Les Expatriés - Rebecca

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Une européenne fertile est tombée enceinte dès son arrivée.
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Rainett
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Rebecca traversait le gigantesque hall de l'hôtel en serrant fermement le bras de son mari. Ils n'étaient arrivés à Harare qu'hier soir. Une courte nuit de repos, car ce matin son mari avait un entretien avec son nouveau patron. Émergeant dans la lumière du soleil, Rebecca s'étira, ravie. Il était encore tôt, mais elle savait déjà qu'ici elle n'aurait plus jamais froid. Oubliés, les crachins londoniens. Devant l'hôtel, une voiture attendait, et le chauffeur s'avança pour saluer son mari. Rebecca a été surprise de constater la courtoisie et le respect de la nouvelle entreprise envers son mari. Robert a confirmé son identité au conducteur, qui lui a ouvert une des portes de la voiture. Son mari se tourna vers elle pour lui faire un câlin.

- Je serai de retour pour le déjeuner, et nous sortirons ce soir.

Il jeta un coup d'œil à l'avenue africaine, devant l'hôtel. C'était une ville moderne, mais il sentait peser sur tous ces regards qui les épiaient.

- Mieux vaut rester à l'hôtel jusqu'à mon retour.

- Tu rigoles ! Il y a plein de boutiques, je vais aller faire du lèche-vitrine !

Robert soupira, car il savait qu'il ne pourrait pas raisonner son adorable épouse.

- Fais attention chérie, ce n'est pas Londres ici, et les gens sont différents.

Elle éclata de rire et lui donna une bourrade :

- Ce ne sont que des hommes !

- Oui, mais les hommes d'ici...

- Les hommes sont des hommes, partout dans le monde !

Robert a capitulé, et il est monté dans la voiture. Il regarda Rebecca s'éloigner pour rentrer dans l'hôtel. Sa silhouette gracieuse était la première chose qui l'avait attiré. Ils étaient mariés depuis quatre ans, mais leur incapacité à avoir un bébé commençait à causer des tensions. Il était sûr que ce séjour de deux ans en Afrique serait une diversion bienvenue dans leur vie.

Rebecca ne trahissait aucune trace de l'anxiété qu'elle ressentait d'être laissée seule le premier jour. Robert serait de retour à l'heure du déjeuner. D'ici là, elle voulait se distraire. L'idée de faire du shopping dans des boutiques inconnues était excitante, même si elle n'avait rien de particulier à acheter.

Rebecca sentit une étreinte dans sa poitrine lorsque l'aréopage d'un homme d'affaires africain lui bloqua l'accès à l'hôtel. Le type était imposant et arrogant dans son costume de bonne facture. Les larbins qui l'entouraient lui lançaient des regards mauvais pour avoir eu l'audace de leur barrer la route. Rebecca le dévisagea et son cœur palpita. Il avait un regard pénétrant, chaleureux et malicieux, et elle se surprit à lui sourire. Son sourire s'élargit. Il lui serra la main et, à sa grande surprise, se pencha pour l'embrasser.

- Vous êtes nouvelle ici, n'est-ce pas?

Rebecca hocha affirmativement la tête.

- Ne soyez pas surprise. Harare est un village où tout le monde se connaît. Il n'y a pas beaucoup de belles et élégantes femmes blanches par ici. Voici ma carte de visite. Lorsque vous et votre mari serez installés, appelez-moi, et nous pourrons vous présenter dans la bonne société. Maintenant, si vous voulez bien m'excuser, j'ai une réunion importante à laquelle je ne peux pas différer, dit-il en lui tendant sa carte de visite.

Rebecca examina la carte de visite. Il y avait le nom de Joshua Farsi en relief, celui de la société Zambezi Aggregates, et l'adresse Hatuna Katama, Greendale Road, Borrowdale. Elle la rangea dans son sac sans hésitation. À ce moment-là, le groupe était entré dans l'hôtel. Rebecca retourna dans la chambre pour se changer. Cette brève excursion l'avait trempée de sueur. Elle enfila une blouse ample et un pantalon serré qui épousait la courbe de ses fesses. Elle redoutait qu'une jupe puisse attirer trop la convoitise des locaux.

