Le Sous-Bois

Informations sur Récit
Inceste mère-fils - Chantage.
2.9k mots
3.88
9.6k
1
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
luc1234_
luc1234_
23 Admirateurs

Témoignage 1 : LE SOUS-BOIS

Jeune recrue, je venais à l'époque d'être affecté à la brigade routière de gendarmerie de Rambouillet, et pour cette période d'apprentissage, le commandant m'avait fait faire équipe avec Marcel, un vieux briscard habitué à sillonner la forêt et ses alentours.

« Tu verras, m'avait dit ce dernier lors de notre première sortie, le secteur est juteux... » qu'il voulait dire, mais il ne tarda pas à m'éclairer : la forêt de Rambouillet

Sur l'instant, je n'avais pas compris ce regorge de chemins de traverse propices aux rencontres amoureuses en voiture, et j'ai vite pris l'habitude de partager avec lui des séances de voyeurisme à la jumelle particulièrement... motivantes. La plupart du temps, les couples observés ne se rendaient pas compte de notre présence à distance. Quand d'aventure ils nous avaient repérés, ils s'interrompaient et démarraient précipitamment. Comment aurions-nous pu savoir que les choses allaient changer le jour où mon coéquipier remarqua une voiture qui s'enfonçait dans un chemin creux avec au volant une blonde bien en chair dans la quarantaine et sur le siège passager un adolescent qui pouvait avoir dix-huit ans et qui scrutait les alentours par la vitre d'un air inquiet.

« Dis donc, me dit Marcel, il m'a l'air un peu nerveux, le petit jeune homme... Je crois qu'on va laisser là nos montures. Un peu de marche à pied nous fera du bien... »

Et, abandonnant nos bécanes sous le couvert, nous nous engageâmes à la suite de la voiture dans le chemin, au bout duquel nous ne tardâmes pas à l'apercevoir arrêtée sur le bas-côté. Marcel me fit signe de ne surtout pas faire de bruit et c'est à pas de loup que nous nous approchâmes du véhicule. Quand nous fûmes arrivés à trois ou quatre mètres de celui-ci, Marcel sortit de son étui de ceinturon le téléphone portable qui ne le quittait jamais, l'ouvrit et, en trois enjambées, fut à la vitre. Inutile de vous préciser que j'étais sur ses talons. En quelques secondes, il mitrailla la scène qui s'offrait à nous.

Et quelle scène! Allongée sur la banquette arrière, la jupe relevée jusqu'à la chatte, la femme accueillait entre ses cuisses largement écartées la tête de l'adolescent, qui la léchait avec application. Ce qui cependant me fit bander instantanément, ce fut la vision de son porte-jarretelles et de ses bas couleur chair qui tranchait avec la pâleur laiteuses de ses cuisses. J'avais un jour surpris ma mère rattachant ses bas de même couleur et fantasmait depuis sur les porte-jarretelles. La femme avait les yeux fermés et ses mains s'agrippaient aux épaules du garçon. Au bout de quelques secondes cependant elle perçut notre présence. Elle sursauta, repoussa brusquement le garçon et rabattit précipitamment sa jupe. Trop tard : Marcel avait pris suffisamment de photos explicites. Elle l'avait compris, son ait apeuré le disait assez lorsqu'il frappa la vitre de l'index en souriant.

« Bonjour Messieurs-dames, dit-il en saluant réglementairement quand elle eut nerveusement baissé cette dernière. Gendarmerie nationale. Pouvez-vous me montrer vos papiers? »

Absurdement, contre toute vraisemblance, elle balbutia, affolée, le visage écarlate :

« Ce... ce n'est pas ce que vous croyez... »

A ses côtés, des perles de sueur glissaient sur celui du garçon. Marcel tendit une main impérieuse :

« Vos papiers s'il vous plaît! »

Elle lui lança un regard suppliant, mais réalisa immédiatement devant son air inflexible qu'elle n'avait rien à espérer de lui, et c'est en tremblant qu'elle extirpa de son sac à main sa carte d'identité.

