentis la différence dans ma bouche, je ne la sens pas dans ma chatte. La douleur est là, puissante, foudroyante. Surtout qu'il y va plus fort que Greg. Il me tient par les seins qu'il broie dans ses doigts, y laissant leurs marques. Mon vagin est en feu, il me déchire, me détruit encore plus que Greg. Pourtant lui viole un vagin très bien lubrifié par le sperme de mon précédent violeur.

La douleur est plus forte, plus puissante, plus destructrice. Mon corps ne se résume plus qu'à mon sexe tant ce dernier irradie dedans comme un soleil extrêmement douloureux. Je crois que si il avait forcé mon vagin en premier, alors qu'il était aride, il m'aurait tuée. Il aurait déchiré mon intérieur fragile sur toute sa longueur, en plusieurs endroit.

La seule chance que j'ai, c'est que l'on ne peut violer longtemps un sexe avec une telle force, une telle vitesse. Il ne reste en moi qu'une dizaine de minutes, minutes qui me paraissent des jours. Je suis tellement soulagée quand il se fiche en entier dans mon ventre, que même le risque de tomber enceinte d'une deuxième insémination n'est plus aussi important que le soulagement d'être bientôt libérée de son pénis.

Contrairement à Greg, lui se retire aussitôt après avoir jouit en moi. Je glisse lentement au sol, me retrouvant à genoux. Alors qu'un nouveau flot de semence inonde mon entrecuisse, se mélangeant au premier liquide séminal.

Meyer arrive pour prendre son tour. Il détache le bracelet gauche des menottes. Le sang circule de nouveau dedans mon poignet. Avec tout ce qu'ils me font, je ne me suis même pas rendu compte combien j'ai mal aux poignets. Il me fait mettre à quatre pattes, prend mes hanches dans ses mains et il me pénètre en levrette. Je sens une légère différence de taille, mais elle est infime. Tous sont bien plus long et épais que Jeff. Meyer rentre doucement tout son sexe, me faisant juste gémir de douleur. Je lâche juste un cri de douleur quand il me tire violemment la tête en arrière, me redressant le visage.

- Baise-moi! Obéit, sinon je te démonte encore plus méchamment que mes deux prédécesseurs!

Inutile qu'il précise sa menace, je le crois sur parole. Alors, contrairement à ce que je me suis promis, je me met à bouger. Je ne sais pas trop comment faire, mais je vais d'avant en arrière sur son pénis. Plusieurs fois, involontairement je le fais ressortir, et la douleur est terrible à chaque fois qu'il entre de nouveau en moi. Méchamment, violemment. Alors au bout de la cinquième fois, je fais attention à ce que son sexe reste bien dans le mien. Je ne sais pas trop comment faire, alors je fais avancer et reculer tout mon corps sur son pénis. Je suis une pute, je ne me fais pas violer par Meyer, c'est moi qui le baise. Psychologiquement c'est dur à vivre, cette impression de collaborer me donne envie de gerber, au moins autant que ce pénis dégoûtant dans mon corps.

- Plus vite!

J'obéis, accélérant mes mouvements, cela a l'air de le satisfaire, il grogne de plaisir. En rajoutant à mon humiliation. Même si ce n'est pas aussi violent qu'avec les deux autres, mon vagin me brûle. Même si je ne hurle pas de douleur, je grogne tant je souffre.

- Allez, accélère encore salope!

Salope, le mot me fait mal. C'est ce que j'ai l'impression d'être avec ces monstres. Mais néanmoins j'obéis. Tout d'un coup, il serre plus fort ses mains sur mes hanches. Y enfonçant ses doigts. Il se met à me bourrer de puissants coups de reins, manquant me déséquilibrer de surprise. J'arrête aussitôt mes mouvements pour le laisser faire.

Je lâche un petit cri de douleur, il vient de me fesser.

- Continue de bouger!

J'obéis. Accompagnant du mieux que je peux ses mouvements, me synchronisant sur lui. Rapidement il se met à grogner, avant de se planter complètement en moi. Quand il grogne, je comprend que à son tour, il se vide en moi. Me remplissant encore plus mon utérus. Quand il se retire, je m'écroule sur le sol. Je me mets en chien de fusil, genoux contre ma poitrine. Je sens le flot de sperme s'écouler de moi. J'essaie de récupérer. Il vont sûrement me laisser tranquille pour l'instant, chacun à jouit deux fois. En moi, sur moi... Mais déjà Greg m'ordonne de me remettre à genoux.

