L'épicerie du XVIéme

Informations sur Récit
Alors qu'il lui manquait des oignons, le gentil caissier du...
1.7k mots
4.34
8.1k
1
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Tamokink
Tamokink
4 Admirateurs

Avertissement: Ce texte inclut une scène non-consentie, si vous êtes sensibles à ces sujets, il vous ait recommandé de ne pas le lire.

Etait-elle supposer se débattre? Devait-elle se laisser faire? Impossible d'avoir la bonne réaction, impossible de savoir comment agir. Si elle ne faisait rien, il atteindrait son but, mais si elle se débattait parviendrait-elle à s'enfuir? Et s'il redoublait de violence?

Alors qu'elle jetait ses mains en avant, se rattrapant tant bien que mal sur une pile d'aubergines s'affaissant sous le choc, son esprit en panique tentait de comprendre ce qu'il se passait.

Pourquoi n'avait-elle pas anticipé? Aurait-elle due être capable de prévoir? Etait-ce de sa faute? Elle ne voyait déjà plus d'issue possible.

Tentant se retourner elle sentit cette main puissante sur sa nuque la poussant en avant, son corps s'affaissant dans les tomates qu'elle sentait presser contre son décolleté.

Il n'y a pas 5 minutes elle était encore devant ses casseroles, épluchant des carottes, comment sa journée avait-elle pu prendre cette tournure si rapidement?

Le voila qui relevait sa robe, d'un mouvement vif dénué de toute délicatesse, baissant sa culotte au niveau de ses genoux avant qu'elle ne le devine déboutonnant son jean.

Elle ne comprenait pas ce qu'il se passait. 5 minutes. A peine 5 minutes. Il était tout juste 20h30 quand elle descendit en catastrophe pour acheter ses oignons. La mise en place de son risotto était presque finie et cette tête de linotte avait oublié ses oignons... comment faire un risotto sans oignons? Il n'était peut-être pas encore trop tard, elle avait sauté dans ses escarpins et descendu les marches à la hâte.

Le lourd rideau métallique était déjà baissé devant la porte du Franprix mais les lumières étaient encore allumées. Traversant la rue elle vit son petit caissier habituel en train de compter la caisse au travers des grandes vitres, il restait un espoir. Battant sur le verre elle lui fit un petit signe de supplication, joignant ses deux mains comme pour prier et un sourire s'illumina sur son visage quand elle le vit prendre la direction de la porte.

Dans un bruit mécanique, le volet se soulevât doucement et lorsqu'il arriva à hauteur de ses épaules, elle pu baisser la tête et s'engouffrer dans le magasin.

"Merci beaucoup, je prend juste quelques oignons"

Elle cria à la hâte alors qu'elle s'enfonçait déjà dans les allées, le pas trottinant alors que le volet se rabaissait derrière elle.

_______________________________________________________________

Elle allait voir ce qu'elle allait prendre cette chienne.

Il en avait marre de ces petites bourgeoises, de leur robes à fleurs et de leur fausse gentillesse condescandante.

Toujours à lui lancer des "bonjouuuur" plus faux les uns que les autres, à prétendre être gentille et respectueuses avec lui. Gentilles seulement jusqu'à ce qu'il manque un produit ou qu'un prix soit erronée et qu'elles révèles leur vraies nature et aille se plaindre à son manager, ce même manager qui le forçait à sourire et dire "en vous souhaitant une belle journée" avec la bouche en cul de poule lorsqu'il leur donnait leur ticket de caisse.

Ce matin encore, une de ces connasse s'est permise de le traiter d'irresponsable juste parce qu'il restait des packs d'eau qu'il n'avait pas fini de ranger sur le sol d'un des rayons alors qu'elle se pointait à l'ouverture.

Alors si cette salope qui se pointe aprés la fermeture voulait le voir faire des heures sup', pas de problèmes, elle allait y assister de prêt. Lui faire recompter sa caisse juste pour des putains d'oignons? tu vas les payer tes oignons, cash. Ils s'en foutent tous de toute façon, ils sont pétés de thune dans le quartier, avec leur botox et leurs bagnoles éléctriques...