Marcel s'en saisit et se tourna vers l'adolescent :

« La tienne! », intima-t-il d'un ton qui n'admettait pas la réplique.

Je compris à ce tutoiement qui n'avait rien de réglementaire que nous allions nous écarter de la procédure habituelle...

Il confronta les deux cartes qui venaient de lui être remises et fit mine de froncer les sourcils. Je le connaissais assez pour savoir qu'il jubilait intérieurement.

« Même nom, même domicile... Vous êtes apparemment parents? s'enquit-il d'une voix doucereuse.

L'adolecent détourna le regard, paniqué, des larmes brouillèrent les yeux de la femme.

« Oh monsieur l'agent, c'est... oh monsieur l'agent! »

Qu'aurait-elle bien pu dire pour sa défense?

Marcel poursuivait cependant :

« Vu vos âges respectifs, je serais assez enclin à penser que j'ai affaire à une maman et à son fils. Une maman et un fils qui ne peuvent pas trouver leur intimité à leur domicile. Ah ces papas, ce qu'ils sont parfois gênants! Je me trompe? »

La femme à présent se tordait les mains. Son fils (devant son absence de dénégation, le doute n'était plus permis) gardait le silence, accablé. « Mon collègue ici présent va vous détailler les suites de votre petite affaire », dit alors Marcel en se tournant vers moi.

C'était à mon tout d'entrer dans la danse. Je me raclai la gorge, excité par avance par le rôle que mon coéquipier venait de me confier. J'expliquai alors que nous allions lui et moi devoir dresser un procès-verbal circonstancié à l'attention du procureur de la République, procès-verbal accompagné des photographies prouvant le flagrant délit. Ils blêmirent tous deux. La mère eut juste la force d'articuler :

« Mon... mon... mon mari... son père... »

Je levai les bras en signe d'impuissance :

« Que pouvons-nous y faire, Madame? »

Elle éclata en sanglots, son fils déglutit. C'est alors que Marcel intervint, en me demandant d'un air innocent :

« On pourrait peut-être prendre plus de renseignements, tu ne crois pas? »

Je jouai le jeu :

« Plus de renseignements? Qu'est-ce que tu veux de plus?

--Je ne sais pas, Madame pourrait par exemple nous donner quelques détails qui nous éclaireraient sur leur présence ici à tous deux, ça serait peut-être important pour le rapport.»

L'intéressée n'eut sans doute pas sur le moment une pleine conscience de la suite pourtant prévisible, mais elle se dit que c'était là la seule chance qui lui restait, pour infime qu'elle fût.

C'est ainsi qu'elle nous avoua les rapports que son fils et elle entretenaient depuis l'été précédent. Celui-ci était depuis la rentrée inscrit à l'internat d'une école supérieure privée, et c'était elle qui s'était proposée pour le chercher à la sortie du vendredi et le ramener à la maison. En chemin ils avaient découvert ce sous-bois où ils pensaient être à l'abri.

« Et maintenant vous voilà tous les deux dans de beaux draps, soupira Marcel, nous on est tenus de faire respecter l'ordre public, n'est-ce pas? »

Le pervers tenait que la solution au « problème » vienne d'elle. Elle le comprit enfin et, tentant le tout pour le tout, chuchota d'une voix étranglée :

« On... on ne pourrait pas... s'arranger?

- S'arranger? Mais comment? s'enquit Marcel.

- C'est-à-dire que... je peux... je ne suis pas dans le besoin vous savez... Alors si vous acceptiez...

- Vous voulez ajouter aux faits la corruption de fonctionnaire? » feignit de s'indigner Marcel. Elle fit aussitôt marche arrière :

- Non... non... Oh non! »

Nous étions dans l'impasse. C'était à moi d'intervenir.

