Le fera-t-elle ou pas? Suite et Fin

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Le concours de t-shirt mouillés est fini, mais pas la soirée.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/14/2023
Créé 09/28/2022
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Ceci est la troisième et dernière partie d'une série, vous l'apprécierez mieux en lisant les parties précédentes. Si vous l'aimez, votez.

Nathalie ressortit de derrière la scène, descendant les marches pour courir vers moi. Elle mis ses bras autour de mon cou et se serra contre moi pour m'embrasser profondément. Elle avait remis son propre t-shirt noir, sa jupe était encore trempée mais de retour à la longueur habituelle. En retournant à notre table dans le coin, je lui rendis son soutien-gorge et sa culotte.

"Je ne remets pas le soutien-gorge, je suis encore mouillée. La culotte, non, c'est trop excitant! Ou plutôt..."

Elle pris la culotte de ma main et la roula en boule dans la sienne, puis la glissa sous la jupe pour s'éponger la chatte et les cuisses avec.

"Oooohh! Je suis tellement excitée! Après tout, je crois que je pourrais la mettre" dit-elle avec un clin d'œil. Elle passa son poignet dans un trou de jambe, donna quelques demi-tours à la culotte et la repassa à nouveau autour de son poignet. La culotte était maintenant un bracelet.

"On retourne à l'hôtel. Maintenant!" dit-elle. Elle me pris par la main pour me tirer vers la sortie.

"C'était tellement cool! Je ne peux pas croire que j'ai fait ça!" continua-t-elle en marchant vers l'ouest sur Bourbon street.

"Je savais que tu pouvais le faire" lui dis-je. "Tu m'avais laissé entendre que c'était le genre de truc qui t'allumait quand tu étais étudiante. Tu est probablement plus sexy encore aujourd'hui qu'à l'époque!"

"Ouais, mais je n'ai jamais été aussi loin que ça! Je venais d'avoir dix-huit ans, je voulais sortir de chez mes parents, sur la rive-sud endormante ou j'étouffais, et aller à la fac à Montréal. J'étais tellement rebelle que mes parents ont fini par céder et m'on aidée à louer un petit appart, à deux arrêts de bus seulement du bar du campus. J'adorais ma nouvelle liberté, je commençais à peine à me trouver sexy et désirable. J'adorais sortir danser en portant une petite jupe en jeans, et juste une petite veste ouverte par-dessus mon soutien-gorge!"

"Après un certain temps j'ai remarqué qu'il y avait pas mal de beaux gars qui regardaient mes fesses, espérant avoir une petite vue de ma culotte! Ça m'excitait tellement qu'un soir je suis allé l'enlever dans les toilettes. J'étais encore plus excitée! Puis, les quelques fois suivantes, je suis carrément partie de l'appartement en bus sans mettre de culotte, même pas une dans mon sac! Je ne faisais pas exprès de m'exhiber, mais j'étais tellement folle de savoir que j'avais les fesses nues sous ma jupe pendant que je dansais, et que quelqu'un aurait pu voir! C'était génial! Et je suis sûre que certains gars s'en sont rendus compte. Il y a quelques fois où j'ai commencé à embrasser un beau mec, et je l'ai entraîné dans les toilettes pour baiser."

Elle continuait son histoire pendant que nous marchions rapidement, main dans la main.

"et là ce soir, avec toute ces filles qui montrent leurs seins dans la rue, ça m'a remise dans l'état d'esprit ou j'étais il y a toutes ces années. Quand tu m'a poussé à entrer dans le concours, je me sentais comme à dix-huit ans de nouveau! Ma chatte a commencé à mouiller avant même que tu dégrafes mon soutien-gorge!"

A quelques mètres de nous, un autre petit groupe de fêtards, gars et filles, qui s'amusaient. Les filles montraient leur seins en échange de colliers de pacotille que leur lançaient des gars depuis un balcon. Comme on passait à côté, un des gars cria à Nathalie: "Hé! La belle! Montre-nous tes seins aussi!"

Elle s'arrêta, se tourna vers eux, souleva son t-shirt brièvement par-dessus ses seins avec un grand sourire, puis le rebaissa en riant et en reprenant notre marche. Un des gars cria "Montre ta culotte!"

Elle sourit de nouveau, et leva son poignet dans les airs en l'agitant et en les regardant. Puis elle souleva rapidement l'arrière de sa jupe pour montrer ses jolies fesses. Applaudissements et cris de joie depuis le balcon, mais elle n'attendit pas les colliers et continua à marcher vite vers le Hilton, toujours en me tenant la main.

On passait devant une allée sombre entre deux bâtiments où il y avait des bacs de recyclage et des poubelles. Elle arrêta et m'entraîna dans l'allée.