_______________________________________________________________

Traversant le magasin, elle avait réalisé en passant devant qu'elle n'avait plus de bouillon cube, et ,les attrapant, que quelques épices pourraient parfumer un peu son plat... mais se dépêchant elle ne pris finalement qu'un peu de curcuma et rejoins le fond du magasin, se penchant pour attraper un filet d'oignons sur la rangée la plus basse du présentoir de légumes. C'est à ce moment qu'elle le sentit, derrière elle, agrippant sa fesse et la palpant.

Elle s'était retourné dans un mouvement, furieuse du comportement de ce goujat. Mais n'avait même pas pu parler, à peine lui avait-elle fait face qu'il avait mis une main ferme sur sa bouche et lui avait dis de la fermer, glissant sa main entre ses jambes pour toucher son sexe.

Bien sur elle s'était débattue, mais celà n'avais pas suffit, et dans un mouvement violent il l'avait jeté vers l'éttallage ou elle se trouvait maintenant.

_______________________________________________________________

Sortant sa bite de son pantalon, il bandait déjà fort. Ca faisait un moment qu'il rêvait de baiser une de ses petites bourgeoise.

Va savoir pourquoi, alors que c'est celles qui ont le plus de fric pour bouffer, elles grossissent pas en vieillissant, toutes avec leurs jolis petits mollets et leurs petits culs bien ferme à se trémousser devant lui à longueur de journée.

Mais celle là, elle allait y passer, elle s'était pointée seule aprés la descente du rideau mais ca l'empêcherait pas d'assister au show.

Son petit cul bien exposé alors qu'il le tenait fort, voila sa queue qui se présente a cette chatte trop peu utilisée par son mari trop occupé à remplir ses livrets et qu'il l'écarte de sa belle bite.

La salope est étroite pour une chienne qui a déjà du en voir passer pas mal entre ses jambes, mais t'inquiéte, en forçant un peu ca rentre et la voila de dos en train de se faire démonte.

Elle respire fort mais elle ferme sa gueule, elle a compris qui est son maitre. Il l'a baise encore et encore, il sait que ca ne vas pas durer longtemps, voir ce petit cul le rend fou.

C'est trop bon, aprés quelques vas et vient il se sent glisser dedans sans difficultés, franchement mille fois meilleur que sa main, il aurait du faire ca depuis le début. Cette pute est maintenant lubrifiée et elle encaisse bien. Il tape fort dedans et kiff trop sentir l'intérieur de sa chatte lui caresser le gland.

Plus ca va et plus il tape fort dans le fond, ses boules claquent sur ses lèvres et il adore ca.

Il ne s'arréte un instant que pour la retourner, lui enlever complétement sa culotte avec le pied, écarter encore un peu plus ses jambes, et aprés lui avoir posé le cul dans les aubergines, revenir en elle, une main sur sa bouche pour pas qu'elle gueule, et le voila repartie pour un tour dans cette chatte de luxe.

Elle est trop bonne putain.

_______________________________________________________________

Elle ne pouvait le croire. Son petit épicier avec qui elle avait une si bonne relation, toujours à bien lui dire bonjour quand elle entrait dans le magasin, toujours à lui sourire, était devenu son violeur. Lui faisant a présent face elle pouvait voir les gouttes de sueurs perlés sur sa peau mal hydraté. Il ne l'a regardait pas, son visage penché vers le sol, mais elle voyait sont front luisant aux pores dilatés pendant qu'il s'affairait en elle.

Il sentait la sueur et était sale, elle sentait ses mains poisseuses lui maintenant les cuisses écartées, il ne faisait preuve d'aucune douceur, elle sentait les décharges dans son sexe, comme s'il était en train de le lui déchirer. Les assauts de son large membre n'avaient de cesse. Pourquoi eut-il fallu qu'il soit si gros? Elle le sentait l'élargir un peu plus à chaque passage, la remplir de toute sa taille alors qu'il s'excitait en elle. Elle fronçait les sourcils sous la douleur, il était trop large, trop dur.

