Le Petit Fonctionnaire

Je m'appelle Gilles, 49 ans , fonctionnaire dans une mairie d'une ville très collet monté de province. Je m'occupe de délivrer les cartes d'idendité et les passeports. Comme chaque année au moment des grandes vacances, les fonctionnaires de mairie sont tous confrontés au retardataires. Les administrès qui se reveillent a la derniere minute et réalise que leurs passeports sont perimés quelques jours avant le depart en vacances. Tous les agents territoriaux de toutes les mairies de France vous le diront, ca arrive tous les ans....
Ce qui m'arrange bien....
J'ai monté une combine depuis quelques années avec Fred un collegue. Quand un administré se présente en panique a mon guichet pour demander un passeport en urgence, je lui demande une enveloppe avec quelques billets dedans. Et quand c'est une dame....

Je l'ai reperé des qu'elle est rentré dans le hall de la mairie. Et je l'ai reconnu aussi. Faut dire que Madame Sully d'Apremont est connu dans la ville huppé ou je réside. Elle fait partie de la bourgoisie locale. Son mari dirige la plus grosse boite de la region générant des emplois. Autant dire que le maire lui mange dans la main. De plus Madame Sully d'Apremont fait parti de mes fantasmes personnels. Très distingée, blonde, la cinquantaine pas très grande mais toujours habillée chic et classe. Tailleur, ou robe élégante. Toujours en talons....Combien de fois ais je imaginé cette situation ? Baisant cette bourgeoise avec Fred, la faisant couiner sous nos coups de pines.
Je suis le plus ancien de la mairie, ce qui fait que tout le monde me connait. Madame Sully d'Apremont m'aperçut et vint vers moi.
- Je suis contente de tomber sur vous, souffla t 'elle en s'asseyant à mon guichet.
L'hôtesse à l'accueil vient de me dire qu'il fallait prendre un rendez vous pour faire son passeport mais que le prochain n'était que debut aout !!
Je confirmais. Devant son air effondré, je lui dit que je la prenais (sans mauvais jeux de mot) sans rendez vous .
Elle m'expliqua que, comme touts les administrés, elle ne c'etait pas rendu compte que son passeport était perimé et qu'elle partait aux Seychelles pour le mois de juillet.
Je la tenais.....

Madame Sully d'Apremont, Claire de son prénom, j'ai appris cela en regardant son ancien passeport termina de rempir son formulaire administratif. Je pris ses empreintes et scana tous les documents pour les envoyer en Préfecture qui gere la fabrication des passeports. Et la, jubilant je doit bien le reconnaître, je porte l'estocade.
- Voila Madame, vous recevez un SMS quand votre passeport est arrivé environ
dans 3 ou 4 semaines. Nous etions mi juin , c'etait trop juste pour un départ debut juillet....Je la vis blemir sous son maquillage.
Mais...On ne peut pas accélérer la procédure ?
Je pris un air désolé.
Hélas madame, pour la Préfecture un départ en vacance n'est pas un motif
d'urgence.
Je pris un air de conspirateur.
- Je peux peut etre vous aider, un ami à moi travaille la Préfecture au service
des passeports. Je peux lui demander si il peux faire quelque chose .
Soulagement intense de ma petite bourgeoise. Je me leve en lui disant que je vais l'appeler.
En contournant mon bureau, je jette un œil sur les jambes croisées très haut de Claire Sully d'Apremont. Il me semble apercevoir la lisière d'un bas satiné qui emmerge de la jupe de son tailleur rose. Ses escarpins sont rose également.
Je m'isole et appelle Fred pour qu'il me rejoigne ainsi que mon contact a la Préfecture, Alain. Je lui explique la situation et il me reponds qu'il l'attends de pied ferme à la Préfecture avec son dossier pour lui faire un passeport d'urgence.
Je reviens au guichet et annonce la bonne nouvelle à Madame.
Par contre, pour finaliser la procédure, il faut que vous veniez avec moi dans
un autre bureau.
Elle s'execute sans dicuter bien sur.
Je l'emmene dans un bureau innocuppé et referme soigneusement la porte.
Elle s'assoit dans la chaise face à mon bureau.
- Non, non, levez vous , restez debout.
Elle se releve étonnée. Au meme moment arrive Fred. Fred c'est notre huissier, en d'autres termes c'est un peu l'homme a tout faire de la mairie. Tous deux nous devisageons Madame d'Apremont qui commence à se poser des questions cela se voit sur son visage.
- Soulever votre jupe Madame Sully d'Apremont.
J'ai parlé tout doucement mais Claire sursaute en entendant mes paroles.
Co...Comment...Mais...
Tu ne crois pas que ton passeport en urgence ne vas pas te couter un petit
sacrifice tout de même ?
Claire rougit violemment mais s'execute. Elle soulève lentement la jupe de son tailleur devoilant ses jambes gainées de bas satinés. Elle s'arrete a mi-cuisses et on lui ordonne de continuer. Elle retrousse la jupe devoilant le string rose.
- Madame aime le rose. Me dit Fred en ricanant. Ouvre la veste maintenant.
Madame Sully d'Apremont obeit ouvrant la veste de son tailleur exhibant son soutient-gorges , rose bien sur, contenant une belle poitrine. Fred et moi nous nous approchons et commençons à malaxer les seins à travers le soutient-gorges. Claire rougit encore plus. Je baisse les balconnets et me penche suçant la pointe des seins de ma petite bourgeoise. Pendant ce temps, Fred s'est accroupi et ecartant le string , il a introduit son index et son majeur dans la fente de Madame d'Apremont les faisant coulisser rapdement. Madame ne tarde pas gémir sous nos caresses. Fred lui titille le clitoris avec la langue.
Claire ondule du bassin pour mieux sentir les coups de langue de Fred. Je lui bouffe les seins, les malaxants sans douceur, tordant les pointes ce qui fait couiner Claire.
Febrilement, je sors la bite de mon pantalon, je bande comme un malade.
J'attrape les cheveux blonds et les tords la forçant à se pencher en avant. Je force le barrage de ses lèvres rouges m'enfonçant dans sa bouche. Jusqu'au fond la faisant hoqueter. Je fais couliser ma bite entre ses lèvres. Fred, lui, a enfoncé sa main dans son vagin et la fait coulisser. Madame Sully d'Apremont grogne en me suçant la bite. Elle salive dessus, Sa langue titille mon gland. Je lui tiens la tête l'etouffant à moitié. Je la libère et elle se redresse aspirant une grande goulée d'air. Elle se retourne le regard chaviré.
- Arreter, je vous en supplie arréter....
Fred retira sa main et nous retournons Claire qui titube sur ses talons aiguilles. Maintenant, elle suce la queue de Fred penchée en avant. Je tatonne un peu puis je m'enfonce dans la chatte de Claire Sully d'Apremont qui pousse un cri étouffé par la bite de Fred. Je la pilonne violemment la tenant aux hanches, ses seins degagés du soutient-gorges, gigotent dans tous les sens. Mon ventre vient claquer contre ses fesses. Fred donne de violent coup de reins s'enfonçant au fond de la gorge de Claire qui a les larmes aux yeux. De la salive coule sur son menton. Je m'agite la defonçant comme un fou. Elle releva la tête, haletante, gémissante, les cheveux decoiffés, en sueur....