C'est trois heures plus tard que Rebecca est revenue à l'hôtel. Elle était en sueur et exténuée, mais ravie. Les boutiques locales étaient fabuleuses. Pleines de sculptures étranges, certaines en bois et d'autres en albâtre. Elle avait vu des pierres précieuses de différentes couleurs dans divers contextes. La gamme des instruments de musique africains l'avait étonnée. Les meubles en bois sculpté ou en rotin l'avaient charmée.

Tout était tellement différent de ce qu'elle connaissait, elle savait qu'elle ne s'ennuierait pas en visitant les magasins de Harare. Mais elle n'avait pu aller nulle part sans être au centre de l'attention des africains. Elle avait été surprise de voir si peu de femmes blanches en ville, et elle avait gardé un œil attentif sur les bandes de gamins noirs qui traînaient dans les rues.

Elle rentrait à l'hôtel troublée, avec sa petite culotte mouillée. Ce matin, elle avait à peine parcouru cent mètres en sortant l'hôtel, s'étant arrêtée au feu rouge pour traverser la rue, qu'une main baladeuse avait caressé ses fesses. Elle avait sursauté et s'était écartée, en fusillant du regard l'africain pervers. Mais le regard rieur du type qui fait une bonne blague la déconcerta, faisant fondre sa colère. Et cela s'est reproduit toute la matinée. Chaque fois qu'elle s'arrêtait pour admirer une sculpture ou un joli bijou, un gars sorti de nulle part lui présentait ses hommages en lui caressant les fesses.

Cela semblait être la manière d'aborder les femmes pour les autochtones. Pire, dans la pénombre propice d'un magasin encombré, une imposante érection s'était pressée dans son sillon fessier. Le fait qu'autant d'hommes aient été si vite excités par sa présence la flattait. Sa frayeur initiale s'était estompée en constatant que la plupart des hommes semblaient plus amusés qu'agressifs. Leurs yeux pétillaient de malice enfantine lorsqu'ils la caressaient. Malgré tout, elle préférait s'éloigner pour mettre de la distance entre eux.

La police et les soldats avaient été plus intimidants. Plusieurs policiers avaient exigé de connaître son adresse lorsqu'ils l'ont contrôlée dans la rue. Lorsqu'elle avait donné l'adresse de l'hôtel Monopatama, ils avaient eu l'air très mal à l'aise. Elle avait déjà envisagé que, lorsque l'entreprise finirait par leur trouver un logement, il vaudrait mieux ne pas donner son adresse à un Africain. Les gaillards en uniforme, armés jusqu'aux dents, à l'extérieur des bâtiments gouvernementaux, l'ont intimidée. Elle a lu de l'hostilité mélangée à de la luxure dans leurs yeux, et elle a frissonné en pensant à ce que ce serait le sort d'une femme blanche qui tomberait entre leurs mains féroces. La peur dans son ventre avait été accompagnée d'un durcissement inexplicable de ses mamelons !

Alors quand elle est rentrée à l'hôtel, emballée et troublée, la culotte mouillée, elle avait besoin d'un remontant au bar ! Un cocktail glacé, servi sur la terrasse de l'hôtel donnant sur les jardins, faisait l'affaire. Sa vie allait devenir très différente, ici au Zimbabwe, en comparaison de ce qu'elle avait vécu jusque là. Ce moment de détente fut interrompu lorsque Joshua Farsi arriva sur la terrasse. Suivi par un garde du corps et des serveurs de l'hôtel, comme s'il était le centre du monde, s'activant à son service. En s'installant, son regard passa sur Rebecca, s'arrêta, puis ses yeux revinrent sur elle.

Rebecca essaya de réprimer la rougeur de plaisir que lui procurait le fait que cet Africain, manifestement un personnage important, l'ait remarquée. Il héla un serveur, et quelques instants plus tard, on lui servit un nouveau cocktail. Elle leva son verre dans sa direction en souriant. Il lui rendit son sourire en hochant la tête. Quelques instants plus tard, un autre Africain visiblement important est arrivé, et le ballet des serveurs a recommencé avec le nouvel arrivant.

A ce moment, son mari est apparu en regardant timidement tout autour de la terrasse. Rebecca lui fit un signe de la main, et il sourit en la rejoignant. Il jeta un coup d'œil aux deux verres à cocktail avec une certaine anxiété. Rebecca se rassit dans son fauteuil.

- J'ai fait du shopping.

Robert parut encore plus alarmé.

- Détends-toi, mon chéri, c'était juste du lèche-vitrines. Je te promets que je n'achèterai rien avant ta première paye !

