La Vie Sexuelle D'Inès Chapitre 01

Informations sur Récit
Inès se rend en boîte et rencontre Aurélien.
1.9k mots
3.98
22k
2

Partie 1 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 01/05/2017
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Ceci est une œuvre de fiction. Toute ressemblance avec des personnes ou évènements réels est purement fortuite.

Chapitre 1 : Rencontre en boîte de nuit

Inès se regardait longuement dans le miroir. Elle était un peu fatiguée de sa semaine en ce vendredi matin et sa petite mine le lui confirmait. Ses yeux marrons qui brillaient d'ordinaire d'un éclat espiègle semblaient avoir du mal à s'ouvrir. Malgré sa fatigue, elle s'encouragea à entamer sa journée avec entrain, prit une douche, s'habilla et alla dans la cuisine.

A 22 ans, Inès était un peu plus grande que la plupart des filles, du haut de son mètre soixante-quinze. Sa chevelure blonde était très gracieuse, aussi bien quand elle l'attachait en queue de cheval comme d'habitude que quand elle les laissait voler à l'air libre. Sa taille était fine et on pouvait remarquer au premier coup d'œil qu'elle était très sportive.

Mais elle attirait surtout les regards pour l'énergie sexuelle qu'elle dégageait au quotidien. Ses seins étaient bien ronds et ferme, suffisamment gros pour être remarqués, mais pas au point de paraître refaits. Tout ce dont les hommes rêvaient. Inès aimait bien les mettre en valeur pour attiser la jalousie des autres femmes. Son fessier bien entretenu et rebondi et ses hanches larges ne manquaient pas non plus de faire se retourner les passants quand elle marchait dans la rue. Ses attributs avantageux lui donnaient une silhouette sublime et un air de femme fatale. Elle riait parfois en se remémorant les bosses dans les pantalons des garçons au lycée quand ils la mataient.

Très active et confiante, Inès avait souvent ce côté extraverti et sans retenue qui pouvait parfois en agacer plus d'un. Son sens de l'humour, par moments moqueur mais sans jamais être cruel, était indéniable et renforçait l'attraction que beaucoup éprouvaient pour elle. Mais ce côté malicieux cachait aussi une fille parfois fragile, très humaine et capable des plus beaux actes de générosité et de bienveillance.

Alors qu'elle préparait son petit déjeuner, Inès vit Baptiste, son colocataire, sortir de sa chambre encore à moitié endormi. Il ne portait qu'un short qui lui servait de pyjama.

« Toujours la classe dès le matin à ce que je vois » lança Inès avec un sourire.

Il répondit avec un grognement mais Inès vit qu'il avait le sourire aux lèvres. Il enfila le premier T-shirt qui lui tomba sous la main. On pouvait voir dessus le visage du charismatique Che Guevara.

Baptiste était de taille moyenne, ses cheveux châtains mal coiffés formaient une mèche qu'il rabattait régulièrement sur le côté. Son corps était un peu chétif, même si Inès remarquait chaque matin que ses muscles se dessinaient bien. Son air rieur et sa personnalité enthousiaste le rendaient très agréable à côtoyer. Inès le respectait beaucoup pour son activisme politique très engagé, qui contrastait avec l'air guilleret et détendu qu'il affichait en temps normal. Inès le considérait seulement comme un très bon ami, ils se connaissaient depuis leur licence et webdesign, et elle n'avait jamais imaginé une seconde avoir une relation sexuelle avec lui. D'ailleurs, elle préférait les hommes plus grands et virils.

« T'as l'air cuite, dis-moi » lâcha Baptiste après avoir ouvert les yeux. Son regard s'attarda discrètement sur les courbes superbes de sa colocataire.

« Grosse semaine, petite nuit » répondit-elle.

« Si tu continues de travailler autant, tu auras du mal à trouver un copain » remarqua Baptiste l'air de rien en sirotant son café.

« Et toi, si tu continues de te la couler douce, on t'appellera La Légende du Pôle Emploi »

Inès ne lui laissa pas le temps de rétorquer et décrocha son portable qui s'était mis à vibrer. Elle entendit la voix de son amie Charlotte :

« Hey Inès, comment ça va? »

« Ça va, et toi? »

« La forme! Ça te dit de sortir en boîte ce soir? J'ai besoin de me changer les idées. »

« Oui, moi aussi. Je te rejoins chez toi vers 20 heures pour le before? Il y aura des amis à toi? »

Une fois les détails réglés et le coup de fil terminé, Inès retourna dans sa chambre et se mit à travailler. Son job en tant que designer web lui permettait de souvent travailler chez elle et d'organiser elle-même son emploi du temps, bien qu'elle devait de temps à autre se rendre chez des entreprises.

