Le premier déploiement de Julia 03

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Le point de non-retour.
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Sarahxs3
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Le clairon me fait difficilement émerger. Oh, pas déjà! Comme j'aimerais dormir encore... Mais brusquement je me souviens de la situation. Aussitôt je tâtonne mon lit : personne! Ouf, Maxime a été à la hauteur, il a quitté ma chambre avant le réveil, et heureusement. S'il avait été vu sortant de ma chambre ou même dans mon couloir, on était cramés.

Je prends mon temps pour m'étirer, qu'est-ce que je me sens bien! Disparue, toute cette tension accumulée à force de frustration. Bien, mais fatiguée, je ne m'assieds au bord du lit qu'à regret, après plusieurs minutes. J'attrape mon petit miroir de poche et je regarde la tête que j'ai, je dois le faire avant que quiconque ne me voit.

Dieu merci! Ça va, pas de cernes sous les yeux. Mais j'arbore un sourire béat, je ne peux pas sortir comme ça, sinon, on va me demander ce qui me réjouit autant, alors qu'il n'y a rien de neuf, que ce soit au camp ou ailleurs, et aucune raison de se réjouir. Je serais bien embarrassée pour y répondre, alors je fais l'effort d'effacer ce sourire, qui cependant revient dès que je repense à cette nuit. Et comment ne pas y penser?

Oh non, je ne regrette pas d'avoir violé ce règlement à la con! Bordel, qu'est-ce que c'était bon! Jamais de ma vie je ne m'étais donnée autant à fond. Et jamais je n'avais joui aussi fort. Même la sodomie, qui auparavant ne m'avait guère enthousiasmée lorsque je l'avais pratiquée, là, cette nuit, m'as procuré un plaisir inédit. Trois orgasmes... Il n'y a pas à dire, un bonhomme qui sait y faire, c'est mieux que n'importe quel sex-toy!

Quand je repense à ce que j'ai été capable de lui dire, tout de même, j'ai du mal à croire que c'était moi. Ma frustration devait être encore plus forte que ce que je pensais, pour que je me sois lâchée comme ça.

Je vais aux lavabos pour me débarbouiller et me coiffer. Au moins cette fois-ci je ne me ferai pas remarquer en lavant ma brosse. Mais voilà que, comme hier, le même mec vient occuper le lavabo voisin! Et cette fois-ci, il y va de sa réflexion.

-- Mais tu as l'air de très bonne humeur ce matin, on dirait que tu as passé une nuit merveilleuse!

Son sourire égrillard ne laisse aucun doute sur ce qu'il appelle « une nuit merveilleuse ». Je me sens soudain terriblement gênée, je bredouille vaguement une réponse incompréhensible et je me détourne rapidement, je sais que je pique un fard. Mon euphorie sexuelle se voit donc tant que ça?

Au mess, je me sers copieusement en tartines, j'ai une faim de loup. Au moment de choisir où m'asseoir, je jette un coup d'œil circulaire : pas de Maxime. Tant mieux, s'il avait été là, j'aurais eu du mal à ne pas échanger plein de regards avec lui.

Je m'assois comme à l'accoutumée, et je dois retenir une grimace : mon petit cul me rappelle qu'il s'est fait sodomiser, cette nuit! À cette évocation, c'est à présent mon sourire que je dois retenir. Bon dieu, quelle nuit! Et le plus fort, c'est que déjà, je ressens le besoin de remettre le couvert!

Mais je dois aller prendre mon poste, heureusement je n'en ai que pour la matinée, l'après-midi j'ai quartier libre, je pourrai me reposer et... prendre des forces pour la nuit prochaine. Parce que, plus j'y pense et plus j'en meurs d'envie.

En attendant, au boulot, il faut nettoyer les véhicules de patrouille. Dans ce désert le sable s'insinue partout, y compris dans tous les recoins de l'habitacle, il faut y aller au chiffon. Or curieusement, quand ils entendent les mots « poussière » et « chiffon », les sous-officiers pensent immédiatement « Julia »... Encore des mecs formés à l'école des machos, ceux-là. Mais c'est un travail nécessaire, je ne vais pas m'y dérober. À l'armée, le matériel, c'est sacré, et je ne me suis pas engagée pour tirer au flanc.

