Les Expatriés - Rebecca

Joshua amortit l'effondrement de la femme sexuellement perturbée en la serrant dans ses bras. La soulevant dans ses bras musclés, il la porta jusqu'au grand lit, et la jeta dessus. Un cri aigu de surprise s'échappa de Rebecca lorsqu'elle atterrit sur le lit. Elle a été offusquée et stupéfaite d'être odieusement jetée sur le lit. Elle se retrouvait haletante et troublée tandis que l'Africain commençait à se déshabiller. Son cœur battait la chamade. Elle a soulevé sa tête pour le regarder. Son excitation et sa curiosité ont surmonté sa vexation.

Son regard était fixé sur le renflement du pantalon. Elle craignait qu'un artifice soit dissimulé dans le pantalon pour paraître plus fort, mais elle espérait qu'il n'en soit rien. Dans son ardeur, elle savait ce qu'elle espérait. Elle voulait que ce soit réel. Un membre aussi épais et aussi long qu'elle avait pu évaluer. Quand il dégrafa sa ceinture et fit glisser son pantalon, son cœur bondit dans sa gorge et des papillons bruissèrent dans son ventre. Il ne portait aucun sous-vêtement et un poteau noir se dressait entre ses jambes. Rebecca déglutit et se figea.

Joshua a capté le regard surpris de la jeune femme, et il a éclaté de rire. Il aimait ce regard interloqué dans les yeux des femmes blanches quand elles découvraient la taille de son membre, comme le regard d'étonnement plus tard quand elles avaient tout en elles. Mais le meilleur, c'était de lire la crainte dans leurs yeux après qu'il ait fini de les inonder de sa semence. Dans les yeux écarquillés de Rebecca, il pouvait lire la crainte et l'excitation mêlées. C'était extraordinaire cette crainte qu'il exerçait sur les femmes, accompagnée d'une curiosité malsaine à propos de ce qu'elles pourraient ressentir en acceptant ce monstre en elles.

Même celles qui lui résistaient ne pouvaient se résoudre à partir immédiatement. Rebecca n'était pas de celles-là. Ses faibles efforts de résistance, ses yeux écarquillés, sa bouche sèche, son souffle court, tous ces symptômes indiquaient qu'elle était déjà vaincue. Il attrapa une de ses chevilles, et utilisa sa puissance pour la basculer sur le dos. Il attrapa sa culotte et la tira brusquement sur ses hanches, le long de ses cuisses, et la jeta au sol. Rebecca ne le perdait pas de vue. Elle était allongée, les jambes écartées, et elle regardait les yeux de l'africain parcourir son corps. Un regard de pure luxure et de désir. Jamais aucun homme, ni son mari, ni personne d'autre, ne l'avait regardée avec un tel désir féroce. Son regard descendit plus bas pour voir son membre gigantesque s'ériger.

Un totem noir dressé au culte de la débauche. Elle soupira et laissa retomber sa tête, vaincue. Joshua monta sur le lit. Ses mains agrippèrent ses jambes et les écartèrent. Elle n'opposa aucune résistance, son entre-jambe brillait d'humidité, attirant le regard du mâle pendant que ses cuisses galbées s'ouvraient. Il se pencha sur elle pour prendre son mamelon érigé dans sa bouche et le mâcher. Rebecca sursauta quand les dents grignotèrent son téton. Ses mains se posèrent sur la tête crépue, non pas pour la repousser, mais bien pour la cajoler. Une langue exquise caressait ses chairs meurtries, doux contraste avec les dents acérées.

Cela ne présageait pas d'un accouplement basé sur la douceur et la tendresse, mais d'un coït sauvage exacerbé par une ardente passion. Déjà, Rebecca agitaient ses hanches sous la pression de la main de Joshua qui avait trouvé l'ouverture entre les jambes écartées. Joshua releva la tête. Rebecca se tordait sous la prise de sa chatte et poussait son autre sein vers la bouche vorace. Joshua sourit devant la démonstration du désir de la femme. Puis sa bouche avide s'est emparée de son second mamelon. Rebecca gémit quand les dents tourmentèrent l'aréole sensible, et ses mains agrippèrent sa tête sans la repousser.