Elle avait accepté de sortir ce soir pour s'amuser et faire retomber le stress lié à son travail. Elle n'avait pas eu de copain depuis un bon moment déjà et elle avait décidé que ce soir, elle ramènerait un homme chez elle. Et s'il ne lui convenait pas pour une vraie relation, au moins elle aurait eu sa dose de sexe. Cela faisait trop longtemps qu'elle n'a pas eu l'occasion de satisfaire pleinement ses besoins. La masturbation, ça n'allait qu'un moment.

Car Inès aimait la bite. Chez les hommes, elle appréciait les abdos de fer, le charisme, les yeux, l'humour, les fesses musclées, l'intelligence, le sourire, les épaules larges et plein d'autres choses encore. Mais par-dessus tout, elle aimait la bite. Toutes celles qu'elle avait eu la chance de rencontrer étaient différentes : droites, courbées, poilues, glabres, circoncise ou non, et à chaque fois Inès était fascinée. La seule pensée d'un membre viril suffisait à l'exciter au plus haut point. Elle n'avait jamais accordé beaucoup d'importance à la taille de l'engin cela dit.

Inès sortit brusquement de sa rêverie. Elle se rendit compte que sa chatte s'était humidifiée. Elle se reprit, pensant au travail important qu'elle avait à faire. La journée fut longue pour elle, car régulièrement elle se surprenait à rêvasser et à s'exciter. Elle attendait la soirée avec impatience.

Quand enfin elle finit son boulot, elle prit une demi-heure pour se maquiller et s'habiller d'une tenue de soirée qui montrait juste assez de seins pour attirer les regards sans la faire passer pour une prostituée. Elle monta deux étages dans son immeuble pour passer prendre Laura, son amie qui vivait au-dessus de chez elle. Ensemble, elles prirent le bus pour se rendre chez Charlotte. Après avoir bu quelques verres, le groupe d'amies, au nombre de 5, décidèrent qu'il était temps d'aller en boîte.

Les filles dansèrent, discutèrent, burent, s'amusèrent. Alors que la nuit était bien avancée, deux d'entre elles s'étaient déjà mises à embrasser leur conquête du soir. Inès, quant à elle, n'avait toujours pas trouvé de mec à son goût. Ne désespérant pas, elle alla au bar commander d'autres boissons. Alors qu'elle attendait, elle vit un jeune homme qui lui aussi commandait pour sa bande d'amis. Inès le détailla de haut en bas.

Il était assez grand et ses cheveux de couleur châtain foncé coiffés sur le côté allaient très bien avec ses yeux noisette. Une légère cicatrice sur le côté de la joue lui donnait un air rebelle furieusement sexy. Ses épaules étaient larges et ses mouvements pleins d'assurance. Malgré sa chemise, Inès devinait un corps puissant. Tout à fait son type. Alors qu'il patientait, accoudé au bar, son regard se posa sur elle. Inès détourna les yeux au dernier moment mais il le remarqua. Il avait l'air flatté d'attirer l'attention d'une si belle fille. Il l'observa un moment, puis décida d'ouvrir la conversation :

« C'est pas un crime de regarder, tu sais » dit-il, confiant. « Je m'appelle Aurélien ».

Inès rougit.

Une heure plus tard, leur conversation ne s'achevait toujours pas, bien qu'ils aient eu le temps de parler d'alcool, de musique et de sport. Leur alchimie et leur complicité étaient sensibles. Puis ils dansèrent et se frottèrent l'un à l'autre au milieu de la foule. Inès se sentait euphorique, complètement libérée. La vision de ce bel homme collé contre elle la rendait folle d'excitation.

« J'habite à deux pas d'ici. On va chez moi? » proposa-t-il.

« D'accord » accepta-t-elle en faisant signe à Charlotte qui comprit tout de suite qu'elle ne la reverrait pas de la soirée.

Ils rirent pendant les cinq minutes de marche jusqu'à l'appartement d'Aurélien, notamment à cause de la dose non négligeable d'alcool qu'ils avaient tous deux consommés. Ils montèrent les marches de l'immeuble, puis Aurélien ouvrit la porte à Inès. Cette dernière jeta quelques coups d'œil à l'appartement, puis se retourna vers Aurélien qui venait juste de refermer la porte, et l'embrassa avec fougue.

