Caresses en Voiture

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Je la doigte dans la circulation.
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(Initialement publiée en anglais sur ce site, sous le titre "Driving back home")

Une belle soirée du début septembre à Montréal. Nous revenons d'un agréable souper dans un de ces restaurants branchés qui semblent toujours apparaître, durer quelques années, et disparaître sur le boulevard St-Laurent. La bouffe avait été bonne, l'ambiance et le décor chic à souhait, une bouteille de vin Toscan avait été engloutie.

Maintenant nous sommes sur le chemin du retour dans ma petite voiture sport décapotable, la capote baissée pour profiter du temps encore doux. Nous sommes en direction nord sur St-Laurent, deux voies de circulation en sens unique entre deux rangées de voitures garées, les deux cotés de la rue illuminés par d'autres restaurants, clubs, bars et boutiques à la mode. Entre les voitures garées en double file ou qui attendent que quelqu'un libère un espace, le trafic est lent, parfois s'arrêtant puis reprenant presque au pas.

Personne ne s'énerve du tempo plutôt lent de la circulation; observer les gens sur les trottoirs et sur les terrasses fait partie des raisons d'avoir choisi ce trajet en particulier. Pour ma part, je ne suis certainement pas pressé. J'admire la réflexion de l'éclairage de rue jaune sodium sur les belles jambes nues de ma copine dans le siège passager. Elles semblent fraîchement épilées, douces depuis le rebord d'une jupe à mi-cuisses d'une jolie couleur fauve, jusqu'aux belles chaussures de genre sandale à bretelles en cuir blanc ornées de petits brillants, les ongles d'orteils d'un beau vernis nacré. Ses jambes sont encore bronzées du soleil de l'été, s'harmonisant avec la teinte du cuir des sièges. Beige Savane, pour ceux que ça intéresse.

Le rythme de la circulation est assez lent pour que je n'aie pas à me servir du levier de vitesses, juste à laisser sortir la pédale d'embrayage doucement avec le moteur au ralenti de temps à autre pour suivre le flot. J'en profite plutôt pour garder ma main sur sa cuisse gauche, dont je caresse délicatement l'intérieur du bout des doigts. Si doux et si ferme. On n'a pas parlé beaucoup depuis qu'on est monté dans la voiture, on vient d'avoir plusieurs heures de conversation agréable au restaurant. Maintenant on profite de la tranquillité du moment, tout en regardant l'animation de la foule sur les trottoirs.

Sa main gauche vient se poser sur mon épaule devant l'appui-tête, ses ongles grattant légèrement ma nuque. Elle fait ça souvent quand je conduis, mais là je remarque que le rythme lent de ses caresses se colle sur celui des miennes sur l'intérieur de sa cuisse.

Ma main qui resserre un peu plus en remontant plus près de l'ourlet de sa jupe. Ses ongles qui s'enfoncent un peu plus profondément dans la peau de ma nuque en retour. Si on était des chats on ronronnerait.

Maintenant ma main se glisse lentement sous le bord de la jupe pendant que je caresse sa cuisse. Mon petit doigt effleure le satin de sa culotte. Sa propre main se resserre sur mon cou et mes épaules en retour. Elle a les yeux fermés, un sourire doux sur sa bouche.

Les flancs de cette voiture sont assez hauts par rapport à la position assise, et avec les vitres remontées même si la capote est baissée il faudrait se pencher par-dessus la portière pour bien voir à l'intérieur. Ou depuis une fenêtre du deuxième ou troisième étage. Ou être debout entre les voitures garées du côté droit, en attente d'une pause dans le trafic pour traverser la rue.

Mes doigts sont maintenant contre son entrejambe, mon auriculaire glissé sous le rebord de sa culotte caressant doucement les lèvres de sa chatte à travers sa toison. Le massage dans mon cou est plus intense maintenant aussi, avec des petites pauses quand je touche un endroit particulièrement sensible. Ses yeux sont toujours clos, sa bouche entrouverte pendant qu'elle savoure ces caresses à la fois publiques et intimes.

"Enlève ta culotte." lui dis-je, sans me tourner vers elle, mon regard toujours vers l'avant. Ton de voix normal, pas un ordre, pas une question. Donnant l'impression que je prends pour acquis qu'elle va obtempérer.

Ses propres yeux qui s'ouvrent, elle non plus ne me regardant pas mais plutôt vers l'avant. Ne voulant pas voir les gens sur le trottoir, à trois mètres de nous. Un sourire doux se dessinant sur sa bouche.

Moins de deux secondes d'hésitation, sa main gauche qui quitte mon cou et descend vers sa taille, pendant que la mienne quitte sa cuisse pour venir se poser sur le levier de vitesses. Sa main droite qui quitte l'accoudoir pour faire de même de l'autre côté. S'appuyant avec ses pieds et arquant son dos contre le dossier alors qu'elle relève sa jupe, glissant ses pouces dans les bords de sa culotte et la descendant prestement par-dessus ses genoux. Juste un bref éclair de satin blanc reflété dans la lumière des réverbères, disparaissant dans l'ombre. Réajustant sa jupe sur ses hanches en se rassoyant.

