Le Pt'io... Suite.

BÊTA PUBLIQUE

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Farid est debout à attendre. Sa queue est tendue et me semble énorme avec ce gros gland rouge. Si j'accepte, je passe un sale quart d'heure. J'ai vraiment pas envie de la prendre dans le cul. Mais que se passerait-il si je refuse?

Pas l'habitude de fuir mes engagements. Surtout vis à vis de mon meilleur pote. Si je ne vais pas jusqu'au bout du jeu, quelque chose sera irrémédiablement rompue entre nous. Il s'impatiente

- Alors Alex? Tu décides quoi?

Je me lève, pousse ma chaise. Face à la table, j'écarte mes jambes et me penche pour poser ma poitrine sur la nappe. Mes mains ouvrent mes fesses et maintiennent ma raie bien offerte. Je reste immobile et offert à attendre son bon vouloir. Ma queue pend lamentablement.

Il ouvre le tube et pose le bouchon devant mes yeux. Le gel coule sur ma raie. Îl repose le tube froissé à côté du bouchon. Ses doigts étalent le lubrifiant sur mon trou.

- Je vais aussi m'en mettre sur la bitte pour que ça glisse bien. Je veux pas te faire trop mal mon pote ni abîmer ton joli petit cul de blanc.

Il s'essuie la main dans un torchon qui rejoint le tube sur la table. Il m'empoigne les hanches. Je ferme les yeux. Je sais comment il pratique. Je frémis, mais garde mes fesses bien écartées. J'imagine sa bitte qui s'approche de mon œillet plissé. Je l'ai vu souvent s'enfoncer toute brillante dans des trous ouverts et qui ne demandaient que cela.

- Ne bouge plus Alex

Je sens son gland buter contre mon trou. Maintenant, il va légèrement bouger sa queue ct fléchir ses jambes pour bien être dans l'axe de pénétration. C'est ce qu'il fait. Je lâche mes fesses qui se referment, emprisonnant le membre bien dur. J'attrape les rebords de la table et je serre les dents. Il tient fermement mes hanches. D'habitude, il pousse de plus en plus fort sans jamais relâcher la pression, jusqu'à ce que le passage s'ouvre et il s'enfonce d'un trait jusqu'au fonds.

- T'es prêt Alex?

Je ne réponds pas, me contentant de bien tenir les rebords de la table. Son gros gland circoncis et bien pointé contre mon trou glissant. Le bout a très légèrement ouvert mon trou et ne peut pas déraper.

- On y va pour ton dépucelage

La pression augmente, je serre les dents. Le gland pousse de plus en plus fort. Mon muscle résiste. Il augmente la puissance. Mon cul est en train de s'ouvrir. Je commence à avoir mal. Les muscles résistent de moins en moins. Le gland entre millimètres par millimètre. C'est gros, trop gros. Il n'entrera jamais.

- Décontracte toi Alex.

Facile à dire. Il pousse encore plus fort. Mon cul s'ouvre d'un coup. Le gland pénètre entièrement. Je crie de douleur. Il ne ralenti pas, au contraire, il me tire à lui. D'un coup, mon cul capitule. Mon trou explose. Sa bitte entre d'un coup, une fois que son gland à détruit le pucelage. Je gueule, il s'en fout et s'enfonce bien au fonds. Mon ventre va exploser. Mon anus me brûle. Je ne crie pas.

Putain ce que cela fait mal, une bitte d'homme!

Comment ils font les autres?

Le sexe de Farid continue sa progression dans mes entrailles. Le gland bute contre mes intestins. J'ai envie de pisser. Ou de chier. Je ne sais pas. Il est en moi. Mon cul est bien serré autour de sa bitte. Il s'arrête enfin, et reste bien planter. Je pousse un long soupir de soulagement.

- Ton cul a pas résisté longtemps Alex.

- Enfoiré.

- Tu l'a jusqu'à l'os mon pote. Et c'est pas fini Alex. Ce n'est que la première étape.

Il commence à bouger en moi sans sortir. J'ai l'impression qu'on me retourne de l'intérieur. Il m'ouvre la pastille par des mouvements latéraux. Mon anus se moule à la taille de sa queue. Je bande!