La bouche gloutonne envoyait des spasmes à travers tout son corps, et sa chatte s'ouvrait sous la pression des doigts inquisiteurs. Il tira ses cheveux pour pencher sa tête sur le côté, et la bouche insatiable conquit la chair tendre de son cou. Il suçait et léchait la chair exquise, et les cuisses laiteuses se sont pleinement écartées pour laisser le corps lourd de Joshua s'installer entre elles.

- Viens !

- Qu'est-ce que tu as dit?

- Viens, maintenant ! Oh, s'il te plaît, ne me fais pas languir, prends-moi maintenant !

Joshua souriait, plein d'arrogance. Il lui prit la main et la posa sur sa bite. Ses doigts fins agrippèrent son membre, et elle s'émerveilla de sa chaleur et de sa taille. Elle pouvait sentir le sang battre dans les veines noueuses.

- Si c'est ce que tu veux, alors mets-moi dedans !

Rebecca caressait la longueur chaude et palpitante, s'émerveillant de sa texture et de sa dimension. Son désir surpassa son émerveillement, et elle visa son ouverture entre ses jambes. Elle eut un bref remords en se rappelant qu'elle était fertile. Puis, tandis que le gland dodu écartait les lèvres de son sexe, elle posa ses mains sur les fesses rebondies pour l'attirer à l'intérieur. La grosse bite franchit le seuil et les yeux de Rebecca s'écarquillèrent. Elle soupira et enroula ses bras autour de l'Africain. Il savait qu'elle était prête et s'enfonça un peu plus profondément. Rebecca gémit et écarta encore plus les jambes. La bite monstrueuse glissa profondément, et Rebecca chercha à s'ouvrir encore plus.

Cette bite était sans comparaison avec celle de son mari. A la fois plus grosse et plus longue, mais c'était sa texture le plus étonnant. On aurait dit du velours. Malgré tout, elle était convaincue qu'elle était capable de la recevoir. Elle voulait la prendre toute. Une si grosse bite! C'était inconfortable, elle se sentait étirée et remplie. C'était une obsession, mais les parois de sa féminité étaient durement enflammées, et elle craignait de se blesser. Elle leva les yeux vers ceux de Joshua. Son regard de convoitise lui fit battre son cœur. Il semblait regarder à l'intérieur d'elle, tandis qu'il se concentrait sur les sensations que cette féminité étroite lui procurait. La sueur perlait sur son front tandis qu'il poussait plus profondément. Elle ressentait ce glissement qui l'ouvrait, centimètre après centimètre. Elle l'embrassa dans le cou, puis lécha sa sueur. Elle le sentit frissonner, et elle craignit qu'il ne vienne. Mais il se contenta de sourire, orgueilleux et triomphant.

- Tu me veux vraiment, alors?

- Oui, oh oui, je te veux !

Rebecca sentit les lourdes bourses claquer contre ses fesses. De grosses bourses qui contenaient tellement plus de sperme fécond que celles de son mari ! Elle s'accrochait à lui de toutes ses forces tandis qu'elle tremblait dans son orgasme. La maîtrise de Joshua s'est brisée en sentant la femme sous lui trembler d'extase. Il s'est concentré sur le plaisir que lui procurait le fourreau serré autour de sa bite. Il a commencé une baise d'urgence, clouant la jeune femme sur le lit de tout son poids. Il l'a maintenue immobile pour la planter sur le lit avec force et avidité.

Rebecca se sentait oppressée par ce grand corps lourd, mais ses sens se délectaient de la forte domination de l'africain ravageant son ventre de coups durs et féroces. Son mari était beaucoup trop doux et prévenant pour la traiter ainsi.

