L'épouse Lymphatique

«Je vois que tu ne souffres pas de frigidité comme ta mère». « Non Maître» Lili sursauta en écoutant ça, non seulement ce goujat se moquait d'elle mais sa fille semblait d'accord avec ses propos. Ce n'est pas parce qu'elle avait refusé les avances de ce noir qu'elle était frigide.

René se leva tôt, il devait prendre l'avion car son patron l'envoyait au Congo pour un mois. Quand vint le temps de partir, il trouva ça étrange de voir le véhicule de son patron encore dans l'entrée. Le cœur battant il grimpa à l'étage en maudissant son patron de l'avoir envoyé au loin afin de coucher avec sa femme. Ce fut un soulagement de voir que sa femme était seul dans le lit conjugal mais des lamentations parvenaient à ses oreilles et il réalisa qu'il n'y avait qu'une place ou Jamal pouvait être et à entendre son bébé émettre des sons langoureux il pouvait imaginer que son patron lui arrachait toute son innocence. Il du ravaler sa hargne car il lui était interdit d'entrée dans la chambre de sa fille depuis qu'elle avait eu 14 ans, il ne lui restait plus que des soupçons.

Jamal ayant un pressant besoin de faire une pisse ouvrit la porte et René pu entrevoir sa fille à quatre pattes sur son lit le cul dans les airs dégoulinant de sperme. Il aurait préféré que Jamal suive son premier plan plutôt que de s'en prendre à sa chaste fille. Jamal vit son malaise « Comme tu peux voir tu as une fille facile, en moins d'une heure elle m'a offert sa chatte, je suis sûr que ta femme dans le même temps m'aura proposé sa chatte et son cul». René rageait intérieurement, il s'en voulait d'avoir été si ouvert avec son patron.

Dans quel état retrouverait-il Lili dans un mois, maintenant il avait peur. Son taxi venait d'arrivé et il n'eu pas la possibilité d'aller parler avec sa femme. Lili fut réveillée ce matin là par le bruit des ébats dans la chambre voisine, les gémissements de sa fille ne laissaient aucun doute sur la baise que lui donnait son amant. Lili s'efforçât d'éviter Jamal les jours suivant mais pour son plus grand malheur les relations entre sa fille et ce débauché se poursuivirent. Les nuits devinrent un enfer, Élodie était devenue une assoiffée de sexe.

Lili entendait sa fille en redemandé davantage. Jamal était maintenant devenu très autoritaire avec elle et la fessée semblait faire partie du menu quotidien. Les amants passèrent la fin de semaine à l'extérieur. Lili eu la surprise de sa vie en voyant arriver le dimanche après midi deux voitures remplis d'hommes noirs et de jeunes filles blanches. Ils étaient venus profiter de la piscine en cette journée de chaleur.

Lili était déjà en costume de bain, heureusement pour elle c'était un maillot une pièce. Élodie au contraire portait un mini string Sheer Lace laissant deviner à tous un pubis glabre. Lili peinait à reconnaître sa fille, ses deux mamelons pointaient exagérément pour montrer à tous les deux anneaux qui ornait ses tétons percés. Sur sa nuque un tatoue représentant une fille à genoux les bras enroulés autour d'un immense pénis noir et lui donnant un baisé.

Lili était offensée de voir sa fille rabaissée à ce niveau. Jamal remarqua la contrariété de Lili. « Oui mes frères profitent de ma chienne pendant que je cause avec toi». Lili vit deux gars entourer sa fille et commencer à la tâter. Élodie avait déjà glissé ses mains dans le costume de ses abuseurs quand Lili vit Jamal venir à elle lui présentant une érection telle que son gland violacé sortait de son micro string.

Lili était incapable de détourner ses yeux de ce sexe monstrueux, sa chatte devint gluante en quelques instants et pour apporter à son malaise, Jamal restait debout à ses cotés son phallus à quelques pouces de son visage. « Alors belle maman tu ne t'es pas trop ennuyé de nous deux ».

« Premièrement je ne suis pas ta belle mère et je vais veiller à ce qu'il en reste ainsi». « Je suis désolé de te l'apprendre mais elle est maintenant à moi, je l'ai fait tatouée».

Jamal parlait à Lili tout en se tripotant le pénis vicieusement quand il glissa sa main gauche derrière la tête de Lili et força son visage à s'appuyer sur son sexe. Lili se débâtit mais elle eu droit tout de même à un peu de liquide pré-éjaculatoire sur ses lèvres.