Ma tâche accomplie, je me douche et vais me reposer dans ma chambre. Je dors une bonne partie du temps, mais une fois réveillée je repense à cette nuit de folie. Et plus j'y repense, plus je sens mon désir monter. Pas d'hésitation, ce soir je réinvite mon amant! J'espère qu'il a eu la bonne idée de dormir lui aussi, j'ai besoin qu'il soit bien en forme!

Le soir au mess, je repère où est Maxime et je tente la même manœuvre que la veille, avec succès. Mais cette fois-ci il répond à mon invitation susurrée par un : « gourmande! C'est d'accord » et me fait discrètement un sourire.

Ça y est! Enfin! Maxime vient de gratter discrètement à la porte. Je l'attendais avec impatience, sans l'angoissante incertitude de la nuit dernière, mais avec encore davantage d'excitation, si c'est possible. Je n'ai même pas résisté à l'envie de jouer avec ma poitrine en l'attendant, imaginant sa bouche en train de m'embrasser les seins, mes tétons en sont devenus tout durs à cette idée.

J'ouvre la porte et le fais entrer, nous nous embrassons avec impatience, cette fois-ci nous savons tous deux ce que l'autre désire.

-- T'es une reine, Julia, quel pied c'était avec toi la nuit dernière!

-- Pour moi aussi, c'était géant. J'ai passé la matinée à y repenser et l'après-midi à vouloir recommencer. Tu es prêt?

-- Et comment! Tâte donc, dit-il en collant ma main sur son entrejambe. Moi aussi j'étais excité toute la journée, rien qu'en repensant à toi.

En un tournemain nous sommes nus tous les deux. En effet, il bande glorieusement, et cette fois-ci j'ai envie de lui faire une bonne fellation, en prenant mon temps.

Parce que oui, j'aime sucer, j'aime avoir le membre de mon partenaire en bouche, le sentir réagir à mes coups de langue, à mes succions. Et cette fois-ci, il est en mesure de mieux l'apprécier, nous sommes tous deux plein de désirs, mais moins impatients.

C'est donc assise au bord du lit que j'attrape sa belle queue, tout en levant vers lui un regard coquin. Je prends son gland bien gonflé entre mes lèvres et je le tète, tout en faisant aller et venir ma main le long de sa tige. Puis je l'aspire plus profondément, je le prends dans ma bouche, le mouillant de ma salive, l'enveloppant de ma langue.

Enfin, je me penche encore et le fais entrer jusque dans ma gorge, bloquant ma respiration. Je déglutis, les contractions de ma glotte compriment son gland, il gémit.

-- T'es une sacrée pipeuse... Bordel, que c'est bon!

Je me recule, sortant complètement sa queue et reprenant mon souffle.

--... Je vais te faire durer, mon cochon, tu vas voir, jusqu'à ce que tu n'en puisses plus...

Et c'est ce que je fais. Dès que je sens qu'il devient trop excité, j'arrête mes succions, je le masturbe seulement un peu pour entretenir son érection. Puis je recommence à le prendre en bouche, mais juste un peu, en l'agaçant de ma langue, tandis que mon autre main joue avec ses testicules, pour enfin le sucer à nouveau.

Je recommence ce manège plusieurs fois, pour le plus grand plaisir de Maxime, qui se laisse faire. Mais j'ai sous-estimé l'intensité de mon propre désir. Oui, j'aime sentir sa virilité en bouche et jouer avec, mais maintenant, j'ai envie de la sentir en moi! J'ai envie d'être pénétrée, baisée.

Ce qui fait que je cesse enfin mon jeu avec sa queue, je me lève et lui demande de s'allonger sur le lit pour que je vienne le chevaucher. Il le fait avec empressement, il en a certainement envie au moins autant que moi!

Je l'enjambe, face à lui, il tient sa verge pour la guider, et lorsque j'abaisse mon bassin, il me pénètre sans coup férir tellement je suis mouillée. Je m'empale à fond sur son sexe, les poils de son pubis viennent chatouiller mon clito.

J'attrape ses mains et les guide vers ma poitrine. Il comprend immédiatement le message et malaxe vigoureusement mes seins, m'arrachant de petits cris, mêlant un peu de douleur avec beaucoup de plaisir.

Je ferme les yeux, montant et descendant lentement le long de sa hampe, savourant les sensations que sa bonne queue me fait éprouver. Je suis bien, j'aime faire l'amour, j'aime baiser, je voudrais que ça dure longtemps, très longtemps, toujours... J'aime le sentir en moi, j'aime la rudesse de ses mains sur mes seins, la pression de ses doigts qui enserrent mes tétons. J'aime sentir ses muscles se tendre dans mes mains alors que j'agrippe ses épaules.