Mon cul s'élargit souplement. La douleur devient supportable. Il commence à me tringler lentement. Il ne sort pas son gland. La hampe coulisse parfaitement dans mes reins. Ma bitte est aussi dure que la sienne. Il a jouté de la crème.

- Tu vois mon pote. Maintenant t'as le trou aussi large que ma bitte. En avant pour la troisième étape

Il accélère progressivement le mouvement. Je le laisse m'enculer. Je n'ai pratiquement plus mal. Cela me surprend. Je sens parfaitement son sexe tapait dans mes reins. C'est bon. Pas mauvais du tout. Sa grosse bitte va et vient de plus en plus vite entre mes fesses. Son bassin tape contre elles régulièrement. Ses poils râpent mes chairs. J'ai le cul à vif. Je suis très étonné de la facilité avec laquelle j'arrive à prendre sa bitte dans sa totalité.

Je bande à fonds. Il s'en aperçoit.

- T'as la gaule Alex... J'ai l'impression que t'aime ma bitte...

Il me lime de plus en plus vite. Et sort brusquement.

- Le temps est passé mon pote.

Je me redresse. J'ai un peu mal au cul. Ma bitte est à son apogée. Il la regarde, un léger sourire aux lèvres.

- T'aurais dû t'astiquer le nœud pendant que je te cassais le cul.

Il me donne un dés.

- Dernier coup.

On lance. Je gagne. Le regarde droit dans les yeux.

- Tu finis ce que tu as commencé mec.

Il rit aux éclats pendant que je reprends la position. Je serre les dents quand son gland me fore le trou. Une fois qu'il est entré, je me branle pendant qu'il me tringle. On jouit ensembles. Il me libère.

- Je crois qu'on a besoin d'une bonne douche. Surtout toi Alex.

J'ai un peu de mal à marcher. Mes anus coule. Il a le sexe un peu sale. Je vais au toilette. Nous prenons ensemble notre douche. Sentiments partagés de gêne. Nous nous sommes savonnés. Je ne savais pas quoi dire. C'est lui qui a rompu le silence.

- Alex?

- Ouais

- Ça te fais quoi d'être un enculé

- Enfoiré vas. Tu ne perds rien pour attendre

- T'as pas pu mec. Pourquoi t'as pas voulu de mon cul? T'aime pourtant les culs de mec?

- Pas le tient

- Moi j'adore le tient.

Nous étions couverts de mousse. Je me lavais les fesses et la raie.

- Tu ne m'as pas répondu. Ca fais mal de se faire enculer?

- Mal... Au début...

- Et après?

- Ça va mieux. Mais je ne le ferai pas avec un autre.

- Moi j'ai beaucoup aimé ton petit cul de français. Tu te rends compte Alex! Tu viens de te faire enculer par un arabe. Ton meilleur pote en plus.

- Et toi t'as aimé lécher un cul de français

Il m'a longuement rincé. Ses mains étaient sur mes fesses.

- J'ai adoré Alex... Le tient seulement...

Il a remis ça. Je me suis branlé en même temps. Mon sperme s'est écrasé sur le carrelage blanc.

C'est comme cela que je me suis fait enculer par Farid la première fois. Depuis nous recommençons assez souvent. Je n'ai jamais accepté avec d'autres mecs. Je ne l'ai jamais enculé non plus. Pas envie.

Nous avons tout raconté à Néneh. Cela ne l'a pas du tout étonnée.

oooOOooo

Je reviens lentement de mes souvenirs. La langue de Farid est toujours plantée dans mon cul. Sur le lit, Néneh a relevé ses jambes en les écartant au maximum comme si elle était sur une chaise de gynéco. Le jeune la baise frénétiquement. Il n'est même pas essoufflé. La fille feule. Je reconnais ces bruits de félin, annonciateurs d'une sacrée jouissance. Manifestement, il sait aussi y faire avec les nanas, ce jeunot. Dire qu'il y a un mois, il était puceau.