La tension sexuelle qui régnait entre eux depuis quelques heures avait atteint son pic, et ils se laissaient aller à leurs pulsions. Il plaqua la jeune femme contre le mur sans que leurs bouches ne se quittent. Elle enlaça son cou et se laissa faire alors qu'il commençait à lui embrasser le cou, puis de nouveau leurs langues s'entrelacèrent. Ils commencèrent à se déshabiller l'un l'autre. Inès se retrouva en sous-vêtements et Aurélien torse nu. Elle put découvrir ses pectoraux saillants et ses abdos bien dessinés, alors qu'Aurélien admirait ses seins bombés que son soutien-gorge pouvait à peine contenir.

Il l'empoigna et la transporta vers le lit de sa chambre non sans lui embrasser la poitrine. Sans défaire leur étreinte passionnée, il dégrafa son soutien-gorge et mordilla ses tétons érigés. Les yeux d'Inès partirent en arrière tant les sensations étaient plaisantes. Elle était excitée comme jamais, sa chatte dégoulinait si bien qu'elle sentit l'humidité dans sa culotte. Leurs deux corps étaient en effervescence, ils mourraient tous les deux de désir. Il couvrait son corps de baisers, descendant peu à peu vers sa chatte qui mouillait maintenant comme un torrent.

« Lèche-moi, je n'en peux plus! » gémit-elle.

Il enleva sa culotte aussi vite que possible et commença à lécher sa chatte en décrivant des cercles autour du clitoris. Il léchait de temps en temps le bouton saillant, procurant à Inès des vagues de plaisirs qui se propageaient dans tous son corps. Elle gémissait et le suppliait de ne pas s'arrêter alors qu'il pratiquait ce cunnilingus avec une lenteur presque cruelle. Peu à peu, les coups de langues se firent plus fréquents et plus longs. Il introduisit sa langue à l'intérieur de la chatte en feu et se mit à accélérer encore le rythme, procurant un plaisir si immense que tout le corps d'Inès se tordait.

« Continue!!! Encore!!! Encore!!! Ahhhh je jouiiiiiiis!!! » s'exclama-t-elle alors qu'un orgasme soudain s'emparait de tout son corps. Ses yeux se révulsèrent et tous ses sens étaient stimulés. Les vagues de plaisirs la frappaient violemment alors que tout son corps se contractait. Aurélien continuait de la lécher, la rendant complètement hystérique tant elle jouissait. Ses jambes se refermèrent ce qui enfonça encore davantage le visage d'Aurélien dans sa chatte tremblante. Elle criait tant le plaisir qu'il lui procurait était intense.

Il fallut quelques minutes à la grande blonde pour reprendre ses esprits et se rendre compte de l'état dans lequel il l'avait mise.

« Putain, tu m'as rendue folle » souffla-t-elle entre deux baisers.

« On ne va pas s'arrêter là, rassure-moi? » dit-il avec un sourire.

« La nuit est loin d'être finie » murmura-t-elle en saisissant soudainement sa ceinture. Il la laissa faire. Elle prit son temps pour déboucler sensuellement sa ceinture avant de baisser le pantalon.

Une bosse monumentale déformait le caleçon du bel homme. Inès retint un gémissement d'admiration. Lentement, les yeux et la bouche grands ouverts, elle abaissa le caleçon pour libérer l'engin, sous le regard triomphant de son propriétaire. Elle leva les yeux vers lui, bouche bée. A ce moment-là, elle sut. Elle allait se faire déboiter.

*

Par Achabcooper

N'hésitez pas à laisser un commentaire pour me dire ce que vous en pensez!

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 4 ans
Plagiat

Bonjour,

Il semblerait que quelqu'un profite de votre récit pour se faire de l'argent sur votre dos. Je vous laisse les liens :

https://www.imprimermonlivre.com/shop/index.php/catalogsearch/result/index/?p=2&q=bernard+serpebois

https://publish.monbeaulivre.fr/privateshop/index.php/literature.html?bookbinding=21&booksize=8&bookyear=64&dir=desc&language=23&limit=25&mode=list&order=price&price=-

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Excellent

Cette histoire est excellent, mais c'est finit bien trop tőt. J'attends avec impatience la continuation.

SweetCupcakeSweetCupcakeil y a presque 7 ans
Très agréable!

J'ai apprécié les présentations des personnages. Et j'aime que Ines sache ce qu'elle aime et veut. L'excitation de cette première partie m'a fait envie de continuer à lire le prochain chapitre. Agréable!

AnonymousAnonymeil y a environ 7 ans

Bienvenue dans la partie française de literotica. Je te souhaite longue vie.

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Elodie Réalise Ses Fantasmes 01 Elodie découvre la soumission.
La Soumission d'Isabelle 01 Isabelle prête à tout pour ??
La nouvelle vie de Louise 01 Louise découvre le plaisir avec Cécile.
Otages des Gitans 01 Bourgeoises dressées par des gitans.
Plus d'histoires