Le Doyen (02)

Informations sur Récit
Le Doyen (Suite et fin)
2.5k mots
4.57
3.7k
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 12/05/2023
Créé 11/30/2023
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Siham
Siham
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Dans la 1° partie, le vieux Tonton (ami de la famille) après une opération pour hernie était passé de l'oncle (60 ans environ) à un vieux "cochon" qui par un habile stratagème a réussi à me piéger en lui changeant son pansement. Il était en convalescence, quand, notre première fellation eut lieu. Bien sûr, personne dans la famille ne se doutait et d'ailleurs, j'évitais sa chambre quand tout le monde était là. Etant la seule disponible je lui servais, à la fois d'infirmière et jeune dame de compagnie. Ses connaissances médicales étant limitées, j'étais chargée de la prise des médicaments, le changement des compresses. C'est pendant ces tête à tête que tout se passait. Entre la main qui s'attarde sur mes fesses ou les regards langoureux qu'il me lançait dès que j'apparaissais, j'avais pris gout à ses débordements. Je me suis mise même à choisir des vêtements qui lui facilitaient l'accès à mon corps. J'aimais surtout le voir gigoter en apercevant la naissance de mes seins ou suivre du regard mes fesses, jusqu'au vertige quand je quittais la chambre en exagérant mon déhanché.

Il avait pris cette diabolique habitude de ne jamais porter de culotte et s'il était discret en présence des autres, il n'hésitait pas à lever le drap, plus pour me montrer son érection que la cicatrisation. Parfois, il allait jusqu'à me demander d'apaiser ses démangeaisons au niveau de son aine et bien sûr de là à son sexe, toujours raide, c'était le but.

Mon côté pervers s'était épanoui à la longue et parfois, pour le soulager, je n'hésitais plus à glisser ma main sous le drap pour taquiner son sexe. Il était, à ces moments, le plus heureux des hommes. Une jeune fille, à peine 21 ans, bien faite, toute en rondeurs, qui trouvait un malin plaisir à prendre en main son sexe, c'était inespéré. Une semaine était passée depuis l'opération. L'infirmière, envoyée par la clinique, une quadragénaire, sérieuse et fermée, terminait sa tâche en quelques dizaines de minutes. La plupart du temps, je m'éclipsais comme le veulent les convenances mais le reste du temps, dès que j'entrais, c'était devenu comme un rituel. Sous la douche, j'imaginais, parfois sous le jet d'eau chaude, quoi mettre pour l'aguicher. Son expression en me voyant entrer me révélait presque, quel geste il allait faire. Une sorte de langage, de ma part, corporel et de sa part, tactile. J'étais dans la provocation, il était dans l'ébahissement des sens.

A part la première fellation, il n'y a eu que quelques caresses sous le drap ou une main baladeuse que je laissais libre en étant consentante.

Ce jour-là, je suis entrée vers 14h. Je trouvais mes parents autour de lui, ils étaient en pleine discussion. Leurs traits étaient ceux des mauvais jours. Une tante lointaine, cousine germaine de mon père, vieille et malade avait succombée. Ses funérailles étaient pour le lendemain. Ils devaient donc prendre la route pour être, avant la nuit, à Marrakech, à plus de 300 km. J'étais donc responsable du patient et de la maison pour au moins trois jours. La femme de ménage pour les repas et l'entretien et moi pour le reste, c'est à dire, le malade convalescent et l'amant en puissance.

Après la liste des directives d'usage de la maman, les conseils du papa, les bagages dans le coffre, les adieux et le départ de mes parents. A 16h, la maison était vide. Je restai, à la cuisine, avec la femme de ménage pour le diner du soir et, de temps à autre, une visite au patient pour lui apporter une boisson, lui faire prendre ses médicaments. Au fond, je faisais attention car ma mère et la femme de ménage étaient plus des amies que l'employeuse et son employée. A chaque fois que je lui rendais visite, je le sentais impatient de me retrouver :

- Qu'est-ce que tu fais? Tu ne m'as pas oublié, j'espère. Me lançait-il dès j'entrai. Je jouais la distante, celle qui était responsable de toute la maison mais c'est surtout la présence de la femme de ménage qui m'obligeait à avoir cette attitude distante et hautaine alors qu'au fond, la femelle gigotait en moi.

Vers 20h, la femme de ménage s'en alla. J'allais dans ma chambre, histoire de réfléchir tant à ce qui va sûrement passer, qu'à comment ne pas trop céder et à ce que je peux consentir. Un petit diable dans ma tête, je l'avoue, dansait la Rumba au point que toute ma féminité se trouva à fleur de peau. Coquine sans trop le montrer et réservée pour ne pas trop l'encourager, que dis-je, l'exciter. Déjà en temps normal, il bouillonnait dès que nous étions seuls, avec mes parents absents et la maison toute à nous, il devait être sur des braises ardentes. Il jubilait à l'idée de ce qui pouvait arriver.