Nous bougeons ainsi en cadence, seuls nos souffles et le léger grincement du lit meublent le silence de la nuit, quand tout à coup, j'entends distinctement qu'on frappe doucement à la porte!

Nous nous arrêtons net, je reste comme paralysée une fraction de seconde, puis je pose mon doigt sur la bouche de Maxime et me penche vers son oreille, au creux de laquelle je murmure :

-- Ne bouge pas, pas un bruit, je vais voir.

Ma chemise de nuit est sur le dossier de ma chaise, je l'enfile et vais vers la porte. J'ai la frousse, jamais jusque-là on est venu toquer à ma porte en pleine nuit. J'entrouvre, je sais que de la sorte on ne peut pas voir mon lit. Devant moi se trouve un gars de la même section que Maxime, je ne me souviens plus de son nom.

-- Qu'est-ce que tu fais là, qu'est-ce que tu veux? Je parle à voix basse, n'ayant aucune envie qu'on nous entende.

-- Je veux entrer.

-- Non, certainement pas. Tu n'as rien à faire ici et tu le sais, barre-toi.

-- Attends Julia, je sais que Maxime est là avec toi, et je sais bien ce que vous étiez en train de faire, ça fait un moment que je suis là et je vous ai bien entendus à travers la porte. Alors, tu me laisses entrer ou je vais direct informer le capitaine de ce que vous faisiez.

Derrière moi s'élève la voix chuchotée de Maxime. Il a tout entendu.

-- Vincent, c'est toi? Qu'est-ce que tu veux? Tu sais que j'ai déjà écopé d'un blâme, si le capitaine apprend ça, intransigeant comme il est, je risque gros, probablement de me faire renvoyer de l'armée. Alors déconne pas!

-- Si vous me laissez entrer, tu n'auras pas ce problème.

Sans attendre la réponse de Maxime, je laisse entrer ce Vincent et referme la porte, je ne veux pas que la conversation se prolonge dans le couloir, et je ne veux surtout pas que quoi que ce soit remonte jusqu'au capitaine. D'autant plus que l'enjeu a augmenté pour Maxime, avec cette histoire de blâme.

Aussitôt la porte refermée, Maxime lui demande :

-- Mais bordel, Vincent, qu'est-ce que tu veux au juste?

-- Comme toi, profiter de l'aubaine, l'occasion est trop belle. Mais je suis un bon camarade, je ne veux pas t'en priver pour autant, vous pouvez reprendre là où vous en étiez. Moi, je regarde...

Si je m'attendais à ça... Ce mec a un culot d'enfer. Je veux lui objecter :

-- Mais il n'en...

-- Tu n'as pas bien compris? m'interrompt-il. Remonte sur lui, et recommencez à baiser, sinon, je vais réveiller le capitaine et ça va faire un beau scandale!

Toute cette situation est absurde, dingue... Je reste debout, comme paralysée, mon regard allant alternativement de Vincent à Maxime. C'est ce dernier qui rompt le silence.

-- Julia, s'il te plaît... Je sais de quoi cet enfoiré de Vincent est capable, et je ne peux pas risquer de nous faire dénoncer. N'oublie pas que s'il le fait, ça ne sera pas drôle pour toi non plus. Alors s'il te plaît, fais comme il dit.

Ses paroles ont raison de mon indécision. Je me mets en mouvement vers le lit, vers Maxime, cependant que, voyant ma résignation, Vincent s'empare de la chaise et s'assied tranquillement.

Je ne comprends décidément pas comment ça fonctionne, un mec, car malgré ces derniers évènements, Maxime n'a pratiquement pas débandé. Alors que moi, mon excitation a complètement disparu.

Comme l'a demandé Vincent, je reprends la position que j'avais. Je garde la chemise de nuit, qui au moins me protège partiellement du regard de notre maître-chanteur-voyeur. Je plonge mes yeux dans ceux de Maxime, il fait de même et son regard me rassure, me réchauffe un peu. Il lève une main, me caresse la joue et, miracle, ce geste me calme, et surtout me reconnecte avec lui.