Quand elle a surmonté sa surprise face à cet accouplement brutal et impérieux, ses hanches se sont soulevées pour répondre à ses poussées. Ses hanches en mode automatique développaient d'elles-mêmes un mouvement de saillie rude et violent. Elle se grisait d'entendre la respiration haletante et pesante de l'homme qui s'accouplait si vigoureusement avec elle. Le claquement régulier de ces grosses boules remplies de sperme contre elle lui rappela la pensée de tomber enceinte et d'avoir un bébé métis.

L'africain sur elle attendait patiemment que son excitation se calme. Puis il a recommencé à la baiser en soulevant ses douces cuisses blanches. La tête de Rebecca retomba sur le lit, et elle caressa les bras musclés de l'homme. Elle se demandait pourquoi elle avait si facilement succombé à son désir. Elle était contente de lui avoir cédé. Ses jambes s'enroulèrent autour de lui pour s'offrir à son amant. Ses chevilles fines verrouillées derrière ses reins, elle utilisait sa prise pour l'absorber. Le tirant en elle tandis qu'il pompait. Elle frissonnait dans l'attente de le sentir jaillir en elle. Il jaillirait beaucoup plus profondément que son mari ! Son excitation redoubla d'intensité.

Joshua s'est concentré sur le vagin serré et fiévreux entourant sa queue. Il aimait la sensation de ces courbes douces et de ces seins écrasés sous lui. Ses cuisses satinées étaient serrées autour de lui, et son joli visage était en sueur sous l'effort. Il sentait l'excitation de la femme grandir, et cela l'excitait également. Il ralentit sa cadence. Sa réponse fut de recommencer à accentuer le balancement de ses hanches sous lui. Puis sa vulve serra sa bite. C'en était trop pour lui et il a giclé. Rebecca sentit la giclée chaude et hurla de plaisir. Quand sa bite a commencé à gicler des jets de sperme chaud et épais, la femme sous lui a tremblé dans un spasme fébrile qui a secoué son corps. Sa bite jaillissait des flots de semence en elle. Les yeux de Rebecca se révulsaient à cause de cette sensation de sperme fécond jaillissant en elle.

Cela ne ressemblait en rien avec ce qu'elle ressentait avec son mari. Elle a levé ses jambes bien hautes, et sa vulve a agrippé le sexe qui la fécondait. Ses muscles intérieurs cherchaient à le presser, à pomper les dernières gouttes de foutre. Joshua a baisé Rebecca tout l'après-midi. Un coït brutal, intense et dominateur avec peu de pauses, qui l'a laissée épuisée. Quand il l'a quittée, elle s'est traînée jusqu'à sa chambre, elle a pris une douche et s'est couchée. Elle s'est endormie, épuisée et repue. Lorsque Robert est rentré du travail, elle dormait à poings fermés. Il a été déçu de ne pas pouvoir fertiliser sa femme ce soir-là. Elle n'a pas revu Joshua, mais elle a continué à rêver de sexe brutal et agressif qu'il lui avait fait découvrir.

Rebecca a encouragé Robert à être plus ardent, mais son tendre amour ne lui permettait pas d'être plus agressif. Lorsque Robert a sut qu'elle était enceinte, il est devenu encore plus doux et soucieux de son bien-être. Dans un moment de folie où Robert était absent, elle est sortie se promener le soir. Elle avait été informée d'être prudente, et de ne pas sortir seule la nuit. Lorsqu'un Africain l'a abordé, son cœur s'est mis à battre la chamade. Elle a levé les yeux vers lui, et elle a vu dans ses yeux la même lueur de folle convoitise qu'avait Joshua en la regardant. Il s'était approché, passant un bras autour de sa taille, et elle l'a suivi dans un bosquet d'arbustes. Tout s'était bien passé, mais elle ne s'est plus jamais éclipsée pour une promenade tardive.