«Salaud!» Lili partit en courant se réfugié dans la maison. C'est l'esprit troublé et la chatte humide qu'elle s'étendit sur son lit. Rapidement sa main descendit câliner son clitoris pour apaiser la tourmente de sa chatte, quand sa langue récupéra le miel blanchâtre sur ses lèvres laissé par Jamal, ce geste libertin lui procura un orgasme comme elle n'en avait encore jamais connu puis doucement elle glissa dans une rêverie sexuelle.

Quand elle sortit de sa transe de débauche la première chose qu'elle fit fut d'aller sur internet pour connaître la signification du tatoue que portait sa fille. Pendant sa recherche, Lili pouvait entendre les cries des filles se faisant baiser à l'extérieur ce qui rendait sa concentration difficile. Au bout de 15 minutes elle tomba sur un dessin identique, avec effroi elle découvrit que ce logo était l'emblème privé d'une tribu importante du Congo.

Selon l'information fournie sur l'internet, les kouyous une peuplade d'Afrique centrale avait comme particularité d'asservir les femmes blanches aussi bien que les hommes bêtas d'un peu partout à travers le monde pour en faire des esclaves sexuelles au service d'alphas mâles kouyous et de pratiquer l'insémination raciale forcée afin de rétablir la supériorité de la race noire.

N.B. De nombreux peuples d'Afrique adhéraient de plus en plus à ce nouvel ordre mondial.

Lili jeta un coup d'œil par la fenêtre et vit sa fille prise en sandwich entre deux noirs. Il n'y avait aucune ambigüité, elle se faisait ramoner le cul et la chatte en même temps et elle y prenait beaucoup de plaisirs. « Oh! Ma pauvre enfant, qu'est-ce qu'ils t'ont fait?». « La même chose qui va t'arriver salope». Lili fit un saut, elle n'avait pas entendu Jamal venir dans son dos. « Espèce d'écœurant ». Lili ne termina jamais son énoncé, une baffe la déstabilisa ce qui permit à Jamal de lui arracher son maillot de bain.

Jamal lui empoigna les mamelons qu'il tordit sans pitié la forçant à se mettre à genoux malgré elle. Tirant sur les deux tétines en même temps, Lili eu bientôt le visage à la hauteur du sexe de son bourreau. « Embrasse ton futur maître chienne ». Lili fit signe que non de la tête mais quand Jamal lui tordit les nichons un peu plus fort, Lili avança ses lèvres sur le bout du gland et y déposa un baiser. « Avec la langue pétasse ». Jamal la maintenu d'en cette position pour la soumettre quelque instant mais quand il sentit le mouvement langue que Lili faisait pour lécher son nœud violacé, il la repoussa.

« Tu n'en es pas encore digne salope ».

Lui tirant les tétons vers le haut, il obligea Lili à se lever. Avec facilité il lui glissa 2 doigts dans la chatte. Une bonne pression au bon endroit et il sentit Lili fléchir les jambes pour lui offrir une meilleur pénétration. Mais encore une fois il lui refusa ce plaisir, il retira sa main luisante de mouille et l'obligea à lécher sa propre sève.

« J'en étais sûr, tu es une chienne en manque ». Jamal se retourna et alla rejoindre les autres.

Lili était estomaquée, elle s'était faite traiter de chienne par Jamal, lui avait lécher la queue et maintenant elle était dégoulinante de cyprine de l'avoir fait. Maintenant un manque de plus en plus sombre consumait ses nuits les unes après les autres. Son monde s'écroulait, malgré son manque d'intérêt pour le sexe, elle avait aimé son mari. Présentement elle était éprouvée par cet univers de perversion qui se répandait dans sa maison depuis que cet ignoble individu était entré dans leur vie. Intriguée par la débauche amoureuse que sa fille manifestait pour Jamal et ses amis.

Encore 3 semaines et René serait de retour, il reprendrait son service comme avant et tout rentrerait dans l'ordre, elle lui raconterait en détail les évènements et l'obligerait à mettre son patron à la porte. Cette nuit là, fût plus intense que les autres et au petit matin, incapable d'en écouter d'avantage elle décida de se lever et d'aller plutôt faire son petit déjeuner. Bien avisée cette fois-ci, elle s'assura d'être habillée convenablement.

À l'inverse de Lili, Jamal descendit quelques minutes plus tard vêtu seulement de son sexy caleçon. Lili faillit renverser son café en le voyant, incontestablement, ce bout de tissus ne servait qu'à offrir son phallus en distraction. Lili voyait l'extraordinaire champignon violacé surplombant cette verge démesurée au travers du tissu. La simple pensée que sa fille vierge il y a quelques heures à peine avait été pénétrée par cette queue démesurée fit frissonner Lili. Elle comprenait maintenant la raison de ses lamentations mais ne comprenait pas qu'elle en redemandait encore et encore avec autant d'insistance. D'ailleurs pourquoi l'entendait-elle en demander encore puisque Jamal était en bas avec elle. Voyant son interrogation sur son visage, Jamal dit : « Oui oui ». Lili comprit que ses copains étaient entrain de passer Élodie à la casserole et d'après ses hurlements elle serait bien cuite quand ils en auraient fini avec elle.