"J'aurais du y penser avant de quitter le bar, mais il faut vraiment que je fasse pipi!"

Elle s'adossa contre le mur derrière un des bacs pendant que je montais la garde. Accroupie et soulevant sa petite jupe, elle laissa aller son jet entre ses jambes. Elle était pas mal plus ivre que je pensais, avoir vidé d'un trait son Hurricane semblait avoir eu en effet à retardement. Je n'ai jamais vraiment été dans ce genre de jeux d'eau, mais de la voir pisser avec un sourire de ravissement sur le visage était extrêmement érotique.

"Aaaaahhhhh!" gémit-elle en se soulageant. Je me tenais devant elle pour qu'elle soit moins visible depuis la rue.

Toujours accroupie, elle m'empoigna par la ceinture et m'attira à elle. Elle détacha la ceinture et les boutons de mes jeans, puis sortit ma queue dure et commença à me sucer avec empressement. Elle faisait de petits gémissements délicieux pendant qu'elle me suçait, et commença à se caresser le clito en même temps, jambes écartées devant moi.

Tous à coup il y eut un bruit plus loin dans l'allée, et une porte s'ouvrit. Je sortis de sa bouche rapidement, elle rigola "Oups!" Je réussis à rentrer mon machin dans mes pantalons pendant qu'elle se relevait et m'entraînait dans la rue en riant. On n'a jamais su si quelqu'un nous avait vu.

Elle continua à raconter son histoire pour me taquiner, en marchant rapidement vers l'hôtel.

"Ça te fait bander quand je te racontes mes histoires, hein? Peut-être que... tu penses que j'invente? Peut-être que oui... ou non... Peut-être qu'une fois, dans les toilettes, pendant que le gars me prenait par derrière... peut-être que quelqu'un d'autre est entré, et... peut-être qu'il s'est approché de moi en sortant son sexe et... peut-être que je l'ai sucé pendant que... ça aurait pu être toi!"

J'aurais bien aimé que ce fût le cas, mais malheureusement ça n'avait pas été moi. Bien que j'ai fréquenté ce même bar de sa jeunesse, mais quelques années avant elle. Il y a des avantages à sortir très jeune de l'université pour monter sa propre boîte, mais les plaisirs d'une jeunesse dissolue n'en font pas partie. Tant pis, pas de raison de ne pas chercher à rattraper le temps perdu à un âge plus mur. Comme maintenant.

Devant nous, un autre groupe qui échange des seins nus contre des colliers. Cette fois elle leva son t-shirt sans même qu'on lui demande, sous les encouragements des gars et des filles. Tout en marchant, elle tournoya sur elle-même, faisant virevolter sa jupe jusqu'à la taille, sans s'arrêter.

On venait de sortir du vieux quartier français, marchant vers le sud-ouest le long de Canal street, vers le fleuve, puis vers le Riverside Hilton près du palais des congrès. Plus de seins dénudés dans ce secteur du centre-ville, malheureusement, mais on commençait à être pressés d'arriver. Pas d'arrêt au casino Harrah's en route non plus.

En traversant le foyer de l'hôtel, les seins bondissants de Nathalie et sa jupe mouillée attirèrent quelque peu l'attention, mais pas de scandale. Dans le groupe de cinq ascenseurs, on est monté dans celui qui avait une façade de verre sur sa face extérieure. Je me doutais que quelque chose pourrait arriver.

Juste avant que les portes ne se ferment, un autre couple s'est dépêché pour monter. Ils étaient un peu plus jeunes, peut être le début de la trentaine, et assez attirants. Les deux ont tout de suite remarqué les tétons de Nathalie qui pointaient à travers son t-shirt, l'absence de soutien-gorge étant manifeste. Puis ils remarquèrent la jupe mouillée, et sourirent en devinant que notre soirée n'avait pas été banale jusqu'ici.

Les lumières de l'ascenseur se tamisèrent automatiquement en démarrant, pour mieux observer les lumières de la ville.

"Vous faites un beau séjour?" demanda la femme avec un grand sourire.

"Oui, très!" répondis-je, caressant les fesses de Nathalie sous sa jupe. Ils ne pouvaient pas voir ma main mais devaient deviner sa position générale.

"Il est chouette votre bracelet" dit elle en pointant le poignet de Nathalie, ayant clairement pigé. "Vous avez trouvé ça ici à la Nouvelle-Orléans?"

"Oui, en effet" répondit Nathalie. "Pas loin d'ici, d'ailleurs. Vous voulez que je vous indique ou vous pouvez trouver le vôtre?"