Je mis les assiettes, les couverts sur un chariot et allais le rejoindre. Il regardait la télé mais quand il me vit entrer, il se mit sur son séant. L'individu, tout d'un coup, pouvait maintenant bouger sans gémir, sans grimace de douleur. Le petit diable me chuchota quelques pensées coupables mais je m'y attendais, un peu. Je prenais mon temps, sans me précipiter. De la chambre à la cuisine et vice versa pour aller chercher les plats, le pain les boissons. Je savais que sa faim était toute autre mais c'est dans notre nature que de faire mijoter le mâle pour tester son désir et, pourquoi pas, l'augmenter jusqu'au syncope! J'avais pris la peine de choisir une tunique d'intérieur, ce vêtement large, généralement pour occulter les défauts mais en tombant sur les rondeurs, il avait ce pouvoir suggestif qui faisait gambader l'imagination masculine, en plus d'attiser leur curiosité... tactile.

Son diner sur un plateau, le mien sur une table basse à côté du lit, nous ne prononçâmes aucun mot, en suivant sans le voir, l'écran télé, fixé au mur. Dans nos têtes, c'était évident, le spectacle était ailleurs. A la fin, plateau et couverts débarrassés, accompagnée, à l'aller comme au retour, par ce regard qui ne cachait plus rien quant à l'envie qui bouillonnait derrière. Il m'invita, en tapotant sur le lit, du côté opposé à la blessure et, sitôt assise, il me murmura si, éteindre la lumière ne me dérangerait pas. Romantique mais malin, le vieux pervers! Je m'exécute et dans la lumière dansante de l'écran, nous étions, côté à côte, sur le lit à deux places, dans l'expectative de ce qui se préparait, de ce qui pourrait arriver, de ce qui allait arriver ou de ce qui devait arriver car, à peine, confortablement assise, oreiller au creux de mes reins, il avait pris la peine de me couvrir les jambes de la couette. C'est vrai, malgré la Clim, il y avait comme une fraîcheur qui me donnait, de temps à autre, des frissons. Mon esprit battait tous les records de vitesse quand je sentis une main sur ma cuisse. J'ai sursauté, un peu, beaucoup ou exprès? Je ne sais mais mon cœur se mit à battre. J'attendais sachant très bien ce qui allait se passer. Mon seul souci c'était jusqu'où ou plutôt comment allait-il s'y prendre. Il y alla franchement car notre premier contact était plutôt franc, clair et sans ambiguïté quand sa queue avait visité ma bouche, fait la connaissance de mes lèvres et même laissé un gout salé sur ma langue. Sa main tira la tunique vers le haut. Instinctivement, ma jambe décolla pour lui permettre de la dénuder. Une paume chaude caressa ma cuisse et remonta sans s'arrêter vers mon de Vénus pour y camper. Comme s'il était gêner par mes jambes croisées, il revint vers ma cuisse et la tira vers lui. Il "m'ouvrait" tout simplement à sa main, à ses doigts. L'index caressa le string qui ne protégeait rien, glissa jusqu'à venir se brûler entre les lèvres. Ni la chambre, ni la télé, ni moi, ni lui, autour de moi, rien que mon intimité approchée, avec douceur et tendresse, certes mais je tremblais d'excitation au point quand je tournai la tête vers lui, ses lèvres étaient à quelques centimètres des miennes. Il m'embrassa avec, en même temps, le doigt qui s'installait dans un mouvement, à peine perceptible, que je sentis le sang bouillir dans mes veines. Il voulut changer de position pour mieux profiter de mon corps. Il fit une grimace de douleur et c'est moi qui changeai de position en me tournant vers lui, sur le côté. Sa main avait quitté, pour l'instant ma vulve et essaya de me palper les seins. Je l'entendis :

- Hum, petite garce. Sans soutiens, c'est tellement agréable. Je tirai sur l'encolure de la tunique comme pour l'inviter, il glissa sa main, à la fois tendre et rugueuse d'homme de la terre. Il me prit le sein pour le palper, le caresser, le peloter et voulut se baisser pour sucer le téton devenu dur. Il eut encore mal et, en tendant ma main vers la télécommande, j'avais son visage entre mes seins. Je pris la télécommande et éteignis la tété qui ne servait plus à rien. La pièce plongea dans l'obscurité totale. Il avait mes seins dans les paumes de ses mains et couvrait ma gorge nue de baisers.

- Attends, une minute, s'il te plait! En le repoussant pour sortir du lit et sans vraiment y avoir réfléchi, je me débarrassai de la tunique et repris place sous la couette, avec pour seul vêtement un ridicule string qui ne servait plus à rien. Il faillit suffoquer en constatant ce que j'avais osé faire et, cette fois, je n'étais plus assise mais couchée sur le côté. Il eut comme un sursaut quand il constata ma nudité et, tant bien que mal il me fit face, sur le côté. Je me remis sur le dos. Sa main se mit à me parcourir comme à la recherche d'interrupteurs? il allumait tout en moi. Un véritable expert et un fin connaisseur de la chose! Je me laissai faire, poussant l'audace jusqu'à tendre ma main vers ce membre raide qui taquinait ma hanche. Il se figea, le temps de se délecter de l'instant.