Jamal écarta les jambes et Lili eu une vision parfaite de ses testicules. Reprenant un soupçon de dignité, elle s'efforça de rester indifférente à cet exhibitionniste grossier. Sa chatte eu beaucoup plus de misères à détacher son regard de cet énorme sexe. Maitriser le trouble qui montait en elle devenait excessivement difficile d'autant plus que le mouillage sans précédente de sa chatte venait de traverser sa culotte et glissait sur l'intérieur de ses cuisses. Si elle ne faisait rien, Jamal risquait d'apercevoir la preuve de son excitation.

Descendu pour prendre un déjeuner elle aussi, Élodie vint contrecarrer l'échappatoire prévue par sa mère. En se déplaçant, Lili sentait ses cuisses glisser l'une sur l'autre grâce à l'écume anormale qu'elle sécrétait. Lili servit rapidement le déjeuner à sa fille car elle devait quitter rapidement pour le lycée. Jamal attendit le départ d'Élodie pour exiger un café à son tour, la demande fut faite avec autorité mais sans en comprendre la raison, Lili obéit pour la première fois de sa vie à ce qui semblait être un ordre. Nerveusement Lili lui servit le petit déjeuner sans s'interroger sur sa docilité.

Sa servilité permit à Jamal de remarquer le luisant qui ornait l'intérieur des genoux de Lili. Lili surprit son regard sur le bas de ses cuisses, c'est honteuse et rougissante qu'elle reçue le sourire du goujat. L'humiliation fut à son comble quand il dit : « Ton café est délicieux mais son odeur n'a rien de comparable avec la senteur de chienne en chaleur que tu dégages ». Le sang de Lili bouilla dans ses veines et sans hésitation administra une claque au visage de Jamal.

Quand Lili voulu quitter la cuisine, Jamal l'agrippa par les cheveux et de sa main libre lui arracha sa robe de chambre, en moins de 10 secondes Lili était complètement nue. Quelques bonnes claques sur le cul, l'incita à se montrer obéissante. L'emprise sur sa crinière était très efficace et Jamal n'eu aucune misère à la coucher sur la table et en lui pinçant l'intérieur des cuisses il l'obligea à écarter les cuisses au maximum pour lui offrir sa chatte. Trois doigts s'insinuaient dans la chatte poisseuse, pendant que le petit doigt caressait entrée arrière, le pouce lui astiquait le clitoris.

Alors que son point-G gonflait sous les caresses soutenues qu'il subissait, Lili commença à basculer ses hanches pour quémander plus de pression sur cette partie sensible de son anatomie. Graduellement Jamal rapprochait le visage de sa victime vers son sexe et ses testicules, quand le nez aspira l'intense odeur du sexe noir, l'effet fut instantané. La chatte se contracta puis Lili se mit à gémir, c'est au bord d'un orgasme prometteur comme elle n'en avait jamais pressentit que Jamal la laissa en nage. « Noooooooooooonnnnn». « Désolé mais je ne fais jouir que ma chienne »

C'est sans pitié que Jamal la força à le suivre au deuxième. Quand ils furent dans la chambre de sa fille, elle croisa le regard d'au moins 2 autres noirs. Jamal lui offrit sa bite à sucer, encore une fois c'est avec le cul rougit qu'elle se mit à la tâche. « N'avale pas avant ma permission sinon gare à ton cul. » Lili n'avait jamais voulu sucer René car elle détestait l'odeur du sperme. Elle eu un haut le cœur suite aux paroles de Jamal.

« Bon vous autres occupez vous de ses autres ouvertures mais ne la faites pas jouir». Au bout d'une heure et 4 orgasmes déniés Lili la chatte embrasée sentit le bassin de Jamal se raidir, soudain 5-6 bordées de sperme avaient tapissé l'intérieur de sa bouche. Jamal retira sa queue de la bouche de Lili et essuya les dernières gouttes sur son visage. «Tu peux avaler maintenant salope ». Lili déglutit difficilement. « Tu t'y habitueras avec le temps tu verras.»

« Ok les gars on y va, laissant cette chienne tranquille pour qu'elle puisse méditer sur tous les plaisirs sexuels qu'elle goûtera si elle devient ma chienne ». Lili avait jeté un regard implorant vers Jamal mais elle n'eu qu'indifférence en retour. Lili venait malgré elle de franchir une étape importante dans le plan de soumission mère/fille qu'envisageait Jamal.

