Crescendo Sensuel Partie 01

Voici la première partie de ce qui devrait devenir une série où les relations - et la psychologie - des personnages évoluent d'épisode en épisode "crescendo" du point zéro vers plus d'assurance ... et les sommets du stupre :-)

Tous les personnages ont bien entendu plus de 18 ans

Chapitre 0 : Prologue

CéVé :

Nom : Desgranges

Prénom : Céline

Etat Civil : celibatair

Etude : CFA Agricolle de 15 an à 16an (2015 a 2016)

Experiance : travail a la ferme de mes parents pendan le CFA jusqua maintenan

"Mademoiselle Desgranges, je comprends parfaitement que vous ayez pensé à notre société pour votre reconversion professionnelle dans l'agro-alimentaire mais je suis au regret de devoir vous dire que votre manque de formation générale, particulièrement en ce qui concerne l'orthographe ou le maniement des outils informatiques, ne me permet pas de vous proposer de rejoindre notre équipe commerciale"

"Mais Madame Berger, je connais tous vos produits puisque vous vous fournissiez chez nous avant que j'ai été obligée d'arrêter après le décès de mes parents. Il suffirait que quelqu'un m'aide un peu au début pour que je me mette à niveau ..."

"Je vous crois volontiers mais hélas, chez Bio4U2, nous n'avons pas l'habitude et encore moins le temps de former les nouveaux collaborateurs. Chacun d'entre nous exerce au moins deux fonctions et assure le back-up d'un collègue en cas de maladie. Moi par exemple, je suis à la fois RH et responsable des achats hors matières premières. Les horaires sont infernaux mais la rentabilité de notre société est la meilleure de notre secteur. Tout a un prix."

"S'il vous plaît Madame Berger, j'ai absolument besoin de travailler pour payer les dettes de la ferme sinon, le peu qu'il me reste va être saisi par la banque. Vous n'avez pas un job moins qualifié, comme manutentionnaire par exemple? Comme je vous le disais, je connais vos produits et j'ai déjà conduit toutes sortes d'engins dont des élévateurs.

"Encore une fois, je vous crois mais vous ne me semblez pas avoir le physique d'un ou une manutentionnaire. Est-ce que vous portiez des sacs de 25 kg à la ferme?"

"Non, c'était notre ouvrier qui s'en chargeait mais je travaillais plus de 12h par jour, sept jours sur sept ; j'ai de l'endurance à revendre" ...

La RH regarda d'un air songeur la jeune femme au bord des larmes assise en face d'elle, Elle était assez avenante avec ses cheveux courts tirants sur le roux même si un passage prolongé dans un salon de coiffure, une manucure et la visite d'un site de mode féminine ne pourraient lui faire de tort. Elle avait un physique d'athlète si ce n'était sa poitrine rubénienne qui distendait le pull en V qu'elle portait. Sans doute sa conception des "habits du dimanche". Prise d'une soudaine inspiration, elle ouvrit un tiroir fermé à clef dont elle retira une enveloppe épaisse et une feuille couverte de petits caractères.

"J'ai peut-être quelque chose à vous proposer mais vous allez d'abord me signer cet accord de confidentialité qui comprend un reçu pour la somme de mille euros cash que je vous remets à la signature"

Céline regarda la RH d'un air ébahi. Mille euros, c'était deux fois ce qu'elle tirait de la ferme quand elle tournait et encore, les bons mois. Elle ne prit même pas la peine de lire le contrat mais se dépêcha d'empocher les billets.

Cynthia Berger se racla la gorge et, avec prudence et hésitations, se lança :

"A la fin de ses études, il y a douze ans, M. Raphael Lesserre, notre patron a eu l'idée de cette entreprise et a démarré seul dans le garage de ses parents. Depuis lors, il en a fait le n° 1 du secteur bio/végétarien/diététique/repas à domicile du pays. Mais au prix de sa vie privée. Il travaille 24h sur 24 et 7 jours par semaine. Pour éviter de perdre du temps dans les trajets domicile/travail, il a fait aménager quelques pièces derrière son bureau qui lui servent d'appartement du moins si on peut appeler appartement une cellule de moine qui a pour seul confort un lit, une douche et un frigo. Ni cuisine, ni penderie, TV, radio et autres futilités.