« Il y aurait bien un autre moyen... », insinué-je. Et j'ajoutai en regardant mon coéquipier :

« Madame n'est pas dans le besoin, mais... elle a tout de même des besoins à satisfaire, apparemment? On pourrait peut-être... l'aider? Qu'est-ce que tu en dis?

- Je n'y aurais pas pensé, répondit le fourbe, mais maintenant que tu le dis... Mais c'est à Madame de décider... Qu'est-ce que tu en dis, toi? dit-il au garçon. Tu préfères que ton père soit mis au courant de vos petites affaires à maman et à toi, ou continuer à jouer comme tout à l'heure... avec nous bien entendu...? »

L'adolecent se tourna vers sa mère, éperdu. Il s'en remettait manifestement à elle. Celle-ci prit une profonde inspiration, et, baissant les yeux et plus rouge que jamais, se lança :

« Vous... vous nous rendriez les photos?

- Ah ça, dit Marcel, il ne faut pas trop en demander. On est régulièrement de patrouille dans le secteur le vendredi. Disons qu'on verrait plus tard ce qu'on peut faire au sujet de ces photos. »

Et sans plus tarder il porta la main à sa braguette pendant que je l'imitai. Une minute après, la brave maman s'occupait consciencieusement de nos trois bites, les nichons à l'air et la jupe retroussée. Son fils n'avait pas l'air mécontent de notre arrangement. A son âge, on se remet vite de ses émotions... Et un quart d'heure plus tard, lui et moi investissions la salope recto verso pendant que Marcel se branlait au dessus de son visage en lui ordonnant de rester la bouche ouverte...

C e fut le début de nos rendez-vous, qui devaient durer deux ans avant le déménagement de cette famille unie à l'autre bout du pays.

Après avoir mûrement réfléchi, j'ouvre ici une rubrique regroupant les divers témoignages sur l'inceste mère-fils que j'ai pu recueillir au cours des vingt dernières années. Ils seront portés à la connaissance des lecteurs au fur et à mesure que ceux-ci manifesteront leur éventuel intérêt.

Témoignage 1 : LE SOUS-BOIS

Jeune recrue, je venais à l'époque d'être affecté à la brigade routière de gendarmerie de Rambouillet, et pour cette période d'apprentissage, le commandant m'avait fait faire équipe avec Marcel, un vieux briscard habitué à sillonner la forêt et ses alentours.

« Tu verras, m'avait dit ce dernier lors de notre première sortie, le secteur est juteux... » qu'il voulait dire, mais il ne tarda pas à m'éclairer : la forêt de Rambouillet

Sur l'instant, je n'avais pas compris ce regorge de chemins de traverse propices aux rencontres amoureuses en voiture, et j'ai vite pris l'habitude de partager avec lui des séances de voyeurisme à la jumelle particulièrement... motivantes. La plupart du temps, les couples observés ne se rendaient pas compte de notre présence à distance. Quand d'aventure ils nous avaient repérés, ils s'interrompaient et démarraient précipitamment. Comment aurions-nous pu savoir que les choses allaient changer le jour où mon coéquipier remarqua une voiture qui s'enfonçait dans un chemin creux avec au volant une blonde bien en chair dans la quarantaine et sur le siège passager un adolescent qui pouvait avoir dix-huit ans et qui scrutait les alentours par la vitre d'un air inquiet.

« Dis donc, me dit Marcel, il m'a l'air un peu nerveux, le petit jeune homme... Je crois qu'on va laisser là nos montures. Un peu de marche à pied nous fera du bien... »

Et, abandonnant nos bécanes sous le couvert, nous nous engageâmes à la suite de la voiture dans le chemin, au bout duquel nous ne tardâmes pas à l'apercevoir arrêtée sur le bas-côté. Marcel me fit signe de ne surtout pas faire de bruit et c'est à pas de loup que nous nous approchâmes du véhicule. Quand nous fûmes arrivés à trois ou quatre mètres de celui-ci, Marcel sortit de son étui de ceinturon le téléphone portable qui ne le quittait jamais, l'ouvrit et, en trois enjambées, fut à la vitre. Inutile de vous préciser que j'étais sur ses talons. En quelques secondes, il mitrailla la scène qui s'offrait à nous.