Elle se penche vers l'avant, sa main gauche dégageant sa culotte de sa cheville et sa chaussure. Puis la droite qui fait de même. La culotte restant dans l'ombre sur le plancher de la voiture. Elle se redresse dans son siège, sa main gauche retournant sur mon épaule et mon cou pour reprendre son délicat massage. Ses cuisses initialement serrées, puis les muscles tendus se relâchant alors que ma main reprend sa position. Ses jambes qui s'écartent légèrement alors que je reprend mes lentes caresses. La circulation qui continue d'avancer au pas.

Mes doigts de droite sont maintenant contre sa chatte, l'auriculaire écartant les lèvres humides. Le bord de ma main a retroussé sa jupe sur sa cuisse gauche, l'autre côté est toujours couvert pour l'instant. Le trafic momentanément arrêté. Je jette un regard entre ses jambes, le bas de sa toison est visible, la couleur brune en belle harmonie avec la teinte de sa jupe, le cuir de la sellerie et le bronzage de sa peau, le tout baigné de cette douce lumière orangée. L'auriculaire et l'annulaire maintenant dans sa fente, un faible râle de plaisir à peine audible par-dessus le ralenti du moteur dans notre dos. N'osant pas encore enfoncer mes doigts plus profondément, ce qui serait difficile avec notre position assise.

La circulation commence à se dégager alors que nous atteignons une partie du boulevard qui est plus résidentielle. Les voitures sont plus espacées, un peu moins de passants sur les trottoirs. Je retire momentanément ma main de sa chatte pour passer en seconde, puis je replonge trois doigts dans sa vulve en chatouillant le clito avec mon auriculaire. Ses gémissements se font plus forts, avec des petits couinements de plaisir. Ses jambes maintenant bien écartées, sa jupe troussée à la taille, elle garde les yeux fermés pour éviter de croiser le regard de quelqu'un qui pourrait être témoin de son exhibition.

Je tourne à gauche sur Fairmount en direction de la maison, un quartier résidentiel maintenant, moins éclairé. J'ai besoin de mes deux mains sur le volant et la boîte de vitesses pour un moment, elle a glissé son corps vers l'avant dans le siège et se caresse ouvertement de sa main droite, massant ma queue à travers mes jeans de sa main gauche. On traverse un secteur qui est habité principalement par des juifs orthodoxes, les rues y sont désertes en ce samedi soir. Ils ont leur manière de prier leur dieu, j'ai ma manière d'honorer ma déesse, bien que je crois qu'il n'approuveraient pas.

On est maintenant dans notre propre quartier, elle jouit de ses propres doigts avec un cri alors que je tourne dans notre rue. Elle a déjà défait sa ceinture de sécurité et se penche sur moi alors que j'arrive dans notre entrée de garage, ouvrant la porte avec la télécommande. Elle a déjà rapidement défait ma ceinture et déboutonné mes jeans alors que la voiture entre dans le garage et que je coupe le moteur. Sa bouche avale ma queue avant même que la porte ne commence à se refermer. Elle me suce et me branle en même temps, alors que je tends le bras pour doigter sa chatte et son cul par-dessus sa jupe retroussée. Ca fait à peine une minute mais je suis presque au bord de l'orgasme avec l'excitation. Sentant cela, elle continue à me branler mais redresse son corps, dégrafant sa chemise avec sa main gauche, abaissant son soutien-gorge pour dégager ses seins magnifiques. Elle s'attend à ce que j'éjacule sur eux, comme il nous arrive souvent. Elle m'avait dit, tôt dans notre relation, qu'elle n'avait jamais aimé le goût du sperme.

Poussant l'audace, puisque la soirée se déroule si bien, je dis dans le même ton de voix que plus tôt :

"Continue à me sucer. Je vais venir dans ta bouche. Tu va tout garder à l'intérieur, puis m'embrasser."

Un regard inquiet dans ses yeux pour un bref moment, alors qu'elle continue de me branler. Puis elle replonge pour me reprendre en bouche, suçant de plus en plus fort et vite. Magnifiques bruits de succion, de respiration saccadée et de grognements par-dessus le tic-tic métallique du moteur et de l'échappement qui refroidit.

J'explose dans sa bouche dans un orgasme puissant, ses lèvres toujours serrées sur ma bite. Elle respire fort par le nez alors qu'elle me garde en bouche jusqu'à ce que mes jets s'arrêtent. Un bruit de « pop » alors qu'elle relève la tête, et écrase ses lèvres sur les miennes, si fort que nos dents s'entrechoquent. Nos langues entremêlées alors que ma semence et notre salive coule dans nos deux bouches.

J'avale avant elle.

Ce n'est pas si pire que ça.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Satin blanc? Ou dentelle bleue ciel d'été?

Plaisirs54Plaisirs54il y a 9 mois

Un joli moment d’érotisme public qui mériterait plus de commentaires élogieux.

trouchardtrouchardil y a plus d’un an

A mon avis, tu devrais continuer à nous proposer tes récits. Merci.

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