Toujours pour ne pas perdre de temps, il se rabat sur un ou une assistant.e pour lui assurer le minimum vital mais avec ses horaires, je ne compte plus le nombre de burn out et de démissions qu'il a provoqués."

"Ca je pourrais faire, ce ne sont pas les longues journées ni le travail ménager qui me font peur"

"Pas si vite ! J'en arrive au point le plus délicat. M Lesserre a aussi des besoins euh ... masculins dignes de ceux d'un adolescent or, pour une raison que je préfère ignorer, il a une hantise des plaisirs solitaires donc nous avons essayé d'y répondre via des escortes mais le temps qu'elles arrivent, il est déjà passé à autre chose et son humeur se détériore de plus en plus à cause de ces envies inassouvies, ce qui commence à peser sur l'entreprise.

En désespoir de cause, j'ai essayé de l'aider mais étant moi-même heureusement ,mariée; je n'ai pas réussi qu'à le soulager très superficiellement si vous voyez ce que je veux dire"

"Donc vous me proposez de devenir sa bonne ET sa putain"?

Cynthia Berger regarda son interlocutrice. Celle-ci ne semblait ni choquée ni en colère. Elle mettait simplement les choses au point avec sa franchise de terrienne.

"C'est un peu exagéré; après tout une putain couche avec quiconque sort des billets de sa poche; je ne vous demande que de vous occuper que d'une seule personne et en toute discrétion. Officiellement, vous seriez la Xième assistante de direction. Seule vous, moi - et lui - serions au courant des à-côtés pour son bien-être personnel.

En échange, je vous propose un salaire mensuel de 5.000 euros, une assurance complémentaire, le logement gratuit sur place; un budget vestimentaire et des primes à convenir par euh ... prestation. Cela risque de finir par vous plaire car il est particulièrement viril malgré son abstinence"

Céline eut l'impression que son cerveau se mettait à bouillir. Avec cinq mille balles par mois, elle pourrait sans doute rembourser les dettes et sauver sa maison; la seule chose qui lui restait de ses parents mais ...

"J'ai quand même un problème ... A part quelques baisers sur la joue en CFA, je n'ai aucune expérience avec les garçons - ou avec des filles d'ailleurs"

"Ne me dites pas que vous êtes encore vierge à votre âge? 23 ans???"

" Ben oui. Je suis un peu comme M. Lesserre; cela fait sept ans que je n'ai pas quitté la ferme un seul soir même le weekend !"

"Il y a plus d'un moyen de soulager un homme mais je crains que tôt ou tard vous ne deviez passer à la casserole si vous me permettez l'expression."

"Une petite prime d'avance pour ma virginité alors? Pour le reste, je compatis, je comprends et je suis prête à m'occuper des besoins masculins du boss en plus des tâches ménagères. Mais comment voyez-vous la chose? On fixe un horaire ou je dois répondre à la demande?"

"Je vois que le bon sens paysan n'est pas une vaine expression; je laisse donc ce genre de détails à votre discrétion mais je vous conseille de ne pas hésiter à prendre des initiatives. M. Lesserre est un quasi puceau avec des désirs d'étalon" dit la RH avec le sourire de la vainqeure. "Ceci dit, vous imaginez facilement que votre contrat de travail comptera plus de clauses de confidentialité par cm2 que le contrat d'un agent de la DGSE !. Maintenant, j'aimerais faire un petit test, veuillez vous déshabiller .... complètement s'il vous plait."

Céline obtempéra sans broncher et se retrouva bientôt entièrement nue face à la RH qui se leva et vint l'examiner sous tous les angles, un peu comme lorsque son père achetait une jument ou une vache. Elle soupesa même un de ses seins, appréciant leur fermeté malgré leur volume.

"Vos seins sont magnifiques, on voit que vous n'avez pas encore eu d'enfant et pourtant vos mamelons sont bien larges. M. Lesserre va certainement apprécier. Et vous avez un corps musclé, ce qui ne devait pas lui déplaire. A mon avis, vous avez tous les atouts pour le satisfaire."