Et quelle scène! Allongée sur la banquette arrière, la jupe relevée jusqu'à la chatte, la femme accueillait entre ses cuisses largement écartées la tête de l'adolescent, qui la léchait avec application. Ce qui cependant me fit bander instantanément, ce fut la vision de son porte-jarretelles et de ses bas couleur chair qui tranchait avec la pâleur laiteuses de ses cuisses. J'avais un jour surpris ma mère rattachant ses bas de même couleur et fantasmait depuis sur les porte-jarretelles. La femme avait les yeux fermés et ses mains s'agrippaient aux épaules du garçon. Au bout de quelques secondes cependant elle perçut notre présence. Elle sursauta, repoussa brusquement le garçon et rabattit précipitamment sa jupe. Trop tard : Marcel avait pris suffisamment de photos explicites. Elle l'avait compris, son ait apeuré le disait assez lorsqu'il frappa la vitre de l'index en souriant.

« Bonjour Messieurs-dames, dit-il en saluant réglementairement quand elle eut nerveusement baissé cette dernière. Gendarmerie nationale. Pouvez-vous me montrer vos papiers? »

Absurdement, contre toute vraisemblance, elle balbutia, affolée, le visage écarlate :

« Ce... ce n'est pas ce que vous croyez... »

A ses côtés, des perles de sueur glissaient sur celui du garçon. Marcel tendit une main impérieuse :

« Vos papiers s'il vous plaît! »

Elle lui lança un regard suppliant, mais réalisa immédiatement devant son air inflexible qu'elle n'avait rien à espérer de lui, et c'est en tremblant qu'elle extirpa de son sac à main sa carte d'identité.

Marcel s'en saisit et se tourna vers l'adolescent :

« La tienne! », intima-t-il d'un ton qui n'admettait pas la réplique.

Je compris à ce tutoiement qui n'avait rien de réglementaire que nous allions nous écarter de la procédure habituelle...

Il confronta les deux cartes qui venaient de lui être remises et fit mine de froncer les sourcils. Je le connaissais assez pour savoir qu'il jubilait intérieurement.

« Même nom, même domicile... Vous êtes apparemment parents? s'enquit-il d'une voix doucereuse.

L'adolecent détourna le regard, paniqué, des larmes brouillèrent les yeux de la femme.

« Oh monsieur l'agent, c'est... oh monsieur l'agent! »

Qu'aurait-elle bien pu dire pour sa défense?

Marcel poursuivait cependant :

« Vu vos âges respectifs, je serais assez enclin à penser que j'ai affaire à une maman et à son fils. Une maman et un fils qui ne peuvent pas trouver leur intimité à leur domicile. Ah ces papas, ce qu'ils sont parfois gênants! Je me trompe? »

La femme à présent se tordait les mains. Son fils (devant son absence de dénégation, le doute n'était plus permis) gardait le silence, accablé. « Mon collègue ici présent va vous détailler les suites de votre petite affaire », dit alors Marcel en se tournant vers moi.

C'était à mon tout d'entrer dans la danse. Je me raclai la gorge, excité par avance par le rôle que mon coéquipier venait de me confier. J'expliquai alors que nous allions lui et moi devoir dresser un procès-verbal circonstancié à l'attention du procureur de la République, procès-verbal accompagné des photographies prouvant le flagrant délit. Ils blêmirent tous deux. La mère eut juste la force d'articuler :

« Mon... mon... mon mari... son père... »

Je levai les bras en signe d'impuissance :

« Que pouvons-nous y faire, Madame? »

Elle éclata en sanglots, son fils déglutit. C'est alors que Marcel intervint, en me demandant d'un air innocent :

« On pourrait peut-être prendre plus de renseignements, tu ne crois pas? »

Je jouai le jeu :

« Plus de renseignements? Qu'est-ce que tu veux de plus?