Je réalise alors que sa verge, toujours bien dure, frotte mes lèvres intimes, elle réveille mes sensations. J'ai du mal à y croire, mais je frémis, j'éprouve à nouveau du désir, je souris à Maxime, alors que je refoule loin de ma conscience la présence de Vincent.

Il n'y a plus que Maxime et moi, nos deux corps qui se soudent à nouveau, nos sexes qui fusionnent. À nouveau il me pénètre, m'arrachant un gémissement. L'excitation reprend possession de mon corps, et je retrouve le mouvement de va-et-vient qui me faisait tant de bien.

Nous continuons ainsi pendant de longues minutes. Le bassin de Maxime se lève rythmiquement à la rencontre du mien, nous nous emboitons voluptueusement, je sens mon plaisir monter peu à peu.

Un léger raclement de la chaise me rappelle alors la présence de Vincent. Celui-ci se rapproche de nous, ouvre son pantalon, abaisse l'élastique de son boxer, et me présente sa verge. Bien entendu, il bande.

-- Le spectacle est très excitant, Julia, il est temps que j'y participe. Tu me fais une petite gâterie? Ça me fera plaisir.

-- Hein? Non, non...

-- Oh mais si! Tu sais ce qu'il va se passer, si tu n'es pas gentille avec moi, n'est-ce pas?

Oui, je sais... Je sais que je n'ai pas le choix. Et puis il y a autre chose que j'ai du mal à m'avouer à moi-même, mais son injonction me trouble. Je sais que je vais devoir le sucer, je sais que je ne vais pas y couper, et cette contrainte, contre laquelle intellectuellement je me révolte, réveille cependant des frémissements dans mon bas-ventre.

Je tends la main et prends sa queue, je tourne la tête et vient sucer son gland, puis l'embouche plus profondément. Je réalise alors que je suis en train de vivre mon premier trio.

Cependant, Vincent ne reste pas longtemps les bras ballants. Alors que Maxime continue à me baiser rythmiquement, il pose ses mains sur mes épaules, puis les descend vers ma poitrine, par-dessus la chemise de nuit. Il caresse mes seins, pince mes tétons à travers le tissu, m'arrachant des gémissements de plaisir. Je ne résiste pas quand on me caresse les seins.

Rapidement, la chemise de nuit le gêne, il la remonte puis me l'ôte complètement, interrompant un instant ma fellation. Je reprends celle-ci sans qu'il ait besoin de me le dire, c'est clair maintenant, j'y prends plaisir. Tout comme je prends beaucoup de plaisir aux caresses qu'il prodigue à nouveau à mes seins, mes gémissements en témoignent, même étouffés par sa verge. Il inflige de délicieuses tortures à mes tétons, durs et érigés comme jamais.

Mais bientôt, je devine l'impatience et la nervosité de Vincent aux mouvements de son bassin, il est dans le même état que Maxime la veille, en manque depuis si longtemps qu'il ne demande qu'à exploser. C'est alors qu'il prend la parole :

-- Allez Maxime, tu as eu plus que ta part, c'est à mon tour de la baiser. Viens Julia.

Il sort de ma bouche et vient s'asseoir sur le coin de ma table, sa queue bien tendue, luisante de ma salive. Je quitte à regret ma place, abandonnant le membre de Maxime, et je viens face à lui. Il me soulève en me tenant par les fesses, et du premier coup m'empale sur lui. Je ne peux retenir un cri de plaisir de me sentir remplie à nouveau.

-- Oh bordel, ce que c'est bon de baiser, ça faisait bien trop longtemps!

Il me fait monter et descendre sur son membre. Excitée comme je le suis à présent, je savoure cette baise sans trop penser à la manière dont Vincent est arrivé à ses fins.

Derrière moi, j'entends Maxime se lever. Bien sûr, il ne veut pas rester sur la touche, alors qu'il n'a pas encore joui. Il passe ses mains sur ma taille, remonte vers mes seins, et à son tour vient me les malaxer. Je ne peux m'empêcher de réagir.

-- Ah! Oui, c'est bon... Encore...

Pas besoin de le lui dire deux fois : il fait rouler mes tétons entre ses doigts, les pince, les tire, puis recommence à malaxer brutalement mes seins. C'est à la limite de la douleur, mais dans l'état où je suis, cela augmente mon plaisir.

Soudain ses mains m'abandonnent, je les sens descendre, il glisse vers mes fesses que la poigne de Vincent tiennent écartées. Ah le cochon! il me rentre un doigt dans le cul!