- Ce ne sera pas que du bonus, nous avons besoin de nous installer, et de régler nos dettes en Angleterre.

Rebecca fit la moue. Elle détestait qu'il parle de leurs dettes comme si tout était de sa faute. Elle avait besoin de compenser. Mariés depuis quatre ans, et toujours pas de bébé, c'était frustrant ! Son regard croisa celui de Joshua Farsi, et elle se demanda depuis quand cet homme ne s'était pas inquiété pour de l'argent. Elle eut un petit frisson en pensant aux bébés que ce colosse était probablement capable de produire, et un bruissement lui envahit le bas-ventre.

- J'ai peu de temps, nous devrions commander le déjeuner. As-tu vu quelque chose qui te plaît?

Rebecca regardait Joshua, et ses reins frissonnaient.

- Rebecca?

- Désolée, chéri, je n'ai pas étudié le menu, mais j'ai vu des queues d'écrevisse sur le tableau des promotions.

Robert regardait autour de lui, cherchant le tableau, surpris et intrigué.

- Ou nous pouvons monter dans la chambre et essayer de faire un bébé?

Robert s'est étouffé avec sa gorgée de bière.

- Je suis en chaleur ! a-t-elle déclaré placidement. "Et à plus d'un titre" pensa-t-elle en regardant Joshua.

- Tu veux dire que...?

- Ouais. Je suis de nouveau fertile, depuis ce matin, alors soit tu commandes des queues d'écrevisse, soit tu m'emmènes dans la chambre.

L'angoisse se lisait sur le visage de son mari. Elle soupira et se demanda quoi commander pour le dessert.

- Eh bien, je dois retourner au travail, ma chérie, c'est mon premier jour, et tout et tout. Je dois vraiment faire bonne impression. Cela peut attendre jusqu'à ce soir, non?

Rebecca l'ignora, et fit signe au serveur. Quatre ans de mariage, pas de bébé, et ce n'était pas pour aujourd'hui visiblement. Un vrai mâle l'aurait emmenée au lit et l'aurait baisée sans se préoccuper de l'heure ni de l'endroit, puis il aurait recommencé encore et encore ! Il l'aurait baisée jusqu'à ce qu'elle en perde la raison !

Le serveur arriva et reluqua ses seins tandis qu'elle se penchait en désignant le menu. Elle ignora son regard et commanda des huîtres, juste pour envoyer le message à son mari. De l'autre côté de la terrasse, l'un des serveurs se pencha pour chuchoter à l'oreille de Joshua.

- La blonde de la table 4 est fertile aujourd'hui, Monsieur.

Rebecca n'a rien remarqué, ni le manège du serveur, ni le billet que lui a glissé Joshua en remerciement de cette information. Une demi-heure plus tard, Robert partait précipitamment. Rebecca l'a accompagné jusqu'à l'entrée de l'hôtel. Elle était frustrée, excitée et fertile, mais elle aimait son Robert, et elle frottait ses seins ronds contre lui pour lui rappeler de se précipiter vers elle après son travail. Elle souriait en rentrant, et en le laissant tout excité sur le trottoir. Elle allait monter dans leur chambre pour jouer avec elle-même en pensant à ces noirs affamés qui l'avaient tripotée ce matin.

Elle entra dans la cabine de l'ascenseur et appuya sur le bouton du dixième. Les portes qui se fermaient s'arrêtèrent, puis s'ouvrirent à nouveau. Le cœur de Rebecca a bondi dans sa poitrine lorsque Joshua Farsi est entré dans l'ascenseur. Sa gorge s'assécha et sa chatte s'humidifia lorsqu'il entra, précédé par son arôme masculin qui chatouillait ses narines. Il la dépassa et vint s'adosser au fond de l'ascenseur.

- Comme c'est délicieux de vous retrouver ici ! Avez-vous aimé votre balade matinale dans Harare?

Mais Rebecca s'est rebiffée.

- Qu'est-ce que vous faites dans l'ascenseur? Où allez-vous? Votre carte indique une adresse en ville, donc vous ne logez pas ici !

- Mais nous avons affaire à une détective professionnelle ! Mon entreprise fait partie d'un consortium, et nous louons une suite à l'hôtel afin de pouvoir offrir un hébergement de courtoisie à nos importants contacts d'affaires.

Rebecca se sentit instantanément stupide, tandis que la crainte de ses intentions s'évaporait dans l'embarras.

