Le premier déploiement de Julia 03

Mais Vincent ne se contente pas de ma main qui va et vient sur sa virilité, il soulève mon bassin et se glisse dessous, sa bouche vient chercher ma chatte, qu'il entreprend de lécher, nullement gêné par sa propre semence qui s'en écoule encore. Hum, quelle bonne idée de sa part! J'ouvre les cuisses pour lui donner un meilleur accès, alors que je suce Maxime avec encore plus d'enthousiasme, ce qui a pour effet de le faire bander tout à fait honorablement.

La langue de Vincent ne tarde pas à me faire de l'effet, d'autant que je suis encore très sensible, je gémis involontairement alors que je suis bâillonnée par le membre de Maxime. Mais je ne veux pas le lâcher, j'aime tellement le sucer, le sentir devenir dur dans ma bouche, sentir le poids de sa main sur mon crâne, m'incitant à le prendre jusqu'à la gorge...

-- Allez Maxime, on change, j'ai bien envie qu'elle me suce, maintenant.

-- Vu comme c'est bon ce qu'elle me fait, je te dirais bien d'aller te faire voir, mais d'un autre côté, j'ai très envie de prendre ta place et de lui bouffer le minou, répond Maxime.

À moi, personne ne demande mon avis... Mais continuer comme ça tout en permutant mes partenaires, ça me va!

Il ne faut pas longtemps pour que je me retrouve avec la verge de Vincent en bouche, et cette fois-ci, son érection ne laisse rien à désirer. Je le suce avec autant de plaisir que j'en avais à sucer Maxime.

Mais holà! Qu'est-ce qu'il me fait? Ma parole, Maxime a une langue magique! Il sait exactement quoi faire au bon endroit, avec la bonne intensité et la bonne durée. Mon excitation monte en flèche, il me fait grimper aux rideaux! Je m'efforce cependant de me concentrer sur ma fellation, et faute de pouvoir gémir, je pousse de profonds soupirs.

En plus, Vincent ne se contente pas de profiter passivement de ma bouche, non seulement il m'encourage par la parole, mais il s'empare de mes seins. Mes pointes sont encore sensibles des manipulations précédentes, et ses doigts augmentent encore mon excitation.

Je ne tiens plus, je n'ai plus de souffle, je dégage ma bouche de la verge de Vincent, que je branle instinctivement.

-- Ah!... Oh! Non Maxime... Vincent... Ahhhh! Arrêtez, vous allez me faire jouir...

-- Ne t'arrête pas, Maxime, justement j'ai bien envie de la voir jouir, cette belle salope! Après, on profitera d'elle. T'en fais pas, Julia, on te baisera aussi à couilles rabattues, tu vas voir!

Et les mains de Vincent s'en prennent à mes seins avec encore plus de vigueur, tandis que la langue de Maxime accélère ses délicieuses caresses sur mon clito, qu'il aspire entre ses lèvres. Je sens l'orgasme monter à toute vitesse, impossible d'y résister.

- Ah! AAAHHHHHHHHHH! Non... OUIIII! OUIIIIIIIIII!!!

Je suis presque tétanisée par la jouissance, puis je me relâche en haletant, je m'affaisse sur Maxime, la tête reposant sur le ventre de Vincent.

Moi qui voulais mener le jeu, quel succès... Ils ont réussi à me faire jouir sans que je vois le coup venir, cet orgasme est venu tellement vite... Mais c'est délicieusement bon, je suis comme dans du coton, bercée par les dernières vaguelettes de ma jouissance. J'entends leurs voix, je comprends ce qu'ils disent, mais tout cela est lointain, ils parlent de moi, mais à flotter dans mon nuage, je ne me sens pas concernée.

-- T'as vu comme elle a joui? Elle ne fait pas semblant quand elle prend son pied celle-là. Quelle chaudasse!

-- J'ai vu et j'ai même goûté... Ça coulait bien quand elle a joui, figure-toi.

-- Veinard... Maintenant on va la baiser, tous les deux. Elle est bien crevée, mais ça va la réveiller, de se prendre deux bonnes bites! Et je te parie que ça va lui plaire. Cette fois-ci, c'est moi qui la prends par le cul. Ça marche?