Fred s'est allongé par terre, la bite fièrement dressée et Claire a du s'empaler dessus. Elle monte et descend sur la queue de Fred pendant qu'elle me suce le sexe avec application. Je prends des photos avec mon portable et je compte bien m'en servir. Je veux que la distinguées madame Sully d'Apremont devienne mon esclave sexuelle !
Nous changeons de position.
Claire est a quatre pattes, les seins ballotant sous les coups de pines de Fred, la bouche ouverte , les yeux exorbités. Fred s'agite de plus en plus vite faisant crier Claire qui ne se contrôle plus. Elle gueule tellement que je la baillonne en lui enfonçant son string dans la bouche. Elle eut un orgasme qui la laissa pantelante pendant que Fred ejaculait se vidant sur ses fesses.

Courbée en avant , en équilibre sur ses talons aiguilles, les mains posées à plat sur le bureau, la jupe tirebouchonnée autour de la taille, un bas en lambeaux, Claire se retourna inquiète :
Qu'est ce que vous...AAAHHHH
Je viens de l'enculer sans menagements, ma bite vient de s'enfoncer de moitié dans l'anus de Madame Sully d'Apremont. Claire halete, les yeux fous s'habituant à la douleur. Je bouge doucement d'abord puis de plus en plus vite dans le trou du cul de Madame la faisant crier à chaque coup de reins. Puis ses cris se transforment en gemissements. Puis en suplications :
- RAAAHHH, plus vite, plus fort ,oui oui oui.....
- T'aime ça espece de chienne !!!
Je prends une joie immense a l'insulter. Je la pilonne comme un fou, je sens le plaisir arrivé. Je sors precipitemment et me positionne devant le visage ravagé de Claire.
Je me masturbe un peu et je jouie en lachant des trainées de sperme qui vont s'ecraser sur le visage de Madame Claire Sully d'Apremont. Elle en a sur le front, le nez, la bouche....Elle s'effondre par terre cuvant son orgasme....

Claire est rhabillé et a retrouvé figure humaine. Je lui ai ordonné toutefois de ne pas remettre ses sous-vêtements. Elle est donc totalement nue sous son élégant tailleur. rose. Je lui remet son dossier et lui explique que Fred va l'emmener a la Préfecture pour qu'on lui fasse son passeport d'urgence. Elle me remercie et sort du bureau.

Plus tard dans l'après midi je recu une video de Fred sur mon portable. J'allais aux toilettes pour la regarder. On y voit Madame Sully d'Apremont jupe troussée, seins a l'air, empalé sur la bite de Fred, enculé par mon contact a la Préfecture Alain, sucant la bite d'un autre fonctionnaire de la Préfecture. J'entends une voix de femme, c'est elle qui filme visiblement, qui commente la scéne :
- Cette petite salope de bourge ne c'est pas fait prier pour recommencer, tu vois Gilles , merci pour le cadeau. Dites les garçons, depechez vous un peu, nous aussi on veut jouer avec cette chienne. On a tout ce qu'il faut....

Le lendemain , il faisait un temps superbe, l'été était déja la . J'appelle le client suivant. Une femme, la quarantaine, arrive très sexy dans une mini jupe noire sur des jambes bronzées perchés sur des chaussures ouvertes a talons. Un décolleté plongeant offrant des seins magnifiques. Une brune incendiaire. Elle est avec une jeune fille , jupe plissée et basket.
- Aidez nous Monsieur, ma fille a perdu sa carte d'identité et elle doit passer son bac bientôt....
Je souris.
- Je peux peut etre vous aider, mais il falloir aller dans un autre bureau....