--Je ne sais pas, Madame pourrait par exemple nous donner quelques détails qui nous éclaireraient sur leur présence ici à tous deux, ça serait peut-être important pour le rapport.»

L'intéressée n'eut sans doute pas sur le moment une pleine conscience de la suite pourtant prévisible, mais elle se dit que c'était là la seule chance qui lui restait, pour infime qu'elle fût.

C'est ainsi qu'elle nous avoua les rapports que son fils et elle entretenaient depuis l'été précédent. Celui-ci était depuis la rentrée inscrit à l'internat d'une école supérieure privée, et c'était elle qui s'était proposée pour le chercher à la sortie du vendredi et le ramener à la maison. En chemin ils avaient découvert ce sous-bois où ils pensaient être à l'abri.

« Et maintenant vous voilà tous les deux dans de beaux draps, soupira Marcel, nous on est tenus de faire respecter l'ordre public, n'est-ce pas? »

Le pervers tenait que la solution au « problème » vienne d'elle. Elle le comprit enfin et, tentant le tout pour le tout, chuchota d'une voix étranglée :

« On... on ne pourrait pas... s'arranger?

- S'arranger? Mais comment? s'enquit Marcel.

- C'est-à-dire que... je peux... je ne suis pas dans le besoin vous savez... Alors si vous acceptiez...

- Vous voulez ajouter aux faits la corruption de fonctionnaire? » feignit de s'indigner Marcel. Elle fit aussitôt marche arrière :

- Non... non... Oh non! »

Nous étions dans l'impasse. C'était à moi d'intervenir.

« Il y aurait bien un autre moyen... », insinué-je. Et j'ajoutai en regardant mon coéquipier :

« Madame n'est pas dans le besoin, mais... elle a tout de même des besoins à satisfaire, apparemment? On pourrait peut-être... l'aider? Qu'est-ce que tu en dis?

- Je n'y aurais pas pensé, répondit le fourbe, mais maintenant que tu le dis... Mais c'est à Madame de décider... Qu'est-ce que tu en dis, toi? dit-il au garçon. Tu préfères que ton père soit mis au courant de vos petites affaires à maman et à toi, ou continuer à jouer comme tout à l'heure... avec nous bien entendu...? »

L'adolecent se tourna vers sa mère, éperdu. Il s'en remettait manifestement à elle. Celle-ci prit une profonde inspiration, et, baissant les yeux et plus rouge que jamais, se lança :

« Vous... vous nous rendriez les photos?

- Ah ça, dit Marcel, il ne faut pas trop en demander. On est régulièrement de patrouille dans le secteur le vendredi. Disons qu'on verrait plus tard ce qu'on peut faire au sujet de ces photos. »

Et sans plus tarder il porta la main à sa braguette pendant que je l'imitai. Une minute après, la brave maman s'occupait consciencieusement de nos trois bites, les nichons à l'air et la jupe retroussée. Son fils n'avait pas l'air mécontent de notre arrangement. A son âge, on se remet vite de ses émotions... Et un quart d'heure plus tard, lui et moi investissions la salope recto verso pendant que Marcel se branlait au dessus de son visage en lui ordonnant de rester la bouche ouverte...

C e fut le début de nos rendez-vous, qui devaient durer deux ans avant le déménagement de cette famille unie à l'autre bout du pays.

luc1234_
luc1234_
23 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
mandragore79mandragore79il y a 5 mois

L'histoire est très bien !

Juste une petite chose,... elle est en double...

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

La Transition L'Eveil d'un Doué au Pouvoir !
Otages Une jeune fille et son père sont pris en otages par un mysté
Croisière Chap 01 Un père part en croisière avec ses filles et sa niéce
Marion pervertie par sonbeau-père Reese profite de l'incorporationde de son fils dans l'armée.
Une Bru En Manque, Un Beau-Père Trè Beau papa se dévoue pour apaise les envies sexuelles de sa...