"Si cela vous convient, voici les adresses de notre médecin conseil pour un check-up approfondi et de mon salon de beauté. Donnez-leur ma carte; ils m'enverront les factures. Pour le prêt-à-porter, on verra plus tard. Pour la prime de ce que vous savez, dès votre entrée en fonction, je vous nousprévoirons deux mois de salaire en tant qu' incentive euh d'entrée !"

Chapitre 1 : Quand Céline rencontre M. Lesserre

Le lundi suivant, c'est une Céline déjà bien plus présentable quoique toujours vêtue de son pull et d'un jeans qui toqua timidement à la porte du bureau RH.

"Madame Berger? C'est Céline Desgranges !"

"Vous tombez à pic; Raphael tient sa réunion du lundi matin avec les commerciaux; profitons-en pour visiter votre nouvel univers."

Elles traversèrent le couloir, franchirent une porte d'apparence banale et se retrouvèrent dans une pièce à peu près vide hormis un lit à une place dans un coin et une barre métallique fixée aux deux murs opposés qui soutenait une rangée de costumes et de chemises identiques et au pied des costumes, une dizaine de paire de chaussures tout aussi identiques et des caisses étiquetées "slips, chaussettes et singlets"

"La salle de bain et le WC sont à gauche et à droite, une chambre qui vous est destinée. J'y ait fait installer un lit à deux places et une penderie. La dernière pièce pourrait être aménagée en cuisine mais je vous laisse faire. Voici déjà une carte de crédit corporate pour l'ameublement et votre garde-robe"

"Et derrière cette porte-là?"

'C'est le bureau de Raphael qui sert aussi de salle de réunion quand il n'y a pas trop de participants comme ce matin"

Cynthia avait à peine fini que la porte s'ouvrait à la volée et un homme grand et brun, plutôt maigre fit irruption dans la pièce. Il s'arrêta interdit              

"Cyn?"

"Bonjour Raphael, je te présente Céline Desgranges qui va dorénavant s'occuper de toi"

"Personne n'a pensé à commander des croissants pour la réunion et je n'ai pas mangé hier soir ! Amenez-moi le reste de pizza au frigo !"

Et il tourna les talons

"Voilà le phénomène, bon courage Céline !" Et Cynthia Berger s'enfuit; laissant la jeune ex-fermière seule dans l'appartement du moine.

Céline, se dirigea vers le frigo et y trouva en effet une pizza à peine entamée qui faisait déjà triste figure. Il y avait une pile d'assiettes en carton au-dessus du frigo, un couteau et un fourchette sales. Elle fit une rapide vaisselle puis coupa un quartier de pizza qu'elle redécoupa ensuite en plus petits morceaux comme sa mère le faisait pour son père quand il passait sa journée dans son tracteur.

Lesserre, comme hypnotisé par l'écran de son PC, ne réagit même pas quand elle déposa l'assiette sur le bureau. Sur sa lancée, elle se dirigea vers la cantine du personnel où elle remplit deux mugs de thé. Un pour elle et un pour son patron, histoire de voir sa réaction.

Quand elle déposa le mug fumant à côté de l'assiette, Lesserre y jeta un bref coup d'oeil, trempa la pizza déshydratée dans le thé et avala le morceau presque sans le mâcher.

La jeune femme se retira dans la chambre qui lui était destinée et se mit à faire la liste de ce qu'elle voulait acheter pour rendre l'appartement un peu plus vivable.

Une heure plus tard elle entendit une voix forte "CAFE !" . Elle retourna précipitamment vers la cantine et revint cette fois avec un chocolat chaud qu'elle déposa à la place exacte du mug de thé vide qu'elle évacua en même temps que l'assiette et les couverts.

"On va bien voir s'il goûte ce qu'il avale" se dit-elle

Sa liste provisoirement terminée, elle commença à inspecter les lieux plus en détail et tomba en arrêt dans la salle de bain, un vrai champ de bataille avec des serviettes qui pendaient un peu partout, des produits de toilette qui gisaient au petit bonheur la chance et une douche qui n'avait plus connu de nettoyage - non, de ramonage- depuis un certain temps.

