Le Projet De Groupe

Je me présente, je suis Emmy DeNeuve. Jeune étudiante de 20 ans en fac de droit à Bordeaux. Blonde, fine avec des formes avantageuses, je n'ai pas à me plaindre. Mes études se passent plutôt bien et je profite de mes amis et ma famille dès que je peux. Mes parents sont de riches commerçants à Bordeaux et j'ai donc un train de vie plutôt aisé. En plus de ça, je suis plutôt bonne élève voire très bonne élève et beaucoup de personnes ne m'aiment pas à cause de tout ça.

Je pourrai vous en citer plusieurs mais celle qui m'harcèle le plus et sans aucun doute Ines. Une jeune fille arabe de 20 ans elle aussi qui prend plaisir à m'humilier en public de toutes sortes de manières.

Aujourd'hui, c'est vendredi, dernier jour de cours avant le week-end. Je rentre en classe de droit économique et me place au premier rang comme d'habitude. À la fin du cours, le prof nous donne un devoir express pour lundi prochain :

-Vous devez faire un travail à 2 sur le thème du droit économique dans l'union européenne.

Outre le fait que le thème m'a l'air ennuyant à mourir, le plus problématique est le fait que ce soit un travail à 2. Je n'aime pas partager mon travail et préfère tout faire moi-même pour être sûr qu'il soit bien fait! J'attends donc avec impatience la personne désignée par le problème pour être avec moi.

-Emmy et Ines, vous ferez votre boulot ensemble!

Je crois rêver, c'est pas possible, tout sauf elle! Je me retourne et je vois qu'elle me regarde avec un petit sourire en coin, elle a l'air de trouver tout cela très amusant.

À la fin du cours j'essaye de négocier avec le prof mais rien n'y fait. Je me résous donc à faire mon boulot avec cette garce.

D'ailleurs la voilà qui arrive...

-Alors on va chez toi? Tes parents sont pas là? demande-t-elle pleine d'assurance.

Je n'avais pas vraiment prévu d'inviter cette furie chez moi et pour tout dire, ça me déplaît fortement mais elle continue :

-Allez, dépêchons nous, j'ai pas envie de traîner avec toi tout le week-end.

Je bredouille quelque chose et fais un hochement de tête. Je ne sais pas pourquoi je n'ai même pas la force d'essayer de lui tenir tête sur le coup.

On se dirige vers la voiture et elle s'installe sur le siège avant tout en étendant les jambes en dehors de la vitre.

-Et fais pas ça, ça salit ma voiture! m'exclamai-je, choquée par tant d'aplomb.

-Tais-toi! Je fais ce que je veux c'est clair? rétorque-t-elle

J'ai envie de répliquer mais je me dis que plus vite on a fini ce projet, plus vite je serai débarrassé d'elle. Je prends donc sur moi et me dirige vers ma maison.

Nous arrivons dans ma villa en banlieue. Ines siffle d'admiration et déclare :

-Eh ben, vous ne vous faites pas chier vous. T'es vraiment une petite bourgeoise en fait.

Je rougis sous cette accusation et m'avance pour ouvrir la porte. L'intérieur de notre villa est bien entendu aussi luxueux que l'extérieur et Ines ne tarde pas à me le faire remarquer.

Je m'aperçois qu'elle regarde avec intérêt nos photos de famille. On peut y voir mes parents, moi, mon petit frère, tout juste 18 ans il est en terminale, et notre chien. Ma mère avait toujours voulu avec ce petit chien que je n'aimais pas particulièrement et qu'on appelait Roxy.

-Viens Ines montons dans ma chambre, dis-je timidement. Je ne sais pas pourquoi mais mon harceleuse m'intimide.

On arrive dans ma chambre et là, stupeur, j'ai oublié de ranger mon gode ainsi que mon œuf vibrant. Toute cette histoire m'a tellement embrouillé le cerveau que j'ai totalement oublié que j'étais partie en vitesse.