Elle souriait à la femme en lui disant ça, et se pencha vers elle pour porter sa main à l'ourlet de sa jupe. Son mari avait les yeux exorbités. La femme rigola mais repoussa gentiment la main de Nathalie, alors que l'ascenseur ralentissait et que la lumière revenait.

"Non, merci, je crois que je vois où vous voulez dire." Elle sortit de l'ascenseur, son mari ébahi derrière elle, toujours avec un sourire. Elle se retourna pour nous regarder alors que les portes commençaient à se refermer, la lumière encore allumée. Nathalie se tourna vers moi, relevant l'arrière de sa jupe jusqu'à la taille d'une main, tout en s'agenouillant devant moi en attaquant ma ceinture de l'autre, pendant que les portes se refermaient et que la lumière s'éteignait.

Elle reprit la merveilleuse pipe qui avait été interrompue plus tôt, pendant que l'ascenseur continuait sa montée vers le vingt-cinquième étage. A cette vitesse, on y serait beaucoup trop tôt. Pour m'amuser, j'appuyai sur deux autres boutons d'étage.

L'ascenseur qui ralentit, la lumière qui revient, les portes qui s'ouvrent.

"Continue" lui dis-je alors qu'elle allait arrêter. Le couloir était désert. La lumière dans la cabine aurait permis à quiconque regardait depuis la rue, ou depuis les bâtiments en face, de voir ma jolie femme aux fesses nues en train de faire une pipe à genoux dans un ascenseur. La lumière diminua et la cabine repris son trajet.

Avant d'arriver au prochain arrêt, je la fis se relever et se retourner, les mains contre le mur de verre, tournée vers l'extérieur. J'ai pénétré sa chatte humide par derrière, lui faisant faire de petits râles de bonheur. L'ascenseur ralentit de nouveau, la lumière revint. Dans sa réflexion dans la vitre, je pouvais voir son regard inquiet pendant que je la pilonnait. Elle ne pouvait pas voir si il y avait quelqu'un dans le hall, mon corps bloquant la vue. Puis la lumière disparut de nouveau et l'ascenseur reprit sa course.

On est arrivés au vingt-cinquième, je me suis dégagé pour l'entraîner par la main. Le hall de l'ascenseur et le couloir étaient déserts. Elle me dépassa en courant, enlevant sa jupe et son t-shirt en continuant dans le couloir. Elle ne portait plus que ses chaussures, ses bijoux et sa culotte autour du poignet. Je ramassais ses vêtements en la suivant.

En arrivant à notre porte de chambre, j'essayais d'extraire la carte-clé de ma poche, pas si facile quand on a la braguette ouverte, les pantalons baissés sur la taille et qu'on a la langue de quelqu'un dans sa bouche. Finalement je réussis, et elle entra en me tirant par la main.

Pendant que la porte se refermait, j'ai enlevé mes chaussures, jeans et slip. Elle m'a entraîné près du lit devant la grande fenêtre, reprenant sa fellation alors que j'étais adossé au mur. Dehors, des péniches illuminées descendaient silencieusement le cours du Mississippi.

Je l'ai fait se relever et elle s'est appuyée contre la fenêtre, les seins écrasés contre la vitre froide, sur la pointe des pieds alors que la prenais de nouveau par derrière. J'ai attrapé un de ses seins pour en pincer le téton, tout en caressant son cou et sa joue de l'autre main. Elle prit mes doigts dans sa bouche pour les sucer pendant que je la baisait. J'ai senti son corps trembler, et elle cria avec son orgasme en frappant la fenêtre de ses mains.

Puis elle m'a repoussé sur le lit pour m'enjamber, et tout en me chevauchant, me dit en haletant:

"Oui... tous ces gars qui bandaient pour moi dans le bar... Aaah! En me regardant.... Aaah! Oooh! Et la langue de la blonde dans ma bouche.... Ooouiiii! ... ma chatte mouillée sur sa cuisse... Mmmmh! Et toi aussi qui me regardait, me regardait.... Aah! Aah! ...pendant que secouais mes fesses et montrait ma petite chatte.... Oooh! Oui! ...à tout le monde, sans culotte sous ma petite jupe..."

Je sentais mon propre orgasme arriver, pendant qu'elle continuait:

"... et c'était comme avant, avec ma chatte qui... Aaah! Aaah! ...dégoulinait de mouille sur mes cuisses et que je me masturbais... et j'ai joui devant tout.... Aaaaaahhhhhhh! Oui! Oui!" Cria-telle alors que j'éjaculais en elle, sa tête rejetée en arrière, mes mains lui pinçant les seins.

Elle s'est effondrée sur moi, épuisée, avec encore quelques petites contractions autour de mon sexe, puis plus rien.

Je commençais à avoir hâte à la prochaine conférence dans quelques mois à Barcelone.

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