"Evidemment, avec un ermite qui ne quitte jamais les lieux, impossible d'envoyer le corps de balai" se dit-elle. Elle entassa les serviettes sales dans le couloir, rangea les flacons de bain-douche, les brosses à dents et le dentifrice puis, ô surprise, finit par dégotter des produits de nettoyage sous l'évier. Elle enleva son pull en V et s'attaqua au nettoyage de la douche.

Toute à sa besogne, elle n'entendit pas le bruit le chasse d'eau du WC voisin et était encore à quatre pattes dans l'embrasure de la douche lorsque Lesserre fit irruption dans la salle de bains. Il faillit se laver les mains mais, presque par hasard, son attention fut attirée par le somptueux fessier de la jeune femme accroupie dans la douche.

"Erg" coassa t'il

Surprise; Céline essaya de se retourner mais se cogna la poitrine sur la porte de la douche et jura comme une palefrenière.

"Oh excusez-moi M. Lesserre" lui dit-elle, ayant complètement oublié qu'elle ne portait plus son pull.

Lesserre semblait pétrifié et elle s'aperçut qu'il avait les yeux rivés sur sa poitrine. Habituée à travailler dans les champs couverte de la tête aux pieds, elle n'avait jamais pris garde au fait que ses soutien-gorges étaient plutôt de la variété transparente et ne cachaient pas grand-chose de ses larges mamelons foncés ni de ses tétons érigés par le frottement du tissu.

Lesserre ne bougeait toujours pas mais, malgré son inexpérience, elle ne put s'empêcher de remarquer qu'une grosse bosse déformait l'avant de son pantalon.

"C'est le moment de montrer que tu mérites le job" se dit-elle "Pense à la ferme, pense à la ferme !"

Toujours à genoux, elle s'approcha de son nouveau patron et osa un geste déplacé en caressant le renflement. L'homme avait maintenant une vue plongeante sur le buste somptueux.

Sans mot dire, Céline ouvrit la braguette et se débattit un moment avec le caleçon puis ses doigts se heurtèrent à un suspensoir comme en portent les sportifs en compétition. Dépitée, elle rabattit le pantalon et le caleçon pour faire glisser la coquille vers et bas avant d'extirper un membre viril turgescent. Instinctivement, sa main commença à aller et venir le long de la verge déjà dure comme une branche de vieux chêne mais presqu'aussitôt, un liquide blanchâtre en jaillit et vint s'écraser entre ses seins. Puis un autre jet et encore un puis à gauche et à droite. En trente secondes, le soutien-gorge se retrouva maculé de sperme tandis que le brillant entrepreneur geignait à chaque éjaculation comme un chat affamé .

Les genoux tremblants, il remballa la marchandise dans le suspensoir, remonta sa braguette et sortit de la salle de bains sans piper mot.

Céline ôta son soutien trempé, s'essuya les seins et remis son pull. "Si c'est toujours comme ça, ce sera de l'argent facilement gagné" se dit-elle. "Mais que fait-il avec un suspensoir? Il ne joue quand même pas au rugby dans son bureau?".

Elle se dirigea vers le bureau, ses seins se balançant librement sous son pull.

"Que voulez-vous manger ce midi M. Lesserre?" demanda t'elle impassible

Le rose aux joues; il répondit "Rien merci, je déjeune avec un client potentiel; je ne rentrerai pas avant 15h" puis, sans transition "J'ai bien aimé le deuxième café; très revigorant !"

"Evidemment, c'est la faute au chocolat; mes mamelles n'y sont pour rien ricana t'elle intérieurement.

Puis elle se dirigea vers le bureau de Cynthia Berger

"Madame Berger?"

"Cynthia"

"OK Cynthia, est-ce que nous pouvons parler de l'échelle des primes de prestations?"

"Si cela pouvait attendre demain, il n'y a pas urgence !"

"Ben si"

"Céline, tu as déjà transformé un essai???"

"Un coup de chance mais oui, une petite branlette en vitesse mais une bonne" répliqua t-elle en souriant

"Ah ... J'avais pensé à 50 euros pour le travail manuel, 100 pour une fellation, 150 pour une partie de jambes en l'air et 250 la plage arrière?"

"Ah . ça se fait?"

"La plupart des hommes ne peuvent résister à notre cul jeune fille mais c'est parfois douloureux surtout avec une bite d'âne comme celle de notre Raphael".