Ines découvre donc mes jouets sur le lit et se précipite pour attraper le gode avant que je ne puisse le cacher.

-Bah alors mademoiselle sainte nitouche! On joue la bourgeoise première de la classe mais on a besoin de gode pour être comblée?

-Rends-moi ça Ines! C'est pas tes affaires s'il te plaît!

J'essaie tant bien que mal de la supplier mais rien n'y fait, elle s'attarde maintenant sur mon œuf.

-Vibrant et télécommandable à distance! Tu t'es fait plaisir! Mais bon j'imagine que quand on a de l'argent comme toi on peut se le permettre. Tu l'utilises pour faire quoi? demande-t-elle, amusée.

-Je ne te le dirai pas et rend-moi tout ça!

-Moh allez Emmy DeNeuve, on commençait à s'amuser! raconte-moi ça et je te raconte quelque chose moi aussi si tu veux.

Je suis surprise qu'elle m'ait appelée par mon nom complet, sûrement trouve-t-elle ça plus marrant compte tenu de la situation. Je n'ai pas envie qu'on s'éternise sur le sujet alors je craque.

-Bon ok... Je l'utilise à table pendant des repas de famille ou dans les transports. Voilà c'est tout.

-T'es vraiment une coquine. Se branler à côté de ses parents et son frère. Vous les bourges, vous êtes des gros vicieux. Je suis sûr que le reste de ta famille ne vaut pas mieux.

Je suis choquée par ce que j'entends et je m'oppose en lui disant d'arrêter de raconter des bêtises. Je pensais que beaucoup de filles faisaient ce genre de chose avec des œufs et je commence à me remettre en question.

-Et le gode c'est pour quoi coquine?

Je veux rétorquer qu'elle ne peut pas m'appeler comme ça mais je n'y trouve pas la force et je réponds à sa question.

-Bah je l'utilise le soir pour me doigter. Dis-je en rougissant jusqu'à la racine des cheveux.

-Tu m'étonnes, il doit bien te défoncer! Tu as vu la taille! Une vraie bite de noir. Je suis sûr que ta mère a le même!

Je ne dis rien et laisse l'affront passer. Mais le fait qu'elle dise que les familles bourgeoises sont toutes vicieuses m'interpelle. Cependant, je veux maintenant qu'elle respecte sa part du marché, je suis peut-être curieuse sur le coup.

-Et toi alors raconte-moi quelque chose, tu avais dit que tu le ferais.

-T'as envie de savoir hein! en disant cela elle sourit. Je vais te raconter comment la dernière fois, j'ai contraint une fille hétéro et bienpensante à me lécher la chatte.

Je ne m'attendais pas ça, je ne sais pas pourquoi mais j'ai envie de connaître la fin de son histoire. J'écoute donc attentivement.

-Cette petite salope se pensait tellement meilleure que les autres que je ne pouvais pas la laisser comme ça. Je l'ai tiré par les cheveux dans les toilettes et je l'ai forcé à me lécher, puis je me suis occupé d'elle et tu sais quoi? À la fin elle en redemandait.

Je suis subjugué par ce que je viens d'entendre et honteusement je me rends compte que ce récit ne m'a pas laissé insensible. Ines continue et je bois ces paroles.

-C'était une petite bourgeoise comme toi. Tu sais j'ai remarqué que les filles comme ça ont souvent besoin de se laisser diriger. Ça les fait jouir de se faire contrôler par des gens inférieurs à elle. Tu ne trouves pas?

Je suis prise complément au dépourvu. Je rétorque tant bien que mal quelque chose. Je ne veux pas qu'elle capte mon trouble.

-Euh... Je ne sais pas... Peut-être...

-Je suis sûr que tu n'es pas très différent d'elle! Mais on n'a qu'un seul moyen de le découvrir non? dit-elle avec un regard espiègle.

Le temps que je réfléchisse à ce que cela signifie, Ines me saute dessus. J'essaie de me débattre mais je suis totalement dépassé par sa force. Je me retrouve sur le dos avec elle à califourchon sur moi.