-- Ça marche. Tout à l'heure j'ai dû finir trop vite, ce coup-ci, j'ai envie de la baiser à mon rythme.

Je sens qu'on me soulève, qu'on me met en position de levrette, puis que la verge de Vincent plonge dans ma chatte. Trempée comme je suis, elle entre sans effort. Quelques allers-retours et il la ressort, bien lubrifiée de mes sécrétions, et vient appuyer sur mon petit trou. Je n'ai qu'un faible « non », par réflexe, mais il me saisit les hanches et s'enfonce en moi. Je dois être encore bien ouverte de la sodomie de Maxime, car je ne ressens aucune douleur, au contraire j'éprouve une certaine satisfaction à être ainsi investie.

À peine a-t-il pris possession de mon cul que Vincent me ceinture de ses bras, me redresse contre lui et nous bascule tous deux sur le côté, puis il roule jusqu'à être sur le dos, moi sur lui, sa bonne queue toujours enfoncée dans mon cul.

Maxime attrape alors mes chevilles, les lève et m'écarte largement les cuisses, puis vient sur moi. Je suis toute ouverte et sa verge trouve tout de suite le chemin de mon con. Il s'y enfonce d'un grand coup de reins. Ça y est, je suis prise des deux côtés...

J'ai l'impression d'être une poupée de chiffon entre leurs mains, ils m'ont manipulée sans violence, mais sans trop de douceur, ils ont décidé de tout, je n'ai eu qu'à me laisser faire et, dans l'état où je suis, j'aime ça...

À présent ils me baisent, ils ont synchronisé leurs coups de reins, leurs deux bites ressortent et s'enfoncent en moi en même temps, m'arrachant à chaque fois un gémissement prononcé.

-- Ferme-la! Tu vas réveiller tout le camp!

Ils me baisent à leur rythme, profond, assez rapide, mais régulier. Ils me baisent pour leur plaisir, moi j'ai eu le mien. J'ai envie qu'il en soit ainsi, de ne plus rien diriger, de ne plus rien décider, d'être leur vide-couilles. Cette pensée obscène me fait éprouver une sensation trouble, mais qui réveille mon désir.

-- Oui... Baisez-moi... Remplissez-moi... Pilonnez-moi... Videz-vous dans votre salope... Je suis là pour ça...

J'ai parlé sans y penser, presque malgré moi, mais l'avoir dit augmente brutalement mon excitation. Je suis toujours une poupée passive, écrasée entre leurs deux corps puissants, ramonée peur leurs deux bites, mais j'y prends un violent plaisir.

Mes paroles ont eu leur effet, ils ont accéléré le rythme, je suis secouée par leurs coups de bélier, leurs souffles se font rauques. Je sens la verge de Vincent devenir plus raide encore, ses mains saisissent mes seins et les enserrent, alors que la boule de plaisir dans mon ventre prend naissance. Je vais avoir un nouvel orgasme?

Vincent fait encore quelques violents allers-retours dans mon cul, puis il se cambre, lâchant ses jets de semence en moi tout en poussant un râle de jouissance.

Maxime continue de me baiser, de plus en plus vite, et la boule dans mon ventre grandit à toute vitesse. Au moment où il se plante en moi à fond, qu'il éjacule, que je sens son foutre jaillir en moi, je suis balayée par un nouvel orgasme incroyablement violent. Je ne crie pas mon plaisir, je le hurle. Je ne suis plus Julia, je suis une femelle, une bête de sexe. Je suis secouée de tremblements, puis je m'effondre, comme Maxime sur moi.

Nous sommes tous trois épuisés, à peine conscients, quand tout à coup trois énormes coups de poing ébranlent la porte, puis celle-ci s'ouvre. Une silhouette s'encadre dans l'ouverture : c'est le capitaine!

Il nous fixe de son intense regard vert, d'un air successivement goguenard puis sévère. Nous sommes tous trois paralysés, réalisant mal ce qu'il se passe. Le silence dure quelques secondes.

-- Soldats, dans votre chambre, immédiatement. Tous les trois, demain devant mon bureau à la première heure!

Il balaye encore la scène d'un regard circulaire, puis il tourne le dos et s'en va...