C'est comme un déclencheur, je sens la boule se former et grandir dans mon bas-ventre, tandis qu'un deuxième doigt vient élargir mon petit trou.

Je commence à pousser un long râle de plaisir, alors que Maxime enlève ses doigts, qu'il remplace par sa queue. Oui, encule-moi Maxime! Oui! Encule ta salope de Julia!

En effet, il s'enfonce en moi sans guère d'égards, mais je ne sens même pas la douleur, je ne sens que la possession, et la boule en moi qui ne cessait de grandir explose, je jouis...

-- AHHHHHHhhhhhh ouiiiiiii...

Vincent se redresse alors, me portant à la force de ses bras. Il se plante à fond en moi, se cambre et éjacule, je sens ses jets de semence me remplir tandis que mon orgasme se fait plus fort encore, se prolonge.

Je suis suspendue en l'air, empalée sur leurs deux bites, Maxime me pilonne vigoureusement, je suis ballottée, me tenant à peine à Vincent qui finit de se vider en moi tout en me tenant par les fesses. Et les vagues de l'orgasme continuent de me balayer. Je ne suis qu'un sac secoué entre leurs deux corps, transpercé par leurs deux sexes, mais je jouis, je jouis encore et encore, jusqu'à ce qu'à son tour, Maxime se vide en moi.

Nous nous abattons pêle-mêle en travers du lit. Je suis épuisée, vidée, en sueur, haletante, mais radieuse. Jamais je n'avais joui comme ça, c'était incroyable.

Peu à peu, nos respirations s'apaisent, entrecoupées parfois de soupirs de satisfaction. Pour ma part, je me sens à la fois complètement détendue et euphorique. Sous l'impulsion de cette euphorie, je suis la première à me mettre assise. Je contemple mes deux partenaires, tous deux couchés sur le dos. Ce sont de beaux gaillards, j'ai aimé ressentir leur force lorsque j'étais secouée entre eux, et là, mon regard détaille leurs muscles, leurs bras, leurs mains... En fait, j'ai envie qu'ils s'occupent encore de moi.

Soudain, une pensée me vient, qui me fait sourire.

-- Dis donc Vincent, après ce que tu viens de faire, tu sais que ta menace de nous dénoncer au capitaine ne vaut plus un clou? Maintenant, tu es dedans tout autant que nous.

-- À vrai dire, je suis ravi que les choses se soient passées comme ça, vous dénoncer n'aurait rien eu de jouissif, tandis que là, pour être jouissif, ça l'était! Wouahou! Julia, t'es une sacrée nana, quel pied j'ai pris...

-- Donc, puisque nous sommes tous les trois embarqués dans la même violation du règlement, puisqu'on y est, autant qu'on en profite à fond. Vous êtes partants?

-- Et comment, répond instantanément Maxime, je ne suis pas près de me lasser de baiser avec toi, t'es la fille la plus chaude que j'ai jamais rencontrée.

-- Bien entendu que je suis partant, ajoute Vincent, ce qu'on a fait me donne envie de recommencer. Et je suis d'accord avec Maxime : Julia, tu es le meilleur coup que j'ai jamais tiré!

J'écarte alors les bras et j'abaisse mes mains, qui se posent chacune sur une verge à présent ratatinée.

-- Alors messieurs, il faut commencer par me réveiller tout ça! On dirait que je dois tout faire moi-même, ici....

Mais en fait, l'idée de « tout faire moi-même » ne me déplaît pas, bien au contraire. Pour la première fois, je me retrouve en présence de deux partenaires et cette nouvelle expérience a le don de me stimuler. J'ai envie de découvrir si je saurais les faire bander tous les deux, en allant de l'un à l'autre.

Je commence par Vincent, que je prends en bouche, pendant que ma main reste sur le membre de Maxime. Je nettoie sa queue du sperme qui y était resté collé, puis je l'aspire, profitant qu'il soit encore débandé pour l'accueillir entièrement, mes lèvres embrassant son pubis, je le tète, et peu à peu je le sens prendre de l'ampleur.

Pendant ce temps, ma main qui tient la tige de Maxime ne reste pas inactive, et lui aussi retrouve un début de vigueur. Je décide alors de changer, ma bouche abandonne la verge de Vincent au profit de celle de Maxime, qui continue à grossir dans ma main alors que je commence à lécher le gland, puis toute la longueur.

Sarahxs3
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