Je me branle en offrant mon trou à la langue insidieuse de mon pote. La scène sur le lit, les souvenirs de notre partie de dés et la langue dans mon cul vont venir à bout de ma résistance. Je ne peux bientôt plus me contrôler. Mes jets de foutres partent à toute vitesse et atterrissent sur le dos du jeune qui se met à pousser un râle. Il a empalé sa bitte au fonds de la chatte noire. Ils jouissent ensembles et moi avec. J'arrête de me masturber.

- Arrêtes Farid

Mon pote se redresse. Il me claque les fesses.

- J'adore ton cul Alex

Le Pt'io lui, après un bref arrêt, remet cela. Néneh nous dit que ce môme est super et qu'il est increvable.

Ça doit être la première fois qu'il se fait une nana.

- Il est endurant ce môme. Presque plus que vous mes poulets... Vas-y mon chéri. Bourres moi bien... Vas-y à fonds de toutes tes forces. Je la sens bien... Tu vas être un sacré baiseur toi...

- Ouais. Faut dire qu'il a de qui tenir

C'est Farid qui a parlé. Néneh nous lance un regard intrigué, mais elle oublie vite sous les coups de piston du morveux qui l'a tringle sans relâche.

Les feulements reprennent très vite remplacés par des cris de gorge très rauques qui vont crescendo avant d'exploser dans la pièce. Néneh et en train de prendre un pied divin et personne à l'étage ne doit l'ignorer. Pour un non initié, cela a quelque chose de stressant, mais nous on s'en fout.

Le môme manque d'être désarçonné par les sauts de carpe de la fille. Elle le plaque contre elle, la tête entre ses seins. Il reste là, immobile et haletant au rythme de la fille.

Farid abandonne mon cul et se relève. Nos bittes pendent entre nos jambes. Nous sommes frustrés et quelque peu en colère face à ce môme qui se débrouille si bien avec sa première nana. Même si c'est vrai, que toutes les filles ne sont pas comme cette superbe métisse. Néneh pousse le môme qui tombe sur le lit à côté d'elle. Il est pris en sandwich entre la fille et le mur.

Elle allume une cigarette de hasch, en tire quelques bouffés avant de la tendre au môme couché à côté d'elle. Il prend la cigarette, fume quelques tafs avant de partir dans une quinte de toux magistrale qui nous fait rire. Apres de longues secondes à cracher ses poumons, il se calme enfin et rend la cigarette d'un air dégoutté. Il ne sait même pas fumer ce jeune con. Et contrairement à la baise, il ne veut pas apprendre. Il nous énerve.

Nous venons nous asseoir au bord du lit. Farid me tend une canette que j'accepte en remplacement de leurs cigarettes. Je ne fume pas autre chose que du tabac, mon pote, oui et plutôt deux fois qu'une. L'odeur si reconnaissable se répand dans la pièce.

C'est Néneh qui rompt le silence en s'étirant.

- Vous le connaissez depuis longtemps?

- Qui?

- Lui là, le jeune

- Depuis trois semaines

- C'est votre pote?

- Pas vraiment non

- Ha? C'est qui alors

- Un mec de la fac.

- Vu le nombre de fois où vous y allez vous deux, ça m'étonne que vous connaissiez des mecs.

- C'est pas tout à fait cela.

Le môme se tourne contre le mur sans un mot. Vu imprenable sur son petit cul blanc collé, contre la hanche opulente de la fille.

- Expliquez les gars. J'aime me faire tirer mais j'aime aussi savoir par qui.

Elle éclate de rire avant d'ajouter

- Quoique celui-là, mignon comme il est, il aura juste à demander poliment. Et je connais quelques copines à qui il n'aurait même pas à demander pour qu'elles écartent les cuisses. Ce jeune va faire des ravages dans nos rangs. Faut que je prévienne toutes les copines.

Elle se fout de nous. Mais je sens qu'elle n'a pas tort. Et cela m'énerve et énerve aussi Farid. Je sens qu'il va exploser.

Bingo! Il parle méchamment.

- Sa mère aussi, il suffit qu'on lui demande poliment

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