Robert était présent à la naissance, encourageant, attentionné, inquiet, mais un peu choqué en voyant son bébé avec des traits négroïdes. La sage-femme africaine lui a dit que cela arrivait parfois, et que dans quelques jours, sa couleur de peau naturelle prévaudrait. Une semaine plus tard, sa peau s'assombrissait, et leur union était au plus mal. Robert a été inhabituellement en colère. Son approche bienveillante s'était évaporée lorsqu'il s'est rendu compte que sa bien-aimée Rebecca lui avait été infidèle. Après quatre ans d'amour à essayer de la mettre enceinte, sa femme adorée avait laissé un taureau noir injecter sa semence en elle. Il l'a quittée.

Il s'est passé onze mois avant que Rebecca ne revoie Joshua. Deux mois après la naissance de son bébé, elle a finalement trouvé le courage d'aller à l'adresse indiquée sur la carte de visite que Joshua Farsi lui avait laissée. Lorsqu'elle est arrivée à la porte de la villa, l'agent de sécurité a regardé le bébé noir dans ses bras, et l'a laissée entrer sans poser de questions. Elle remonta une longue allée fleurie et frappa à la porte en bois. Lorsque Joshua lui-même a ouvert la porte, il est resté silencieux. Il était toujours aussi imposant que dans son souvenir. Joshua regardait la jolie femme devant lui avec le bébé noir dans ses bras.

- Est-il de moi?

Rebecca hocha la tête, souriante.

- Entre alors !

Il s'effaça pour la laisser entrer, et Rebecca sursauta lorsque sa main caressa ses fesses. Son ventre bruissait.

- Qui est cette femme?

Rebecca leva les yeux devant une femme africaine imposante.

- Cette femme, ma merveilleuse épouse, c'est Rebecca, une dame que j'ai rencontrée à l'hôtel Monopatama, cela doit faire presque un an.

- Il me semble que tu as fait plus que la rencontrer ! La femme africaine riait de sa plaisanterie.

Rebecca se détendit légèrement, mais restait méfiante vis-à-vis de cette femme imposante.

- Qui est-ce?

Une jeune fille africaine a bondi dans la pièce ; elle paraissait tout juste majeure. Elle a vu le bébé et s'est précipitée pour le voir de plus près. Puis elle leva les yeux vers son père.

- C'est le tien? Ses yeux riaient.

- Puis-je tenir mon petit frère? demanda-t-elle en regardant Rebecca avec des yeux suppliants. Dora, la femme de Joshua, proposa d'un ton autoritaire :

- Va promener ton petit frère pendant que nous faisons connaissance !

Rebecca acquiesça, mais elle était anxieuse lorsque son précieux bébé fut enlevé de ses bras, et emmené par la fille aînée de Joshua. La main possessive de Dora se posa sur son cou mince et elle frémit. Elle s'étonnait de la décontraction calme de l'africaine qui n'avait pas sourcillé à la découverte de l'infidélité de son mari. La main sur son cou la poussa en avant.

- Mon mari m'a abandonnée !

Joshua n'a fait aucun commentaire en apprenant qu'elle était libre. Il était déjà en érection en voyant Dora poser sa main sur cette femme qu'il avait engrossée. Il avait tout de suite remarqué que Rebecca avait récupéré sa silhouette rapidement. Joshua n'aurait aucune difficulté à lui trouver un emploi comme escorte dans son cheptel. Il traversa le bureau, suivit par les deux femmes. Dora continuait de pousser Rebecca devant elle, en la tenant fermement par le cou. Joshua ouvrit une porte. Rebecca s'est retrouvée dans une chambre. Ses genoux ont faiblis et son cœur battait à tout rompre. Joshua se dressait devant elle.

- Tu es de nouveau fertile, femme !

Rebecca hocha la tête. Puis elle sentit la chaude main de Dora quitter son cou et sa fermeture éclair s'abaisser.