-Laisse-moi te prouver que j'ai raison petite coquine! crie-t-elle en me baissant mon bustier.

Je me retrouve en soutien-gorge devant elle. Elle ne tarde pas à baisser les balconnets pour libérer ma belle paire de seins donc je suis assez fière. Elle les presse et fait rouler mes tétons entre ses doigts. En faisant cela, elle plante son regard froid et provocateur dans le mien. Je me sens clouée et impossible pour moi de bouger.

Elle tire maintenant la pointe de mes seins, me faisant sursauter de douleur. Je pousse des petits jappements qui l'amuse.

Elle se déplace d'au-dessus de moi et retire son jean ainsi que son string. Elle se repositionne au-dessus de moi et dépose sa chatte sur ma bouche. Elle m'ordonne de la lécher.

Je ne comprends pas ce qu'il me prend, je suis allongée dans mon lit en train d'hésiter à lécher la chatte de ma pire ennemie. Et le pire c'est que je n'ai même pas pensé à fuir pendant qu'elle retirait ses vêtements.

Trouvant que ça traîne trop, elle me pince les tétons et la douleur me fait ouvrir la bouche. Ma langue rentre en contact avec sa cyprine déjà abondante, elle doit être excitée depuis un moment.

-Vas-y! Applique-toi sale chienne! Fais-moi jouir!

Les insultes à mon encontre me font l'effet d'une décharge et je sens mon vagin qui s'engorge de mouille. Au début timide, je commence à m'enhardir au fur et à mesure qu'elle m'insulte et me pince les seins.

Elle est maintenant trempée et sa mouille me recouvre le visage. Ma langue s'agite à grande vitesse dans sa chatte et Ines commence à délirer m'insultant de salope de bourge ou de blanche cochonne. Je mordille alors son clitoris ce qui la fait jouir sur le coup.

Pendant quelques secondes, elle reprend son souffle, allongée sur le lit. Je suis choqué par ce que je viens de faire, et pourtant je crois que jamais ma chatte n'a été si humide.

Après avoir repris ses esprits, elle me demande de me lever et me déshabiller. Je veux protester mais elle me claque les seins et me promettant une gifle la prochaine fois.

Je me lève donc et me déshabille entièrement. Mes seins lourds pendent, tétons dressés. Ma poitrine se soulevant à cause de ma respiration saccadée due à l'excitation.

Moi la fille de bonne famille vient de lécher la chatte de ma pire ennemie, et en plus une arabe. Cette pensée me rend folle d'excitation mais je ne peux pas le montrer.

-On va t'habiller comme la salope que tu es! s'exclame Ines. Tu as quoi comme habits sexy?

On fouille dans mes affaires mais rien ne lui convient. Je l'emmène donc dans la chambre de ma mère. Ici, elle me choisit une lingerie appartenant à ma mère. Avec un porte jarretelle, sans string et un haut laissant sortir mes seins, j'ai vraiment l'air de la salope donc elle parle depuis tout à l'heure.

Ines fait le tour de la maison et passe dans la chambre de mon frère. Je la suis, tête baissée.

-Tu penses que ton frère se branle sur toi? me demande-t-elle vicieuse.

-Euh je ne sais pas! Décidément, elle a vraiment des questions perverses.

-Avec tes gros seins sous son nez toute la journée, ça m'étonnerait pas le pauvre.

Je ne réponds rien, réfléchissant à ce qu'elle vient de dire.

Elle passe un doigt sur la chatte et s'écrit :

-T'es trempée coquine. J'en connais une que ça dérangerait pas si son frère se branler sur elle. C'est ça?

-Hmm... je ne réponds rien, rouge de honte. J'avoue avoir déjà pensé à cette possibilité...

-J'ai pas entendu salope? Tu aimerais que ton frère se branle sur toi?

En disant cela, elle me caresse le vagin avec son doigt. Elle va me rendre folle... Elle pince mon clitoris et je gémis :

-Oui... Oui... ça m'exciterait! dis-je dans un souffle.