Lili regarda Jamal quitter avec sa gang, elle resta assise un moment pour assimiler tout ce qui venait d'arriver. Elle régnait sur sa famille depuis longtemps maintenant sa couronne lui échappait, une nouvelle vie aux saveurs d'obéissances semblait poindre à l'horizon, sa tête s'y opposait fermement, elle avait été une femme forte depuis sa jeunesse mais là son sexe faisait valoir des exigences pour la première fois de sa vie. Elle n'avait eu aucune misère à l'ignorer jusqu'à ce jour. Lili maudissait sa curiosité, c'était son troisième regard qu'elle dirigeait sur une boite que Jamal avait laissé sur la table en partant.

Sur la boite une note en rouge, « Ne pas ouvrir avant demain » Elle était chez elle et personne ne lui dirait quoi faire. Alors sans plus attendre elle déchira le couvert, un geste qu'elle ne tarderait pas à regretter. Le contenu offrait toute la panoplie des articles nécessaires pour parfaire sa soumission. Un collier de chien avec une médaille portant son nom, des menottes, une large ceinture, des pinces à seins, un plug anal et un gros dildo noir en forme de pénis. Au fond reposant sur de la lingerie osée un cd vidéo avec mention à regarder sur ton portable.

Lili attendit d'être à l'abri dans sa chambre pour se laisser aller à son désir. Sa fille ne rentrait pas ce soir là alors elle avait toute liberté d'action. Lili glissa le cd dans son portable. Quand les premières images apparues, elle eu une convulsion malsaine, une fille les fesses striées de marques violettes reconnaissait être une chienne soumise à la race noire. Lili pu voir le noircissement de sa fille en direct par au moins 5 noirs. Bien sur Jamal dirigeait les opérations.

Quand René revint de son voyage lui même avait changé, Lili fut surprise de voir qu'il ne posa aucune question sur le tatou qui ornait sa nuque, le soutien gorge lui étant maintenant interdit, les anneaux qu'elle portait aux seins se voyaient au travers sa chemise en nylon mais ils provoquèrent la même réaction. Le soir venu quand Jamal monta au deuxième suivit d'Élodie et Lili portant tous deux colliers et laisses. Ils entrèrent tous les 3 dans la chambre des maitres mais en refermant la porte derrière lui, Jamal fit signe à René d'aller se coucher dans la chambre de sa fille.

René passa une nuit troublante, des lamentations venant de sa fille et de sa femme le tinrent réveillé une partie de la nuit. Lui qui n'avait jamais réussit à intéresser sa femme au sexe devait maintenant être le témoin de la transformation de sa femme en véritable salope et par la même occasion être spectateur de l'initiation de sa fille au sexe noir.

Le lendemain matin Lili rejoignit René dans la chambre de leur fille laissant Jamal parfaire l'éducation d'Élodie. Quand René vit sa femme il n'eu qu'une question « Pourquoi? » Se montrant maitre de la situation, Lili expliqua à René l'histoire de la boite et du cd, sans le savoir en mettant le cd dans son portable la caméra c'était mise en marche et à distance Jamal avait pu enregistrer le désir charnel qui s'était emparée d'elle quand elle avait vu sa fille avec tous ses noirs. L'orgie qui suivit et les demandes répétées à Jamal pour être baisée alors qu'elle se défonçait la chatte avec le gros dildo noir furent ainsi les outils qu'il lui était nécessaire pour en faire sa chienne. Lili tenta de sauver la face en proclamant qu'elle avait été victime de chantage.

René eu du mal à sauver la sienne quand Lili remarqua qu'il portait une culotte rose, elle pouvait voir au travers que son mari était enfermé dans une cage de chasteté, sur sa poitrine un tatou, (un homme à genoux montrant sa dévotion à un énorme pénis noir). Lili se montra compréhensive du moins René le crut-il. « Tout va bien mon chéri, tout reste comme avant, tu as ma permission pour pratiquer tes petits travers sexuels et il semble que quelqu'un d'autre à autorité sur toi. René mit un certain temps avant de réaliser que Jamal en avait fait de sa femme une chienne en chaleur, elle lui appartenait ainsi que sa fille. Étant sous l'autorité de sa femme il en découlait qu'il était sous l'autorité de Jamal aussi.

Le mois suivant Jamal rentra dans son pays avec ses 2 chiennes et un soumis. L'année suivant 2 petits kouyous noirs tétaient leurs mères aux seins blancs. Il en fut ainsi pendant quelques années.