- Heu... si vous êtes allée explorer Harare avec ce pantalon moulant, vous avez dû avoir du succès !

Joignant le geste à la parole, une main chaude glissa le long de sa hanche et vint caresser sa fesse.

- S'il vous plaît, ne faites pas ça. Je suis une femme mariée.

Mais la main ne cessa pas son exploration, pétrissant les chairs tendres.

- Vous êtes incontestablement une femme, et même une très belle femme.

Rebecca ferma les yeux en sentant un souffle chaud dans son cou. L'audace de l'africain la faisait frissonner. La main sur sa fesse pressait et palpait. Rebecca serra ses fesses en réponse, mais ne fit aucun mouvement pour s'éloigner. Les sensations dans son ventre et dans ses reins étaient troublantes, et une douce chaleur la berçait.

- Combien d'hommes ont caressé ces fesses magnifiques, ce matin?

- Oh, pas beaucoup, peut-être cinq ou six?

- Et ça vous a émoustillée. Ai-je raison?

Rebecca ne répondit rien. Joshua souriait de toutes ses dents. Les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, et Rebecca se précipita dehors. Elle fit un pas vers sa chambre, mais le bras de Joshua encercla sa taille fine, et la retint avant qu'elle ne puisse s'éloigner.

- Où allez-vous?

Le souffle de Rebecca s'étrangla dans sa gorge lorsque le bras puissant l'enlaça. Ses sensations étaient surprenantes. La large et chaude main pétrissait son flanc, et sa virilité se pressait contre elle, envoyant dans son cerveau des tourbillons de sentiments contradictoires. Tout son être fertile réagissait de lui-même à sa virile présence.

- Ma suite se trouve de ce côté. Il indiquait le couloir de l'autre côté. Le cœur de Rebecca battait la chamade. Sa gorge s'asséchait, ses genoux faiblissaient, et ses mamelons gonflés étaient si sensibles contre la dentelle du soutien-gorge. Elle rougit en sentant sa culotte s'humidifier. Tout son corps devenait hypersensible et ce bras chaud et fort sur sa taille lui envoyait des contractions dans l'abdomen.

- Notre suite possède la plus belle vue sur les jardins. C'est pour impressionner nos clients importants.

Joshua l'entraînait dans le couloir, tandis que Rebecca essayait de calmer les battements de son cœur. Il la conduisait vers la suite de son consortium, et elle ne résistait pas, poussée par une curiosité toute féminine. La balade le long du couloir jusqu'à la chambre d'hôtel de cet homme, un africain puissant, a été le moment le plus troublant de sa vie. Elle était sur des charbons ardents, elle transpirait, et sa chatte picotait. Seule la solidité du bras autour de sa taille la maintenait debout.

Rebecca pensait : "Je ne devrais pas faire cela, je suis fertile, et cet homme est si puissant. Si je le laisse faire, je vais être enceinte, c'est sûr !" Elle voulait un bébé depuis si longtemps sans succès. Quatre ans d'attente, d'espoirs déçus, de tristesse. Mais d'un autre côté, si son mari n'était pas parvenu à l'engrosser, c'était peut-être qu'elle n'était pas fécondable? Et si son mari n'y parvenait pas, peut-être que cet homme n'y arriverait pas non plus?

Elle pouvait sentir sa chatte palpiter de vitalité. Elle pouvait sentir sa culotte coller entre ses jambes. Elle se sentait comme le jour de son mariage, et elle avait été si déçue! La piètre performance sexuelle du jeune marié, pendant la nuit de noces, et son manque d'intérêt pour les choses du sexe. Cette longue période de chômage, avec tous ces soucis d'argent. Et ce job inespéré en Afrique. Cette rencontre avec ce personnage rabelaisien, elle tremblait en marchant à son bras, pleine d'espoir. Avec lui, ce sera différent. Cet homme dégageait un magnétisme animal qui la prenait, et ses jambes en coton ne la soutenait plus, elle semblait voler, soutenue par le bras de son séducteur.

Joshua sourit en sentant sa conquête capituler. Cette jolie femme avec son corps élancé, ses seins ronds et sa silhouette svelte, c'était exactement le genre de proie qu'il aimait séduire. Il pouvait la sentir trembler, et il était obligé de la soutenir. Il était rare d'avoir une résistance aussi faible avec une femme. Souvent, c'était ses associés qui rabattaient les femmes blanches avant de les lui livrer. Il savait que sa première femme, Dora, adorerait dresser cette jolie femme blanche. Son sexe palpitait en visualisant l'image. Il baiserait sa deuxième femme, Lasha, en regardant Dora dompter cette jolie poulette.