-Je t'avais bien dit, les familles bourgeoises comme les tiennes sont toujours des dépravées refoulées.

Elle prend alors un caleçon à mon frère et me le met en bouche.

-On lui laissera un petit cadeau tout à l'heure! Suis-moi salope on va s'occuper de toi!

Je me surprends à la suivre avec un empressement étrange. Je suis ma nouvelle maîtresse qui est nue, tandis que moi, 20 ans fille de riche commerçant je marche, en jarretelle et avec le caleçon de mon frère en guise de bâillon.

Elle m'ordonne de me positionner sur le lit et introduit mon œuf vibrant au fond de mon vagin. Il rentre facilement ma chatte étant trempée. Elle commence à s'amuser avec la télécommande et les vitesses des vibrations. Elle observe, amusée, sa soumise se tortiller sur le lit en gémissant.

Mon excitation est décuplée, je gémis sans retenue contractant mon vagin pour essayer de me faire jouir. Cependant, vicieuse, elle s'arrête toujours juste avant, me laissant pantelante et haletante.

Alors qu'elle s'apprête à me fesser le cul, un bruit de porte se fait entendre au rez-de-chaussée. Je me rends compte qu'il est déjà 16h et que c'est ma mère qui est à présent à la porte. Je regarde Ines, paniquée, mais cette furie n'a pas l'air stressée. Elle m'ordonne d'aller dans mon armoire, toujours bâillonnée et l'œuf éteint dans ma chatte.

Ma mère s'appelle Claire, elle a 45 ans et est toujours bien conservée, disons que c'est moi avec 25 ans de plus...

-Emmy tu es là? crie ma mère à travers la maison.

Pas de réponse, je l'entends monter les escaliers et pousser un cri de stupeur. Elle a dû tomber sur Ines. Depuis mon armoire j'essaie de suivre la conversation.

-Mais qui êtes-vous et que faites-vous chez moi? demande ma mère interloquée.

-Bonjour Mme DeNeuve, je suis Ines une amie de votre fille, on devait faire un projet de cours ensemble. Répond Ines sèchement.

-Et je peux savoir où est ma fille à présent?

-Bien sûr suivez-moi Mme DeNeuve! déclare Ines

Je devine qu'Ines amène ma mère dans ma chambre. Je ne sais pas quoi faire. J'hésite entre sortir et tout dire à ma mère, mais ça veut dire qu'elle me découvrirait nue avec le caleçon de mon frère dans la bouche. Mais si je n'agis pas qui sait ce que fera Ines de ma mère.

Pour l'instant je décide d'attendre et de voir ce qui va se passer.

-Alors où est-elle? questionne Claire ma mère

À ce moment-là, Ines ferme la porte à clé. Elle se retourne vers ma mère et la plaque sur mon lit.

-Arrête de te débattre salope!

Ma mère rugit et crie à Ines de la lâcher mais Ines réussir à passer au-dessus d'elle. Elle lui fourre un autre caleçon à mon frère dans la bouche, l'empêchant de crier. Ma mère gémit dans son bâillon, regardant le caleçon de mon frère les yeux pleins d'interrogations.

Ines en profite pour lui lier les mains entre elles avec un lacet de chaussure et bientôt ma mère ne peut plus donner que des coups de jambes. Ma dominatrice lui fesse le cul jusqu'à ce qu'elle se calme. Je vois ma mère en rage mais tout de même un peu apeurée, allongée sur mon lit. Ines remonte son haut au-dessus de ses seins.

-Pas de soutien-gorge salope! Ça t'excite de montrer tes gros seins ou quoi? En disant cela elle retire le caleçon de sa bouche.

-Non c'est mon mari qui me l'a demandé... rétorque ma mère.

Je suis choquée par ce que j'entends, mon père et ma mère auraient des jeux entre eux comme ceux-là.

-Où est ma fille? Je vais appeler la police! Menace Claire.