En gorgeant de douleur, tant ma chatte que je sens grande ouverte me fait mal, je lui obéit. Il me menotte de nouveau les poignets dans dos, me faisant pousser un énième petit cri de douleur, quand il serre les bracelets. Je hurle quand en me tirant par les cheveux, il me fait glisser jusque au milieu du salon. Les trois m'entourent. Leurs pénis souillés de sperme et de mon sang restent mou. Greg ma caresse les cheveux.

- Tu va nous nettoyer.

- J'ai les mains attachées...

- Avec ta bouche idiote!

Greg contre son pénis mou contre mon visage, j'ouvre la bouche et l'avale. Je me mets à le sucer, me servant de ma langue, y mettant le maximum de salive. Alors que je les croyais complètement vidés, je sens le sexe de Greg reprendre de la dureté. Sa voix résonne alors.

- Au fait, on a tous pris des pilules « sexe-dur », donc ne t'attends pas à être tranquille rapidement. On a du stock, donc on va te baiser longtemps.

Sans cesser ma fellation, je me remets à pleurer à la phrase de Greg, qui frappe mon cerveau, révulsé d'épouvante, comme un uppercut... Ma nuit va être encore plus terrible que ce qu'elle n'est déjà, que ce à quoi je m'attendais...

Quand il est de nouveau dur, Greg viole de nouveau ma gorge. C'est horrible comme ça brûle. De nouveau je pousse des cris de douleurs étouffés par son bâillon de chair. Il dure longtemps cette fois, j'ai la gorge sèche, pourtant je bave comme une malade atteinte de la rage. Sa bite est trempée de ma salive. Il me défonce, son ventre heurte violemment mon visage à chaque fois, ses couilles frappent mon menton.

Je ne sais pas combien de temps il viole ainsi ma bouche. Je sais juste que à un moment, il demande à Jérôme de m'ôter les menottes. C'est presque aussi douloureux que le viol de mon vagin, même si, psychologiquement c'est moins dur à vivre. Quand il commence à aller de plus en plus vite, je sais maintenant qu'il ne va pas tarder à lâcher sa semence. Mais cette fois il me demande de lever ma main. Je ne comprends pas pourquoi, mais j'obéis.

Il sort alors son sexe de ma bouche, pose ma main dessus et me fait le branler. Dix seconde après je reçois l'humiliation suprême, il envoi son sperme sur mon visage. Il éjacule sur ma face, c'est incroyable comme c'est dur à vivre. Il m'inonde, j'en ai dans les yeux, les cheveux. Je pleure comme une folle. D'humiliation, bien sûr, mais aussi car le sperme brûle horriblement les yeux. Ça pique comme de l'acide. C'est dingue.

Ensuite je dois sucer les deux autres, eux aussi jouissent sur mon visage. Je suis mortifiée, abattue, mentalement détruite. Je ne connaissais pas les éjaculations faciale, mais ça c'était avant. Je crois que, niveau humiliation et horreur, c'est au même palier que quand il jouisse en moi, risquant me mettre enceinte. A la fin ils me remettent les menottes. Mais à leurs façon de me regarder, je comprends que je ne vais pas me reposer de suite.

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
A quand la suite ???

Histoire extrêmement excitante ... j’attend la suite impatiemment

Merci

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

Bonne histoire et concernant tes fautes elle ne gêne pas la lecture donc c’est pas grave sinon la Clotilde j’espère qu’elle va bien souffrir c grave excitant et je me demande qui donne les ordres peut être le mari je pense

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Clotilde, où vas-tu ?

Texte intéressant, avec encore quelques fautes d'accord qui ne gênent pas la lecture.

Clotilde, Clotilde où vas-tu ?

DesonrageDesonrageil y a plus de 5 ans

Manifestement, soit vous avez fait d'immenses progrès en français écrit, soit vous avez trouvé un correcteur, mais en tout cas, votre texte est sans faute. Pas sans tâche, mais celles ci sont surtout sur l'infortunée Clotilde. J'attends impatiemment la suite.

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