Joshua passa la carte magnétique devant la serrure et la porte s'ouvrit. Sa main libre glissa le long des reins de Rebecca dans une légère caresse, avant de saisir et de serrer ses fesses rondes en la poussant dans la chambre. Rebecca bondit en avant pour échapper à la main impertinente. Rougissante, elle se dirigea vers la baie vitrée. Le panorama était magnifique, la végétation luxuriante, et la situation dominante permettait de voir les collines au loin. Beaucoup d'enfants jouaient sur les pelouses. Il y avait même un orchestre dans un kiosque. Elle n'avait pas un paysage aussi ravissant depuis sa chambre qui donnait sur l'avenue.

Son intérêt s'est accru en voyant la rangée d'étalages des commerçants qui s'abritaient du soleil sous les grands arbres qui bordaient les allées du parc. Ils semblaient vendre des produits artisanaux. Elle n'avait pas vu tout cela en partant sur l'avenue en direction de la ville, ce matin. Elle suivit des yeux un commerçant noir qui s'éloignait de son stand pour rejoindre des jeunes femmes blanches très court vêtues. Elle assista à ce qui lui semblait être une négociation, sans réellement comprendre, jusqu'à ce que le commerçant enlace une jeune femme et l'entraîne vers les buissons tout proches. Elle porta sa main à sa bouche en réalisant ce qui allait se passer en plein jour dans ces buissons !

Joshua Farsi l'enlaça doucement. Il appuyait son ventre proéminent contre le dos de Rebecca, et ses mains caressaient ses bras de haut en bas. Elle frissonna en reprenant contact avec la réalité. Elle s'émerveillait de la magie de l'Afrique qui lui avait permis de s'évader si rapidement de la réalité. Mais elle était dans la chambre d'un puissant homme noir qui voulait la baiser. Elle se tourna vers lui.

- C'est stupide ! Je dois partir.

Ses bras l'enlacèrent et la pressèrent contre lui, empêchant toute tentative de le repousser. Elle capitula lorsqu'il l'embrassa. Ses lèvres étaient savoureuses, mais exigeantes, et son étreinte était impérieuse. Elle fit une nouvelle tentative pour le repousser en se penchant en arrière. Mais il suivit le mouvement sans lâcher sa bouche, et tandis qu'elle se cambrait, son ventre a dû supporter le contact d'une bosse volumineuse. Ce ne pouvait être son sexe, c'était beaucoup trop gros ! Choquée, elle recula ses hanches. Ses bras puissants la maintenaient contre lui. Elle essayait vainement de le repousser, et s'étonnait de sa force qui contrastait avec celle de son mari ou de ses anciens petits amis.

Une langue impérieuse glissait entre ses lèvres et prenait possession de sa bouche. Rebecca tentait de résister à cette intrusion, et ce combat occupait entièrement son esprit. Vaguement, dans les vapeurs de son ardeur croissante, elle sentit glisser la fermeture éclair de sa blouse. Son esprit ne pouvait gérer toutes ces émotions mélangées. La langue de Rebecca jouait avec celle de Joshua. Sa blouse glissait de ses épaules et tombait en corolle sur le sol. Les mains fortes et ardentes s'attaquaient maintenant à la ceinture de son pantalon.

Lorsqu'une des fortes mains saisit sa fesse par-dessus sa culotte, il la pressa contre lui, et son ventre fut plaqué contre la bosse dure de son pantalon. Sa grosseur semblait palpiter contre son ventre moelleux, tandis que sa main glissait dans son sillon fessier. L'imposante fermeté d'un africain impatient se pressait contre elle, et l'audace de cet homme l'excitait. Les mains africaines prenaient possession de ses fesses, sa bite durcissait en se dilatant contre son ventre, tandis qu'il commençait à la frotter contre elle. Son baiser n'avait rien de tendre. Il était possessif, agressif, exigeant et passionné. Sa raison vacillait. Quand ses doigts épais glissèrent entre ses cuisses par derrière pour saisir sa chatte en ouvrant ses lèvres, ses jambes capitulèrent.

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