-Ta fille n'est pas là pour l'instant, tu es toute à moi... Et quant à la police bientôt, je te donnerai une raison de ne jamais les appeler.

Ma mère la regarde, apeurée et décontenancée par l'assurance de cette adolescente de l'âge de sa fille. Ines se saisit des tétons de ma mère et les tire vers le haut lui arrachant une plainte de douleur. Malgré tout je vois ses tétons s'ériger donnant un sourire à Ines. Ines en profite alors pour mettre ma mère à nu tandis que celle-ci se débat mollement. Elle se saisit alors du gode et le fait sucer par ma maman. Claire refuse d'ouvrir la bouche mais Ines lui pince le nez jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche pour respirer. Ma dominatrice en profite alors pour le faire coulisser dans la bouche de sa nouvelle proie.

Suite à cela, elle se retourne et se place en 69 au-dessus de ma maman, elle plonge le gode dans la chatte de Claire et je me rends compte avec indignation que le gode rentre comme dans du beurre. Ines a l'air de s'en rendre compte aussi car elle s'exclame :

-Madame est comme sa fille! Une grosse cochonne!

-Comment parlez-vous de ma fille?! Qu'est-ce qui vous fait dire ça?! s'exclame ma mère.

Mais Ines ne lui laisse pas le temps de finir et pose sa chatte sur la bouche de maman.

-Lèche salope! Lèche-moi pendant que je te pistonne!

Depuis mon armoire, je contemple avec effroi ma mère lécher la chatte que j'ai léchée il y a à peine 30 minutes. Ines, de son côté, fait de grand va et vient avec mon énorme gode dans la chatte de sa nouvelle soumise. Le gode ressort luisant de sécrétion et re rentre aussitôt. Honteusement, je me rends compte que ce spectacle ne me laisse pas indifférente, l'excitation de tout à l'heure y joue sûrement quelque chose aussi. Tout à coup, je sens l'œuf vibrant toujours dans ma chatte s'activer!

Je faillis tomber sur mes genoux mais je me retiens à la porte. Je vois Ines qui me regarde, amusée, la main sur la télécommande. Alors elle fait un geste des plus vicieux et pervers que je n'ai jamais vus.

-Tiens salope, appuie là-dessus! Ordonne-t-elle d'un ton autoritaire à ma mère.

Claire, qui est occupée à sucer le clitoris d'Ines et à lutter contre le plaisir qui monte en elle, ne se rend même pas compte de la nature de l'objet qu'elle a dans la main et appuis sur la télécommande. Les vibrations repartent de plus belle et me rendent folle. Mes genoux tremblent et j'observe, le regard fou d'excitation ma mère pousser ses premiers gémissements.

Ines la démonte à présent, avec force et de son autre main et lui caresse le clito. Claire, elle, tente de reprendre son souffle et pousse des petits cris tout en martelant le bouton de mon œuf vibrant. Elle ne se doute pas qu'elle est en train de faire jouir sa propre fille à l'autre bout. Ines en faisant cela, profane des paroles d'une perversité absolue :

-Imagine si ta fille pouvait nous voir là hein! Qu'est ce qu'elle dirait de sa chienne de mère.

-Et ton fils, je pense qu'il banderait comme un fou s'il voyait sa mère se faire dominer et jouir comme ça!

-Tu vois le caleçon de ton fils, on va le remplir de ta mouille de pute et on le lui remettra dans son armoire après!

Maman, les yeux révulsés, boit ses paroles et balançant son bassin à la rencontre du gode. Soudain, Ines mordille le clitoris de ma mère qui part dans une jouissance folle. Son corps se tend et elle lâche un cri strident. Cette vision couplée aux vibrations du gode me fait jouir moi aussi et je m'écroule sous le plaisir, tombant sur la porte qui s'ouvre en un fracas.

Je me retrouve allongée à terre, sans pouvoir bouger, à reprendre mon souffle, tandis que ma mère me dévisage, transpirante et haletante. Ines nous regarde, avec un sourire satisfait et une lueur terriblement perverse dans le regard...