Céline qui n'avait aucune idée des dimensions standards d'une verge ne réagit pas d'autant que Cynthia continuait :

"Une dernière chose ma belle : ne te laisse pas aller au piège des sentiments; Raphael, c'est ton boulot , pas ton petit copain. Il ne se laissera jamais aller à une romance et encore moins à un mariage ! Cela ne l'intéresse pas; il n'en n'a pas le temps ..."

"C'est bien comme cela que je l'avais compris"

"Que fais-tu ce midi?"

"Un sandwich en coup de vent puis la chasse aux fringues. J'ai déjà besoin d'un nouveau soutien"

"J'avais bien vu pour le soutien mais je t'accompagne pour le sandwich" conclut la RH.

Le déjeuner se prolongea plus que Céline ne l'avait voulu mais Cynthia était curieuse de tout apprendre sur sa vie passée et rit de bon cœur aux anecdotes fermières, parfois grivoises comme lorsque Céline lui raconta qu'elle aidait le taureau à saillir les vaches.

"Cela ne me change pas tellement finalement" conclut-elle.

Heureusement, la chasse aux fringues s'avéra plus courte que prévu. Avec l'aide d'une vendeuse, la jeune femme trouva tout de suite une demi-douzaine de tenues adaptées au grand public mais se chargea elle-même de trouver des chemisiers diaphanes de deux tailles trop petits pour émoustiller sa cible. Pour la touche finale, elle rajouta une collection de soutien-gorges allant du plus prude aux push ups en passant par des maillots de bains aussi moulants que la boutique pouvait en proposer.

Rentrée au bureau, elle demanda à Mélanie Barr, l'adjointe de Cynthia, de passer la commande du mobilier et matériel de cuisine puis retourna dans l'appartement continuer le nettoyage de la salle de bain.

Vers 18h, elle se rendit compte que le bâtiment se vidait et le silence s'installa. Elle se décida à déranger le boss.

"Que désirez-vous manger ce soir M Lesserre?"

"Un sandwich suffira merci !"

Céline décida d'aller acheter un pain frais et un assortiment de garnitures sucrées et salées pour ne pas lui infliger les restes de la sandwicherie du coin. Elle acheta aussi du vin blanc et du jus de fruit qu'elle mit au congelo pour les avoir bien frais à 19h.

N'ayant pas de plateau de service, elle apporta la collation en plusieurs étapes jusqu'à ce que Lesserre ne réalise qu'elle n'avait dressé qu'un couvert sur le coin de son bureau.

"Vous ne mangez pas avec moi?"

"Cynthia m'a dit que vous préférez manger seul pour pouvoir continuer à travailler"

"Pas ce soir; j'ai gagné un gros client ce midi; je peux faire un break ce soir. On va s'installer à la table de réunion"

Céline retourna chercher son propre souper mais au passage échangea son pull contre un des mini-chemisiers qu'elle noua en-dessous de ses seins, les faisant remonter et saillir à travers le fin tissu.

Lesserre faillit s'étrangler avec son vin blanc et déglutit à grand peine.

"Vous vous habillez toujours comme cela?"

"Bien sur que non, c'est uniquement en votre seule présence !"

"Merci mais je dois encore travailler ce soir, comment voulez-vous que je me concentre?"

"En sachant que je viendrai vous border à l'heure qu'il vous plaira? J'ai aussi du travail."

"Vers 23h?"

"Parfait" répliqua t'elle en compressant sa poitrine au moment où il voulait couper son pain en deux et s'entailla le doigt. Elle se précipita et se mit à sucer la coupure tout en lui fourrant le nez entre ses seins voluptueux. Elle emballa ensuite le doigt dans un kleenex et débarrassa la table en se déhanchant sous les yeux d'un homme au souffle de plus en plus court.

Elle se réfugia dans sa chambre et googlea un site porno sur son téléphone, cherchant à se documenter sur les prestations qu'elle allait proposer à son employeur. Coup de chance, elle tomba vite sur une actrice qui avait une poitrine comparable à la sienne du moins avec des mamelons aussi larges. Assez rapidement, elle tomba sur un extrait où l'actrice faisait jouir son partenaire entre ses seins.