Il avait finit par relever la tête, ne la regardant toujours pas dans les yeux mais plutot dans les seins. Ces seins en forme de poire dont elle avait perdu toute fierté depuis la naissance des enfants et qu'il venait de faire s'échapper de leur décolleté.

Il semblait un animal, au dessus d'elle, l'ignorant tout en l'utilisant. Elle sentait la chaleur monter à ses joues, son souffle s'intensifier, ce devait être le stress de ce qu'il pourrait faire de pire. Comme si le fait qu'il soit en elle n'était pas le pire déjà arrivé.. Elle sentait ses seins balancer et son souffle sur elle.

Il allait fort, très fort, trop fort, beaucoup plus fort que ne l'avais jamais été son mari. Il n'était pas seulement beaucoup plus large mais aussi rapide et ferme, elle se sentait complétement impuissante, utilisée sans la moindre considération...

Lorsqu'il aggripa son sein de sa main ferme, elle senti la pression la blesser, elle avait envie de crier mais impossible, il la culbuta encore quelques aller retours avant d'éméttre un long râle de plaisir, les jets de spermes chauds se répandant en elle, le flux était abandonnant et elle sentait son sexe se remplir de son plaisir alors qu'elle ne bougeait pas, tétanisée.

Il resta un moment en elle, comme finissant de se vider, la serrant maintenant fort autour des épaules, le calin d'une bête sauvage. Elle était pétrifiée, il bougeait encore doucement en elle et elle se sentait plus ouverte que jamais...

Quand il se retira, elle sentie une partie de son sperme se répandre. Sans un mot il reboutonna son pantalon et sorti de son champs de vision.

Elle etait finalement libre, ne pouvant le croire, ne pouvant bouger. Libre, les jambes tremblantes, la semence de son agresseur coulant a l'interieur de des cuisses.

« T'as pas intérêt à parler! Et les oignons c'est cadeau! »

Il avait crié depuis une autre allée, comme caché. Quelle générosité, c'etait donc ca son prix? Un filet d'oignons a 3,49 euros?

elle les pris et rentra chez elle, encore sous le choc de la scène, marchant au milieu de la rue sans s'en apercevoir, ses pensées désorganisées.

Tentant de se focaliser sur autre chose, elle se dit que demain elle ferait une ratatouille.

Tete en l'air comme elle est, il n'est pas impossible qu'a la dernière minute elle s'aperçoive qu'il lui manque le vin blanc ou les poivrons... elle se dit qu'alors elle mettra cette petite culotte noir en dentelle que son mari lui avait acheté il y a des années et qu'elle n'avait jamais osé porté car trop vulgaire.

Elle sourit.

Tamokink
Tamokink
4 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
9 Commentaires
Plaisirs54Plaisirs54il y a 8 mois

Une petite préférence pour l’histoire précédente, celle du bureau: sans doute parce que le scénario en situation de travail nous est plus « familier ». Pour autant ces boutiques parisiennes ouvertes tard dans la nuit, ne nous sont pas inconnues lors de nos escapades dans la capitale. Merci pour cet agréable moment de lecture.

AurailiensAurailiensil y a 11 mois

Trop bon ! J'adore ! Court mais on s'en plaint pas, description très vivante. 2 histoires bien différentes on rêve que tu continues comme ça ! Merci

MulierscriptorMulierscriptoril y a 11 mois

Texte intéressant avec pleins d'idées mais il serait intéressant de ne pas oublier de passer un coup de correcteur avant la mise en ligne :-)

Encourageant

Caresses et Soumission

MS

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Très beau texte, rythmé, j'ai beaucoup apprécié d'avoir les deux visions

merci

AnonymousAnonymeil y a 11 mois

Deux histoire sympas le même jour ... ... Encourageant

Montre plus
Partagez cette Récit

récit TAGS

Histoires SIMILAIRES

Un Medecin Très Attentionné Un medecin vicieux profite d une jeune patiente.
La Déchéance de Caroline - 01 Séjour en Afrique - 1ère partie
Sandra - La Discothèque... Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
Le Pensionnat des Oiseaux Recrutement de la prof de maths.
L'emménagement en Banlieue Mère de famille baisée devant son mari et son fils.
Plus d'histoires