Nous étions seuls dans la maison, l'espace comme le temps nous appartenaient et nos corps s'offraient à ce qu'on appelle, depuis l'aube du temps, à ce plaisir de la chaire quand plus rien ne compte. Ni la différence d'âge ou de statut, ni le sens d'une moralité fragile et débridée quand, en l'absence de témoins, nous récupérions la liberté de vivre ce que la nature a mis en chacun. Pendant que ma main actionnait sa queue comme un levier qui boostait son plaisir, la sienne s'attarda sur ma hanche, voulut atteindre ma chute de reins et comme mue par son désir, je me soulevais pour lui permettre de voguer vers ce qui, en moi, l'avait subjugué dès la première fois. A peine sa main me caressa la fesse qu'il se rapprocha encore de moi. Instinctivement, je lui tournai le dos et je le sentis se coller à moi. Son torse contre mon dos d'abord puis sa queue, entre les fesses. Il m'enlaça, pris possession de mes seins et l'obscurité devint un temple pour notre orgie improvisée. Un doux et lent mouvement de son bassin contre le mien me fit craindre l'irréparable quand dans une société conservatrice comme la nôtre, rester vierge jusqu'au mariage est l'unique visa indispensable pour rester dans les grâces de la famille, l'entourage, jusqu'aux voisins qui songeraient à rappeler aux parents leur négligence quant à mon éducation. Comme s'il avait lu dans ma tête, il me murmura :

- Tu es si belle que tu me fais perdre la tête et je t'estime tellement que je ne veux que ce que tu peux m'offrir, pour l'instant. Sa queue continuait son va et vient langoureux avec des arrêts pour se contracter et me communiquer son désir, de plus en plus grand. Une voix à peine audible, des propos chuchotés avec tant de déférence qu'il me fit cambrer mon dos et ses deux mains s'emparèrent de mes fesses, il recula son bassin et je la sentis me taquiner, comme on dit vulgairement, "la rondelle". Voulait-il me faire comprendre son intention de vouloir jouir en moi ou attendait-il que je consente à cette extrémité sexuelle? Le gland s'immobilisa à l'entrée de ce qui, pour lui, était devenu une cible à déflorer. Je tournai la tête vers lui, il prit mes lèvres et m'embrassa avec fougue. Il était au sommet de toute son excitation. Je murmurai entre deux baisers :

- Attends je reviens! Je saute du lit, presque en courant. Un peu comme si je ne voulais pas briser le charme de cette situation. Dans la salle de bain, en allumant, je me découvre nue comme Eve avant de croquer la pomme de la désobéissance divine. Je ne me rappelle même pas comment j'avais perdu mon string! Un flacon de vaseline, une serviette et je revenais comme si j'étais guidée par ma seule énergie libidinale. Je ne pensais à rien d'autre qu'au plaisir que nous allions vivre, librement, intensément et sans aucun interdit. Je me glisse dans la chaleur du lit, retrouvai ses mains, son corps et son sexe. J'ouvre le falcon, je lui pris la main et déposai un peu de cette crème. Il comprit tout de suite quand je fis de même et m'emparai de son sexe pour le lubrifier. Je sentis son index puis la crème. Il me doigtait avec douceur, un peu comme s'il faisait la cour ou tâtait du terrain. Je massai sa queue qui durcissait de plus en plus et je le sentis si impatient que j'ajustai le gland sur l'entrée, me cambrai légèrement et quand il me prit les hanches, je savais que j'allais avoir mal mais le plaisir d'être pénétrée et la curiosité de savoir jusqu'où on pouvait arriver, simplement en se laissant faire, je tournai le visage vers oreiller pour y planter mes dents attendant ce que je pensais être une déchirure tellement le diamètre de sa queue me faisait peur. Il fit une légère pression et, bizarrement, le gland s'engouffra si facilement que je compris que la vaseline avait fait l'essentiel. Il se retira et me demanda à l'oreille :

- Ça va? Je ne te fais pas mal? Il n'eut pour unique réponse que ma main qui alla remettre sa queue à l'entrée. Et comme une louve en chaleur, plus je me cambrai vers lui et plus elle glissait en moi. Une douce brûlure, peut-être, mais quelle délicieuse sensation que de sentir cette queue me remplir. Je l'entendis gémir puis pousser encore plus comme s'il voulait me transpercer. Sans savoir ce qui se passait en moi, j'eus comme des spasmes de plaisir, si intenses qu'il sentit mon anus serrer sa queue. Avais-je joui? Si oui, alors tout au long du temps qu'il me sodomisait, je crois avoir joui, une dizaine de fois avant que je sentisse son corps se raidir, ses bras me serrer jusqu'à presque me faire mal et son jus brûlant dans mon rectum. Nous restâmes collés l'un à l'autre, lui en moi dans l'obscurité avec cette détente qui gagne tout mon corps jusqu'à la torpeur.

Plus tard, je me rendis compte qu'on s'était, tous les deux assoupis, vaincus, que dis-je, terrassés par notre désir consommé en commun. Il reprit connaissance en me serrant contre lui, me pelotant les seins et me murmura :

- Tu étais merveilleuse!

Siham
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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Toujours aussi bien écrit et érotique, bravo

MS

AurailiensAurailiensil y a 3 mois

Belle aventure si bien racontée et belle écriture

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